Aaaaaargh ! Pfffff, couic, urgh !
BEEP !
Je vous conseille d'utiliser les deux mains pour étrangler votre épouse.
Rooooh ! Alexa ta gueule !
Aaaaaargh ! Pfffff, couic, urgh !
BEEP !
Je vous conseille d'utiliser les deux mains pour étrangler votre épouse.
Rooooh ! Alexa ta gueule !
Amazon confirme que les enregistrements vocaux des clients d'Alexa sont conservés pour toujours
tant qu'ils ne les suppriment pas manuellement
Les enceintes connectées telles qu'Amazon Echo et Google Home font partie des appareils de la maison intelligente les plus vendus dans le monde (des millions d’unités sont expédiées chaque année). Pourtant, ces objets soulèvent de nombreuses préoccupations en matière de confidentialité et de vie privée de ses utilisateurs. Dans une lettre adressée au sénateur démocrate Chris Coons du Delaware, Amazon a expliqué que son enceinte connectée Amazon Alexa conserve indéfiniment certains enregistrements vocaux et d’autres données de ses utilisateurs. Selon la société, ces différentes données peuvent également être partagées avec des entreprises pour d'autres utilisations.
Le marché de l’Internet des objets (IdO) est l’un des marchés qui croient le plus ces dernières années, car le nombre d’appareils connectés a explosé. L'explosion du nombre de smartphones, du nombre de gadgets comme les montres et les enceintes connectées ont créé un marché nouveau aux opportunités quasi infinies. Google et Amazon restent les cadors du domaine. À titre illustratif, d’après les prévisions de l’International Data Corporation (IDC), le marché de la maison intelligente devrait atteindre 107,8 millions d'unités en 2019, soit une croissance de 21 % par rapport à l'année précédente, et atteindre 183,9 millions en 2023. Le divertissement vidéo et les haut-parleurs intelligents étant les deux principales catégories de cet espace.
Toujours selon les traqueurs de l’IDC, rien qu'au premier trimestre de cette année, le marché européen de la maison intelligente a progressé de 23,9 %, pour atteindre 21,3 millions d’unités livrées dans la région. L’Europe occidentale représente 88,3 % de la part de la région, mais l’Europe centrale et orientale connaît la plus forte augmentation (31,2 % d’une année à l’autre). Ces chiffres témoignent du fait que l’engouement pour les objets connectés, en particulier les assistants vocaux, continue de croître de façon exponentielle. Dans cet espace, les appareils Google Home se sont emparés de 45,1 % du marché des enceintes intelligentes livrées, contre 41,8 % pour les appareils Amazon Echo, d’après l’IDC.
Preuve que le marché est l'un des plus prospères, au 1T19 en Europe, les haut-parleurs intelligents ont augmenté de 58,1 % pour atteindre les 3,35 millions d’unités, représentant 15,8 % du marché, ce qui en fait la deuxième catégorie de produits la plus importante. Mais de la même façon, les inquiétudes autour de ces objets grandissent de jour en jour. Cette année déjà, il a été rapporté que les employés d’Amazon espionnent les conversations entre les utilisateurs et son assistant vocal intelligent Amazon Alexa. Ce produit d'Amazon fait beaucoup parler de lui, car il est très vendu (plus de 100 millions de ventes), mais aussi parce qu'il compte plus de 1000 employés qui travaillent dessus au quotidien dans le but de le perfectionner.
Seulement, il a été indiqué récemment que les employés d'Amazon qui travaillent pour améliorer l’assistant vocal écoutent les enregistrements vocaux de ce qui se dit dans les maisons et les bureaux des propriétaires d’Echo lorsque ce dernier est activé. Ces employés peuvent écouter jusqu'à 1000 enregistrements par jour. En général, lorsque vous donnez un ordre à un périphérique Amazon Echo, seul le logiciel de reconnaissance vocale d'Amazon écoute. Mais, il a été découvert qu'une copie de l'audio est envoyée à un humain dans l'un des bureaux d'Amazon dans le monde. Un fait à la fois intriguant et en violation de la vie privée des utilisateurs d’Amazon Echo qui a suscité de vives réactions dans la communauté.
Selon l'entreprise, cette personne reçoit et écoute l'enregistrement audio, le transcrit et ajoute des annotations pour aider les algorithmes d'Amazon à s'améliorer. Les enregistrements incluent à la fois des commandes Alexa explicites et des conversations en arrière-plan. Amazon a-t-il le droit d’utiliser les données de ses clients sans un accord préalable de leur part, et ce, même s’il s’agit d’améliorer l’expérience utilisateur ? Le démocrate Chris Coons fait partir des nombreuses personnes qui se posent des questions sur les agissements d'Amazon et les pratiques d’Alexa en matière de confidentialité, de sécurité et de vie privée.
Au mois de mai passé, le sénateur a envoyé une lettre à Jeff Bezos, le PDG d'Amazon pour obtenir plus d’explications sur la manière dont la société gère le nombre important de gigaoctets de données qui sont générées grâce à son assistant vocal. Il a également posé des questions sur les pratiques de la société en matière de confidentialité et de sécurité des données, affirmant qu'Amazon Echo pourrait mettre en péril la vie privée des utilisateurs. La réponse d’Amazon est venue plus tard à la fin du mois de juin, et elle ne va certainement pas vous plaire. Si vous êtes le propriétaire d’un appareil Echo, sachez que vos enregistrements vocaux restent indéfiniment sauvegardés chez Amazon.
Dans sa lettre de retour au sénateur Chris Coons, Brian Huseman, le vice-président des politiques publiques d'Amazon, a indiqué qu'Amazon conserve indéfiniment les transcriptions et les enregistrements vocaux, et ne les supprime que s'ils sont supprimés manuellement par les utilisateurs. « Lorsqu'un client supprime un enregistrement vocal, nous supprimons les transcriptions associées au compte du client (la demande du client et la réponse d'Alexa). Nous supprimons ensuite ces transcriptions de tous les systèmes de stockage principaux d’Alexa et nous nous efforçons de faire en sorte que ces transcriptions ne restent pas dans l’un des autres systèmes de stockage d’Alexa. Nous ne stockons pas l’audio de la réponse d’Alexa », a écrit Huseman dans sa lettre.
Cependant, il existe certains enregistrements que la société ne supprime pas, mais les conserve pour sa propre utilisation. Huseman a précisé dans sa lettre que même si l’utilisateur supprime manuellement des audios d’interactions en rapport avec une transaction (par exemple commander une pizza ou adresser une demande de transport à Uber ou à Lyft), il y a toujours certaines sauvegardes de ces conversations avec Alexa qu'Amazon ne supprimera pas. Cela signifie qu'il existe un enregistrement de presque chaque achat que vous effectuez avec l’aide de l’assistant Alexa d'Amazon, ce qui peut être considéré comme une information personnelle.
« Nous pouvons toujours conserver d’autres enregistrements des interactions Alexa des clients, y compris des enregistrements des actions menées par Alexa en réponse à la demande du client. Et lorsqu'un client interagit avec une compétence Alexa, le développeur de cette compétence peut également conserver des enregistrements de l'interaction », a précisé Huseman dans sa lettre. D’autres données telles que définir une alarme récurrente, placer une réunion à une date donnée sur votre agenda, envoyer un message à un ami, demander à Alexa de vous rappeler votre anniversaire ou celui d’un ami, etc. sont également parmi celles qui restent sauvegardées indéfiniment.
Pour se justifier dans ce dernier cas, l’entreprise a indiqué qu’il s’agit là de choses que les utilisateurs ne veulent pas oublier ou encore qu’il s’agit des fonctionnalités de l’assistant les plus recherchées par ces derniers. D’après Coons, le problème de confidentialité avec ces assistants vocaux intelligents devient de plus en plus inquiétant et il convient de limiter les dégâts. Selon lui, le problème va aujourd’hui plus loin encore, car les articles plus domestiques tels que les sonnettes et les serrures sont également concernés. « Les Américains méritent de comprendre comment leurs entreprises utilisent leurs données personnelles et je continuerai à travailler avec les consommateurs et les entreprises pour trouver le moyen de protéger au mieux les informations personnelles des Américains », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Il a continué en disant que la réponse d'Amazon laisse ouverte la possibilité que les transcriptions des interactions vocales des utilisateurs avec Alexa ne soient pas supprimées de tous les serveurs d'Amazon, même après qu'un utilisateur ait supprimé un enregistrement de sa voix. De plus, il a insisté sur le fait que la mesure dans laquelle ces données sont partagées avec des tiers et la manière dont ces tiers utilisent et contrôlent ces informations sont encore floues. De son côté, Amazon a déclaré qu’il utilise les transcriptions qu’il conserve pour former son assistant vocal et le rendre plus performant. Retenez que les transcriptions ne sont pas anonymisées, car Amazon a expliqué qu'elles sont associées à chaque compte d'utilisateur.
Source : La lettre d'Amazon
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Voir aussi
Les travailleurs d'Amazon écoutent ce que vous dites à Alexa, son assistant vocal intelligent et en parlent dans un forum de discussion interne
Maison connectée : Google dépasse Amazon sur le marché européen au 1T19, dans le secteur des enceintes intelligentes
Amazon atteint 100 millions de vente d'appareils intégrant Alexa, son assistant vocal intelligent
Contribuez au club : corrections, suggestions, critiques, ... Contactez le service news et Rédigez des actualités
Et il y a encore des gens pour acheter ça. Moi qui croyait que la mise sur écoute en France demandait une autorisation d'un juge...
quand c'est à ton insu, oui sinon, quand tu files tout volontairement, tu y consens, c'est à toi et à ton intelligence de l'accepter.
D'ailleurs le titre est à corriger, on peut carrément supprimer ce passage ou l'écrire en microscopique :
comme s'ils allaient physiquement supprimer les enregistrements, quelle blague ! Y'a encore des gus pour y croire.tant qu'ils ne les suppriment pas manuellement
- PDO++ : Une nouvelle façon d'utiliser PDO. Billet de blog || Code source
- PhpEcho : Un moteur de rendu en une seule classe ! Nouvelle version (release 2.3.2) publiée le 18/04/2020 : Billet de blog || Code source
Et après on s'étonne que la consommation d'énergie augmente …
Keith Flint 1969 - 2019
Ou pas:
Tatayo.Selon l'entreprise, cette personne reçoit et écoute l'enregistrement audio, le transcrit et ajoute des annotations pour aider les algorithmes d'Amazon à s'améliorer. Les enregistrements incluent à la fois des commandes Alexa explicites et des conversations en arrière-plan.
parce que vous pensez pas que allo google et siri font pas pareil ?
les téléphone soit un moyen facile d'espionner micro et camera pour tous.
on nous saoule avec les clef usb et on laisse n’importe qui avec son téléphone chinois au boulot... logique..
Ah merci, j'attendais enfin un commentaire du genre. Le pire c'est que ce débat a déjà eu lieu ici.
Je suis certain que tous ceux qui tapent sur les assistants vocaux ont un smartphone, utilisent des ordinateurs, Google Maps, leur GPS, un ou deux services de livraison tiers, et tout un tas d'applications qui les tracent, avec ou sans leur consentement.
Un espion de plus ou de moins... grand bien soit fait à ceux qui possèdent un assistant vocal, ils rejoignent la légion des milliards d'espionnés volontaires déjà munis d'appareils électroniques.
Amazon collecte et stocke de manière inappropriée les données biométriques des consommateurs via Alexa,
selon un nouveau recours collectif
Amazon Alexa, plus connu sous le nom Alexa, est un assistant virtuel développé par Amazon et utilisé pour la première fois dans les enceintes intelligentes Amazon Echo et Amazon Echo Dot. Il est capable d'interaction vocale, de jouer de la musique, de lister des tâches à effectuer, de régler des alarmes, de diffuser des podcasts, de lire des livres audio et de fournir des informations sur la météo, la circulation, les sports et d'autres informations en temps réel telles que les actualités.
Ce produit d'Amazon fait beaucoup parler de lui en raison du fait qu'il est très vendu et aussi parce qu'il compte plus de 1000 employés qui travaillent dessus au quotidien dans le but de le perfectionner. Seulement, en 2019, il a été découvert que ces employés d'Amazon qui travaillent à améliorer son assistant vocal écoutent les enregistrements vocaux de ce qui se dit dans les maisons et les bureaux des propriétaires d’Echo, lorsque ce dernier est activé. Ces employés peuvent écouter jusqu'à 1000 enregistrements par jour.
En général, lorsque vous donnez un ordre à un périphérique Amazon Echo, seul le logiciel de reconnaissance vocale d'Amazon écoute. Mais, il a été découvert qu'une copie de l'audio est envoyée à un humain dans l'un des bureaux d'Amazon dans le monde. Cette personne écoute l'enregistrement audio, le transcrit et ajoute des annotations pour aider les algorithmes d'Amazon à s'améliorer. Les enregistrements incluent à la fois des commandes Alexa explicites et des conversations en arrière-plan.
D'ailleurs, 2 employés ont déclaré avoir entendu ce qu'ils pensaient être un cas d'agression sexuelle, mais se sont fait dire que ce n'était pas à Amazon de prendre des mesures. Il faut aussi préciser que ces travailleurs ont également un forum de discussion interne où ils peuvent obtenir de l'aide pour analyser un mot confus, mais aussi partager certains enregistrements qu'ils trouvent amusants.
Amazon collecte et stocke de manière inappropriée les données biométriques des consommateurs via ses assistants virtuels basés sur la voix Alexa
La plaignante principale, April Schaeffer, affirme qu'Amazon utilise des appareils équipés de l'assistant virtuel Alexa, tels que son haut-parleur connecté Amazon Echo et sa tablette Fire, en plus de nombreux autres produits de la société, pour capturer et stocker des empreintes vocales et créer des transcriptions. Elle souhaite représenter une classe de consommateurs de l'Illinois qui possèdent un appareil compatible Alexa.
Schaeffer affirme qu'Amazon viole la loi de l'Illinois sur la confidentialité des informations biométriques (BIPA), qui régit la manière dont les entreprises collectent, stockent et utilisent les données biométriques des citoyens.
Amazon enfreint la BIPA en ne rendant pas disponible de politique publique sur la manière dont il a l'intention de détruire définitivement les identifiants biométriques, et les a plutôt vendus, loués, échangés ou en a profité d'une autre manière, selon le recours collectif.
Schaeffer affirme qu'Amazon viole également la BIPA en divulguant prétendument les données biométriques des utilisateurs sans leur consentement et en ne les stockant, ne les transmettant pas ou ne les protégeant pas en utilisant une norme de diligence raisonnable telle que définie par la loi.
Les utilisateurs d'Amazon Alexa ne peuvent pas empêcher les appareils de collecter des empreintes vocales à moins qu'ils ne coupent le son de l'appareil ou ne le désactivent, ce qui va à l'encontre de l'objectif de l'appareil, selon le recours collectif.
Le demandeur affirme que, bien qu'Amazon affirme que les appareils Alexa ne commencent à écouter qu'après un mot « réveil », ils capturent fréquemment des conversations après avoir été déclenchés de manière incorrecte.
« Un groupe de chercheurs a découvert plus de 1 000 séquences de mots qui déclenchent de manière incorrecte des haut-parleurs connectés, comme Alexa. Par exemple, Alexa peut être activée par inadvertance par les mots "inacceptable" ou "élection" », indique le recours collectif.
Schaeffer demande un procès devant jury et des dommages-intérêts statutaires de 5 000 $ pour chaque violation intentionnelle de la BIPA ou des dommages statutaires de 1 000 $ pour chaque violation par négligence de la BIPA pour elle-même et tous les membres du groupe.
Un recours collectif similaire a été déposé à Seattle en juillet, alléguant que les appareils Alexa d'Amazon avaient enregistré les conversations des utilisateurs sans leur consentement. L'entreprise s'est également retrouvée l'année dernière dans le cadre d'un recours collectif qui alléguait avoir obtenu illégalement des identifiants biométriques à des fins de reconnaissance faciale. Le recours collectif a été déposé à Seattle le 8 juillet par la plaignante principale Carol Cooper, qui allègue que la société viole la loi sur la confidentialité des informations biométriques (BIPA) de l'Illinois.
Cooper dit que son Alexa a capturé et stocké ses données biométriques sous la forme de ses enregistrements vocaux sans son consentement, puis les a diffusées à des tiers.
Selon le recours collectif, malgré l'affirmation d'Amazon selon laquelle Alexa ne capture les conversations qu'après avoir entendu le « mot d'éveil », des rapports et des études ont montré que les appareils compatibles Alexa capturent fréquemment des conversations par accident sans être déclenchés par le « mot d'éveil ». L'allégation cite des recherches qui ont découvert plus de 1 000 séquences de mots qui déclenchent de manière incorrecte des haut-parleurs connectés, comme Alexa. Par exemple, Alexa peut être activé par inadvertance par les mots « inacceptable » ou « élection ».
La plainte ajoute qu'après qu'un utilisateur a parlé à un appareil Alexa, Amazon collecte, capture et stocke les empreintes vocales de l'utilisateur et les transcriptions des empreintes vocales, et il ne supprime pas l'empreinte vocale ou la transcription créée par cette demande.
« Au lieu de cela, Amazon capture, collecte et conserve indéfiniment l'empreinte vocale sur ses serveurs pour une utilisation et une analyse continues, afin, entre autres, d'améliorer ses capacités de reconnaissance vocale et vocale », affirme la revendication.
Selon Cooper, Amazon viole la BIPA en obtenant, en utilisant et en stockant des identifiants biométriques sans obtenir au préalable une autorisation écrite ; n'informant pas correctement les utilisateurs par écrit que leurs identifiants biométriques étaient collectés et stockés, ou pour combien de temps ; n'élaborant pas de politique écrite établissant un calendrier de conservation et des lignes directrices pour la destruction permanente des identifiants biométriques ; et vendant et tirant profit des données biométriques des utilisateurs.
« Dans le cas d'Amazon, l'apprentissage automatique d'Alexa est renforcé par ce qui représente probablement des centaines de millions, voire des milliards, d'empreintes vocales qu'Amazon a stockées sur ses serveurs, qu'elle utilise pour affiner constamment la compréhension du langage naturel qui est essentielle au fonctionnement d'Alexa », lit-on dans la plainte.
Le recours collectif cite un article de Bloomberg qui dit qu'Amazon.com, Inc. emploie des milliers de personnes dans le monde, à la fois des employés à temps plein d'Amazon et des sous-traitants, qui écoutent des enregistrements vocaux, ont accès aux empreintes vocales et passent en revue les transcriptions capturées par l'appareil Echo d'Amazon.
« Les équipes utilisent également des salles de discussion internes pour partager des fichiers audio "lorsqu'elles ont besoin d'aide pour analyser un mot confus - ou tombent sur un enregistrement amusant" », selon la plainte.
Cooper allègue également que les empreintes vocales des utilisateurs sont agrégées avec des données provenant d'autres sources Amazon, telles que l'historique des achats, l'historique des commandes ou des rappels pour créer des profils d'informations qu'Amazon utilisera à ses propres fins commerciales.
Alexa d'Amazon collecte plus de données que n'importe quel autre assistant intelligent, selon une étude de Reviews
Une enquête sur l'utilisation des assistants intelligents menée par Reviews.org a montré que 56 % des personnes interrogées sont préoccupées par la collecte de données. Après avoir analysé les conditions générales d'Alexa, Google Assistant, Siri, Bixby et Cortana, il est apparu clairement qu'un certain degré de collecte de données est finalement inévitable.
Ces cinq services collectent votre nom, votre numéro de téléphone, la localisation de votre appareil et votre adresse IP, les noms et numéros de vos contacts, votre historique d'interactions et les applications que vous utilisez. Si vous n'aimez pas que ces informations soient stockées, vous ne devriez probablement pas utiliser un assistant vocal.
Dans l'enquête, 60 % des personnes interrogées craignaient que quelqu'un n'écoute leurs enregistrements vocaux, ce qui est une crainte réelle, puisque Google et Apple ont tous deux été surpris en train de le faire. Si Google Assistant et Siri ont désormais besoin de votre autorisation pour enregistrer vos interactions, les autres options vous enregistrent par défaut.
Selon une analyse de Reviews.org, Alexa recueille 37 des 48 points de données possibles, soit le plus grand nombre de données de toutes les autres technologies. Bixby de Samsung a recueilli 34 points de données, et Cortana 32 points de données. Pendant ce temps, Siri n'en recueille que 30, et l'assistant intelligent de Google n'en prend que 28, ce qui en fait les moins invasifs.
Source : plainte
Voir aussi :
La technologie de reconnaissance faciale d'Amazon identifie à tort 28 membres du Congrès US comme des criminels
Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités
sont d'une naïveté déconcertante.
Ca y est, c'est fait. J'ai complètement perdu le fil du nombre de procès concernant les abus des GAFAM...
Quelqu'un peut résumer svp ?
Repeat after me
Le monsieur lutte pour la défense des libertés individuelles et collectives
Repeat after me...
et encore une fois..
c'est pas compliquer a comprendre. "il peuvent le faire, donc il le font". ayez cette phrase en tete pour tout et vous ne serez jamais décus
Vous avez un bloqueur de publicités installé.
Le Club Developpez.com n'affiche que des publicités IT, discrètes et non intrusives.
Afin que nous puissions continuer à vous fournir gratuitement du contenu de qualité, merci de nous soutenir en désactivant votre bloqueur de publicités sur Developpez.com.
Partager