Nous ne sommes pas dans un procès d'intention, mais d'interprétation de texte.
L'histoire que tu nous présentes donc ensuite n'a donc aucun rapport avec la discussion actuelle.
Comme je le répète, nous sommes tout à fait ouvert à ce que son auteur nous dise qu'il s'agit là d'un choix de mots malheureux.
Cela ne peut donc pas être un procès d'intention.
Si je peux reprendre ton histoire, c'est comme si ton beau-frère répondait à de telles accusations/inquiétudes, suite à un évènement X en disant:
"Non, non, rassures toi, je n'y vais pas pour mater. Après t'es franchement coincée du cul, si elles ont des tenues aussi moulantes, c'est aussi pour qu'on les regarde. C'est pas de ma faute si elles me mettent leurs fesses sous mes yeux, c'est pour me séduire, va lire la stratégie du sexe.". Puis il part en chantant le refrain de "les p'tites femmes de Pigalles".
Je ne connais pas ta sœur, mais je présumes que si ton beau-frère répondait de la sorte, il se prendrait quelques baffes.
Contrairement à ta sœur, nous ne sommes pas opposé à ce que Jipété fasse de la Zumba.
Mais s'il se tire des balles dans le pied, qu'y pouvons-nous ?
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