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    Par défaut Anthony Levandowski écope de 18 mois de prison ferme pour vols de secrets commerciaux chez Google
    Anthony Levandowski accusé de vol de secrets commerciaux, dont 14 000 fichiers contenant des « informations techniques critiques concernant le matériel »
    Utilisé par les véhicules Waymo

    Il n'est pas rare que les entreprises de technologie, qui protègent leur propriété intellectuelle, intentent des poursuites contre d’anciens employés ou d’autres entreprises. Mais les accusations criminelles de 33 chefs d'accusation de vol et de tentative de vol de secrets commerciaux portées contre l’un des pionniers de la technologie automobile de la Silicon Valley, Anthony Levandowski, sont inhabituelles. Le procureur du district nord de Californie, dans un acte d'accusation descellé, a déclaré mardi que M. Levandowski a « sciemment volé, et sans autorisation, s'est approprié » des secrets commerciaux appartenant à Google concernant la technologie lidar utilisée pour les véhicules autonomes, selon un rapport Reuters.

    En effet, Anthony Levandowski, l'un des technologues les plus recherchés de la Silicon Valley, a commencé à travailler pour Google en 2007 et a contribué au développement des véhicules autonomes du géant de la recherche. Au moment de son départ soudain en 2016, il était responsable de l'équipe d'ingénierie lidar de la société. Après avoir démissionné de l'entreprise, il a lancé une entreprise de camion autonome, Otto, qu'il a vendue quelques mois plus tard à Uber pour 680 millions de dollars. Selon The News York Times, l'inculpation pénale de M. Levandowski par le bureau du procureur ouvre un nouveau chapitre d'une bataille juridique qui a impliqué Google, sa société dérivée Waymo et son rival Uber dans le défi des véhicules autonomes à enjeux élevés.

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    L'acte d'accusation criminelle, rendu public par le ministère américain de la Justice, allègue que Levandowski était en pourparlers avec Uber au sujet de l’acquisition d’Otto en septembre 2015 – quatre mois avant de quitter Google. De plus, l'acte d'accusation indique qu'en 2015, Levandowski tentait de vendre plusieurs sociétés concernant son autre activité, Tyto Lidar, – Google ne savait pas l’existence de Tyto Lidar pendant que Levandowksi travaillait pour lui. Otto a acquis Tyto à la fin du printemps 2016, peu de temps après qu'Uber ait annoncé qu'il allait acquérir Otto.

    Selon les allégations, au cours du mois qui a précédé son départ de Google, Levandowski a téléchargé 14 000 fichiers contenant des « informations techniques critiques sur le matériel » utilisé par les véhicules autonomes de Waymo à partir du Google Drive interne de l'entreprise. Il a ensuite transféré les fichiers de son ordinateur portable de travail à sa machine personnelle avant d’aller diriger Otto et de se rendre ensuite à Uber, affirme l'acte d'accusation. Les allégations criminelles du bureau du procureur sont très semblables à celles de l'affaire civile Waymo contre Uber en 2017 qui a été réglée en début 2018.

    Lors de sa comparution initiale devant le tribunal mardi, M. Levandowski a plaidé non coupable et a été libéré par un juge – pour l'instant – sous caution de 2 millions de dollars et a dû porter un bracelet à la cheville après que les procureurs eurent exprimé leurs craintes qu’il puisse essayer de s'enfuir en raison de sa double nationalité. Selon The Times, l'affaire met en lumière la culture sans bornes de la Silicon Valley, où acquérir une longueur d'avance sur ses concurrents en matière de nouvelles technologies peut être primordial.

    Lors d'une conférence de presse mardi, John Bennett, l'agent spécial du FBI en charge de la Division de San Francisco, a déclaré : « La région de la Baie a les meilleurs et les plus brillants ingénieurs, et ils prennent de gros risques ». « Mais la Silicon Valley n'est pas le Far West. L'environnement compétitif et rapide ne signifie pas que les lois fédérales ne s'appliquent pas », a-t-il ajouté. Selon Reuters, le prochain procès de M. Levandowski aura lieu le 4 septembre, et s'il est reconnu coupable, il pourrait encourir une peine maximale de 10 ans d'emprisonnement, une amende de 250 000 dollars pour chaque chef d'accusation et une indemnisation supplémentaire.

    David L. Anderson, procureur du district nord de la Californie, a déclaré : « Nous sommes tous libres de passer d'un emploi à l'autre », avant d’ajouté que « Ce qu'on ne peut pas faire, c'est se remplir les poches en sortant ».

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    David L. Anderson, procureur du district nord de la Californie


    Cependant, les avocats de M. Levandowski ont réfuté les accusations. Miles Erlich, l’un des avocats, a déclaré après la comparution : « Depuis plus d'une décennie, Anthony Levandowski est un chef de file de l'industrie dans le domaine de la technologie des voitures et des camions autonomes. Et la preuve dans cette affaire va montrer de façon concluante qu'Anthony n'a rien volé. Ni de Google ni de personne. Point final ».

    Dans une déclaration Waymo a dit : « Nous avons toujours cru que la concurrence devait être alimentée par l'innovation, et nous apprécions le travail du bureau du procureur américain et du FBI sur cette affaire ».

    L'acte d'accusation fait suite à un règlement entre Waymo et Uber dans une précédente affaire de vol de secrets commerciaux

    En février 2017, Waymo avait accusé ouvertement Uber d'avoir planifié le vol de sa technologie de voiture autonome, en complicité avec l'un de ses anciens ingénieurs. Cette affaire a été jugée à San Francisco en février 2018, mettant en lumière le fonctionnement interne des entreprises technologiques, les rivalités entre entrepreneurs technologiques milliardaires et la concurrence acharnée pour les talents en ingénierie.

    Mais quelques jours seulement après le début du procès, Uber et Waymo s’étaient entendus et l’affaire avait été réglée en plein milieu du procès, selon The Times. En effet, Uber avait accepté de fournir 0,34 % de ses actions à Alphabet, la société mère de Waymo et Google, et avait promis de s'assurer qu'il n'utilise aucun matériel ou logiciel dérivé de Waymo. Cependant des questions subsistaient sur le comportement de l’ingénieur au centre de la tourmente. Le juge fédéral dans l’affaire civile l'a renvoyée au bureau du procureur des États-Unis pour une enquête criminelle éventuelle.

    Après plus de 10 ans chez Google où il a fini par diriger plusieurs aspects du programme d'autoconduite au sein de la division clandestine « Google X » de l'entreprise, M. Levandowski a rejoint Uber après lui avoir vendu sa jeune entreprise de conduite autonome, en emportant avec lui des secrets commerciaux de son ancien employeur, d’après l’accusation. « Otto et Uber ont pris la propriété intellectuelle de Waymo afin d'éviter d'encourir le risque, le temps et les dépenses liés au développement indépendant de leur propre technologie », a déclaré Waymo dans son procès de 2017.

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    Les relations entre Uber et Levandowski n’ont pas tardé à se détériorer quelques mois après que Google a déposé plainte. L’ingénieur a été congédié en mai 2017 par Uber après avoir invoqué son droit au cinquième amendement pour éviter de s'incriminer lui-même parce que, selon ses avocats, il y avait « possibilité d'action criminelle ». Cependant, cette action n’a apparemment pas suffi pour maintenir Levandowski hors de l’affaire Google-Uber. Il pourrait être condamné le 4 septembre à 10 ans de prison.

    Pronto.ai est la dernière entreprise de véhicules autonomes que Levandowski a créée après son départ de chez Uber. La société a déclaré mardi dans un communiqué que sa technologie ne reposait pas sur le Lidar. Pronto a également dit que l’actuel directeur de la sécurité allait dirigé la société à la place de Levandowski impliqué dans une affaire criminelle.

    « Suite aux événements d'aujourd'hui, Robbie Miller, directeur de la sécurité de Pronto, va prendre les rênes », a déclaré la société dans son communiqué. « Les accusations criminelles portées contre Anthony[Levandowski] concernent exclusivement lidar et n'impliquent en aucune façon la technologie révolutionnaire de Pronto. Bien sûr, nous soutenons Anthony et sa famille pendant cette période », a ajouté l’entreprise.

    Suite à la comparution, l'action d’Alphabet a clôturé à 1 170,82 dollars, soit une baisse de 36 centimes, tandis que celle d'Uber a chuté de 20 centimes à 33,11 dollars, d’après Reuters. Pendant ce temps, Levandowski sera peut-être reconnu coupable en septembre prochain, après quoi, nous attendrons les prochaines allégations de vol de secrets commerciaux dans la Silicon Valley.

    Sources : Reuters (1 & 2)

    Et vous ?

    Qu’en pensez-vous ?
    Pensez-vous que M. Levandowski sera reconnu coupable pour vol de secrets commerciaux ?
    Des techniques concernant le matériel de véhicule autonome de Uber viendraient-elles de Waymo ?

    Lire aussi

    Google accuse ouvertement Uber d'avoir planifié le vol de sa technologie de voiture autonome, en complicité avec l'un de ses anciens ingénieurs
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    Tesla poursuit des anciens employés et la startup Zoox pour vol présumé de secrets commerciaux, et de code source du pilote automatique
    Uber s'est servi du spyware Surfcam pour écraser son concurrent GoCatch en Australie, en faisant du « braconnage » de ses chauffeurs
    La Californie autorise la voiture autonome de Waymo (division Google) à rouler sans conducteur de secours, une première dans le domaine
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  2. #2
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    Par défaut Anthony Levandowski, un ingénieur qui a travaillé pour Google et Uber, doit verser 179 millions de dollars
    Anthony Levandowski, un ingénieur qui a travaillé pour Google et Uber, doit verser 179 millions de dollars
    À Google, a récemment confirmé un tribunal américain

    Cette semaine, Anthony Levandowski, ancien responsable de la division véhicules autonomes d’Uber et ancien ingénieur clé du projet de véhicules autonomes porté par une filiale de Google, a demandé à être placé sous la protection de la loi sur les faillites, peu après qu’un tribunal ait confirmé qu’il doit payer 179 millions de dollars à Google pour mettre fin à une bataille juridique liée à son départ de Waymo, la filiale d’Alphabet en charge du projet de voiture autonome Google Car, pour Uber et au vol de technologies propriétaires.

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    Cet ingénieur est depuis presque 3 ans déjà au cœur d’un litige opposant Waymo à Uber, conflit qui a conduit Waymo à porter plainte contre le géant du VTC Uber pour vol de technologies propriétaires. Il a quitté Waymo pour créer une startup spécialisée dans les technologies de voitures autonomes, baptisée Otto, qui a été rachetée quelques mois plus tard par Uber. Dans le cadre de cette affaire, la firme de Mountain View a toujours soutenu qu’Uber avait comploté avec Levandowski pour voler les documents confidentiels de Waymo, ensuite lancer une startup qui sera rachetée ultérieurement par un concurrent de Waymo pour permettre à ce même concurrent (Uber en l’occurrence) de rattraper son retard sur le marché naissant des voitures autonomes. La filiale d’Alphabet a également accusé son ancien employé d’avoir tenté de débaucher ses anciens collègues alors qu’ils avaient un accord interdisant à Levandowski d’agir de la sorte.

    En décembre dernier, un tribunal a finalement conclu qu’Anthony Levandowski et son collègue Lior Ron se sont livrés à une concurrence déloyale et ont violé leurs obligations légales en lançant une entreprise rivale et en faisant venir des employés de Google. Levandowski avait contesté la décision de cette Cour, mais récemment un tribunal du comté de San Francisco a confirmé la décision et la sentence initiale.

    Ron, qui est toujours en poste chez Uber, avait versé à Google 9,7 millions de dollars le mois dernier pour mettre fin aux poursuites à son encontre et Waymo a confirmé ce mercredi qu’Uber avait payé la totalité de la somme que l’entreprise lui devait (environ 245 millions de dollars). Levandowski est donc actuellement le seul à qui Google réclame encore des compensations. Il a déposé une demande de faillite pour négocier ses dettes (l’argent que lui réclame Google) et dispose, selon sa déclaration, d’un actif estimé entre 50 et 100 millions de dollars, contre 100 à 500 millions de dollars de passif.

    Néanmoins, Levandowski pourrait ne pas avoir à payer. Comme le note le New York Times, le contrat de travail de Levandowski avec Uber laisse entendre que ce serait à l’entreprise de supporter tout ou partie de cette indemnisation, chose que Uber compte contester. Par ailleurs, Anthony Levandowski risque toujours jusqu’à 10 ans de prison ainsi qu’une amende de 250 000 dollars au moins si les accusations de vol dont il fait l’objet étaient avérées.

    Sources : Reuters, New York Times

    Et vous ?

    Qu’en pensez-vous ?

    Voir aussi

    Waymo vs Uber : le juge choqué aurait accusé Uber de dissimuler des preuves, après avoir appris que l'entreprise aurait acheté le silence d'un employé
    Anthony Levandowski accusé de vol de secrets commerciaux, dont 14 000 fichiers contenant des « informations techniques critiques concernant le matériel » utilisé par les véhicules Waymo
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  3. #3
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    Par défaut Anthony Levandowski écope de 18 mois de prison ferme pour vols de secrets commerciaux chez Google
    Anthony Levandowski, l’ex-ingénieur de Google accusé de vol de secrets commerciaux, écope de 18 mois de prison ferme
    Et dépose une plainte contre Uber qui pourrait lui rapporter 4 milliards de $

    Nouvelle décision de justice dans le litige qui oppose Waymo à Uber depuis près de 3 ans. Anthony Levandowski, l’ex-ingénieur de Google au centre de la bataille juridique, écope de 18 mois de prison ferme ; une peine dissuasive pour tous les autres ingénieurs tentés de poser des actes similaires, mais que l’ancien responsable de la division véhicules autonomes d’Uber et ex-ingénieur clé du projet de véhicules autonomes porté par une filiale de Google a demandé à purger après une année de confinement. Dans le même temps, il suit une plainte contre Uber susceptible de lui rapporter 4 milliards de dollars.

    La décision de condamner Anthony Levandowski à 18 mois de prison ferme (alors que le bureau du procureur en avait requis 27) est du juge de district William Alsup. Elle tient probablement compte de ce que ses avocats ont demandé à ce dernier de considérer que les enquêteurs n'ont trouvé aucune preuve que l’ex-ingénieur de Google a fait usage de ces secrets commerciaux après son départ de Google.

    « C’est la plus grosse affaire de ce type sur laquelle j’ai eu à me pencher. Une peine sans emprisonnement aurait donné le feu vert à chaque futur ingénieur de voler des secrets commerciaux », rapporte Reuters des propos du juge. La peine devrait être purgée ultérieurement. En effet, Levandowski a demandé une année de confinement à son domicile en raison de récentes crises de pneumonie susceptibles de le rendre vulnérable face au nouveau coronavirus.

    En 2016, Anthony Levandowski a quitté Waymo pour créer une startup spécialisée dans les technologies de voitures autonomes, baptisée Otto, qui a été rachetée quelques mois plus tard par Uber. Dans le cadre de cette affaire, la firme de Mountain View a toujours soutenu qu’Uber avait comploté avec l’ex-ingénieur de Google pour voler les documents confidentiels de Waymo, ce, pour lancer une startup qui sera rachetée ultérieurement par un concurrent de Waymo pour permettre à ce même concurrent (Uber en l’occurrence) de rattraper son retard sur le marché naissant des voitures autonomes. La filiale d’Alphabet a également accusé son ancien employé d’avoir tenté de débaucher ses anciens collègues alors qu’ils avaient un accord interdisant à Levandowski d’agir de la sorte.

    En décembre 2019, un tribunal a finalement conclu qu’Anthony Levandowski et son collègue Lior Ron se sont livrés à une concurrence déloyale, violant leurs obligations légales en lançant une entreprise rivale et en faisant venir des employés de Google. Levandowski avait contesté la décision de cette Cour, mais récemment un tribunal du comté de San Francisco a confirmé la décision et la sentence initiale. En vertu de cette dernière décision tombée au cours du mois de mars de l’année en cours, Anthony Levandowski doit payer 179 millions de dollars à Google pour mettre fin à cette bataille juridique.

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    Néanmoins, Levandowski pourrait ne pas avoir à payer. Des accords légaux le liant à Uber laissent entendre que ce serait à l’entreprise de supporter tout ou partie de cette indemnisation. C’est en s’appuyant sur cet élément qu’il a lui aussi porté plainte contre Uber. La semaine dernière, Google a demandé au juge en charge des questions de faillite de rejeter l’argument d’Uber selon lequel l’entreprise n’est pas responsable du paiement des 179 millions de dollars d’indemnisation. De plus, la plainte de l’ex-ingénieur de Google allègue qu’Uber lui doit de l’argent en vertu de l’accord d’achat d’Otto (devenu Uber Freight) que le géant du VTC (Uber) n’a jamais honoré. La plainte rappelle que ledit accord stipule qu’un pourcentage des bénéfices d’Uber Freight revient à Levandowski. À date, la somme est évaluée à 4,128 milliards de dollars.

    Sources : Reuters, plainte contre Uber

    Et vous ?

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    Voir aussi :

    Google accuse ouvertement Uber d'avoir planifié le vol de sa technologie de voiture autonome, en complicité avec l'un de ses anciens ingénieurs
    Waymo de Google attaque Uber en justice pour vol de technologies de voitures autonomes, par l'un de ses anciens employés désormais chez Uber
    Tesla poursuit des anciens employés et la startup Zoox pour vol présumé de secrets commerciaux, et de code source du pilote automatique
    Uber s'est servi du spyware Surfcam pour écraser son concurrent GoCatch en Australie, en faisant du « braconnage » de ses chauffeurs
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  4. #4
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    Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
    ...Uber lui doit de l’argent en vertu de l’accord d’achat d’Otto (devenu Uber Freight)
    Citation Envoyé par dictionnary.cambridge.org
    Définition de Freight en anglais : goods, but not passengers, that are carried from one place to another, by ship, aircraft, train, or truck, or the system of transporting these goods:
    Cela pourrait être assez révélateur du cas d'utilisation typique prévu pour les véhicules autonomes, plutôt du transport de marchandises du coup. A quand la construction d'autoroutes réservés au transport de marchandises via les véhicules autonomes ?

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