Sauf que, encore une fois, il faut voir aussi le point de vue d'un jeune homme célibataire. Les associations, c'est comme le travail ou la politique, tu peux faire des rencontres mais à la base les femmes n'y vont pas pour être draguées. Les bars, les soirées, faut payer à boire sans garantie de résultat, et généralement il y a plus d'hommes que de femmes, donc bon courage pour t'imposer.
Tinder il y a deux hommes pour une femme (avant de compter les faux comptes, bots, couples qui cherchent une plant à trois...), et c'est le meilleur ratio du marché, sur certains sites on est plus proches de 100 pour une, et souvent, un homme doit payer pour avoir toutes les fonctionnalités (pour une femme, c'est toujours gratuit).
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Ah cela il faut rajouter les attentes de la société. L'homme est sensé être entreprenant et faire toutes les démarches, payer pour tout. La femme est sensée rester passive à attendre les hommes...mais aussi filtrer impitoyablement ses prétendants. Selon des critères dépassés, d'ailleurs: une femme est sensée prendre un homme au moins aussi diplômé qu'elle (préférablement plus) mais aujourd'hui deux-tiers des diplômé de fac sont des femmes
même problème pour les revenus, le niveau social général. Sans surprise, les femmes se plaignent de ne plus trouver de "bons" hommes.
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Et concernant la drague dans la rue, c'est comme les quémandeurs—ils le font parce qu'avec assez de tentatives, ils finissent par avoir une réponse positive.
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