Donc changer, c'est salir?
Le concept est intéressant: on a des déferlements d'énergie tout autour de nous, en permanence: la lumière, la chaleur du soleil, la géothermie, le vent, les marées, les mouvements tectoniques, la foudre, etc... On ne sait pas tellement les utiliser. Gâchis? Parce que si on savait, ou si on le faisait davantage, quelque part on modifierait moins ce qui nous entoure qu'en creusant pour aller chercher du carbone piégé sous terre depuis des millions d'année ou en faisant fissionner des atomes. Surtout qu'à la fin, "rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme" comme disait Lavoisier dans les papillotes.
Est-ce que transformer, c'est forcément salir? N'y a-t-il pas des sources d'énergie plus propres que d'autres, dans la mesure où elles impliquent moins de transformation ?
Est-il vain de chercher d'autres sources d'énergies?
Et est-ce que quelqu'un fera payer une vignette à Bill Gates pour ses émissions d'H
2O?
Débat philosophique s'il en est, que j'espère pouvoir un jour développer sur un super yacht à hydrogène avec un verre de boisson propre et néanmoins pétillante à la main
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