- Je vous préviens, ne rentrez pas, c'est une vraie boulangerie ici.
- Heu, une boucherie vous voulez dire ?
- Non, une boulangerie. Vu le nombre de quiches !
- Je vous préviens, ne rentrez pas, c'est une vraie boulangerie ici.
- Heu, une boucherie vous voulez dire ?
- Non, une boulangerie. Vu le nombre de quiches !
- So.... what exactly is preventing us from doing this?
- Geometry.
- Just ignore it !!
****
"The longer he lived, the more he realized that nothing was simple and little was true" A clash of Kings, George R. R. Martin.
***
Quand arrivera l'apocalypse, il restera deux types d'entreprise : les pompes funèbres et les cabinets d'audit. - zecreator, 21/05/2019
Mais ça permet de se sentir bon dans son domaine ça n'est pas négligeable !
Au royaume des aveugles les borgnes sont rois
C'est surtout désespérant pour les mecs qui arrivent à capter le minimum . J'espère que les bullshits jobs style Data Analyst de mes 2 vont sauter (voir mieux virer les vieux planqués en interne mais je rêve) et ça fera plus de bifton pour nous les techos mais je rêve un peu trop
Arrête, je suis data analyst.. laisse moi de l'avoine stp
Il y a à manger pour tous vu le pognon que gagnent les multinationales du CAC..
Hazut, c'est un bullshit job data analyst ? Crotte, moi qui croyais que c'était un vrai job... d'après eux.
Bon bah, yapluka se former dessus...
Moi j'avais misé sur le machine learning mais j'ai toujours pas réussi à faire ma descente de gradient en python... en fait j'ai rien compris à la descente de gradient... ni même ouvert anaconda.
- So.... what exactly is preventing us from doing this?
- Geometry.
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"The longer he lived, the more he realized that nothing was simple and little was true" A clash of Kings, George R. R. Martin.
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Quand arrivera l'apocalypse, il restera deux types d'entreprise : les pompes funèbres et les cabinets d'audit. - zecreator, 21/05/2019
Si j'ai pigé le job du Data Analyst, il est là pour faire le reporting de la BI ou du Big Data et proposer des indicateurs pertinents. Si c'est fait correctement pourquoi pas. Pour les business Analyst c'est déjà plus chaud.
En fait et puis merde je suis blasé de partout vivement que je trouve un plan pour me casser de l'IT .
On peut même plus aller picoler dans les bars grrrr
C'est pas le data analyst qui se chargera du tableau de bord de la carte de la France avec les départements en rouge ou en vert sur le covid ?
Tant de recul sur ses expériences et tellement bien exprimé, je baisse mon chapeau bien bas (je n'en porte pas, j'ai encore des cheveux, mais c'est pour l'idée).
Ca fait 2ans que je suis sur un (gros) projet et que je réclame les entrants business, j'ai même dépassé mon job en allant moi-même voir les métiers, les responsables d'applications et de référentiels et en proposant au projet ce qu'il faudrait faire, comment le faire et le process macro associés (oui oui, j'ai même fait une mind map avec les clés externes et des jointures de BDD qu'il faudrait pour avoir les infos métiers dont j'ai besoin et une ébauche de process pour les métiers pour ajouter les données manquantes).
2ans après et plusieurs dizaines de réunion à réclamer et expliquer la même chose....rien, toujours rien. Nous en sommes à la fin du prototype technique, tout est calé techniquement, nous avons toutes les fonctionnaités que j'ai selectionné par rapport à ce que je sais du besoin, mais aucun service (pas de besoin donc je fourni quoi ?), aucune cible ni aucun process de refacturation interne et encore moins d'évaluation du bénéfice/coût possible.
Et tout le monde s'envoie des mails "félécitations" à chaque étape technique franchi et moi je suis là : "Heu, y'avait rien de compliqué là ? S'en est où mes entrants Business ?"
Alors je ne sais pas si la vérité c'est qu'il faut juste prendre le frique et faire le minimum, ce qui est sûr c'est que le plus souvent c'est le seul moyen de rester à son job sans perdre tout amour propre et sans se faire mal voir à passer pour le pessimiste de service ou pire, que d'autres équipes vous disent que c'est pas votre boulot et que vous les faites C**** (quand ils daignent répondre, faut pas déconner).
Et à la fin ça finira toujours pareil, le projet prendra l'eau, un directeur va le sabrer en disant qu'on a rien réussi à faire/produire (et il aura raison), de toute façon le directeur qui l'avait lancé n'est plus là (il est parti ailleurs prendre son +20% comme tout le monde) et le contrôle de gestion pleure que bizaremment le Business Plan n'a ni queue ni tête, mais trop balot il s'en rend compte après que le-dit directeur soit parti (quel manque de bol quand même !).
Il est parti avant, mais tu serais étonné, toutes les grosses boites d'IT du secteur sont plutôt en croissance et semblerait même que les milliardaires US de l'IT ait déjà fait +20% sur leur fortune avec la crise.
Tous les FAI et les boites fournissant des services pour le télétravail (en gros tout ce qui touche à l'informatique) sont en croissance et vont même faire des bénéfices indécents avec le chômage partiel payé par l'Etat alors que leur CA augmente...
Ceux qui sont dans la merde avec le confinement c'est les indépendants, commerçant, artisants, pas l'IT : Tu vas voir le nombre d'embauche pour mettre en place des extranets, VPN et sécurité chez toutes les boites pour se tourner vers le télétravail (le gouvernement annonce déjà que le télétravail devra rester la norme au moins jusqu'à la fin de l'année).
Attention, je parlais du directeur genre directeur commercial chez une SSII.
Le dirlo de chez Amazon évidemment je m'en fais pas trop pour lui. Mais ce genre de profil c'est pas du tout la même catégorie.
Sociologiquement, ils appellent ça "les gens du fond de la classe" aux USA, c'est eux qui font tous les jobs utiles au pays
éboueur, livreur, caissier, chauffeur de bus...
J'ai quand même un peu de chance : chez mon éditeur de logiciel américain, ils veulent des "gens qui ont déjà pris quelques coups". C'est le vocabulaire officiel. Ca permet d'éviter le syndrome de la boite unique. Ils ont même pris un gars à 8 ans de la retraite, sans sourciller, juste parce-que c'était le meilleur disponible à ce moment là. L'inconvénient, c'est qu'on a beaucoup de vieux grincheux (ou de leur équivalent féminin). Mais c'est moins pire, je dirais. A 44 ans, je suis bien en dessous de la moyenne d'âge.
Si ils sont vraiment nuls, ils ne tiendraient pas. J'en a vu un viré de 6 missions au cours de la même année, finir par gicler de sa SSII. A chaque fois, en entretien, il ressortait ses mêmes âneries sur son passage chez Accenture (je me demande si il n’était pas bidonnée, d'ailleurs, ce passage - ou si son départ de chez eux n'avait pas été aussi volontaire qu'il le disait), et les gens flashaient. La deception était grande. On avait un jeunot qui faisait en une heure ce que ce sinistre nullard ne faisait pas en 40.
Mais il y a des artistes pas plus productif que ce gars-là qui arrivent à masquer leur absolue nullité, en effet. Pas beaucoup, mais ça existe. Et oui, ils rôdent un peu partout.
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
J'avais fait hurler Neckara en osant proposer 40% (ce qui sous-entendait qu'en tant que prof, il laissait passer 40% de gnous). Maintenant, ça dépend forcément des endroits. En banque assurance, j'ai souvent été parmi les meilleurs. Ici en édition de logiciel, je suis parmi les moins bon. Ca fait relativiser. Mais oui, il y a des quiches. Surtout chez les grands comptes, qui recrutent essentiellement sur des critères relationnels.
Mon père, dans le métier depuis 1972, m'a dit plusieurs fois : "aller chercher l'information, si il le faut avec les dents, ça fait partie intégrante de ton boulot"
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
à la banque, c'est surtout de belles femmes, bien habillées... mais ça reste des quiches
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
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