Discussion :

[ericb2]

Bonjour,

Je fais partie des développeurs qui n'ont pas suivi le fork d'OpenOffice, et sont restés fidèles à OpenOffice (voir ma signature), et je vais essayer simplement d'expliquer ce que ressentent les petits développeurs comme moi (ceux qui écrivent du code type C, C++ etc).


Incivilité (+ ignorance et avarice ?) de la part des utilisateurs : aucun merci ni retour des utilisateurs (moins de 1% disent merci ou disent quelque chose en retour).

Il y a même un étrange paradoxe : personne ne donne un centime pour un logiciel d'ordinateur, même bien conçu, alors que des milliards en euros de petites sommes (allant de ~ 1 euros à 5 euros pour schématiser) sont dépensés SANS MÊME RÉFLÉCHIR par un grand nombre d'individus pour des applications de qualité très discutable, qui se clonent les unes les autres pour les smartphones. On pourrait parler aussi des téléphones portables, de leur prix et de l'arnaque aux données personnelles (une montagne d'argent gagnée sur la bêtise des gens) en comparaison.

Pour OpenOffice, on se posait la question : près de 100 millions d'utilisateurs, et seulement quelques dons. Et si on l'avait vendu 1 euro symbolique ? ... aurait-on eu 100 millions pour payer des développeurs pour l'améliorer ?

J'ai testé avec un logiciel que je développe depuis 2 ans 1/2 : reçu 0 euro en retour, alors que je sais qu'il est utilisé. (pour en savoir plus, chercher : avec les mots clés miniDart framagit)

Les Licences associées au code sont aussi un problème (je ne vais mentionner que les extrêmes, pour simplifier) :

- la licence GPL = protège (un peu) le développeur qui peut quand même se faire piller son code (c'est difficile quand même), mais celui-ci n'est pas utilisable par une boîte (à cause de l'effet contaminant)
- la licence MIT = ne protège pas du tout le développeur, mais lui apporte de la notoriété. Cependant, rien n'est reversé par les (devs des) entreprises qui en abusent. Il s'agit quelquefois de milliers d'heures de travail.

Mes références : suivi de plusieurs années sur le développement : d'OpenCV, ffmpeg, SDL, OpenOffice, et plein de petits projets libres.


Je me suis aussi posé la question du pillage du code sur github et gitlab : il y a quelques jours j'ai réécrit un algorithme de ralenti, parce que celui que 'tout le monde conseille' et utilise, n'était ni fiable, ni précis (amha). Pire : j'ai demandé plusieurs fois sous quelle licence étaient certains codes, et je n'ai reçu qu'une seule réponse précise pour toutes mes demandes.

En fait, après réflexion, c'est surtout le pillage d'IDÉES qui est concerné sur ces plateformes (c'est la raison pour laquelle je ne poste pas tout ce que je fais dessus). Ce n'est pas un hasard si Microsoft a racheté github. Mais ici, vous prenez un écosystème qui va forcément s'appauvrir à la longue car la créativité semble s'essouffler (amha).

En fait, ce sont toutes les raisons que j'évoque plus haut qui m'ont poussé à m'inscrire sur ce site, car gitlab ou github ne me semblent pas suffisants pour qu'un projet libre puisse survivre.

Enfin, pour la fragmentation de Linux, je suis assez d'accord, mais je pense qu'un standard est en train d'émerger, et c'est l'avenir qui nous le confirmera

Bonnes fêtes à tous

--
qɔᴉɹə

L'association EducOOo : http://www.educoo.org

https://framagit.org/ericb

https://github.com/ebachard

[Jipété]

--snip--

Salut,

un mot en retour : je pense que c'est le système d'achat/paiement/rétribution etc. qui ne va pas.

Je serais plutôt du style à payer, mais il y a un tel écart (psychologique ?) entre l'entrée en possession (et donc l'utilisation) d'un logiciel et sa rétribution que ton discours ne m'étonne pas : je clique, je télécharge, j'installe, j'utilise, j'ai fini je passe à autre chose et j'oublie de/je ne pense pas à payer.

Et on a pris de mauvaises habitudes, dès le départ : "attends, passe-moi une disquette vierge, je te recopie Dos 3.3" et voilà, le pli était (mal) pris.

Je ne vois pas trop comment revenir en arrière pour repartir dans une bonne direction.

À propos de l'achat par smartphone : je ne sais pas comment ça se passe, n'en ayant pas, mais je peux supposer qu'il suffit d'avoir établi un lien entre son compte bancaire et l'appli qui va bien sur son tél. pour pouvoir payer simplement, un peu comme je paye au market de proximité en mode "sans contact" avec ma CB.

Tiens, ça me fait penser : si les claviers étaient équipés d'un lecteur sans contact comme les terminaux du commerce, ça serait plus facile, et les gens de bonne foi s'inventeraient moins d'excuses ; là on a (j'ai) peur des risques du commerce sur le web, on entend trop d'histoires de piratage, et la seule méthode que les banques ont inventé c'est la validation par sms, et moi qui ne suis pas équipé je suis à la rue.

Bon dimanche,

[chrtophe]

J'ai testé avec un logiciel que je développe depuis 2 ans 1/2 : reçu 0 euro en retour, alors que je sais qu'il est utilisé. (pour en savoir plus, chercher : avec les mots clés miniDart framagit)

Je ne vois pas trop comment revenir en arrière pour repartir dans une bonne direction.

La taxe sur la copie privée ? Le freemium ?

Le freemium est une idée pas trop mal, on se fait rémunérer soit par de la maintenance, ou par de la pub, ou par d'hypothétiques utilisateurs qui payent pour des fonctionnalités supplémentaires. Mais là on n'est plus dans le libre.

Les gros projets qui réussissent se font subventionner, .. ou racheter comme pour OpenOffice par exemple. Et à partir du moment ou on dépend de subventions de gros (au lieu de beaucoup de petits dons), il y a automatiquement un lien de subordination (risque de perte de la subvention), ce qui à mon avis à déclenché le fork de LibreOffice, les développeurs ayant eu des divergences d'opinion.

Le paradoxe est aussi de râler sur un logiciel gratuit, telle fonctionnalité manquante ou pas assez abouti, alors qu'on est pas prêt à payer, ni à donner un coup de main.

Mais on s'éloigne du sujet.

[Tuxzen]

Si c'est sont métier,ou si ont veut en vivre alors cela ne sert pas d'être bénévole !!

Le troc, existe, et le troc d'idées et de projet peut aussi existé.

Le monde est égoïste ou égocentrique, mais qui ne pense pas avant tout à sa poire ?

La philosophie de la liberté informatique, est plutôt de l'altruisme et tourné sur le bien commun.

Il est aussi possible d'en faire un moyen de rémunération, mais les desktop libre sont tourné vers l'entraide dans l'esprit du père fondateur :

Très court, très clair ( même avec l'accent )
C'est quand même une pointure dans développement du code !

[j_wings11]

sinon, tu fais en sorte qu'on puisse jouer à toute la bibliothèque Steam et tu verras du monde débouler...
mais bon je doute que Mr Torvald ai le "temps" de vraiment jouer, donc il n'envisagera même pas cette réponse.

[Steinvikel]

Si le particulier ne fait que peu de dons dans la sphère informatique (je généralise), c'est déjà nettement moins prononcé chez les entreprises, qui répartissent souvent des dons annuels ou mensuels sur des solutions gratuites, qui autrefois leur étaient inévitablement payantes. Pour les entreprises, c'est également un moyen de pérenniser la solution utilisé, voir de permettre son évolution.

Bien que le FLOSS est basé sur l'entraide et la "générosité", il n’exclue pas du tout l'usage d'employés rémunérés. Ce qui est trop peu absent aujourd'hui dans le monde du libre, ce sont non pas les employés (tiers ou non) rémunérés (subventionnés, sponsorisés...), mais les employés rémunérés à produire du libre. Car beaucoup de contributions rémunérés le sont sous l'étiquette de l'open-source ou du gratuit (sous-entendu "libre accès"), alors qu'aucuns de ces travaux ne rejoignent le bien communs pour autre chose que l'utilisation finale standard qu'ils permettent, plutôt que de libérer l'idée et son code, c'est laissé derrière une vitrine, inaccessible, simplement observable, et rarement en totalité.

[edrobal]

Ce n'est pas tellement Linux le problème mais son environnement. J'utilise Linux depuis très longtemps, à l'époque, c'était une aventure et presque du masochisme. Puis les distributions se sont améliorées jusqu'à atteindre un optimum il y a quelques années. Depuis on revient lentement mais sûrement à l'époque héroïque : extrême complication, manque de fiabilité, incompatibilités multiple...
Un exemple : j'utilise pgadmin III pour gérer une base postgress. J'ai voulu tester la nouvelle version. Avec Windows, on télécharge un exe et on l'exécute. Avec Linux, pas d'installeur. On est redirigé vers d'autres sites sans explication sur quoi y faire. On est sensé être un gourou avec la boule de cristal adéquate.
En fait, les développeurs de logiciels libres travaillent pour la plupart sans souci des utilisateurs. Après tout c'est gratuit.
Ce manque de professionnalisme est sûrement la cause du problème plus que la fragmentation qui n'en est qu'une conséquence.

[LittleWhite]

Avec Linux, pas d'installeur. On est redirigé vers d'autres sites sans explication sur quoi y faire. On est sensé être un gourou avec la boule de cristal adéquate.

Mais ça, c'est un problème lié au développeur du logiciel. Sous Linux, je suis d'autant plus content d'avoir un gestionnaire de paquets, que d'aller sur X sites tous bizarres ou abandonnés pour récupérer le logiciel Windows qu'il me faut.
Je ne connais pas pgadmin, mais je pense que l'on peut s'y retrouver avec le gestionnaire de paquets : https://packages.debian.org/jessie/pgadmin3 ?

En fait, les développeurs de logiciels libres travaillent pour la plupart sans souci des utilisateurs. Après tout c'est gratuit.

Moi, je trouve qu'ils sont d'autant plus soucieux, car :

• on peut leur remonter les problèmes sur les plateforme de suivi de bogues du projet ;
• on peut toujours patcher pour améliorer et leur permettre d'améliorer la situation.

Alors, que sous Windows, avec des logiciels que les développeurs ferment (plus par habitude liée à la plateforme que par réelle raison), on ne peut rien faire de cela.

Il n'est pas rare d'utiliser un logiciel sous Windows, vieux de X années, avec des bogues, qui ne verra plus jamais d'amélioration ou de correction car le développeur a disparu, son code avec lui (et pour finir, sur des sites de téléchargement de logiciels bizarres ). Et ce, même si le logiciel est gratuit.

[edrobal]

Mais ça, c'est un problème lié au développeur du logiciel. Sous Linux, je suis d'autant plus content d'avoir un gestionnaire de paquets, que d'aller sur X sites tous bizarres ou abandonnés pour récupérer le logiciel Windows qu'il me faut.
Je ne connais pas pgadmin, mais je pense que l'on peut s'y retrouver avec le gestionnaire de paquets : https://packages.debian.org/jessie/pgadmin3 ?


Moi, je trouve qu'ils sont d'autant plus soucieux, car :

• on peut leur remonter les problèmes sur les plateforme de suivi de bogues du projet ;
• on peut toujours patcher pour améliorer et leur permettre d'améliorer la situation.

Alors, que sous Windows, avec des logiciels que les développeurs ferment (plus par habitude liée à la plateforme que par réelle raison), on ne peut rien faire de cela.

Il n'est pas rare d'utiliser un logiciel sous Windows, vieux de X années, avec des bogues, qui ne verra plus jamais d'amélioration ou de correction car le développeur a disparu, son code avec lui (et pour finir, sur des sites de téléchargement de logiciels bizarres ). Et ce, même si le logiciel est gratuit.

Mais justement, mon gestionnaire de paquet ne me propose que pgadmin3 que j'utilise avec satisfaction mais en acceptant des bogues qui n'ont jamais été corrigé. Quant au traitement de ces bogues par les développeurs, c'est très variables et je ne parle même pas des régressions qui sont légions.
Et si vous croyez que les logiciels en déshérence sont l'exclusivité de Windows, pour ma part, j'en ai récupéré plusieurs que j'ai adapté à mes besoins.

[LittleWhite]

Et si vous croyez que les logiciels en déshérence sont l'exclusivité de Windows, pour ma part, j'en ai récupéré plusieurs que j'ai adapté à mes besoins.

Donc, c'est ultra bien d'avoir accès au source. Et encore plus, vous pouvez proposer vos adaptations au reste de la communauté et ainsi, redonner vie au projet.

[Steinvikel]

Ce que je lis sur LittleWhite (#209), c'est pas que les bugs sont inexistant sur linux... mais qu'il est impossible de permettre à d'autre de les corriger si le code est fermé, chose qui est bien plus commune sur Windows que sur linux. Et c'est d'autant plus important que le développement du dit logiciel est abandonné, a pris fin.
C'est l'un des buts de la licence GNU GPL, assurer la possibilité à tout un chacun de pouvoir le faire.

[Tuxzen]

Le code du fait qu'il est librement consultable, je suppose que pour certains c'est une source d'inspiration ?

Du fait que l'ont vie dans un monde tourné ou centrer vers sont égo, beaucoup cherche ces intérêt avant tout.

D'après mon point de vue, je remarque deux sorte d'individus, l'un est tourné vert un état d'esprit propriétaire, et l'autre tourné vers le service, et des actes ou intentions altruiste.

J'ai des problème de dyslexie, cela se situe au niveau de la lecture, des fautes d'orthographe.

Au tout début j'ai découvert dans les années 80 les débuts de Dos, et puis l'informatique et Windows, plus je découvrez, plus grande était la volonté d'aider, puis un jour un ami développeur ma fait découvrir et connaître GNU/Linux, il m'a simplement dit, tu verras !, cela ira bien avec les dépannages que tu effectues sur les ordinateurs.

J'ai découvert un esprit de service et d'entraide, que se que je faisais pouvez rendre encore plus service, et me suis sentie utile, parfois j'apprenais des choses des autres.

Le gratuit ou le payant, n'est pas un problème pour moi, du moment que l'ont n'oublie pas se côté fraternel.

En découvrant l'histoire de la photocopieuse de Richard Stallman, j'ai vue à quel point les choses cherché à se désolidariser de se côté fraternel, pour crée des procédures privatrice.

Je ne vois pas pourquoi le bien commun, ne pourrai pas gênerai des modèles économiques ?

Maintenant les concepts privateur s'applique même aux graines des cultures.

C'est bien plus, qu'une question lier à l'ambiguïté sur le mot Free !

Le problème sur les desktops, doit tenir compte de la nature humaine.

Si certains ont passé le cap, de la participation et veulent de la reconnaissance ou être rémunéré ou rétribuer, au lieu de choisir des dispositif comparable à ceux employant des modèles privateur, il existe certainement des solutions pratique baser sur le service payant.

Il existe de nombreuses entreprises basée sur le service à partir d'outils libre ayant créé des modèle économique viable, il suffit de chercher et de créer peut-être son propre modèle.

[chrtophe]

Avec Linux, pas d'installeur. On est redirigé vers d'autres sites sans explication sur quoi y faire. On est sensé être un gourou avec la boule de cristal adéquate.

Il y a en général la façon simple, via les dépôts, et la version plus compliquée, la compilation. Utiliser les dépôts des distros intègrent souvent des versions anciennes (question de stabilité), mais il reste possible d'utiliser des distros en rolling release ou les backports.

[edrobal]

C'est exactement la raison du sujet : Pourquoi Linux a de la peine à s’imposer sur le desktop mais pas à cause de la fragmentation de l'écosystème.
La façon simple via les dépôts n'offre pas tout et pas les dernières versions, quant à la compilation, d'abord, ce n'est pas à la portée du simple quidam, ensuite cela peut vous amener à une vrai galère de manque ou d'incompatibilité de dépendances. Je parle d'expérience.

[LittleWhite]

La façon simple via les dépôts n'offre pas tout et pas les dernières versions

Pour cette raison, j'ai opté pour la distribution Manjaro. Mais en effet, cela est vrai pour Debian, mais Debian, c'est la stabilité qui est mise en avant (notamment, pour un serveur).

[Jipété]

mais il reste possible d'utiliser des distros en rolling release ou les backports.

Euh, je n'ai jamais strictement rien compris à la complexité effroyable des tutos qui nous expliquent justement comment sortir des rails pour utiliser des méthodes alternatives et choper des versions "instables" mais plus récentes.

De plus, je ne vois pas pourquoi il faudrait que je passe des heures et des heures dans des tutos imbitables au risque de casser mon sources.list juste pour avoir la dernière de The Gimp, qui ne devrait pas mettre en péril la stabilité de la machine, quand même. Résultat, je reste avec l'ancienne.

Et autant je suis d'accord pour avoir une stabilité absolue et des contrôles de tous les côtés pour une machine serveur, autant pour un desktop c'est hors de propos : il faut que les distros inventent un autre système.

EDIT : lol ! j'ai écrit ce qui précède pour répondre à chrtophe sans avoir lu les deux réponses qui suivaient son post, et je constate après avoir posté que nous sommes donc trois à dire exactement la même chose.
On met bien le doigt là où ça fait mal.

[LittleWhite]

Bah, je vais me répétez, mais ceux qui veulent vraiment des trucs à jour, tout en ayant un gestionnaire de paquets et de la facilité d'utilisation, vous devriez tester Manjaro. C'est simple, c'est efficace, il n'y a pas de configuration compliqué à faire (même pour changer de noyau, c'est simple) et c'est en rolling release. Si je le conseille, c'est que moi aussi, j'en avais marre des Debian/Ubuntu avec Gimp pas mis à jour (et lorsque j'ai voulu mettre à jour à la main, j'ai pété ma machine) et marre des Gentoo/Sabayon qui étaient trop dures à configurer et qui se pétaient aléatoirement car des paquets instables étaient acceptés.

[Tuxzen]

Toute les distributions complète, que se soit Manjaro, LinuxMint ou Ubuntu, Fedora et bien d'autres ont maintenant une prise en main simple, et facile.

De nombreux Wiki très bien fait circule sur le net.

Si ont veut créer sa propre distribution, il suffit de se tourner vers : http://www.fr.linuxfromscratch.org

Les dépendances dans les dépôt suivent des procédures, qui dépendent des librairies et programme nécessaire au fonctionnement d'une ou plusieurs applications, maîtriser se domaine n'est pas complexe, il suffit de contacté ceux qui ont conçu le projet, mais sur le net il existe aussi des tutos qui permettent de reconstituer les dépendances, c'est juste une façon de s'y prendre !

De nos jours madame Michou, n'a pas besoin de faire cela, une distribution récente le fait sans problème, et d'une façon assisté.

Y a toujours une façon de chercher la petite bête !

Tout s'apprend et se comprend.
Une fois compris est utilisé rien ne devient plus simple.

[edrobal]

Si c'était vrai, Linux se serait fait une place dans le Desktop or ce n'est pas le cas. Cela fait près de 20 ans que je suis passé sur Linux, depuis que Mandrake avait créé une distribution facile à installer et configurer. N'empêche que je n'aurais jamais fait passer quelqu'un de ma famille sur Linux. C'est toujours et malheureusement resté un système pour bidouilleur. Et cela ne s'améliore pas bien au contraire.
Quant à créer sa distribution ou compiler ses logiciels, quelle farce.

[Tuxzen]

Tout est outil, tout s'apprend !
Comme tout, tout a un temps d'apprentissage.

Moi c'est le contraire, je l'ai fait connaître à beaucoup de personnes, et il non jamais us à se plaindre de sont fonctionnement.

Certain ont appris des choses que j'ignore, et maîtrise bien cet OS !

Pour un usage bureautique, multimédia et Internet c'est très fonctionnel, mais bon, ont peut être de mauvaise fois, faire du mauvais esprit, rechercher la petite bête !

Il y aura toujours des personnes pour se plaindre de windows, et d'autre qui cherche le moyen d'en faire autemps pour GNU/Linux.

Et ça sans fin !

Moi aussi cela fait 19 ans que j'utilise exclusivement GNU/Linux, et dans se qu'ont dit il y à a boire et à mangé.

Rien n'est parfait en se monde, surtout pas aux yeux de personnes exigeante !