C'est vous qui ne faites aucun sens.
Déjà, le "trajet" se rallonge petit à petit à l'échelle de l'univers (l'entropie maximale grandie au fur et à mesure de expansion de l'univers). De même cela est très certainement aussi le cas de notre planète grâce aux sources d'éléments externes qu'elle reçoit (dont de la matière et de l'énergie).
Secondement, le "trajet" passe très certainement par une étape où l'humanité risque de crever, si elle est toujours là, à la fin de vie du soleil.
Et troisièmement, ce qui en revient au second point, la durée du trajet peut être d'une durée dont l'ordre de grandeur n'est pas à l'échelle de l'humanité, de l'ordre de millions ou de milliards d'années.
Le problème qui se pose est bien celle de pouvoir atteindre les aires de repos sans tomber en panne d'essence, pas d'arriver au bout du trajet !
Si le problème est une question d'entropie, comme cela est votre position, cela sous-tend qu'il y a un "niveau" d'entropie souhaitable à atteindre/maintenir. Ce niveau pourrait être qualifié "d'idéal". Une autre manière de voir les choses, est, dans le cadre d'un exemple, de te donner un niveau d'entropie qui t'arrange, donc "idéal" pour toi.
Si cela n'a aucun sens, c'est parce que votre position, dont cela n'est que directe conséquence, n'en fait aucun.
Cf le début de ce message.
Et c'est bien pour cela que ce n'est pas un problème d'entropie, que vous le vouliez ou non.
Ah bon…
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A...3%A9_thermiqueContrairement à l'idée répandue qui fait de la Lune un « astre mort », l'astre garde une activité tectonique : il s'est refroidi suffisamment vite pour que la convection mantellique ait disparu depuis plus de 3 milliards d'années mais, a priori, pas la contraction thermique qui se poursuit24.
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