Hjalmar Schacht a eu plein d'idées de génie, il a fait des choses comme l'étalon travail.
Le NSDAP a testé plein de solutions et c'est miraculeux ce qu'ils ont fait, l'Allemagne de 1932 n'a rien à voir avec l'Allemagne de 1939.
Bon apparemment ça date de 1943, donc c'est Allemand, donc pas forcément ultra neutre, mais quand même :
Des boulots ont été créé et c'est ça le plus important. En plus il y a plein d'avancés sociales, comme des congés payés, des croisières pour les ouvriers, etc.
Les nationalisations ont fonctionné, c'était un bon plan.
Aujourd'hui Trump investi à fond, il veut réparer les infrastructures US (il y a du boulot), on verra si ça fonctionne pour eux.Quelle leçon «positive» devrions-nous retenir de lui?
En 1923, il a appliqué une politique déflationniste d’une rigueur inouïe. En 1933, il a fait exactement l’inverse, en lançant une politique de déficit extraordinaire. Dans les deux cas, ses solutions ont très bien fonctionné. Hjalmar Schacht n’était pas un théoricien, il était un rationaliste: il analysait la situation, déterminait le principal problème à résoudre puis prenait toutes les décisions nécessaires pour y parvenir. Il prenait une décision et s’y tenait, à tout prix.
La dette US gonfle rapidement. (enfin ça dépend comment on regarde, elle est tellement énorme que 1000 milliards de plus ou de moins ça ne se voit pas tant que ça ^^)
Ils en ont quand même construit.
Une réalisation économique du nazisme : la construction d'autoroute (29 décembre 1937, vidéo de l'INA)
Autoroute - HistoireHitler assiste à l'inauguration d'une nouvelle autoroute et son ouverture à la circulation. Cinq grandes autoroutes ("autostrade"), totalisant plus de 2000 kilomètres sont désormais en fonctionnement en Allemagne.
Les taux négatif ce n'est quand même un très bon signe de santé économique...Quelques jours après la prise du pouvoir par les nazis en 1933, Adolf Hitler adopta avec enthousiasme un projet de construction d’autoroutes et nomma Fritz Todt comme inspecteur général. Rapidement, plus de 100 000 personnes furent mobilisées partout en Allemagne dans l'Organisation Todt. Non seulement elle procurait des emplois, mais elle améliorait l'infrastructure nécessaire pour les efforts de rétablissement économique ; le projet fut aussi un grand succès de propagande. Un autre but était de renforcer le centralisme et l'unité nationale.
Le cinéaste Veit Harlan déclare à ce sujet :
« J’ai entendu Hitler parler de façon fort pertinente, d’autoroutes. Il faisait des croquis de croisements et d'échangeurs qui, aujourd'hui, nous paraissent tout naturels alors qu’à cette époque ils étaient sans précédent. Il parlait aussi du danger de la monotonie des autoroutes qui risquait de faire sombrer les conducteurs dans l’assoupissement et il proposait des solutions pour remédier à cet écueil. Il ne voulait pas entendre parler de radio à l'intérieur des véhicules. La limitation de vitesse, à son avis, augmentait le péril du sommeil au volant. »
La première section, de Francfort à Darmstadt, fut ouverte en 1935. Les lignes droites furent utilisées pour établir des records de vitesse par les équipes de course de grand prix de Mercedes-Benz et Auto Union jusqu'à l'accident fatal du populaire coureur allemand Bernd Rosemeyer au début de 1938. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Autobahn furent utilisées comme aérodromes auxiliaires, les avions étant garés dans les nombreux tunnels ou camouflés dans des bois avoisinants.
Ce n'est pas mieux que l'hyper inflation...
Vous avez trop confiance dans le système, vous risquez d'être désagréablement surpris...
La finance fait n'importe quoi, le krach est inévitable. Le plus intelligent serait d'anticiper et de se préparer.
Si j'avais le choix entre être payé en euro ou dans une monnaie convertible en or, je choisirais la monnaie convertible en or.
J'ai pas ultra confiance dans l'euro, si j'étais malin j’achèterais de la couronne Norvégienne ou du franc Suisse, mais j'ai la flemme.
Je ne suis pas convaincu...
Il me semble que les prix ont tendance à monter quand les monnaies baisses. (même quand ce ne sont pas des produits importés)
Je ne fait pas aveuglément confiance au système, loin de la. Mais j'évite aussi de crier au loup a tout bout de champs en mélangeant des concept économique que je maitrise vaguement. L'hyper inflation et les taux négatif qui sont juste le contraire l'un de l'autre.
A force de crier au loup, on fini en effet par avoir raison un jour ou l'autre, mais à crier tout le temps sans raison fondée, le jour où ça arrive, plus personne ne vous écoute.
Si vous voulez, mais dans les 2 cas ça montre qu'il y a un grave problème économique...
Dans une économie saine il n'y a pas de taux négatif.
TAUX D'INTÉRÊT NÉGATIFS : "ON MARCHE SUR LA TÊTE !"
Il y a aura des conséquences aux taux négatif.Et ce, en dépit d'une dette publique de près de 100% du PIB, de l'incapacité de réduire durablement le déficit public sous les 3% du PIB (niveau qui sera d’ailleurs dépassé dès 2019) et des nombreux risques qui pèsent sur l'avenir économique et politique de la France. Le pire est que cette baisse des taux, qui s'apparente plus à une “descente aux enfers” qu'à un mouvement salutaire, incite les Etats européens déjà surendettés à continuer d’augmenter leur dette : pourquoi se gêner : les taux d’intérêt n’ont jamais été aussi bas, autant en profiter ! Il s’agit donc bien là d’un “aléa moral”, qui est tel que, grâce à la protection de la zone euro et de la BCE, la dette publique continue d’augmenter en dépit du bon sens.
Car, ne l’oublions pas : il faudra forcément finir par payer tous ces excès. Et c'est bien là que le bât blesse, car si la probabilité de défaut d'un Etat occidental dans les dix prochaines années est relativement faible (excepté peut-être pour l’Italie), celle de la remontée des taux à long terme à ce même horizon est beaucoup plus élevée, rendant donc inévitables des moins-values conséquentes sur les placements en obligations. Autrement dit, en dépit de l'aveuglement collectif, depuis les investisseurs chevronnés jusqu'aux petits épargnants en passant par la BCE, nous continuons de défendre que des taux d'intérêt des obligations de l'Etat français - mais aussi de l'ensemble des pays de la zone euro - aussi bas ne sont pas normaux.
J'ai personnellement confiance dans la BCE qui a des personnes plus compétentes que la FED (bonjour Leman Brothers). Après, j'aurai préféré que ce soit la Banque de France qui gère la dette et non des fonds privés mais on peut pas tout avoir.
Oui, comme toute chose, il y aura des conséquences mais on ne sait pas encore lesquelles en dehors du fait que ça va être une gifle violente, comme d'habitude.
Par contre, je maintiens mes dires sur le nationalisme et la démago du genre (protectionnisme, immigration & cie) : c'est les pires idées de merde qu'on a réussi à avoir et c'est aussi le point d’émergence des conflits (c'est un constat). Vous pouvez adorez cela mais cela n'a jamais rien donné de bon pour les peuples de tout temps. La réalité se trouve dans la coopération et non dans la volonté de penser qu'à soit sauf que hélas, les européens ont pas pigé ça (pour certains j'entends). Ce n'est nullement en restant dans un coin seul et isoler qu'on survivra.
Si la dette est maîtrisée par l'État (émission de bons au trésor vendu aux citoyens), la dette reste maîtrisée mais en France, on ne peut plus depuis qu'une loi sous Pompidou (de mémoire) est passée et interdit à l'État d'être l'émetteur. Il faut passer par des banques et fonds privés et pas par la banque nationale, ce qui est une aberration, et de ce fait, et bien on pleure depuis et ça ne fait qu'augmenter. Si vous voulez changer cela, il suffit de choisir les bonnes personnes en éliminant la problématique des médias qui sont à la botte de certains (on va pas le nier, la manipulation de masse, tout ça tout ça).
Pour les crytomonnaies, je maintiens mes dires et comme certains l'ont dit, ça n'apporte rien de bien en terme de monnaie (pas comme la technologie) et un État a le droit de refuser en plus d'émettre sa propre monnaie, c'est un droit souverain (sauf dans le cas de l'UE, on a choisi une monnaie unique pour faciliter les échanges en plus de l'abolition des frontières dans la zone euro, de très bonnes idées sur le papier mais très problématique en réalité). Si cela ne vous plait pas, c'est comme ça et ça ne changera pas.
Désolé mais cet article que vous récitez régulièrement n'a pas valeur de prophétie, vous vous permettez de décréter ce qu'est une économie saine sans avoir le moindre recul sur ce que vous avancez.
Les états européens essaient tous de réduire leur dette d'autant plus qu'ils sont fortement endettés et la pratique actuelle ne prouve absolument pas un changement de pratiques. Les taux d’intérêt négatifs n'ont absolument pas fait baisser la pression sur le sujet, demandez à la Grèce ou l'Italie qui ont fait d’énormes effort et subissent encore une grosse la pression de l'Europe sur le sujet.
D'ailleurs les taux faibles permettent de racheter la dette précédente a taux plus faible et donc in fine de la réduire.
Avoir confiance dans la BCE ^^ (bon après vous êtes libre d'avoir foi en n'importe quoi)
Avec Mario Draghi qui veut faire tourner la planche à billet à l'infini pour sauver l'euro (c'est pas un plan terrible...).
Tu parles d'une stratégie...« Within our mandate, the ECB is ready to do whatever it takes to preserve the euro. And believe me, it will be enough »
Ils ont anticipé que dalle :
Dix ans après Lehman, le mea culpa des dirigeants de l’OCDE et de la BCE
Et là ça va être encore pire parce que Christine Lagarde va bosser pour la BCE... (d'un côté le krach arrivera plus vite ^^ c'est pas une si mauvaise nouvelle que ça)De son côté, Jean-claude Trichet alors gouverneur de la Banque centrale européenne (BCE) de 2003 à 2011 a récemment avoué dans un entretien à l'AFP que des signaux avaient laissé entrevoir une fragilité du marché hypothécaire américain mais que c'est le 9 août au matin qu'il a pris véritablement conscience de cette crise.
En Suisse ça fonctionne bien...
Des toutes petites choses comme la préférence nationale aident pas mal.
PRÉFÉRENCE NATIONALE À L'EMBAUCHE : LA SUISSE A OSÉ
La France a toujours été une terre d’accueil, mais il ne faut pas laisser entrer n'importe quoi, il faut vouloir participer au projet Français, si tu ne comptes pas t'intégrer t'as rien à foutre ici.Depuis le 1er juillet, la Suisse a mis en place une “préférence indigène” pour les métiers connaissant un fort taux de chômage. Au détriment des travailleurs frontaliers.
Le chômage ne fera qu'augmenter en France, parce que ça coûte moins cher de produire ailleurs, l'avenir ne va pas être radieux.
Les suicides d'agriculteurs ne sont pas prêt de baisser...
Là avec la crise il y a des choses qui reviennent.
Andrea Camilleri : « La majorité des Italiens ont adoré Mussolini, et cette volonté d’obéissance n’a jamais disparu »
Mussolini brûle la dette italienne
Il y a une théorie qui dit que les crises économique amène des leaders assez dur.En 1928, Benito Mussolini brûle symboliquement la dette publique italienne sur la flamme de l’Autel de la Patrie à Rome : « J’estime que l’Etat, déclare-t-il, doit intervenir le moins possible. J’ai laissé conduire au cimetière bien des banques. J’ai préféré les laisser mourir que d’infliger au contribuable italien des charges de plus en plus lourdes pour sauver des imbéciles ou des voleurs ».
Par exemple les révolutionnaire on ruiné la France, après il y a eu Napoléon Ier, empereur des Français le 18 mai 1804.
Il y a eu la crise en Allemagne, après il y a eu Adolf au pouvoir.
En plus soft on peut dire que si Trump est arrivé au pouvoir c'est grâce à la crise.
C'est la faute aux banques, parce qu'elles ne font que de la merde.
Cela a beau être des étrangers, cela reste des êtres humains, pas des objets, ou je ne sais quoi, un minimum de respect stp.
Et sinon, comment tu sais si un mec qui veut venir dans ton pays veut participer "au projet Français" ? Tu lui pose la question à la douane et tu le crois sur parole ?
Sachant que vu la gueule que prend le "projet Français", je ne suis déjà même pas sûr que tous les français eux-mêmes veuillent y participer, alors bon, tu parles d'un argument pour faire le tri parmi les étrangers qui veulent venir...
Aucun sens de l'humour... (bon en même temps j'avais fais exprès pour voir si je ça déclencherait un hystérique.)
Il y a des tests à faire pour gagner une nationalité.
La nouvelle loi sur la nationalité entrera en vigueur le 1er janvier 2018
Nationalité suisse: le parcours du combattantLes candidats à la naturalisation doivent en outre s’être familiarisés avec les conditions de vie en Suisse et ne doivent pas mettre en danger la sûreté intérieure ou extérieure de la Suisse.
Si on regarde le peuple ça va...Les « Faiseurs de Suisses », selon l’expression consacrée, vérifient dans le détail la motivation et la moralité des personnes intéressées, qui doivent par exemple savoir disserter sur le parcours de Guillaume Tell et donner le lieu du siège du Parlement fédéral. Dans les communes, si l’un des voisins du candidat s’oppose à sa demande, la naturalisation sera refusée.
Le problème en France ce sont les élites. (médias, politiciens, gros patrons, banquiers, etc)
Après si quelqu'un n'aime pas la France il peut se barrer, toutes les frontières de Schengen sont ouverte, bon par contre si vous voulez allez aux USA, au Canada, en Australie, au Japon, ou un peu près n'importe où dans le monde, il y a aura une vraie douane. Pour une blague sur Twitter tu peux te faire refuser l'accès aux USA.
Ah l'humour, cette excuse bidon que tu nous sors tous les 3 messages car en plus d'avoir des propos de merde, tu n'as pas le courage de les assumer.
Osef c'est en Suisse.
Et la par exemple, y'a rien du tout qui te choque ?
Si tu veux faire parti du "projet Suisse", que tu passe tous leurs tests, avec ta disserte sur Guillaume Tell ( désolé les amis Suisse, mais pour le coup c'est d'un ridicule tout ce que je vois écrit là...), que tu fais tout bien, que t'as un boulot, tu paies tes impôts, et tout le tintouin, t'es un citoyen exemplaire, et si y'a 1 mec dans ton quartier qui n'aime pas ta gueule car tu n'es pas blanc de peau, tu peux ne pas avoir ta nationalité et tu trouve cela normal ?
C'est surtout plus d'actualité (mais bon, c'est Ryu et que cela va dans son sens).
Dans la plupart des cantons, si tu remplis les conditions requises (X années sur le territoire, bien intégré, etc) et que la Confédération n'y trouve rien concernant la sécurité, la personne aura la nationalité.
Je sais qu'il existe certaines places où ils font passer un questionnaire mais cela fait souvent débat car c'est des questions que même nous, on ne saurait pas y répondre.
Et au passage, les Faiseurs de Suisse, c'est une expression tiré d'un film suisse qui date de 1972.
Voilà pour le hors-sujet.
Non mais là j'ai clairement fais exprès de mettre quoi à la place de qui...
La Suisse c'est peut-être le meilleur pays au monde.
En plus elle ne fait chier personne...
Je saurais convaincre mes voisins, ils ne trouveraient rien à me redire.
Au pire le voisin récalcitrant, je l'invite pour manger des röstis, je lui paie 4 absinthes à l'apéro et on est bien.
Si ça ne suffit pas on fera une fondue moitié-moitié sur la terrasse un samedi midi en pleine canicule.
Voilà ! Pour gagner une nationalité il faut être bien intégré.
En France il y a des histoires louches :
Une infirmière se voit refuser la nationalité française car elle «travaille trop»
L'infirmière, qui cumule trois emplois et effectue en moyenne près de 271 heures de travail pas mois, soit 59 heures de travail par semaine, est considérée en infraction «au regard de la réglementation sur le temps de travail en France». Cette dernière limitant à 48 heures par semaine et « 44 heures par semaine en moyenne sur une période de douze jours consécutifs», selon le site service-public.
Selon les informations de 20 Minutes, la demandeuse déboutée ne compte pas en rester là et devrait ainsi faire appel de la décision auprès du ministère de l'Intérieur. Par ailleurs, sur Twitter, de nombreux internautes n'ont pas manqué de faire signaler que le dépassement du temps de travail était une pratique très courante dans le milieu hospitalier français.
Merci donc de confirmer que d'habitude, ce n'est pas de l'humour à chaque fois, et que tu tiens bien sur ce forum des propos plus que douteux voir parfois hors-la-loi.
HAHAHA TROLOLOL²
Oui c'est bien connu que pour faire changer d'avis à un raciste, il suffit de lui proposer une fondue, ils sont cons tous ces peuples qui subissent du racisme depuis plusieurs siècles, ils auraient pu penser à la fondue, c'est pourtant pas sorcier...
Quitte à vouloir troller en faisant de l'humour, essaie au moins de ne pas être moins drôle qu'un carambar...
La Suisse n'est pas un paradis sur Terre, ça c'est l'image que tu te fais. J'avais un ami Suisse et tkt, c'est pas non plus la folie. Chaque État a des problèmes, Suisse inclus.
Le pays joui en revanche d'un statut spécial en Europe qui lui permet d'être neutre. Son armée est, techniquement, la 1er force armée d'Europe en cas de conflit (neutralité, tout ça tout ça) qui est envoyé (je le sais de mon frère qui a fait les Cadets de l'air il y a quelques années) sur le terrain. Le service militaire est pêchu là bas, ils ont même, je crois, leur arme chez eux car ils estiment qu'en cas de guerre, tout citoyen doit pouvoir être mobiliser immédiatement.
En France, la naturalisation est longue, fastidieuse et d'une galère sans nom. Comment je le sais ? Un membre de ma famille (mariage, tout ça tout ça) qui est d'origine Taïwanaise a du faire le processus et tkt pas, il y a des questions que même le Français de base pourrai pas répondre tellement c'est pêchu.
Je me positionne pas sur le reste de la discussion, mais en l'occurence il n'a pas totalement tort. La plupart des gens qui sont racistes le sont beaucoup moins après 2/3 actes de gentilesse, et une discussion. Evidemment les clichés tout ça ça reste, mais le côté dégoût/haine est rarement plus que de la méconnaissance et des préjugés. Je parle d'expèrience avec le paquets de pote qui ont des parents qui était raciste, et parfois comme il faut hein , la plupart de ces potes m'ont fait remarqué une claire amélioration du respect qu'avait pour moi leurs parents. C'est mon expérience, mais je pense franchement pas être une exception.
Et effectivement les Suisses possèdent tous leur arme chez eux après le service militaire. 95% des foyers armés, t'imagine le nombre de cambriolage hein
Cours du dollar, l'euro etc...
Il y a plusieurs facettes à un cours de change.
D'une part il y a le calcul de sa cotation, comme répété plus haut, c'est l'offre et la demande. En gros, les acheteurs annoncent qu'il sont prêts à payer un certain prix pour une certaine quantité - généralement importante - les achats de particuliers sont peu signifiants par rapport aux courtiers qui par définition, font des plus gros chiffres en réunissant les petites transactions ce qui leur permet de peser pour négocier un meilleur cours.
A ce jeu là , on peut coter n'importe quoi dès lors qu'il y a des transactions. Ainsi l'eau salée n'est pas cotée car personne n'en achète alors que le pétrole ou l'or sont cotés très finement parce que des millions de transactions ont lieu en permanence (l'or est un métal critique très utilisé en industrie)
Conclusion, le cours d'une monnaie est d'autant plus précis qu'il y a beaucoup de transactions dans cette monnaie.
Si le dollar est une unité de réserve, c'est surtout parce que le nombre et montant des transactions en dollar sont plus élevés que n'importe quoi d'autre.
Rapporté aux cryptomonnaies , ça donne quoi ?
Par définition , les crypto sont discrètes et décentralisées. Une partie au moins des transactions en crypto sont complètement invisibles. Elle ne peuvent donc pas apparaître dans le cours. D'autre part, on ne peut rien acheter en crypto, on doit convertir en dollars ou euros auparavant et c'est là que pointe le sommet du problème :
Qui va accepter le change entre une crypto et une monnaie souveraine ?
Ou dit autrement : qui est assez fou pour donner un million d'euros en échange d'une poignée virtuelle de bitcoins ?
Le million, il faut l'avoir dans sa caisse avant d'accepter de le changer. Seule une banque répond à ce critère.
Facebook n'est pas une banque. Facebook ne vend que de la pub. C'est le plus petit et le plus instable des GAFAM. Son trésor dépend du bon vouloir des gens qui se connectent, du fonctionnement de ses serveurs qui ne sont pas un modèle de performances....
Dans tous les cas, celui qui effectuera le change de/vers une monnaie souveraine devra de conformer aux lois.
Pour ceux qui en doutent : le ministère de l'économie française peut interdire une crypto sur son territoire en un trait de plume.
Ouais ok il y a des mauvais côtés comme partout, mais en tout cas ils ont un peu plus de libertés d'expressions.
Si t'écoutes les dicodeurs, ou si tu regarde Vincent Veillon et Vincent Kucholl des fois t'entends des blagues qui ne passeraient pas en France.
Et pis bon en Suisse, il n'y a pas l'euro, c'est cool
Leur monnaie est trop forte, ça peut être un problème, mais ça a des bons côtés aussi.
En fait c'est en train de changer à cause de l'UE.
Les Suisses durcissent la législation sur les armes
Pourquoi mon hypothétique voisin chiant en Suisse serait raciste ?Face à la menace d'une sortie de l'espace Schengen, les Suisses ont largement accepté la réforme. Une seule région, le Tessin, a dit non.
Et peut-être qu'il en parlera pas et que tout ira bien.
Bon après c'est vrai que le racisme anti français est très présent en Suisse, mais je me dis qu'en sur-compensant avec des drapeaux Suisse partout, ça passerait mieux.
J'en ai rien à foutre du racisme, c'est pas mon sujet...
D'après moi les français d'origine étrangère sont des victimes, exactement comme les français de souche.
L'immigration ça a d'abord servi à faire baisser les salaires et ça a ensuite servi à créer du chômage, ça vient des gros patrons comme Bouygues.
Et après il y a eu le regroupement familial...Francis Bouygues : « Cette main d’œuvre étrangère est une main d’œuvre que j’aime beaucoup, parce qu’y a 20 ans que je travaille avec une majorité d’étrangers, donc j’les connais bien. Les étrangers sont des gens qui ont beaucoup de qualités, et ils ont une qualité fondamentale pour moi employeur, qui a toute ma sympathie, c’est que si ils viennent chez nous c’est pour travailler, et à la base ce sont des gens très courageux. Que ce soient des nord africains, portugais, espagnols, ils viennent ; ils savent qu’ils viennent pour travailler, ils cherchent à travailler et ils sont très courageux. Alors ça c’est à leur actif, mais par contre, ils parlent pas notre langue, ils sont pas tellement qualifiés et puis ils viennent avec une idée en tête, c’est d’amasser un pécule et de nous quitter quand ils auront un pécule suffisant. Donc, ça n’est pas une main d’œuvre stable et c’est une main d’œuvre que nous ne pouvons pas former et nous n’avons pas l’espoir que si nous la formons, nous pourrons la conserver. Et finalement, des hommes qui vous apportent leurs bras tous les jours et qui laissent leur pays natal à 2000 kilomètres, leur femme, leurs enfants, leur foyer, disons leur cœur à 2000 kilomètres, on peut pas dire qu’ils soient vraiment disponibles.
Racisme anti-noir : « Comment le Maghreb en est-il venu à rejeter son africanité ? »
Moi ce que je n'aime pas c'est : les médias, les banques, les grosses entreprises, les politiciens.
Mais au final les médias et les politiciens ne sont que les chiens des banques et des grosses entreprises... (ils appartiennent soit à des banques, soit à des grosses entreprises)
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Bon après il y a un truc très énervant, c'est que ceux qui sont à fond pro migrants, sont pour la tolérance, l'égalité entre les sexes, alors que les migrants qui se font passer pour des réfugiés Syriens, sont des Afghans, des Érythréens et des Soudanais qui généralement n'aime pas trop les homosexuels et ne laisseraient pas leur femme montrer un avant bras...
Comme dit l'avocate ils n'ont pas les codes culturels :
Dans la Manche, l'affaire du réfugié acquitté d'un viol fait polémique
La défense de l'avocate a parfaitement fonctionné.C'est un verdict qui choque, embrase les réseaux sociaux et agite les politiques. Le 21 novembre, la cour d'assises de la Manche a acquitté un jeune réfugié d'origine bangladaise du viol d'une lycéenne de 15 ans à Saint-Lô, dans la Manche, fin 2015. Ce dernier a en revanche été condamné à deux ans de prison avec sursis assortis d'une mise à l'épreuve pour l'agression sexuelle d'une autre jeune fille mineure, à quelques semaines d'intervalle, dans son logement au foyer des jeunes travailleurs de Saint-Lô. Le parquet peut encore faire appel de cette décision.
Au procès, l'avocate de la défense a invoqué des difficultés d'interprétation de son client qui «n'avait pas les codes culturels» pour prendre conscience qu'il imposait une relation par crainte ou par surprise, selon un article de La Manche libre qui relate l'affaire.
andreas parle de libra
Libra : Facebook renonce à sa vision ambitieuse sur la cryptomonnaie,
suite aux pressions des régulateurs
La semaine dernière, Donald Trump s’était clairement positionné comme opposant au projet Libra (cryptomonnaie lancée par Facebook) et plus généralement a la crytomonnaie (Bitcoin, Ethereum et autre). Plutôt cette semaine, lors d’une comparaison devant un comité du Congrès américain, David Marcus, entrepreneur américain d'origine française et suisse, directeur du projet de cryptomonnaie Libra de Facebook, s’est présenté avec un message simple : Facebook sait que les décideurs sont préoccupés par la Libra et qu'il ne fera pas avancer le projet tant que leurs préoccupations ne seront pas résolues.
Contrairement a sa vision initiale, les commentaires de Marcus lors des audiences de mardi et mercredi ont laissé voir un changement radical dans la conception de la Libra par Facebook. Dans la vision initiale de l'entreprise, la Libra serait un réseau ouvert et largement décentralisé, semblable à Bitcoin. Le réseau central ne serait pas à la portée des régulateurs. La conformité à la réglementation incomberait aux bourses, aux portefeuilles et aux autres services constituant les « rampes d'accès et de sortie » de l'écosystème de la Libra.
Cet ambitieux projet, porté par la vision précédemment énoncée, n’a jamais été du goût de Donald Trump et du Gouvernement américain. Selon le président des États-Unis, Bitcoin et d'autres cryptomonnaies ont une valeur très volatile, basée sur de l'air, ils ne représentent pas de l'argent. « Si Facebook et d'autres entreprises veulent devenir une banque, elles doivent rechercher une nouvelle charte bancaire et être soumises à toutes les réglementations bancaires, à l'instar des autres banques, nationales et internationales » avait laissé entendre Trump, via son compte Twitter.
Au vu de des perceptions divergentes, Facebook semble maintenant reconnaître que sa vision initiale était inappropriée. Ainsi, cette semaine, David Marcus a esquissé une nouvelle vision de la Libra. Une stratégie dans laquelle la Libra Association(consortium mobilisant environ 28 sociétés des secteurs de la finance, du commerce électronique, des technologies et des télécommunications) assumera une responsabilité importante pour assurer le respect des lois relatives au blanchiment de capitaux, au financement du terrorisme et à d’autres crimes financiers.
En effet, cette déclaration du responsable du projet Libra fait suite à la prise de position non seulement du président américain, mais aussi du président de la Réserve fédérale Jerome Powell, qui, lors d'une sortie, avait déclaré au législateurs que le plan de Facebook visant à créer une monnaie numérique appelée Libra ne pourrait pas aller de l'avant s'il ne répondait pas aux préoccupations concernant la confidentialité, le blanchiment d'argent, la protection des consommateurs et la stabilité financière.
« La nouvelle position de Facebook répond à certaines des questions que j'ai soulevées portant sur la fonction de la Libra la semaine dernière. Mais cela soulève également de nouvelles questions auxquelles Facebook devra répondre dans les mois à venir ». A la suite de ces mots, Marcus a déclaré mercredi que la Libra Association exigerait que les fournisseurs de services basés sur la Libra se conforment à la réglementation, mais il n'a pas expliqué comment ils le feront.
La mise en regard des déclarations de Facebook et de Libra de juin avec celles de Marcus de cette semaine montre clairement que leur position a considérablement changé. « La Blockchain Libra sera ouverte à tous : tout consommateur, développeur ou entreprise peut utiliser le réseau Libra, créer des produits et créer de la valeur ajoutée par le biais de leurs services », écrit Facebook dans son livre blanc de juin. « L'accès ouvert garantit peu de barrières à l'entrée et à l'innovation et encourage une concurrence saine qui profite aux consommateurs. Ceci est fondamental pour l'objectif de créer des options financières plus inclusives pour le monde ».
Le livre blanc indiquait clairement que la Libra ne serait pas totalement décentralisée. Le consortium autour de la Libra organiserait le processus de compensation des transactions de la Libra et conserverait le pouvoir de décider qui pourrait être un validateur. L'association gérera également la devise conventionnelle qui sauvegardera la valeur de la Libra.
Model centré sur la protection des utilisateurs
En somme, la vision de Facebook pour la Libra s'inspirait du modèle décentralisé, basé sur la prudence des utilisateurs, des cryptomonnaies classiques telles que Bitcoin. Le service de portefeuille de Facebook, Calibra, respecterait les réglementations américaines en matière de protection des consommateurs, de blanchiment d’argent, de sanctions, etc.
La prise de parole de Marcus mercredi a présenté un changement brusque dans la position de Facebook. Lors de l'audience de mardi devant le Comité sénatorial des banques, les sénateurs ont interrogé Marcus à propos du risque de blanchiment d'argent et d'autres crimes financiers sur le réseau Libra. Marcus a pris un ton très différent de celui de ses collègues un mois plus tôt.
« En ce qui concerne le réseau Libra, nous aurons un programme de lutte contre le blanchiment d'argent », a déclaré mardi l'ancien président de PayPal, David Marcus . Plus tard, il a promis de s'assurer que « les mesures appropriées sont prises pour éviter que ce réseau ne soit utilisé à d'autres fins que celles pour lesquelles il avait été conçu ». Mercredi, Marcus a pris un engagement plus spécifique, en promettant que l’association autour de la Libra « mettra en place des garanties qui obligeront les fournisseurs de services du réseau Libra à lutter contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et d’autres crimes financiers ».
La nouvelle Libra et l’ouverture
Les réseaux tels que Bitcoin et Ethereum sont totalement ouverts et sans autorisation : n'importe qui peut créer des services et des logiciels pour ces réseaux sans demander l'approbation préalable de quelqu'un d'autre. Bitcoin et Ethereum peuvent s'en tirer parce que personne ne possède et ne contrôle ces réseaux. Aucune autorité de réglementation ne pouvant imposer une amende ou une peine d'emprisonnement pour non-conformité, les autorités de réglementation ont donc concentré leurs efforts en matière d'application sur les intermédiaires en périphérie du réseau.
Par contre le consortium autour de la Libra contrôlera en fin de compte le réseau de la Libra à la fois parce qu’il décide qui peut être un validateur et qu’il aura le contrôle de la devise utilisée pour chaque pièce de la Libra. Les régulateurs peuvent donc faire pression sur l'association Libra pour qu'elle applique les lois sur l'ensemble du réseau Libra. Une question clé est de savoir comment l’association appliquera les exigences réglementaires. La manière la plus évidente de le faire serait d’exiger que chaque transaction en Libra soit signée par un service de porte-monnaie préalablement approuvé par la Libra association.
Ensuite, l’association pourrait vérifier périodiquement ces portefeuilles, s’assurer qu’ils respectaient de manière adéquate diverses réglementations et faire des rapports aux autorités américaines et du monde entier. Ou inversement, l’association pourrait exiger d’un portefeuille qu’elle obtienne d’abord l’approbation des autorités de réglementation des pays où elle est active et qu’à ce moment-là, ajouter le service de portefeuille à la liste officielle des services approuvés. Cela représenterait un changement radical dans la conception de la Libra. Cela augmenterait la barrière à l'entrée pour les nouveaux services financiers basés sur la Libra. Ce serait important, car abaisser les barrières à l'entrée, tant pour les portefeuilles que pour les utilisateurs des régions du monde, est l'un des objectifs déclarés du projet Libra.
La nouvelle Libra et la préservation des libertés
Certaines personnes utilisent le réseau Bitcoin via des intermédiaires tels que Coinbase. Mais d'autres le font en créant leurs propres clés publique et privée et en soumettant directement des transactions au réseau Bitcoin à l'aide d'un logiciel open source. Le livre blanc Libra original prévoyait que les comptes appartiendraient à « des utilisateurs finaux directs du système ainsi qu'à des entités, telles que des portefeuilles de conservation, agissant pour le compte de leurs utilisateurs ».
Mais cela semble difficile à concilier avec les affirmations répétées de l'association selon lesquelles elle n'interagira pas directement avec les consommateurs. Les propriétaires de ces adresses Libra non-privatives de liberté interagissent directement avec le réseau Libra. Aucun autre intermédiaire n'est impliqué, seule l'association Libra aura le pouvoir d'exiger de ces utilisateurs qu'ils fournissent le type d'informations d'identification requises par la réglementation.
En bref, il existe un compromis assez fondamental entre l'ouverture du réseau et l'application effective de la réglementation régissant les réseaux de paiements. Si l'association en charge de la gestion de la Libra ne dispose pas d'un moyen d'imposer la conformité des fournisseurs de portefeuille, les criminels pourront se tourner vers des services de portefeuille qui ne respectent pas strictement les règles, ou télécharger un logiciel de portefeuille open source et utiliser un compte non-dépositaire.
Le défi de Facebook dans les mois à venir consiste donc à concevoir une nouvelle architecture réseau : un réseau suffisamment verrouillé pour satisfaire les régulateurs et aussi suffisamment ouvert pour attirer un écosystème de développeurs sain. L'entreprise pourra ajouter un système de paiement basé sur la Libra à WhatsApp et à Messenger, donnant ainsi instantanément au nouveau réseau des millions d'utilisateurs.
Source : YouTube
Et vous ?
Croyez-vous en ce projet de cryptomonnaie de Facebook ?
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Peut-on faire un rapprochement avec la récente sortie de Donald Trump ?
Le Sénat, sera-t-il capable de convaincre Facebook d'être plus ouvert sur la Libra ?
Etes-vous pour ou contre la Libra ?
Voir aussi :
Le président de la FED appelle Facebook à suspendre le projet Libra, jusqu'à ce que les inquiétudes des régulateurs du marché financier se dissipent
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« Les conditions ne sont pas remplies pour que la France accepte l'utilisation de Libra », a déclaré Bruno Le Maire
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