Ce que vous décrivez est surtout le signe d'un système hospitalier inadapté tant en capacités qu'en fonctionnalités. Rien d'anormal quand la politique sanitaire consiste en des coupes budgétaires systématiques en fermant des lits, en tablant sur la fourniture de consommables en flux tendus, en limitant fortement la formation de personnel compétent.
Edit:
Quand à la "polémique vaccins", il y a plusieurs problèmes, en premiers lieu l'appelation vaccin qui est trop généraliste et entretien la confusion sur des succès passés réel d'une méthode de traitement médical relativement simple mais éfficace, et une technologie moderne complexe plus en rapport avec l'ingénierie génétique aux succès peu probants. En second lieu, les succès de la vaccination ne concernent que des virus ayant une faible capacité à générer des variants ; les virus qui mutent en permance comme le VIH, la grippe saisonnière et son nouveau cousin CoVID, mettent systématiquement la vaccination en échec. Un autre problème de l'actuel fanatisme vaccinal est qu'une majorité de "vaccinés" se pensent protégés alors qu'ils ne le sont que partiellement. Ils négligent les "gestes sanitaires de bases" et sont appelés, de fait, à devenir un vecteur de propagation idéal pour le virus, car quand tout le monde sera vacciné, du point de vue du virus, ce ne sera qu'une contrainte environnementale qui sélectionnera sa meilleure version infectueuse : C'est du darwinisme de base. Par ailleurs, il avait été démontré pour je ne sais plus quelle maladie, que la meilleure tactique de lutte était de laisser différentes souches émerger et de faire en sorte de favoriser la moins agressive, la plus contrôlable, pour que la population exposée s'immunise naturellement en laissant la sélection naturelle se faire ; la vaccination n'ayant pas le même pouvoir immunisant que la maladie elle-même.
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