Ou c'est juste un exemple de craquage de plomb suite à la situation actuelle: confinement, trop de télétravail de garde d'enfants...
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Oui
Non
Je ne sais pas
Ou c'est juste un exemple de craquage de plomb suite à la situation actuelle: confinement, trop de télétravail de garde d'enfants...
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Cordialement.
Haha totallement, car le message initial etait pourtant clair.
Donc c'est pas un Yakafaucon, visiblement el_slapper, n'est pas dans les bonnes conditions pour teletravailler. Mais personne n'a dit ici que le teletravail etait compatible avec la garde d'enfant...si vous êtes dans de bonnes conditions pour télétravailler, quel est le point bloquant? Et bien, vous !
Je prêche pour le télétravail depuis 20 ans, les entreprises devraient arrêter d'investir dans des immeubles de bureaux hors de prix et polluant en plein centre ville. Il suffit de proposer à chaque salarié une dotation afin qu'il puisse s'équiper en matériel informatique ce qui serait une goutte d'eau comparés aux couts actuels, de former ensuite les managers à faire du management enfin leur vrai métier ... et mettre le paquet dans les outils de visioconférence et le haut débit.
En plus étant informaticien le télétravail est parfaitement adapté au travail seul et en équipe, on est plus performant chez soi car fini les pauses à tout bout champ les collègues bout en train qui vous déconcentrent, le bruit assourdissant du sacro saint open space bref que des avantages et puis je choisi mes horaires de travail, si j'ai envie de faire une sieste après le déjeuner ? Pas de pb je préfère travailler entre 20h et minuit le créneaux où je suis le plus productif.
J'espère que le télétravail sera la norme et le travail au bureau l'exception.
Cette crise est une opportunité pour basculer enfin dans le management du 21 ème siècle.
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La période actuelle n'est pas représentative de ce qu'un vrai télétravail 100% serait. Car en plus de boulot, il faut s'occuper de ses enfants (ce qui n'est pas une mince affaire), d'éventuellement certaines tâches ménagères qui étaient déléguées (aides-ménagères, ...).
Donc même en se projettant sur une période où les enfants retournent à l'école, où les grands-parents sont de retour pour une aide logistique, où les aides-ménagères sont de retour pour un délégation de certaines tâches, alors oui, davantage télétravailler, pourquoi pas. Mais l'efficacité (pour les middle-manager et les managers) du télétravail n'est pas exceptionnelle. Donc mais réponse est plutôt non.
Je pense que ça marche avec une équipe de 10'. Quand tu bosses, avec 50 collègues sur un même projet, et que tu bosses sur 5-6 projets en même temps, ça ne marche pas.
Le full télétravail, c'est surtout ne plus pouvoir avoir de discussions informelles à la machine à café, ne plus apprendre des choses importantes au détour d'une conversation, c'est devoir planifier toutes les discussions dans l'agenda (pour être sur que les gens seront dispo à ce moment), ... (mon agenda, c'est des réunions de 30' de 9:30 à 17:30).
Le full télétravail, ce sont des réunions peu efficaces, parce qu'on ne se voit pas, pcq on perd tout le langange non verbal, pcq il n'y a pas de flipchart pour dessiner ce point qu'on n'arrive pas à formuler verbalement.
Ma productivité est en chute libre depuis que nous sommes tous en télétravail.
Personellement, je pense que nous sommes dans une situation embarassante pour la planète. Les scientifiques le disent nous sommes en Urgence climatique. Le télétravail (partiel) devrait être la norme. Dans la ville ou je travail (Toulouse), on est tous comme des c*** dans nos voitures le matins à avançer à 20km/h et à polluer, pour, pour certains se retrouver derrière un Ecran pour bosser ...
Donc moi je dit un Grand Oui et c'est urgent
La croissance infinie dans un monde fini n'est pas possible (Aurélien Barrau)
Moi je suis contre.
Trop de pleurnichards "Ha, mais moi je vais pas vivre dans une cage à lapin dans une mégalopole à me taper 45 minutes avec des gens qui font la gueule, moi si j'ai pas un jardin, 150m² et un chien par habitant de ma maison je refuse ; ouin ouin je comprends pas pourquoi je trouve pas de taf dans ma campagne juste à côté de ma ferme, lui il bosse à la Défense et il gagne 75K je devrais avoir droit à la même chose en télétravail ! "
Chacun choisit sa merde !![]()
[TROLL OFF]
... A mois l'avalanche de pouces rouges !![]()
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- So.... what exactly is preventing us from doing this?
- Geometry.
- Just ignore it !!
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"The longer he lived, the more he realized that nothing was simple and little was true" A clash of Kings, George R. R. Martin.
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Quand arrivera l'apocalypse, il restera deux types d'entreprise : les pompes funèbres et les cabinets d'audit. - zecreator, 21/05/2019
Êtes-vous pour le télétravail en permanence ou au moins pour l’approche hybride après la pandémie ?
Une série d’études prédit des vagues de démissions dans les entreprises après les confinements
Une série de nouvelles études prédit des vagues de démissions dans les entreprises après les confinements. Le dénominateur commun entre celles-ci réside dans l’une des raisons mises en avant par les participants à ces sondages : l’envie de demeurer en télétravail en permanence ou au moins sur l’approche hybride après la pandémie. Se dirige-t-on vers un avenir avec la formule mixte travail à distance – présentiel comme standard ?
Dans le cadre de l’enquête de Prudential Beneficial qui porte sur un échantillon de 1046 participants américains, 87 % sont désireux de poursuivre en télétravail à minima 1 jour dans la semaine. 73 % sont d’avis que les employeurs doivent continuer d’offrir et même étendre les options de travail à distance. 42 % de ce lot sont prêts à quitter leur emploi si l’option télétravail ne leur est pas offerte sur le long terme.
Ces chiffres s’alignent avec ceux d’un sondage de Microsoft sur un échantillon mondial de 31 000 employés disséminés dans 31 pays. « Le fait de pouvoir travailler à distance a ouvert de nouvelles possibilités pour de nombreux travailleurs. Si l’on n'a plus besoin d'être physiquement présent dans un bureau, l’employeur peut, en théorie, être situé n'importe où. C'est peut-être pour cette raison que 41 % des employés envisagent de quitter leur employeur actuel cette année », indique l’entreprise américaine. Les résultats de son enquête laissent penser que les employeurs pensent à s’arrimer à ce qui est susceptible de s’imposer comme le standard du post pandémique. En effet, 73 % des participants au sondage sont désireux de voir les options flexibles de télétravail demeurer et 66 % des décideurs pensent à aller dans ce sens.
Un sondage sur développez.com a révélé que la majorité, soit 56,57 %, des votants sont pour rester en télétravail de façon permanente après la crise. C’était une espèce de redite du positionnement des travailleurs de divers pays qui ont exprimé leur faveur à l’approche télétravail. Les données plus récentes à disposition font état de ce que ce sera la formule mixte à défaut de télétravail à permanence. Un élément additionnel est de nature à concourir à cet état de choses. Selon une récente étude d’Ivanti sur un échantillon de plus de 1000 travailleurs, près des deux tiers (63 %) des personnes interrogées ont déclaré qu'elles préféraient travailler à distance plutôt que d'être promues et près de la moitié (48 %) ont déclaré qu'elles accepteraient une baisse de salaire en échange de la possibilité de travailler de n'importe où. Pour confirmer la tendance, seuls 12 % des répondants ont déclaré vouloir retourner dans un bureau à temps plein à l'avenir.
D’une étude à l’autre, les avantages mis en avant en faveur du volet télétravail reviennent : horaire de travail flexible, moins de stress lié au trajet, des économies et un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. D'un autre côté, les principales préoccupations sont la diminution des mouvements physiques au cours de la journée, le manque d'interaction avec les collègues, la fatigue de l'écran et l'impossibilité de collaborer ou de communiquer efficacement.
C’est un équilibre à trouver comme le résume Microsoft dans son étude : « Nous ne pouvons plus compter uniquement sur les bureaux pour collaborer, se connecter et construire un capital social. Mais le contact physique demeurera important. Nous sommes des animaux sociaux et nous voulons nous réunir, échanger des idées et ressentir l'énergie des événements en personne. À l'avenir, les espaces de bureau doivent faire le lien entre les mondes physique et numérique pour répondre aux besoins uniques de chaque équipe – et même de rôles spécifiques. »
Sources : Microsoft, Prudential (pièce jointe)
Et vous ?
Que pensez-vous de ces tendances ? Sont-elles cohérentes avec la réalité dont vous êtes au fait ?
Voyez-vous la formule mixte s’imposer comme standard après la pandémie ?
Pour quelles raisons aimeriez-vous (n'aimeriez-vous pas) rester en télétravail ?
Voir aussi :
Microsoft autorise ses employés à travailler à domicile, alors que la nouvelle épidémie de coronavirus continue de se propager dans les pays du monde entier
En Chine, le coronavirus force la plus grande expérience de travail à domicile au monde, le télétravail semble être la seule solution dont disposent les entreprises
Coronavirus : après avoir recommandé le travail à domicile, Twitter demande à ses employés de travailler chez eux. Une mesure adoptée par les grandes enseignes de la tech comme Google
La crise du coronavirus : un afflux massif vers le travail à domicile crée une opportunité pour les pirates informatiques, selon des experts en cybersécurité
Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités
Aux USA les gens ont peut-être tendance à vivre loin de leur travail.
En même temps, quand t'es en couple, c'est compliqué de trouver 2 jobs à proximité du domicile.
Et ça fait chier de devoir déménager à cause du travail (surtout aux USA où les gens peuvent se faire muter à 3000 km).
Oui parce que la plupart du temps ça ne sert à rien d'être présent physiquement, c'est pas tous les jours que toute une équipe travaille sur le même tableau blanc. (et au pire ça existe sur Teams il me semble, il faudrait que tout le monde s'équipe de tablette graphique et on serait bon)
Le télétravail permet de réduire le stress, augmenter la productivité, gagner du temps.
2, 3 jours chaque semaine pour ceux qui le veulent ce serait la moindre des choses.
En plus comme l'entreprise va faire des économies sur les locaux, peut-être qu'elle pourra augmenter les travailleurs.
Keith Flint 1969 - 2019
Je ne vois pas bien l'intérêt pour l'entreprise d'embaucher des téletravailleurs à 100% et vivant à plusieurs centaines de kilomètres du bureau. Dans ce cas, mieux vaut faire appel à des freelances ou sous-traiter dans les pays de l'est (où on trouve des travailleurs très compétents).
Quant à une vague de démissions, je n'y crois pas une seule seconde en France. Le marché de l'emploi en Province étant ce qu'il est, les salariés de société franciliennes qui ont déménagé en Province à la faveur du confinement ne vont pas démissionner en bloc au risque de ne rien trouver dans leur nouvelle région. Et même s'ils cherchent un nouvel employeur basé en Île-de-France, le 100% télétravail ne va pas être facile à vendre.
Le cas de la tech américaine est un peu particulier. Les employés y sont traités comme des mercenaires. Il arrive fréquemment que les entreprises licencient des divisions entières. Autant dire qu'elles ne sont pas très attachées à leurs collaborateurs. Voilà pourquoi le 100% télétravail + nomadisme ne les gênent pas outre-mesure.
Ouais c'est vrai qu'il y a peu de chance que ça arrive.
A moins qu'il y ait un boom du télétravail à l'international, les ingénieurs qui réussiront à trouver un travail mieux payé démissionneront.
Il y aura peut-être des gens qui travailleront pour des entreprises Suisse mais qui vivront en France. Et là c'est le jackpot, là t'es blindé de thune comme c'est pas permis.
Ou sinon travailler pour une entreprise qui se trouve dans une grande ville Française en vivant dans un petit village paumé. Un salaire de parisien c'est pas mal non plus.
Keith Flint 1969 - 2019
Un mode mixte serait parfait : 3 jours de télétravail seraient bien. Mais je ne me fais pas d’illusion. Le télétravail c’est entre 20h et 23h30 pour dépanner une chaine plantée![]()
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
Emploi : 64 % des travailleurs envisagent de démissionner si on leur demande de retourner au bureau à temps plein
Dans un contexte où les entreprises multiplient les appels au retour sur les sites
C’est l’un des résultants les plus marquants d’un récent sondage sur un échantillon mondial de 32 000 travailleurs disséminés dans divers pays : 64 % des travailleurs envisagent de démissionner si on leur demande de retourner au bureau à temps plein. C’est une espèce de redite. En effet, les sondages s’enchaînent et la tendance qui se dégage de façon claire est que les employés ne veulent plus du bureau à temps plein, ce, même s’il faut accepter une baisse de salaire.
52 % des employés au sein cet échantillon mondial de 32 000 travailleurs disséminés dans divers pays du monde envisagent d’accepter une baisse de salaire pour éviter de retourner au bureau à temps plein.
Ce sondage fait suite à celui de GoodHire qui révèle que les travailleurs des États-Unis seraient prêts à renoncer à beaucoup de choses pour demeurer sur la formule travail à distance. De l'enquête de GoodHire, il ressort que plus des deux tiers (68 %) choisiraient le travail à distance plutôt que le travail dans un bureau. 61 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles seraient prêtes à accepter une baisse de salaire en échange de la possibilité de travailler à domicile de façon permanente. Certains ont même suggéré qu'ils sacrifieraient jusqu'à 50 % de leur salaire actuel pour le faire. Néanmoins, le lot le plus important s’est positionné pour une baisse de salaire maximale de 10 %.
Les salaires ne sont pas la seule chose à laquelle les employés sont prêts à renoncer en échange du travail à distance. 70 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles renonceraient à des avantages tels qu'une assurance maladie, dentaire ou visuelle, des congés payés, des abonnements à des salles de sport, etc.
45 % des participants à l'enquête ont déclaré qu'ils quitteraient immédiatement leur emploi ou commenceraient à chercher un nouvel emploi à distance s'ils étaient contraints par leur employeur à retourner au bureau à plein temps.
Grosso modo, les participants au sondage ont fait montre d’une envie de demeurer en télétravail de façon permanente ou au moins sur l’approche mixte après la pandémie.
Cette enquête fait suite à un sondage sur developpez.com qui a révélé que la majorité, soit 56,57 %, des votants sont pour rester en télétravail de façon permanente après la crise.*Une autre enquête publiée par OnePoll en collaboration avec GoTo mettait en avant des tendances similaires. Le sondage réalisé auprès de 1000 employés de bureau aux USA, 250 employés de bureau en Inde, au Royaume-Uni, au Brésil et en Allemagne, 125 employés de bureau en Australie et 125 employés de bureau en Nouvelle-Zélande avait révélé que :
- 48 % étaient prêts à accepter une baisse de salaire pour rester en télétravail ;
- 77 % des répondants estimaient que la formule télétravail est le meilleur moyen d’aider l’environnement en raison d’une baisse importante des trajets domicile-travail.
D’une étude à l’autre, les avantages mis en avant en faveur du volet télétravail reviennent : horaire de travail flexible, moins de stress lié au trajet, des économies et un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. D'un autre côté, les principales préoccupations sont la diminution des mouvements physiques au cours de la journée, le manque d'interaction avec les collègues, la fatigue de l'écran et l'impossibilité de collaborer ou de communiquer efficacement.
Et vous ?
Que pensez-vous de ces tendances ? Sont-elles cohérentes avec la réalité dont vous êtes au fait ?
Êtes-vous en télétravail ? Accepteriez-vous une diminution de votre salaire pour y rester après la pandémie ? Que pensez-vous de l’approche travail à distance de façon générale ?
Source : ADP research
Voir aussi :
Microsoft autorise ses employés à travailler à domicile, alors que la nouvelle épidémie de coronavirus continue de se propager dans les pays du monde entier
En Chine, le coronavirus force la plus grande expérience de travail à domicile au monde, le télétravail semble être la seule solution dont disposent les entreprises
Coronavirus : après avoir recommandé le travail à domicile, Twitter demande à ses employés de travailler chez eux. Une mesure adoptée par les grandes enseignes de la tech comme Google
La crise du coronavirus : un afflux massif vers le travail à domicile crée une opportunité pour les pirates informatiques, selon des experts en cybersécurité
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Avec les 90% de managers qui sont furax que le plein temps présentiel en soit pas redevenu la norme, ça va charcler sévère.
Moi je m'en fous, je préfère bosser au bureau, mais je comprends très facilement que les gens qui doivent faire Lodève-Pérols ou Beaumont-sur-Oise-Courbevoie tous les jours aient une opinion différente de la mienne. D'ailleurs, si j'habitais encore Taverny, j'aurais sans doute moi-même une opinion différente. ça va charcler parce que maintenant que les gens ont gouté à la liberté de choisir (fut-ce dans mon sens), ils ne vont plus vouloir la lâcher.
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
Les managers sont des nuisibles. On connait le sort des nuisibles.
La guerre est ouverte entre les salariés épris de respect et de liberté contre les managers-terroristes.
Dans le monde de l'entreprise leur sort est, malheureusement, trop souvent une promotion/mutation.
Quelques anecdotes amusantes :
- Quand j'étais encore en école d'ingé, le responsable de mon parrain lui dit qu'il ferait mieux de quitter l'entreprise s'il veut évoluer "On a besoin de gens compétents dans les postes opérationnels, donc les compétents ne montent pas".
- Dans cette même école un nouveau directeur des études arrive, il annonce les changements d'organisation qu'il va faire (dont le changement des modalité de validation d'une année qui condamne certains étudiant à l'exclusion de l'école), il déclenche en 2 jours une grève des profs et des élèves. Deux semaines plus tard on nous annonce qu'il est placé à un autre poste (et qu'au passage il a grimpé dans la hiérarchie de l'école)
- Quand j'étais sous traitant j'ai eu un gros différent avec mon manager, dans un premier temps j'ai le soutien de notre hiérarchie qui profite de l'occasion pour resserrer la vis à certains managers. Puis soudainement, je me prends en shit storm de ce même soutien, je me fais licencié quelques semaines plus tard, mon manager est soutenu par la hiérarchie sur les points de désaccord que nous avions, une bonne partie de son équipe démissionne dans la foulée. Ils se font remplacés bien vite et le manager se retrouve avec des équipes bien plus dociles à sa botte.
Ces trois expériences ont fondamentalement changé le travailleur que je suis devenu parce que les nuisible ont un rôle primordial dans l'organisation : ceux sont des tampons bien lisses qui subissent les mécontentement des leurs équipes mais qui ne le remontent pas cette pression à leur hiérarchie.
Comment réagir face à ça? Se serrer les coudes et partir quand la situation devient trop difficile à gérer.
Nostalgie ! J'étais chez un éditeur de logiciel juridique la bas, c'était sympa ! La mer à 5 minute du taf c'est beau !!
Si seulement c'était vrai... Sur le papier il ne faudrait que des salariés. Mais force est de constater qu'il s'agit d'un des nombreux bras armé du capital. Personne ne veut disparaitre : si mon n+1 disparait, j'aurais envie ensuite que le n+2 disparaisse ! Et puis ensuite pourquoi mon boss boss prend les dividende que je lui ai durement fait gagner ? J'adore Mélenchon, j'ai voté pour lui, mais je crois pas que la fin de l'actionnariat soit pour bientôt même si je pense que c'est bien sur la part des revenus du capital qu'il faut faire augmenter les salaires et pas en juant sur le temps de travail ou des trucs encore plus c***Les managers sont des nuisibles. On connait le sort des nuisibles.
La guerre est ouverte entre les salariés épris de respect et de liberté contre les managers-terroristes.
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