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  1. #141
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    Par défaut Parler a partagé des informations avec le FBI sur un suspect de l'émeute du Capitole
    Parler a partagé des informations avec le FBI sur un suspect de l'émeute du Capitole,
    Un numéro de téléphone lié à un compte a aidé à identifier l'utilisateur qui a publié des menaces

    Parler, l'application de médias sociaux conçue comme un bastion de la "liberté d'expression", a récemment coopéré avec le FBI en fournissant des informations qui ont aidé les agents à identifier, localiser et arrêter un partisan des "Proud Boys" dans le cadre de l'enquête du ministère de la Justice sur l'émeute violente au Capitole américain. Parler a fourni le numéro de téléphone associé à un compte, selon une déclaration sous serment d'un agent du FBI, et l’agence fédérale l'a utilisé, ainsi que d’autres informations, pour identifier Eduardo Florea.

    Un homme qui a été arrêté par le FBI le 12 janvier, avec plus de 1000 cartouches de munitions, avait publié une déclaration menaçante sur le meurtre du sénateur américain Raphael Warnock de Géorgie et son intention de se rendre à Washington, DC, selon une déclaration sous serment d'un agent du FBI déposée au tribunal mardi. Eduard Florea, 40 ans, de Middle Village, dans le Queens a été accusé d'être un criminel en possession de munitions, a déclaré Seth D. DuCharme, procureur américain par intérim pour le District Est de New York.

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    La déclaration de l’agent indique également que le FBI a reçu des documents du réseau social Parler pour identifier l'utilisateur du compte "LoneWolfWar" utilisé pour faire ces menaces. Parler a fourni le numéro de téléphone associé au compte, selon l'affidavit, et le FBI l'a utilisé, ainsi que des informations de T-Mobile, pour identifier Florea comme titulaire du compte. Florea, un partisan déclaré des Proud Boys, un groupe néo-fasciste pro-Trump avec des sections à travers les États-Unis, s'est vu refuser la caution et reste en prison en attendant son procès.

    Selon l’affidavit, Florea ne s'est finalement pas rendu à Washington pour l'insurrection au Capitole le 6 janvier. Le même jour, cependant, il a publié un message selon lequel New York, où il vit, était "une cible riche" : « Allons-y... Je vais contacter les patriotes de ma région afin de trouver un plan de jeu... Ici, à New York, nous sommes des cibles riches [...]... Les morts ne peuvent pas faire passer de loi... Je me battrai, que Dieu me vienne en aide ».

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    Il n'est pas clair si Parler a remis les informations sur le compte au FBI après que le Département de la Justice avait émis un mandat ou une assignation à comparaître, ou si la société a donné les informations de son propre chef. Il est typique des grandes plateformes technologiques de coopérer avec les demandes des services de police. Les procureurs locaux et fédéraux obtiennent régulièrement la localisation et l'historique des messages texte des suspects auprès d'opérateurs de téléphonie mobile comme T-Mobile, Verizon et AT&T, et des messages directs provenant de plateformes comme Facebook et Twitter.

    Le FBI a ouvert une enquête à la suite de l’attaque collective sans précédent par les partisans du président Donald Trump contre le Capitole la semaine dernière, alors que le Congrès allait procéder à la certification de l’élection du président élu Joe Biden. Jusqu'à présent, un grand nombre des dossiers judiciaires accessibles au public en relation avec ces affaires montrent des enquêtes basées sur des activités de médias sociaux accessibles au public plutôt que sur des informations obtenues directement auprès de sociétés de médias sociaux.

    Des membres de la mafia pro-Trump ont retransmis en direct leurs activités ou se sont laissé photographier lors de l'assaut du Capitole. Les documents en ligne montrent également que des agents fédéraux ont physiquement fouillé des téléphones et examiné des captures d'écran de messages envoyés à des connaissances.

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    La plupart des informations contenues dans les dossiers des tribunaux ont été fournies afin d'établir un motif valable pour que les fonctionnaires arrêtent les personnes soupçonnées de participer à l'insurrection. Les procureurs fournissent normalement plus d'informations lorsqu'ils déposent un acte d'accusation et lorsqu'ils apportent des preuves pour un procès.

    Ce n’est pas la première fois que Parler fournit des informations au FBI

    Parler a aussi récemment coopéré à une enquête distincte du FBI, dans une affaire contre Michael Reyes, 49 ans, qui a été arrêté le 18 décembre et accusé d'avoir menacé de tuer le président Donald Trump et la juge de la Cour suprême Amy Coney Barrett. Selon une cause probable déposée par l'agent spécial Isaac Frost du FBI, le FBI a reçu un tuyau pour enquêter sur l'utilisateur de Parler "Raizor99" pour ses postes préconisant "le meurtre et le terrorisme". Après un examen plus approfondi, le FBI a découvert que l'utilisateur avait posté plusieurs menaces contre le président, un juge de la Cour suprême, des agents du FBI et les avocats qui soutiennent Trump.

    Après avoir observé les postes menaçants, le FBI ne connaissait pas l'identité derrière Raizor99. D'après les preuves contenues dans la déclaration de cause probable contre Reyes, Parler a coopéré avec les autorités fédérales et a transmis le courriel de l’utilisateur, son numéro de téléphone, son adresse IP et la date de création du compte. Il s’est trouvé que ses informations personnelles appartenaient à Reyes.

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    Reyes a déclaré aux agents fédéraux que le compte Parler était le sien, mais qu'il n'avait écrit ces messages que sous l’effet de la colère et qu'il n'avait pas l'intention de blesser qui que ce soit. S'il est reconnu coupable, Reyes risque jusqu'à cinq ans de prison fédérale et une amende maximale de 250 000 dollars.

    Cependant, le fait de savoir que Parler coopère avec les forces de l'ordre pour des affaires liées à l'insurrection du Capitole pourrait créer des problèmes pour la plateforme de médias sociaux. Parler a une large base d'utilisateurs d'extrême droite. Beaucoup de ces extrémistes ont utilisé la plateforme pour organiser la violence au Capitole, selon le ministère de la Justice.

    Le réseau social est également devenu un refuge pour des personnes interdites d'accès à d'autres médias sociaux – comme Lin Wood, un théoricien de la conspiration électorale et pro-Trump qui a utilisé Twitter pour appeler à l'exécution du vice-président Mike Pence et du juge en chef de la Cour suprême John Roberts – ainsi que pour des personnalités des médias de droite, comme l'animateur de Fox News Mark Levin, qui estiment ne pas pouvoir s'exprimer librement sur d'autres plateformes.

    La plateforme est hors ligne depuis lundi, lorsque Amazon, qui hébergeait ses serveurs, l'a coupée, disant qu'elle « ne peut pas fournir de services à un client qui est incapable d'identifier et de supprimer efficacement le contenu qui encourage ou incite à la violence contre les autres ». Samedi dernier, Amazon avait averti les dirigeants de Parler de modérer efficacement le contenu sur la plateforme ou de trouver un autre hébergeur Web avant lundi.

    John Matze, PDG de Parler, a cherché un autre hébergeur pour le service, mais a également déclaré que la plateforme pourrait rester fermée pendant plus longtemps que prévu. La décision d'Amazon fait suite aux interdictions de l'application Parler par Apple et Google à partir de leurs boutiques d'applications respectives pour smartphones.

    Parler et Amazon sont actuellement impliqués dans un procès concernant l'annulation du service. Le procès déposé lundi devant le tribunal de District américain de Seattle allègue que la suspension de Parler des services AWS violait la loi antitrust et enfreignait un accord contractuel. Amazon a détaillé certains des messages violents et menaçants sur la plateforme dans des documents judiciaires, dont des menaces de mort contre les démocrates, le GOP, les PDG de sociétés technologiques et autres.

    Le ministère de la Justice a déclaré mardi qu'il avait ouvert plus de 160 enquêtes sur des personnes ayant participé à l’émeute au Capitole le 6 janvier, et que d'autres étaient attendues. Dans tous les cas, ce ne sont pas des renseignements qui manquent dans cette affaire. « Ce n'est que la partie visible de l'iceberg », a déclaré le directeur adjoint du FBI en charge du bureau à Washington, DC, ajoutant que les agents avaient reçu plus de 100 000 « supports numériques » et qu'ils « fouillaient chacun d'entre eux pour trouver des pistes d'enquête et de renseignement ».

    Source : Affidavit

    Et vous ?

    Qu’en pensez-vous ?
    Quelles sont les conséquences du fait de savoir que Parler coopère avec les forces de l'ordre pour des affaires liées à l'insurrection du Capitole ?
    Pensez-vous que Parler pourrait être de nouveau en ligne ?

    Voir aussi :

    Amazon, Apple et Google coupent l'accès au réseau social Parler, l'application sera mise hors ligne, à moins qu'elle ait trouvé un autre hébergeur jusqu'à dimanche
    AWS déconnecte les serveurs de Parler suite à son implication supposée dans l'organisation des émeutes du Capitole. Le réseau social utilisé par les partisans de Trump n'est plus accessible
    Le Sénat US adopte une mesure qui permet au FBI de collecter sans mandat l'historique de navigation des Américains, dans une mise à jour du Patriot Act de 2001
    Accès aux données personnelles : Twitter a été forcé par le FBI à partager les données de ses utilisateurs, sans un mandat légal
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  2. #142
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    (désolé si cela est deja passé ) l ancien député libertarien "pro peace" Ron Paul bloqué aussi sur facebook : https://twitter.com/RonPaul/status/1348694943905308672 (article : https://www.zerohedge.com/technology...ut-suppressing )
    je suppose qu il y a d autres personnes connues qui ont ete aussi bloquees ??

  3. #143
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    Par défaut La COO de Facebook a tenté de minimiser le rôle joué par son entreprise dans la préparation des violences
    La COO de Facebook a tenté de minimiser le rôle joué par son entreprise dans la préparation des violences du Capitole
    mais des rapports indiquent que l'entreprise était au courant

    Les dirigeants de Facebook promettent qu'ils font tout ce qu'ils peuvent pour empêcher la plateforme de devenir un outil pour une nouvelle vague de violence envisagée par les services secrets américains. Pourtant, dans le même temps, des propos évoquant la violence sont toujours d'actualité sur Facebook, et ces mêmes dirigeants minimisent l'importance du rôle joué par la plateforme dans les événements du Capitole américain.

    Quelques heures après que le président Trump a revendiqué la victoire aux élections de novembre, un groupe Facebook a été créé, appelé « Stop the Steal ». En un jour, il était passé à 300 000 membres, ont rapporté Shayan Sardarizadeh et Jessica Lussenhop à BBC Monitoring et BBC News Washington. De nombreux messages répétaient les propos de Trump ; certains ont plaidé pour la « guerre civile ». Plus tard dans la journée, Facebook a supprimé le groupe, « mais pas avant qu'il n'ait généré près d'un demi-million de commentaires, partages, likes et réactions ». Sa suppression a donné naissance à des dizaines d'autres groupes. Le 20 novembre, Sarah Emerson de OneZero a noté que deux groupes Facebook Stop the Steal, totalisant plus de 100 000 membres, étaient toujours actifs. Certains observateurs estiment qu'il y avait là les graines des éléments les plus anciens et les plus publics de la planification de ce qui est devenu la prise en otage du Capitole le 6 janvier.

    « Si vous n'êtes pas prêt à utiliser la force pour défendre la civilisation, soyez prêt à accepter la barbarie », a déclaré un membre du groupe Facebook « Red-State Secession » la veille de l'assaut, selon le New York Times: « Dans le groupe, des dizaines de personnes ont posté des commentaires comprenant des photographies d'armement – y compris des fusils d'assaut – qu'ils ont dit qu'ils prévoyaient d'apporter au rassemblement. Il y a également eu des commentaires faisant référence à « l’occupation » du Capitole et au fait de forcer le Congrès à annuler les élections de novembre que Joseph R. Biden Jr. avait gagnées.

    « Je pense que ces événements ont été en grande partie organisés sur des plateformes qui n'ont pas nos capacités pour arrêter la haine, et qui n'ont pas nos normes et n'ont pas notre transparence », a déclaré Sheryl Sandberg lundi à la conférence Reuters Next, cherchant à éviter que les retombées de l'émeute du Capitole n'éclaboussent Facebook. Ce n’est pas la première fois que Sandberg, le chef de l’exploitation de la société, a porté cette casquette (le visage public « raisonnable » de la société privée).

    La COO de Facebook, Sheryl Sandberg, a donné lundi une interview en direct à Reuters dans laquelle elle a déclaré que le président Donald Trump ne serait pas susceptible de rétablir son compte Facebook suite à la décision de la société de bloquer « indéfiniment » son compte. « Même le président n'est pas au-dessus des politiques que nous avons », a déclaré Sandberg. « Nous n'avons pas l'intention de le laisser [revenir] entrer ».

    Mais même si elle a réitéré que le président avait été interdit spécifiquement pour avoir soufflé sur les braises qui ont conduit à des discours violents sur la plateforme, Sandberg a minimisé le rôle que Facebook aurait pu jouer pour amener la foule au Capitole en premier lieu.

    « Nous savons que cela a été organisé en ligne », a déclaré Sandberg à Reuters. « Nous avons fermé QAnon, Proud Boys, Stop the Steal – tout ce qui parlait de violence possible la semaine dernière. Notre application n'est jamais parfaite, donc je suis sûre qu'il y avait encore des choses sur Facebook, [mais] je pense que ces événements ont été largement organisés sur des plateformes qui n'ont pas nos capacités pour arrêter la haine, qui n'ont pas nos normes et qui n'ont pas notre transparence. »

    Pourtant, elle a ajouté : « Certes, à ce jour, nous travaillons pour trouver une seule mention qui pourrait être liée à cela et nous allons nous assurer qu'elle soit supprimée le plus rapidement possible. »

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    Directrice des opérations de Facebook Sheryl Sandberg

    Un impact de Facebook minimisé

    Les mots de Sandberg suivent un schéma familier dans tous les efforts de Relations Publiques de Facebook : ils embrassent et minimisent simultanément le pouvoir de l'entreprise. Pourtant, comme l'a rapporté Vice, « au moment même où Sandberg a fait ces commentaires, il y avait au moins 60 groupes "Stop the Steal" actifs sur Facebook, certains comptant des dizaines de milliers de membres et des millions d'interactions. » Le même jour, Sandberg a minimisé le rôle de Facebook au service des personnes armées qui ont tenté de prendre le Capitole, les personnes qui revendiquaient la responsabilité de l'organisation de la foule utilisaient Facebook et Instagram pour en planifier davantage.

    De même, un trio de rapports montrent clairement que, contrairement à la position de la COO de Facebook Sheryl Sandberg, des individus utilisaient Facebook pour planifier la violence avant l'insurrection de la semaine dernière au Capitole américain (et que les utilisateurs le font encore aujourd'hui).

    Le New York Times a publié un rapport sur des individus, dont au moins un qui a assisté au rassemblement du 6 janvier au Capitole, qui ont été radicalisés spécifiquement sur Facebook et Instagram. En termes simples, de nombreux utilisateurs, dont le contenu antérieur avait tendance à être anodin, ont vu des pics d'engagements massifs (bien plus de likes et de commentaires) de la part d'autres utilisateurs lorsqu'ils ont commencé à partager des théories du complot alléguant que l'élection de 2020 avait été « volée » ou autre contenu de style Qanon.

    De nombreux utilisateurs « ont été radicalisés du jour au lendemain », selon la revue NYT. « Il y a dix ans, leur présence en ligne ne ressemblait en rien à leur présence d'aujourd'hui. Un voyage à travers leurs flux offre un aperçu de la façon dont Facebook récompense les exagérations et les mensonges ».

    Les data scientists et les dirigeants de l'entreprise savaient que la violence proliférait sur Facebook et Instagram avant et pendant les événements du 6 janvier, selon le Wall Street Journal. Les rapports de contenu violent sur les plateformes cet après-midi «  ont connu une croissance multipliée par plus de 10 par rapport à la matinée », selon des documents internes examinés par les journalistes du WSJ.

    Au cours de l'après-midi chaotique, rapporte le WSJ, le directeur de la technologie de Facebook, Mike Schroepfer, a exhorté les employés à « s'accrocher », tandis que l'entreprise cherchait à « permettre des discussions pacifiques et à s'organiser sans appeler à la violence ».

    Certains employés, cependant, n'ont pas été touchés par cet appel à la patience. « Avec tout le respect que je vous dois, n'avons-nous pas eu assez de temps pour comprendre comment gérer le discours sans permettre la violence ? », aurait rétorqué un employé. « Nous alimentons ce feu depuis longtemps et nous ne devrions pas être surpris qu’il soit désormais hors de contrôle. »

    La rhétorique violente sur Facebook reste un problème majeur aujourd'hui, rapporte Reuters, avec des menaces proliférant contre la prochaine investiture du président élu Joe Biden.

    Un porte-parole de Facebook, qui a demandé à ne pas être nommé pour « des raisons de sécurité », a déclaré à Reuters que l'insurrection au Capitole semblait être un « événement galvanisant ». « Les signaux suivis par Facebook incluaient des dépliants numériques faisant la promotion des événements, certains d'entre eux présentant des appels aux armes ou les insignes de milices ou de groupes haineux », rapporte Reuters.

    Dans le cadre de ses « préparatifs » pour le jour de l'inauguration, Facebook a annoncé lundi qu'il interdirait l'expression "Stop the steal", un cri de ralliement utilisé par ceux qui ne croient pas (ou ne veulent pas) croire au fait que Joe Biden a remporté l'élection (un groupe qui comprend le président Trump).

    La société a ajouté :

    « Nous avons mis en place des mesures d'urgence avant les élections américaines, par exemple ne pas recommander de groupes civiques auxquels les gens adhèrent. La semaine dernière, nous en avons mis en œuvre plusieurs autres, notamment en augmentant l'obligation pour les administrateurs de groupe d'examiner et d'approuver les publications avant leur publication, en désactivant automatiquement les commentaires sur les publications dans les groupes qui commencent à avoir un taux élevé de discours de haine ou de contenu incitant à la violence, et utiliser l'IA pour rétrograder davantage le contenu qui enfreint probablement nos politiques. Nous maintenons ces mesures en place. »

    Cependant, Facebook ne parvient manifestement pas à aller après « la moindre mention » ou déclaration qui pourrait provoquer ou contribuer à de nouvelles violences, malgré ses efforts accrus.

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    Les médias américains ont indiqué qu'une recherche rapide des « événements » Facebook à Washington et ses environs, prévus pour la semaine prochaine, a mis en évidence plusieurs rassemblements et manifestations qui semblent conçus pour interférer avec l'inauguration de Biden. Certains sont prévus pendant le week-end, dans les jours précédant l'événement, tandis que d'autres appellent les participants à se rassembler au Capitole le 20 janvier, jour de l'inauguration.

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    La même recherche rapide et superficielle de cinq minutes a également mis en évidence une demi-douzaine de groupes privés qui disent avoir l'intention de réunir des « patriotes » pour marcher sur Washington pendant la semaine de l'inauguration, ainsi qu'un groupe public où des membres postaient des contenus menaçants comme une photo de la Présidente de la Chambre Nancy Pelosi (D-Calif.), avec des messages violents.

    Source : Reuters

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  4. #144
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    Bonjour.

    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    « Même le président n'est pas au-dessus des politiques que nous avons »
    Donc vous êtes au dessus du peuple. C'est certainement le moment de vous expliquer vos devoirs, et la constitution.

  5. #145
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    Par défaut Tim Cook défend la suspension de Parler : « Nous ne considérons pas cela comme de la liberté d'expression »
    Tim Cook défend la suspension de l'application Parler : « Nous ne considérons pas cela comme de la liberté d'expression ».
    Parler reviendra sur l'App Store « s'ils reprennent leur modération »

    Apple a expulsé le réseau social Parler de l’App Store le samedi 9 janvier, en invoquant des menaces de violence et d'activités illégales sur l'application. Vendredi d’avant, c’est Google qui avait suspendu l’application de son magasin en ligne. Ces interdictions sont intervenues suite à l’attaque collective des émeutiers pro-Trump qui ont pris d’assaut le Capitole américain le 6 janvier afin d’empêcher la certification de l’élection de Joe Biden. Dans une interview accordée à une émission sur Fox, Tim Cook, le PDG d'Apple, a déclaré que les messages sur l'application sociale de droite Parler représentaient une « incitation à la violence » qui justifiait son retrait de l'App Store.

    Interviewé par le présentateur Chris Wallace dans le cadre de l'émission "Fox News Sunday" diffusée dimanche dernier sur la chaîne Fox, Cook a déclaré qu'Apple « a examiné l'incitation à la violence qui y était présente et... nous ne considérons pas cela comme de la liberté d'expression ». Interrogé pour savoir si le fait qu'Apple a interdit Parler, qui était devenu populaire parmi les loyalistes de Trump comme alternative à Twitter et Facebook, ne servirait pas à rendre les utilisateurs de l'application "clandestins", Cook a répondu : « Eh bien, nous les avons seulement suspendus, Chris. Et donc, s'ils reprennent leur modération, ils seront de retour sur le site ».

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    Parler, le réseau social qui s'est positionné comme une alternative libre auprès des conservateurs, a connu un regain de popularité au cours des derniers mois. Mais la plateforme n'a pas réussi à contenir les discours violents et haineux, qui, selon les entreprises de Big Tech, pourraient conduire à une nouvelle attaque violente.

    Bien qu'il ait supprimé certains contenus, comme un post du 7 janvier de l'avocat Lin Wood, pro-Trump, qui disait : « Préparez les pelotons d'exécution. Pence passe en PREMIER », la liberté relative de la plateforme a permis de mettre en scène des théories de conspiration extrémistes, comme QAnon, ainsi que des discussions publiques encourageant les "patriotes" à participer aux violences futures entourant l'investiture du président élu Joe Biden.

    Apple et Google ont viré Parler de leurs boutiques d'applications, en invoquant des menaces de violence et d'activités illégales sur l'application, après l'émeute meurtrière au Capitole. Dans un courriel adressé à Parler le vendredi 8 janvier, l'Apple Review Board aurait déclaré que l'application contient des « contenus répréhensibles », notamment des menaces violentes, mais aucun mécanisme pour gérer les contenus potentiellement dangereux générés par les utilisateurs. Apple a donné à Parler 24 heures pour réécrire son règlement afin d'adhérer aux règles de l'App Store avant d'interdire officiellement l'application.

    Samedi, Apple a expulsé Parler de son App Store. « Parler n'a pas pris les mesures adéquates pour faire face à la prolifération de ces menaces à la sécurité des gens », a déclaré Apple. Puis dimanche, la division AWS d'Amazon a retiré les services d'hébergement Web de Parler, affirmant qu'il « ne peut pas fournir de services à un client qui est incapable d'identifier et de supprimer efficacement le contenu qui encourage ou incite à la violence contre les autres ». Le géant du commerce électronique a cité près de 100 exemples de menaces violentes sur la plateforme de réseau social.

    Parler a poursuivi Amazon en justice le lendemain lundi, alléguant qu'Amazon avait rompu son contrat et violé la loi antitrust en étant supposé être de connivence avec Twitter pour faire fermer l'application. Amazon, dans une plainte déposée au tribunal le 12 janvier, a déclaré : « Cette affaire n'a pas pour but de supprimer des discours ou d'étouffer des points de vue. Il ne s'agit pas d'une conspiration visant à restreindre le commerce ». « Cette affaire concerne plutôt la réticence et l'incapacité démontrées de Parler à retirer des serveurs d'Amazon Web Services (AWS) des contenus qui menacent la sécurité publique, comme l'incitation et la planification du viol, de la torture et de l'assassinat de fonctionnaires et de citoyens nommés ».

    Pourtant, Parler ne manque pas d’outils pour nettoyer sa plateforme de contenu violent, selon la propriétaire du compte Twitter @donk_enby, qui a pu archiver tous les messages liés à l’insurrection du 6 janvier avant que l’application ne soit retirée. Les posts montrent aussi que Parler n’est pas aussi libre expression comme l’application l’a toujours revendiqué.

    « Le manque de modération sur Parler n'est pas le problème. Ils ont en fait des outils de modération très robustes et tous les nouveaux utilisateurs sont bannis jusqu'à ce qu'un nombre suffisant de leurs messages soit approuvé par leurs modérateurs », a-t-elle écrit. « Ce n'est pas un réseau de publicité. Il s'agit d'un système où les utilisateurs les plus "influents" peuvent être payés pour publier des contenus sponsorisés d'apparence organique ».

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    « La big tech n'est pas un monolithe », selon Tim Cook

    Le PDG de Parler, John Matze, a publié une déclaration qui a été relayée sur Twitter confirmant que la plateforme serait retirée de l'Internet pour « jusqu'à une semaine » car le site est reconstruit « à partir de zéro ». Matze a ajouté qu'il considérait la décision d'Apple et d'autres entreprises technologiques comme une « attaque coordonnée » contre la liberté d'expression et la concurrence sur le marché. « Nous avons eu trop de succès trop rapidement », a déclaré Matze dans sa déclaration.

    Lorsque Wallace a voulu savoir si les grandes technologies ne limitent pas la liberté d'expression, Cook a répondu : « La Big Tech n'est pas un monolithe ». « Nous avons un app store qui contient environ 2 millions d'applications. Et nous avons des conditions de service pour ces applications. Nous ne contrôlons évidemment pas ce qui se trouve sur Internet, mais nous n'avons jamais considéré que notre plateforme devait être une simple réplique de l'Internet. Nous avons des règles et des règlements, et nous demandons simplement aux gens de les respecter », a-t-il ajouté.

    Apple accueillera de nouveau Parler - à condition que Parler trouve un nouveau fournisseur de Cloud Computing pour héberger le réseau social - si l'application modère efficacement le discours des utilisateurs, a déclaré le PDG d'Apple. « Nous les avons seulement suspendus », a noté Cook. « S'ils arrivent à modérer ensemble, ils seront de retour ».

    Si l'application de Parler reste indisponible dans les app stores, le site Web est de nouveau en ligne. « Bonjour le monde, ce truc n’est-il pas en marche ? » a demandé Matze dans un message daté de samedi, posté au-dessus d'une note de la société disant que la plateforme serait restaurée après la résolution des problèmes.

    Cook était sur Fox News pour discuter de l'initiative d'Apple pour l'équité et la justice raciale, un ensemble de projets qui, selon le PDG, vise à offrir des opportunités aux communautés de couleur. Il a déclaré que le meurtre par la police de George Floyd, un homme noir non armé, l'année dernière, avait donné un caractère d'urgence au programme.

    Cook a critiqué d'autres entreprises technologiques pour leur manque d'idéaux - y compris celui de sacrifier la vie privée des utilisateurs en poursuivant le profit. Mais Apple doit faire preuve de prudence. Forcer d'autres entreprises à se plier à sa volonté ne va pas faciliter l'argumentation d'Apple s’il se retrouve sous surveillance pour avoir prétendument abusé du pouvoir de monopole.

    Pourtant, Cook a affirmé dimanche que diriger une entreprise de technologie ne se résume pas à gagner de l'argent. Il a déclaré qu'il pense que la mission d'Apple devrait être de résoudre certains des plus gros problèmes du monde. L'entreprise et ses employés essaient toujours de faire ce qui est juste, une mission qui le motive à venir travailler chaque matin. Cela a contribué à influencer sa décision concernant Parler - en particulier à la suite du siège du Capitole.

    « Ce fut l'un des moments les plus tristes de ma vie de voir une attaque contre notre Capitole et une attaque contre notre démocratie », a déclaré Cook. « J'avais l'impression d'être dans une sorte de réalité alternative, pour être honnête avec vous. Cela ne pouvait pas arriver ».


    Le PDG de Tesla, Elon Musk, a critiqué, il y a une semaine, la récente décision de la big tech de censurer le président Trump, en réponse à l'émeute du Capitole menée par les partisans du Trump la semaine dernière. « Beaucoup de gens vont être super mécontents des compagnies de haute technologie de la côte ouest comme arbitre de facto de la liberté d'expression », a répondu Musk à un tweet d'un article.

    Musk s'était déjà élevé contre la censure de la big tech en juin dernier, après avoir interpelé Amazon pour avoir censuré la publication d'un livre sur le coronavirus. Musk a déclaré à l'époque qu'il était « temps de démanteler Amazon », ajoutant que « les monopoles ont tort ! » Pendant ce temps, on craint que la haute technologie pousse des contenus potentiellement dangereux dans des coins encore plus sombres de l'Internet, a déclaré Wallace.

    Source : Vidéo YouTube

    Et vous ?

    Qu’en pensez-vous ?
    L’interdiction des contenus dangereux sur les médias sociaux pourrait les pousser sur l’Internet sombre. Qu’en pensez-vous ?
    La big tech devrait être l’arbitre de facto de la liberté d'expression sur les plateformes Internet ?

    Voir aussi :

    Amazon, Apple et Google coupent l'accès au réseau social Parler, l'application sera mise hors ligne, à moins qu'elle ait trouvé un autre hébergeur jusqu'à dimanche
    Parler a partagé des informations avec le FBI sur un suspect de l'émeute du Capitole, un numéro de téléphone lié à un compte a aidé à identifier l'utilisateur qui a publié des menaces
    AWS déconnecte les serveurs de Parler suite à son implication supposée dans l'organisation des émeutes du Capitole. Le réseau social utilisé par les partisans de Trump n'est plus accessible
    Des hackeurs ont procédé au téléchargement des données publiées sur Parler avant qu'AWS ne le déconnecte. Elles peuvent désormais être utilisées pour dénoncer et arrêter les émeutiers pro-Trump
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  6. #146
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  7. #147
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  8. #148
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    Par défaut Le site web de Parler est de nouveau en ligne, mais n'est toujours pas disponible dans les app stores
    Le site web de Parler est de nouveau en ligne, mais l'application n'est toujours pas disponible dans les app stores,
    le site a été rétabli dimanche par un message du PDG John Matze

    La semaine dernière, la plateforme de médias sociaux Parler a été pratiquement effacée d'Internet, mais hier, dimanche, elle a montré quelques signes de vie. Un message du PDG de Parler, John Matze y apparaît avec une image montrant une bannière "difficultés techniques". après l'émeute du Capitole Apple a suspendu l'application Parler de son App Store, peu après que Google l'avait bannie de Google Play. L'application n'est toujours pas disponible en téléchargement sur les deux plateformes. Amazon.com a ensuite suspendu Parler de son service d'hébergement web, mettant ainsi le site hors ligne à moins qu'il ne trouve une nouvelle entreprise pour héberger ses services.

    Amazon, Google et Apple ont coupé les liens avec Parler en invoquant l'échec de la modération des contenus et les menaces de violence proférées par certains de ses utilisateurs de droite. Certains des manifestants pro-Trump qui sont descendus au Capitole américain le 6 janvier, alimentés par des allégations sans fondement de fraude électorale, avaient planifié l'événement et diffusé des informations erronées sur l'élection présidentielle sur Parler.

    Nom : Screenshot_2021-01-18 Parler website appears to back online and promises to 'resolve any challen.png
Affichages : 4211
Taille : 669,8 Ko

    Le site web a été relancé dimanche par un message du PDG John Matze, demandant : « Bonjour, le monde. Est-ce que ce truc est allumé ? ». Une déclaration sur le site qui indique un retour imminent. « Il semble que ce soit le bon moment pour vous rappeler à tous (ceux qui aiment et ceux qui détestent) pourquoi nous avons lancé cette plateforme. Nous pensons que la vie privée est primordiale et que la liberté d'expression est essentielle, en particulier sur les médias sociaux. Nous résoudrons tous les problèmes auxquels nous sommes confrontés et nous prévoyons de vous accueillir à nouveau bientôt. Nous ne laisserons pas le discours civil périr ! », a-t-il déclaré

    Une recherche sur WHOIS indique que Parler est maintenant hébergé par Epik. La semaine dernière, Parler a enregistré son domaine auprès du fournisseur d'hébergement basé à Washington, connu pour héberger des contenus d'extrême droite, bien qu'Epik ait nié dans une déclaration que les deux sociétés aient été en contact.

    Parler a été confronté à des retombées massives dans les jours qui ont suivi le siège du Capitole américain, plusieurs partenaires commerciaux ayant coupé les liens. Apple et Google ont été les premiers à retirer l'application de Parler de leurs app stores, invoquant également son prétendu refus de supprimer les contenus violents. Peu de temps après, de nombreux fournisseurs de services de Parler, dont Twilio, Okta et Zendesk, ont également retiré Parler de leurs plateformes. Apple accueillera de nouveau Parler, à condition que Parler trouve un nouveau fournisseur de Cloud Computing pour héberger le réseau social, si l'application modère efficacement le discours des utilisateurs, a déclaré le PDG d'Apple dans une interview sur Fox News dimanche. « Nous les avons seulement suspendus. S'ils arrivent à modérer ensemble, ils seront de retour », a précisé Cook.

    Parler a atteint une certaine notoriété ces derniers mois, alors que les principaux sites de médias sociaux ont été confrontés à une pression croissante pour réprimer les discours de haine, la désinformation et les appels à la violence. Twitter et Facebook ont tous deux suspendu le président Donald Trump après l'émeute meurtrière du Capitole, en invoquant le risque de nouvelles violences.

    Parler, qui a soutenu que sa suppression avait pour but d'éliminer la concurrence, a intenté un procès antitrust contre Amazon la semaine dernière, afin d'obtenir la restauration de son site web. Dans son action en justice, Parler a contesté les affirmations d'Amazon selon lesquelles la plateforme avait à plusieurs reprises averti Parler sur le contenu violent de son site ; mais également que l'approche laxiste de la société pour supprimer les différents contenus violents constituait un motif pour qu'Amazon suspende le contrat AWS de Parler.

    Parler a affirmé qu'Amazon, en fait, avait complètement résilié son contrat, plutôt que de le suspendre simplement, et n'a averti la société de médias sociaux de possibles violations de contrat qu'après les émeutes du Capitole et a continué à essayer de lui vendre des services supplémentaires aussi tard qu'en décembre.

    Source : Reuters

    Et vous ?

    Qu’en pensez-vous ?

    Voir aussi:

    Amazon, Apple et Google coupent l'accès au réseau social Parler, l'application sera mise hors ligne, à moins qu'elle ait trouvé un autre hébergeur jusqu'à dimanche

    AWS déconnecte les serveurs de Parler suite à son implication supposée dans l'organisation des émeutes du Capitole. Le réseau social utilisé par les partisans de Trump n'est plus accessible

    Le Sénat US adopte une mesure qui permet au FBI de collecter sans mandat l'historique de navigation des Américains, dans une mise à jour du Patriot Act de 2001

    Accès aux données personnelles*: Twitter a été forcé par le FBI à partager les données de ses utilisateurs, sans un mandat légal
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  9. #149
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    Parler à déjà coopéré avec le FBI et leur a fourni des données. Je ne doute pas que soit un pot de miel

  10. #150
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    C'est bizarre de voir Epik être considéré comme l'hôte préféré des autres. Je l'utilise comme bureau d'enregistrement pour des domaines personnels tout à fait bénins. Je l'ai fait par ce qu'ils offraient par défaut la confidentialité WHOIS. C'est tout. C'est bizarre qu'on en parle comme si le site lui même est une chose néfaste ou controversée au lieu de se limiter à certains de ses clients

  11. #151
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    Par défaut Bumble, Tinder, Match et d'autres applications de rencontre bannissent les comptes des émeutiers du Capitole
    Bumble, Tinder, Match et d'autres applications de rencontre bannissent les comptes des émeutiers du Capitole
    notamment des comptes qui ont été signalés par d'autres utilisateurs

    L'assaut du Capitole américain par des milliers d'émeutiers pro-Trump a eu lieu le 6 janvier dernier et la police et le FBI continuent leurs recherches pour identifier les principaux instigateurs de ces incidents. De leur côté, les médias sociaux de rencontre, dont Bumble et Tinder ont commencé par geler les comptes des émeutiers avec l'aide des forces de l'ordre ou en se basant sur des éléments comme les photos de profil et leur fil d'actualité. De même, d'autres utilisateurs de ces applications ont pris les choses en main en engageant des conversations avec des émeutiers potentiels et en transmettant leurs informations au FBI.

    Les applications de rencontre sont-elles devenues un piège pour les insurgés ?

    Parler, le réseau social américain de microblogage, réputé pour être un réseau social conservateur et hébergeant une base d'utilisateurs importante de partisans de Donald Trump, de conservateurs, de théoriciens du complot et d'extrémistes de droite, est accusé d'avoir joué un rôle important dans le rassemblement des émeutiers du Capitole. Pendant ce temps, les autres réseaux sociaux cherchent à couper les ponts avec les utilisateurs potentiellement impliqués dans l'attaque du Capitole qui a eu lieu il y a deux semaines en supprimant purement et simplement leurs comptes et en les signalant à la police ou au FBI.

    Pour ce faire, Tinder, une application de rencontre, Bumble, une application sociale basée sur la localisation qui facilite la communication entre les utilisateurs intéressés, et d'autres applications de même type utilisent des images capturées à l'intérieur du siège du Capitole et d'autres preuves pour identifier et bannir les comptes des émeutiers. Selon un rapport du Washington Post (WP), cela a des conséquences immédiates pour ceux qui ont participé à l'émeute alors que la police s'apprête à procéder à des centaines d'arrestations.

    Dans certains cas, des femmes et des hommes ont également transformé les applications de rencontre en terrains de chasse, en engageant des conversations avec les émeutiers, en recueillant des photos ou des aveux potentiellement incriminants, puis en les transmettant au FBI. Le rapport indique que l'utilisation des applications de rencontre dans le but de poursuivre les insurgés du Capitole est devenue une activité virale, avec des conseils partagés sur Twitter et certaines femmes changeant leur emplacement sur les applications de rencontres à Washington DC dans l'espoir de piéger un suspect potentiel.

    Nom : gettyimages-1230453292.jpg
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Taille : 139,1 Ko

    À titre d'exemple, Amanda Spataro, une coordinatrice logistique de 25 ans à Tampa, une ville située sur la baie de Tampa en Floride, a déclaré qu'elle avait le "devoir civique" de passer en revue les applications de rencontre pour les hommes qui ont posté des photos incriminantes d'eux-mêmes. Sur Bumble, elle a trouvé un homme avec une photo qui semblait provenir de l'insurrection. Elle est entrée en contact avec ce dernier et après avoir fait un détour dans le but d'obtenir plus d'informations de sa part, elle a dit qu'il lui avait répondu qu'il avait bien visité le Capitole et lui avait envoyé d'autres photos comme preuve.

    Spataro a ensuite contacté la ligne d'information du FBI pour fournir les renseignements qu'elle a obtenus à l'agence fédérale. « La plupart des gens, vous pensez que si vous allez commettre un crime, vous n'allez pas vous en vanter », a-t-elle déclaré dans une interview. À leur niveau, Bumble et Match Group, possédant Tinder, Hinge, OkCupid, PlentyofFish et Match, ont déclaré qu'ils s'efforçaient de retirer de leurs plateformes les utilisateurs connus pour être impliqués dans l'assaut du Capitole. Toutefois, selon le rapport du WP, ces applications ne se limitent pas là.

    Ils interdisent également toute personne qui a été arrêtée ou publiquement identifiée par les forces de l'ordre comme ayant pris part à l'attaque. Match Group a déclaré avoir interdit les comptes d'émeutiers sur la base de règles établies de longue date contre la promotion ou l'incitation à la violence. « Nous avons interdit, et nous continuerons à le faire, tous les utilisateurs recherchés par le FBI en relation avec le terrorisme domestique pour toutes nos marques, et nous coopérons toujours avec les forces de l'ordre dans leurs enquêtes », a déclaré Vidhya Murugesan, porte-parole de Match Group.

    Murugesan a refusé de dire combien d'entre eux avaient été punis de cette manière. Ce nombre pourrait être important, car le rapport estime que, au cours des deux dernières semaines, de nombreuses femmes à Washington ont déclaré avoir remarqué une augmentation du nombre d'hommes conservateurs sur les applications de rencontre, beaucoup d'entre eux portant des chapeaux "Make America Great Again" ou d'autres marques de soutien au président Trump rarement vues dans une ville majoritairement démocrate.

    Au niveau fédéral, le FBI a mis en place une ligne téléphonique anonyme pour signaler les personnes qui auraient pu commettre une infraction au Capitole. Dans une déclaration faite la semaine dernière, le bureau a déclaré avoir reçu plus de 100 000 "tuyaux sur les médias numériques" provenant d'un large éventail de sources. Les enquêteurs fédéraux ont utilisé des listes de passagers de compagnies aériennes, des flux vidéo en direct, des messages sur les médias sociaux, des reportages, des données de localisation de téléphones portables et d'autres preuves pour étayer leurs accusations et trouver des suspects.

    Les autorités policières ne veulent pas dire combien de tuyaux proviennent d'applications de rencontres, mais ont déclaré qu'elles examinaient toutes les preuves. Plus de 100 personnes ont été inculpées en relation avec les émeutes, et des centaines d'autres affaires sont toujours en cours d'enquête. « Même vos amis et votre famille nous donnent des tuyaux », a déclaré Steven D'Antuono, directeur adjoint du FBI, lors d'un récent point de presse. « Vous devriez donc envisager de vous rendre au lieu de vous demander quand nous allons venir frapper à votre porte. Parce que nous le ferons », a-t-il ajouté.

    La chasse aux insurgés sur ces plateformes viole-t-elle la vie privée en ligne ?

    Le rapport du Washington Post précise que plusieurs personnes dans la communauté ont célébré la chasse virale aux assaillants du Capitole comme une forme créative de "châtiment" numérique. Cela dit, certains défenseurs de la vie privée ont déclaré que l'épisode révèle d'une part une vérité inquiétante sur la surveillance publique omniprésente et d'autre part les liens opaques entre les entreprises privées et les forces de l'ordre. Certains s'inquiètent également du fait que des personnes soient mal identifiées par des enquêteurs amateurs et des autres risques pouvant survenir lorsque les justiciers tentent de prendre en main la lutte contre la criminalité.

    « Ces personnes méritent le droit de chercher un partenaire de l'une des rares façons dont nous avons de nous socialiser pendant la pandémie, et de rechercher l'amour », a déclaré Liz O'Sullivan, directrice du Surveillance Technology Oversight Project, une association à but non lucratif basé à New York qui lutte contre la surveillance discriminatoire. « C'est un exemple de plus de la façon dont ces entreprises technologiques peuvent avoir un impact sur nos vies sans que nous ayons notre mot à dire. Et si cela arrivait aux manifestants de Black Lives Matters ? Au bout du compte, c'est tellement de pouvoir », a-t-elle ajouté.

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    Mais le rapport indiquent que Bumble, Match Group et plusieurs autres sites de rencontre voient la chose différemment et encouragent les utilisateurs à continuer de dénoncer les personnes qu'ils jugent suspectes. « Nous encourageons toujours notre communauté à bloquer et à dénoncer toute personne qui agit à l'encontre de nos directives, et nous avons déjà interdit les utilisateurs qui ont utilisé notre plateforme pour diffuser des contenus insurrectionnels ou qui ont tenté d'organiser et d'inciter au terrorisme », a déclaré un haut cadre de Bumble dans une déclaration.

    Il a fait cette déclaration sous couvert de l'anonymat, car les responsables de l'entreprise ont reçu des menaces violentes à la suite à des changements de politique dans le passé. « Comme toujours, si quelqu'un a commis ou est en train de commettre un acte potentiellement criminel sur notre plateforme, nous prendrons les mesures appropriées avec les forces de l'ordre », a-t-il ajouté. Il a déclaré que, pour identifier les potentiels criminels, Bumble utilise un logiciel pour scanner les profils de rencontre et les biographies des utilisateurs afin de détecter "les contenus textuels qui font la promotion de l'insurrection ou d'activités connexes.

    Les comptes peuvent être interdits pour avoir promu le racisme, encouragé la violence ou répandu des mensonges sur la défaite électorale de Trump. Selon le rapport, les questions en matière d'application de la loi, de vie privée et de sécurité de l'utilisateur, qui se chevauchent, sont compliquées pour les applications de rencontre. La police ou les procureurs qui cherchent des données, surtout s'ils ont des mandats de perquisition, ne laissent guère de place aux entreprises pour s'y opposer, à moins qu'elles ne cryptent déjà les données de manière à ce qu'elles ne puissent pas être facilement récupérées.

    C'est le cas d'Apple et d'autres entreprises, qui l'ont déjà fait pour certains types de communications avec les utilisateurs. Selon certains experts, l'utilisation de données accessibles au public pour purger les utilisateurs qui pourraient avoir été impliqués dans un crime, en particulier un crime aussi visible et troublant que l'attaque du Capitole, nécessite des compromis plus difficiles. Certains diront qu'il est injuste de supprimer le compte d'une personne simplement sur la base du Capitole, par opposition à une personne connue pour être entrée dans le bâtiment ou avoir commis d'autres crimes, comme le vandalisme et le vol.

    Mais les utilisateurs d'une application de rencontres peuvent raisonnablement s'attendre à ne pas être connectés avec une personne connue pour avoir participé à une insurrection illégale conçue pour perturber un processus démocratique. Dans le même temps, les technologies d'identification disponibles sont imparfaites. Les experts en matière de protection de la vie privée se demandent si une entreprise devrait prendre des mesures à l'encontre des utilisateurs simplement parce qu'on pense qu'ils étaient au Capitole le 6 janvier, avant un jugement formel ou même des arrestations par les autorités.

    « Il y a un défi probable à la fois de faux positifs et de faux négatifs. Je ne suis pas sûr qu'une application de rencontre devrait essayer de faire ces déterminations », a déclaré Ashkan Soltani, membre distingué de l'Institute for Technology Law & Policy du Georgetown Law Center. Il estime que les problèmes auxquels sont confrontées les applications de rencontres sont difficiles, avec une série de solutions possibles. Par exemple, les applications pourraient alerter les utilisateurs individuels qu'une personne pour laquelle ils ont exprimé un intérêt pourrait avoir participé à l'assaut du Capitole.

    En outre, elles pourraient permettre aux utilisateurs individuels de s'identifier comme participants en appuyant sur un bouton intégré, similaire à la balise "J'ai voté" que certaines entreprises de médias sociaux proposent les jours d'élection. Selon lui, le bannissement pur et simple des utilisateurs sur la base de l'analyse des images, en particulier avant l'arrestation ou le jugement, a été jugé "trop modéré" par les applications.

    Source : Washington Post

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Les réseaux sociaux devraient-ils participer à la chasse aux assaillants du Capitole ?

    Voir aussi

    La présence des insurgés du Capitole sur les médias sociaux permet au gouvernement fédéral de les identifier facilement, alors que la police locale et le FBI recherchent des informations sur eux

    Amazon riposte au procès antitrust de Parler avec de nombreux exemples de son contenu violent, dont des menaces de mort contre les démocrates, le GOP, les PDG de sociétés technologiques et autres

    Le vol de 2 ordinateurs lors de l'attaque du Capitole soulève des inquiétudes quant à la sécurité des informations. « L'ordinateur portable doit avoir au moins un accès qui pourrait être exploité »

    L'émeute du Capitole est un cauchemar en matière de cybersécurité, le « pire des scénarios » pour la cybersécurité du gouvernement américain, selon un expert en sécurité
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  12. #152
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    Très bien il faut un espace pour chacun


    Pour Tim Cook, du coup ils ont viré Twitter de l'Apple store quand samuel Paty a été tué, vu que c'est parti de là ? Ou bien ils ont viré Facebook pour la page de la LDNA qui "n'enfreint pas les règles" ? Ah non laissez mois deviner ils ont viré les deux quand les groupes antifas s'organisaient en émeute et que ça amené des morts à Atlanta... ah non en fait, c'est juste une excuse.

  13. #153
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    Facebook et Twitter ont perdu 51 milliards de $ US en Bourse...

  14. #154
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    Citation Envoyé par TotoParis Voir le message
    ...
    Ils vont peut-être finir par comprendre que la politique des cheveux bleus mène droit dans le mur.

  15. #155
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    Citation Envoyé par Bill Fassinou Voir le message
    Quel est votre avis sur le sujet ?
    C'est n'importe quoi que les entreprises se couchent dès que quelqu'un vient chouiner. Les gens comme Valerie Chicola, sont insupportables ! Bumble aurait du l'ignorer et ne jamais réagir.
    Ok, les entreprises ont envie d'éviter les bad buzz et de faire de la propagande progressiste, mais ça va beaucoup trop loin.

    Citation Envoyé par Bill Fassinou Voir le message
    Les réseaux sociaux devraient-ils participer à la chasse aux assaillants du Capitole ?
    Non, c'est à la justice de gérer ça.
    On ne peut pas interdire les réseaux sociaux et les sites de rencontre à ceux qui ont commis ce genre de délit.
    Quelque part, ce que font ces applications rappellent un peu le score social en Chine. Si tu ne partages pas l'idéologie dominante, t'as des problèmes.
    Keith Flint 1969 - 2019

  16. #156
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    Par défaut Parler réapparaît partiellement avec le soutien d'une entreprise technologique russe
    Parler réapparaît partiellement avec le soutien d'une entreprise technologique russe,
    L’application devrait être de retour d’ici fin janvier

    Le média social Parler est devenu très populaire après que les utilisateurs ont appelé à la violence et posté une vidéo faisant l'éloge de l'attaque du Capitole américain le 6 janvier. Le site Web de médias sociaux et une application populaire auprès de l'extrême droite américaine a également connu un essor également lorsque les médias sociaux traditionnels comme Twitter et Facebook ont commencé à modérer leur contenu et ont mis le président Donald Trump et ces partisans hors de leurs plateformes - avant d’être mis hors ligne par le service d'hébergement d'Amazon. Mais Parler est partiellement de retour en ligne depuis le week-end dernier, et cela avec l'aide d'une entreprise technologique russe.

    Le site Web de Parler est désormais de nouveau accessible, mais seulement avec un message de son directeur général disant qu'il travaillait à restaurer la fonctionnalité. John Matze a aussi écrit : « Bonjour le monde, ce truc n’est-il pas en marche ? », demandant certainement ainsi à ces partenaires qui l’ont interdit parce que la plateforme a sous-modéré le contenu et laissé les messages appelant à la violence, y compris la préparation d’un prochain éventuel assaut sur le Capitole pendant l’inauguration du président Joe Biden. Dans une mise à jour, le site affiche deux autres posts, dont celui de Amy Lynn Peikoff, écrivaine, blogueuse américaine et professeure de philosophie.

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    L'adresse de protocole Internet que Parler a utilisée appartient à Ddos-Guard, a déclaré à Reuters un chercheur en sécurité en Californie Ronald Guilmette. La société Ddos-Guard est contrôlée par deux hommes russes et fournit des services, dont la protection contre les attaques par déni de service distribué. Si le site Web est entièrement restauré, les utilisateurs de Parler pourront voir et poster des commentaires. La plupart des utilisateurs préfèrent cependant l'application, qui reste interdite dans les magasins officiels d'Apple et de Google.

    Apple et Google ont suspendu Parler, qui revendique la liberté de l’expression, de leurs app Stores pendant le week-end qui a suivi l’insurrection du Capitole, affirmant que le service de réseau social populaire auprès de nombreux utilisateurs de médias sociaux de droite n'a pas pris les mesures adéquates pour empêcher la diffusion de messages incitant à la violence.

    Dans une Interview dimanche dernier sur la chaîne Fox dans le cadre de l'émission "Fox News Sunday", Cook a déclaré qu'Apple « a examiné l'incitation à la violence qui y était présente et... nous ne considérons pas cela comme de la liberté d'expression ». Interrogé pour savoir si le fait qu'Apple a interdit Parler, qui était devenu populaire parmi les loyalistes de Trump comme alternative à Twitter et Facebook, ne servirait pas à rendre les utilisateurs de l'application "clandestins", Cook a répondu : « Eh bien, nous les avons seulement suspendus, Chris. Et donc, s'ils reprennent leur modération, ils seront de retour sur le site ». Mais on n’en est pas encore là.

    Le PDG de Parler et les représentants de DDoS-Guard n'ont pas répondu aux demandes de commentaires de Reuters. Mercredi dernier, Matze a déclaré à Reuters que la société était en pourparlers avec plusieurs fournisseurs de services, mais a refusé de donner des précisions.

    Matze a dit auparavant dans une déclaration qui a été relayée sur Twitter que la plateforme serait retirée de l'Internet pour « jusqu'à une semaine » car le site est reconstruit « à partir de zéro ». Matze a ajouté qu'il considérait la décision d'Apple et d'autres entreprises technologiques comme une « attaque coordonnée » contre la liberté d'expression et la concurrence sur le marché. « Nous avons eu trop de succès trop rapidement », a déclaré Matze dans sa déclaration.

    Les entreprises de médias sociaux ont tenté d’éviter une répétition de la violence qui a éclaté lorsqu’une foule de partisans de Trump a pris d’assaut le Capitole américain lors du vote pour confirmer la victoire électorale du président élu Joe Biden. Twitter a carrément interdit le président Trump la semaine dernière, après l’avoir suspendu pour 12h. Facebook a d'abord empêché Trump de publier sur Facebook et Instagram pendant 24 heures, avant que le PDG Mark Zuckerberg n'annonce des mesures encore plus strictes, qui incluent la suspension permanente de son compte pour au moins jusqu’à la fin de son mandat à la Maison-Blanche.

    Selon Reuters, DDoS-Guard a travaillé avec d'autres sites racistes, de droite et de conspiration qui ont été utilisés par des meurtriers de masse pour partager des messages, dont 8kun. Il a également soutenu des sites du gouvernement russe. Le site Web de DDoS-Guard indique une adresse en Écosse sous le nom de la société Cognitive Cloud LP, mais celle-ci appartient à deux hommes à Rostov-on-Don, en Russie, a déclaré Guilmette. L'un d'eux a récemment déclaré au Guardian qu'il n'était pas au courant de tous les contenus que la société facilite.

    Parler pourrait être de nouveau disponible d’ici fin janvier

    Les critiques de Parler ont dit que c'était un risque potentiel pour la sécurité que de dépendre d'une société russe, ainsi qu'un choix étrange pour un site populaire avec des patriotes autoproclamés. La propagande russe a alimenté les divisions politiques aux États-Unis, en soutenant le président américain sortant Donald Trump et en amplifiant les faux récits sur la fraude électorale, mais aussi les protestations contre la brutalité policière.

    Alors qu’une cyberattaque sophistiquée avait touché les principales agences fédérales des États-Unis en décembre et pendant que les experts en cybersécurité ainsi que certains officiels de la Maison-Blanche, y compris le secrétaire d’État Mike Pompeo, accusait les acteurs liés à la Russie comme étant à l’origine de l’attaque, le président Trump a cherché à disculper la Russie.

    Trump, dans ses premiers commentaires sur une violation généralisée des données au sein du gouvernement américain, a d’abord minimisé la campagne de cyberespionnage et s'est demandé si la Russie était à blâmer comme le prétend son propre diplomate de haut niveau. Les commentaires de Trump ont remis en cause les experts qui considèrent l’attaque comme le travail des services de renseignements russes et ont pris la Maison-Blanche au dépourvu. Trump a plutôt suggéré l'implication de la Chine et a aussi supposé une attaque contre des machines à voter.

    Parler a été définitivement mis hors ligne la semaine dernière lorsque son fournisseur de service Cloud AWS a déconnecté ses serveurs après une mise en demeure donnée le samedi 9 janvier, signifiant que la plateforme entière de Parler serait mise hors ligne, à moins que la société ne revoie ses règles de modération ou qu’elle ne trouve un nouveau service d'hébergement dimanche. Parler, qui a révélé avoir plus de 12 millions d'utilisateurs, a poursuivi Amazon lundi suivant après que le géant du commerce électronique avait coupé le service.

    Dans une mise à jour de lundi, Parler.com a fait le lien avec une interview de Fox News dans laquelle Matze a déclaré qu'il était « confiant » que Parler reviendrait à la fin du mois de janvier. « Je suis convaincu que d'ici la fin du mois, nous serons de retour », a déclaré Matze à Fox News lors d'un entretien téléphonique dimanche soir. « Chaque jour, cela change radicalement, mais je suis confiant maintenant », a-t-il dit. « Nous faisons des progrès significatifs. Quand vous allez sur Parler.com, il n'y a plus de vide, il y a un serveur et il ne renvoie qu'une seule information ».

    Dans la mise à jour sur le site de Parler on peut lire : « Notre retour est inévitable grâce à un travail acharné et à une persistance contre toute attente. Malgré les menaces et le harcèlement, pas un seul employé de Parler n'a démissionné. Nous devenons plus proches et plus forts en tant qu'équipe », a déclaré Matze. Parler signe-t-il un grand retour loin de la portée des partenaires qui l’ont interdit ?

    Sources : Ronald Guilmette, Parler

    Et vous ?

    Que pensez-vous du retour de Parler ?
    Pensez-vous aussi que c'est un risque potentiel pour la sécurité que Parler dépende d'une société russe ?

    Voir aussi :

    Amazon, Apple et Google coupent l'accès au réseau social Parler, l'application sera mise hors ligne, à moins qu'elle ait trouvé un autre hébergeur jusqu'à dimanche
    Tim Cook défend la suspension de l'application Parler : « Nous ne considérons pas cela comme de la liberté d'expression ». Parler reviendra sur l'App Store « s'ils reprennent leur modération »
    Bumble, Tinder, Match et d'autres applications de rencontre bannissent les comptes des émeutiers du Capitole, notamment des comptes qui ont été signalés par d'autres utilisateurs
    Trump minimise le piratage russe dans ses premiers commentaires sur la violation massive, suggère l'implication de la Chine, et suppose une attaque des machines à voter
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  17. #157
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    Citation Envoyé par pierro78 Voir le message
    (désolé si cela est deja passé ) l ancien député libertarien "pro peace" Ron Paul bloqué aussi sur facebook : https://twitter.com/RonPaul/status/1348694943905308672 (article : https://www.zerohedge.com/technology...ut-suppressing )
    je suppose qu il y a d autres personnes connues qui ont ete aussi bloquees ??
    Des centaines, voir des milliers. Quand on a mis le doigt dans l'engrenage du politiquement correct, c'est comme un cancer, on ne peut s'en débarasser autrement qu'avec des rayons, il suffit de voir ce qui est arrivé à la fondation Mozilla.
    Pourtant on ne peut pas dire que Ron Paul soit un extremiste, plutôt un libertarien et un des rares élus a avoir voté contre la guerre en Irak, ce qui le classe d'office dans la catégorie honorable. Nous avons donc la démonstration que les main stream médias d'internet et leurs alliés ont pour projet de détruire la république, ou comme le dit le même Ron Paul, war on terror has come home.

    Même le président mexicain Andrés Manuel López Obrador pourtant classé bien à gauche, compare désormais les médias sociaux américains à l'inquisition espagnole, qui a laissé un assez mauvais souvenir dans les pays latins :
    https://apnews.com/article/donald-tr...&utm_medium=AP

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    Et puisqu'on nous demande notre avis, nous n'avons aucun doute sur le rôle qu'aurait joué cette Amanda Spataro lors de la guerre d'indépendance de 1775 ou de l'occupation de la France. Elle aurait recu une médaille de la Kommandantur pour avoir dénoncé des terroristes.
    La joie de l'âme est dans la planification -- Louis Hubert Liautey

  18. #158
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  19. #159
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    Je pense qu'on a également une espèce de glissement quand on voit les fortunes de ceux qui dictent le politiquement correct. Avant ces mêmes boites se seraient marrées des faibles qui n'avaient pas leur puissance etc.. et puis est venu le greenwashing, le pinkwashing; du coup ça a aussi amené des opportunités à des activistes qui sans ça auraient finis au mc do, avec le pendant derrière car ce sont bien souvent les Community managers. Du coup on a eu une espèce de collapse de la structure, ces entreprises sont des monopoles bien souvent, elles veulent afficher cette image d'un côté mais en même temps si elles contraignent les autres à voir par leur image c'est encore plus bénéfique pour elles. Du coup on a cette participation/influence à une dictature du "bien", avec double casquette très dangereuse. Au final sans que la masse ait conscience on se dirige tranquillement vers une uniformisation de la pensée en fait, la fin de l'individu en lui même qui pense par lui même, se démarque de l'autre. Même ceux qui veulent avoir le énième genre à la mode répondent au final à l'appel d'entrer sous une labellisation, car le but du genre à la base était de dégager des groupes majeurs, avec des tendances... à l'arrivée on ne demandait pas non plus à rentrer sous le label avec un cahier des charges. Et en même temps sans cette labellisation de groupe de genre, s'il y a autant de genres que d'individus en fait à l'arrivée c'est tout simplement que le genre en lui même n'existe pas puisque son but est de dégager des groupes.

    En passant si je devais faire le tour de tout ce qui trotte dans ma tête déjà je trouve que Jessica Rabbit est super biiipp donc je suis toonosexuel (enfin c'est un autre nom mais bref), je suis sapiosexuel (sauf qu'en fait ça a dicté mes choix amoureux, pas mes choix de partenaires sexuels), j'ai diverses tendances fétichistes sans y être non plus soumis (comme beaucoup en fait). Au final je serais plus un blob qu'il faudrait étirer pour le faire rentrer dans toutes ces boites, alors qu'en fait je suis simplement hétéro et derrière c'est selon mon humeur du jour. Mais c'est pas vendeur, le concept que ces entités ont compris c'est que créer une identité de genre au travers de tout ça allait permettre de faire du placement de produit, donc elles y tiennent. Quand des gens pensent qu'il suffit qu'une icone représentant tel genre achète tel produit ,soit dans telle série pour qu'ils emboitent le pas, pour une firme c'est du pain béni. Donc ça explique pas mal pourquoi derrière d'une part laisser ce pouvoir est dangereux et d'autre part pourquoi on atteint de telles dérives.

    Avant on se mêlait, maintenant le but est d'être au maximum dans l'entre soi incapable de souffrir la moindre frustration ou la moindre contestation. Et je dis bien la moindre, ne pas accepter un clash etc.. je comprends, j'en ai trop fait les frais aussi pour l'apprécie et c'est devenu pas mal un mode de communication de nos jours, mais là il suffit de dire bleu outremer au lieu de dire bleu lavande et ça part en crise. Enfin bref je ne sais pas si j'ai réussi à transmettre avec fidélité le fond de ma pensée, ça parait bien light couché sur papier, mais voilà je pense qu'en fait on a guetté des boites comme Marlboro ou Monsanto et on se prend par la "gauche" d'autres auxquelles on ne s'attendait pas trop et qui ne valent pas mieux en fait, pire car en fait en avançant masquée elles sont plus compliquées à contrer. J'ajoute aussi que les médias avaient les boules car par les RS on faisait de nouveau transiter l'information, avec le concept de fake news des médias couplés aux démarches de ces réseaux on voit de nouveau ce contrôle. Je le vois car je fais le ménage, j'avais vu un "fake news" sur une étude d'une directrice du CDC dont j'avais publié l'article sur ma page, mais je m'aperçois plus loin en 2018 que Facebook a modifié une de mes publications suite à une étude portant sur des effets secondaires de l'hépatite B, durant des années des gens se sont plaints de certaines maladies survenues après, il s'est avéré qu'une étude a montré qu'un des effets secondaires pouvaient en effet être imputable à ce vaccin (après ça ne veut pas dire non plus que c'est du 100%, c'est juste qu'ils ont des effets secondaires certains très rares et que ça tombe parfois sur quelqu'un) or s'il y a des antivaxx acharnés, dire que les vaccins sont totalement safe c'est un mensonge, comme les médicaments d'ailleurs. Il y a toujours des effets secondaires, j'en ai pris des violents qui pouvaient amener à une rupture du tendon d'Achille il était conseillé de ne faire aucun sport... Simplement dans l'étude on pèse le mauvais face au bon, on mesure les probabilités qu'un effet secondaire grave arrive.. ça c'est de la science. Et sans ça il n'y aurait pas ou prou de médicaments, mais d'un coup on se met à laver très blanc les labos. D'ailleurs je fais partie des gens qui ont autre chose à faire que de se méfier des médocs, j'ai hashimoto une hypothyroidie normalement génétique que personne n'a dans ma famille et pourtant avec tests on a bien vérifiés la filiation... Ca fait un gros cumul de probabilités étranges et à l'arrivée alors que je prenais tranquillement mon Lévothyrox et que je remontais la pente un mois d'Aout en vacances je me suis mis d'un coup à me trainer comme une larve, les prises de sang ont été de plus en plus mauvaises, l'état se dégradait très vite au point que je suis passé à peu de l'hospitalisation. Et ma dernière chance était un générique Allemand que j'ai réussi à me procurer, mon médecin m'avait laissé duex semaines, sans que ça soit fulgurant c'était un poil mieux donc sous surveillance j'ai changé mon traitement et il est celui que je prends. Bien sûr c'était fake news, des médecins qui ne connaissent rien sur l'endocrino ce n'est pas à leur programme, mon traitant me l'a bien expliqué de même que mon endocrinologue se sont permis de parler etc etc. Deux ans plus tard une étude en Afrique qui n'étais pas à la base portée là dessus montrait que la nouvelle formule ne passait pas chez certaines personnes à cause du ph de leur estomac qui variait comparé à la moyenne. Bref désolé je me disperse... donc sur cette étude sur le vaccin contre l'hépatite B (que j'ai fait aussi) FB me colle information partiellement vraie et me balance un fact check du monde accolé, donc en fait ils s'autovalident les uns les autres, sachant que ni FB ni le monde n'a de chercheurs, que ma source est quand même une revue scientifique connue et sérieuse. Alors que j'ai pu en revanche épingler le monde et libé qui publiaient du fake, le monde en avait fait d'ailleurs un beau dès 2005 avec une affaire gare du nord. Alors derrière on comprend mieux pourquoi FB et Twitter ne sont psa mis comme responsables par ces médias, alors qu'ils savent très bien épingler des réseaux moins connus quand il y a un terroriste qui passe à l'action (islamiste ou pas), en fait ils s'arrangent les uns les autres et je suis sûr qu'en grattant on va trouver pourquoi... déjà on sait que lorsque l'Australie a voulu faire payer Google pour rémunérer les médias ça a ch... Et pourtant en effet (et j'étais contre cette taxe mais maintenant que je vois quelle orientation tout ça prend, je suis pour) Google se fait du fric par les recherches que génère l'actualité. Et il doit y'avoir des deals locaux pour certains journaux qui vont se charger de démolir un réseau social concurrent en collant la trouille. Ca doit faire une semaine que je suis sur gab je n'ai pas vu le poil d'un néo nazi, je n'ai été agressé par personne alors que le moindre post me vaut des heures d'emmerdes (alors même que je suis pour la cause animale, gay friendly, pro avortement, etc... qu'est ce que ça serait sinon)

    Bref il y a encore de quoi gratter, pour moi on a un beau Katamari qiu s'est formé.

  20. #160
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