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    Par défaut Un comité mandaté par le Sénat lance une campagne d’information relative à l’empreinte carbone du numérique
    Les députés veulent que les internautes puissent mesurer l’impact environnemental de l’accès au réseau
    Afin d’avoir une meilleure idée de leur empreinte carbone, grâce au projet de loi anti-gaspillage

    En France, l’Assemblée nationale a adopté plus tôt cette semaine un amendement dans le cadre d’un projet de réglementation contre le gaspillage qui pourrait à terme imposer aux opérateurs mobile et aux fournisseurs d’accès à Internet (FAI) d’informer chacun de leurs clients sur « l’empreinte carbone » de leur consommation de données suivant une méthodologie mise à disposition par l’ADEME.

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    Le jour des débats, la députée LREM Paula Forteza qui souhaitait faire comprendre le bienfondé de cette initiative législative a expliqué : « On sait aujourd’hui qu’Internet consomme plus de 10 % de l’électricité mondiale. Si Internet était un pays, par exemple, ce serait le troisième pays le plus consommateur en termes d’électricité ». Comme cela se fait déjà chez certains voisins européens (la Belgique en l’occurrence), elle a par la suite proposé la mise en place d’un dispositif qui permettrait aux internautes de « mesurer concrètement » l’impact environnemental de leur accès au réseau en mettant en relation la « quantité de données consommées » par chacun d’entre eux et « l’équivalent des émissions de gaz à effet de serre correspondant ».

    Dans son programme, Forteza qui a bénéficié du soutien de la rapporteuse, Véronique Riotton (LREM) a tenu à rappeler : « la consommation électrique du numérique n’est pas uniquement celle de nos ordinateurs et périphériques, mais aussi et surtout celle du réseau et des centres de stockage des données (datacenter). L’équation est simple : plus un utilisateur consomme de données, plus son impact sur la consommation électrique globale est important ».

    Cette réforme pourrait malgré tout s’avérer bien plus complexe à mettre en place qu’il n’y paraît, car comme l’a souligné l’Autorité de régulation des communications électroniques et des Postes (Arcep), au statut d’autorité administrative indépendante (AAI) dans un récent rapport consacré à l’empreinte carbone du numérique, la consommation électrique est intimement liée au type de connexion utilisé : 4G, ADSL, fibre...

    Sans tenir compte des box qui consomment à peu près la même chose sur un an qu’un réfrigérateur de bonne qualité ou qu’un téléviseur LCD de 80 cm allumé en moyenne 4 h/j, l’Arcep a tablé sur une moyenne de consommation de 0,6 kWh/Go pour les réseaux mobile. Pour l’Internet fixe, ce serait la technologie utilisée qui fait toute la différence, plutôt que l’usage, le régulateur assurant que la fibre consomme en moyenne trois fois moins que l’ADSL et quatre fois moins que le RTC. Sur la base des estimations correspondant à une moyenne annuelle de 80,4 Go de données (soit 6,7 Go de données par mois), l’Arcep a établi que la fibre optique consommerait 5 kWh, contre 50 kWh pour la 4G, 19 kWh pour une ligne en RTC et 16 kWh pour l’ADSL.

    Signalons enfin que les élus ont aussi adopté un autre amendement qui obligera les vendeurs à informer les consommateurs de la présence de « métaux précieux ou de terres rares » dans leurs produits, des éléments dont l’extraction et le recyclage peuvent se révéler très polluants.

    Le Sénat a déjà adopté le texte relatif à ce projet de loi « anti-gaspillage » en septembre dernier. Les députés et les sénateurs se réuniront plus tard dans le cadre d’une commission mixte paritaire, pour trouver un compromis sur les différents points de divergence résiduels.

    Source : Rapport Arcep (PDF), amendement 1, amendement 2, amendement 3

    Et vous ?

    Que pensez-vous de cette initiative législative ?

    Voir aussi

    Le Sénat emboite le pas à l'Assemblée et institutionnalise la collecte généralisée des données publiques sur les réseaux sociaux et les plateformes de vente en ligne en France
    L'Assemblée donne son feu vert à Bercy pour fouiller les réseaux sociaux à la recherche de fraudes à l'impôt, mais certains députés qualifient déjà cette initiative de liberticide
    La Quadrature du Net demande à Matignon de mettre fin à l'usage abusif de son système d'identification automatique et massive des manifestants qui utilise illégalement la reconnaissance faciale
    Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités

  2. #2
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    Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait

  3. #3
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    Sauf que d'un autre coté si on vois des serveurs inutilisés on va les utilisés en ressources de calcule pour des projets scientifiques, de recherches ou autres.
    Donc faut savoir ce que l'on veux faire, laisser des machines dormir pour pas polluer, ou utilisé toutes les ressources à notre dispositions actuellement pour avancé.

  4. #4
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    impact environnemental => mesure pour chaque foyer => ... taxe (?)

  5. #5
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    Est-ce que mesurer son impact environnemental changera les habitudes de l'utilisateur? Certainement très peu... La même chose sera t-elle faite pour les entreprises ?
    Un moyen supplémentaire de faire culpabiliser les gens sur leur mode de vie est-il efficace? Certainement pas: ils feraient mieux de voter des lois constructives...

  6. #6
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    Citation Envoyé par John Bournet Voir le message
    impact environnemental => mesure pour chaque foyer => ... taxe (?)
    Y'aurait déjà plus efficace comme interdire une machine à laver qui dépasse un seuil de consommation d'énergie et d'eau pour interdire des trucs de piètre qualité qui consomme un maximum et qui tombe rapidement en panne.
    Imposer une durée de vie bien plus longue, j'ai encore le frigo de mes grand-parents qui a plus de 50 ans et qui fonctionne toujours (avec son ampoule d'origine) il consomme moins qu'un mauvais truc chinois premier prix.

    On encourage la consommation à gogo, on empêche un élu qui fait interdire des pesticides dans sa commune, mais on tape sur un outils de communication, d'information, d’apprentissage globale
    En même temps, dans les années 60 une enquête mettait en avant des personne qui prônaient le fait que tout le monde n'avais pas besoin de lire des livres. J'ai l'impression de revoir les mêmes personnes dans le gouvernement actuel.

  7. #7
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    Citation Envoyé par John Bournet Voir le message
    impact environnemental => mesure pour chaque foyer => ... taxe (?)
    Étant en télétravail 5j/7, ça me ferait bien chier de me faire taxer.

  8. #8
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    Non mais je rêve là.

    Ils font ça pour prétendre faire de l'écologie, mais ça c'est pas de l'écologie c'est de la pseudo-écologie. On invente une loi pour faire croire qu'on s'occupe de l'écologie alors que l'impact sur l'environnement sera parfaitement nul. Et ces députés, avant de voter cette loi, sont venus à l'Assemblée avec des voitures ou des jets privés qui ont, eux, une réelle empreinte carbone, au lieu de profiter de moyens de transports en commun. Ah oui ils sont en grève à cause d'une autre de leurs conneries. C'est pas de chance.

    Au lieu de discuter s'il est préférable de couper les cheveux en 4 ou en 8, il y a de véritables avancées en écologie qui sont à prendre, mais pour ça il faut du courage, n'est-ce-pas ? Parce que taxer, ce n'est pas non plus faire de l'écologie, au fait. C'est juste prendre l'écologie comme prétexte pour remplir les caisses afin de pouvoir payer l'emploi fictif de Pénélope.

    Par exemple, des vrais mesures seraient d'interdire la fabrication et la vente des objets (quels qu'ils soient) les plus polluants, à condition bien entendu qu'il y ait de meilleures solutions déjà disponibles, et de donner des avantages tarifaires (tout le contraire de taxe) aux solutions plus écologiques. Si cela est parfois fait, cela me semble loin d'être la généralité.

  9. #9
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    Citation Envoyé par Fleur en plastique Voir le message
    Par exemple, des vrais mesures seraient d'interdire la fabrication et la vente des objets (quels qu'ils soient) les plus polluants
    Va dire ça aux youtubeurs qui se sont tous donné le mot pour vendre des t-shirts (et autre) en coton et des autocollant en plastique

  10. #10
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    Chacun peut balayer devant sa porte, y compris concernant les usages numériques... mais la consommation électrique durant l'usage n'est que la partie visible de l'iceberg.
    Il faut étudier l'ensemble du cycle de vie et prendre notamment en compte l'énergie grise.

    De plus, je pense que les seules personnes susceptibles de prendre en compte ces indicateurs sont celles qui font déjà attention.
    Et il suffit de s'informer un peu savoir ce qui pollue le plus.

    Comme la blague du fameux linky, sensé faire diminuer la consommation électrique.
    Ils ont essayé sur Lorient :-)

  11. #11
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    Citation Envoyé par Christian Olivier Voir le message
    Sur la base des estimations correspondant à une moyenne annuelle de 80,4 Go de données (soit 6,7 Go de données par mois), l’Arcep a établi que la fibre optique consommerait 5 kWh, contre 50 kWh pour la 4G, 19 kWh pour une ligne en RTC et 16 kWh pour l’ADSL.
    La fibre optique c'est le top, il faut la faire arriver dans toutes les bâtiments de tous les villages de France ! Comme dans le plan de Jeremy Corbyn au Royaume Uni (Royaume-Uni: le Labour promet une connexion internet gratuite et rapide pour tous, malheureusement ce parti n'est pas prêt de prendre le pouvoir ).

    Bon alors c'est vrai que ceux qui utilisent les technologies sans-fil gaspillent beaucoup d'énergie et que le filaire c'est toujours mieux (plus rapide, moins de ping, plus stable, plus sécurisé, moins énergivore).
    Le truc bizarre que c'est que l'UE pousse les états membres à installer des antennes 5G partout dans les grandes villes. C'est un peu hypocrite quelque part.

    Pour moi ça n'a pas de sens de regarder des vidéos en 1080p sur un smartphone, l'écran est beaucoup trop petit.
    Keith Flint 1969 - 2019

  12. #12
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    Par défaut Un comité mandaté par le Sénat lance une campagne d’information relative à l’empreinte carbone du numérique 
    Un comité mandaté par le Sénat lance une campagne d’information relative à l’empreinte carbone du numérique
    Et au projet de loi anti-gaspillage

    En décembre dernier, nous vous apprenions que les élus français voulaient que les internautes de l’Hexagone puissent mesurer l’impact environnemental de l’accès au réseau pour que ces derniers aient une meilleure idée de leur empreinte carbone. Pour ce faire, les députés avaient adopté un amendement, dans le cadre du projet de réglementation contre le gaspillage, qui pourrait à terme imposer aux opérateurs de téléphonie mobile et fournisseurs d’accès à Internet (FAI) d’informer chacun de leurs clients sur « l’empreinte carbone » de leur consommation de données suivant une méthodologie mise à disposition par l’ADEME.

    Le jour des débats, la députée LREM Paula Forteza qui souhaitait faire comprendre le bienfondé de cette initiative législative a expliqué : « On sait aujourd’hui qu’Internet consomme plus de 10 % de l’électricité mondiale. Si Internet était un pays, par exemple, ce serait le troisième pays le plus consommateur en termes d’électricité ». Comme cela se fait déjà chez certains voisins européens (la Belgique en l’occurrence), elle a par la suite proposé la mise en place d’un dispositif qui permettrait aux internautes de « mesurer concrètement » l’impact environnemental de leur accès au réseau en mettant en relation la « quantité de données consommées » par chacun d’entre eux et « l’équivalent des émissions de gaz à effet de serre correspondant ».

    Le Sénat avait déjà adopté le texte relatif à ce projet de loi « anti-gaspillage » en septembre dernier. Le programme prévoyait par la suite que les députés et les sénateurs se réuniraient plus tard dans le cadre d’une commission mixte paritaire afin de trouver un compromis sur les différents et nombreux points de divergence résiduels.

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    Récemment, un comité interne mandaté par le Sénat (la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat) a lancé une campagne d’information relative à « l’empreinte carbone du numérique » et au projet de loi « anti-gaspillage ». Cette mission devrait durer au moins « jusqu’à la fin du premier semestre 2020 » et s’attèlera à « dresser un état des lieux de l’empreinte carbone du numérique, d’évaluer son évolution dans les prochaines années et de formuler des pistes d’action ». Une première table ronde qui a vu la participation de membres du think tank « The Shift Project » et du site « GreenIT » a d’ailleurs déjà été organisée la semaine dernière dans le cadre de ce programme.

    Afin de justifier le bienfondé de cette nouvelle initiative des législateurs, le Sénat a expliqué : « Dans un contexte de numérisation croissante de notre société, la mission a pour objectif d’évaluer les impacts environnementaux du digital en France, directs et indirects, en tenant compte aussi bien des usages que de la fabrication des terminaux, des réseaux et des centres informatiques ».

    On peut malgré tout se demander pourquoi les législateurs consacrent autant d’énergie et d’argent pour relier l’impact environnemental de l’accès au réseau (et par ricochet l’empreinte carbone des internautes) à la hausse des émissions des gaz à effet de serre, quand on sait que des facteurs plus marquants tels que la surpopulation ou la promotion de certains modes de vie (toujours connecté, mode de consommation, position des fabricants vis-à-vis de la réparabilité) sont de loin les premiers responsables de la dégradation accélérée de notre habitat naturel. Ne devraient-ils pas rediriger leurs efforts, par exemple, pour obliger les entreprises technologiques à adopter des comportements plus responsables, incluant la prise en compte et le soutient de la réparabilité, la conception de produits innovants durables, mais pas « jetables », la lutte à tous les niveaux contre le gaspillage… ?

    Source : Sénat (Table ronde relative à l'empreinte environnementale du numérique), Sénat 2

    Et vous ?

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    Le Sénat emboite le pas à l'Assemblée et institutionnalise la collecte généralisée des données publiques sur les réseaux sociaux et les plateformes de vente en ligne en France
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