Bonjour, bonsoir bienvenue.
En deux mots : bon jour, bon soir, bien venu.
La nuance est d'une subtilité des plus déconcertante tellement le langage des us et locultions varie et grandie de jour en jour de droite et de gauche, rarement directement dans l'acception originelle de chacun des termes expérimenté sans mesure proportionnelle de leur(s) sémantique formelle et, ou effective.
Je veux ici causer alphabet dans un premier temps, digits et base ; Puis expression, formé de chacun des digit de chacune des bases, liés par d'autre concepts relationnel que l'identification complexe d'une sémantique quelconque puisque rien n'est encore prouvé scientifiquement ; Et tant mieux car quelque soit la finalité d'une solution, son point de rupture est sujet à la variabilité des transitions possible du progrès ou de la régression.
Alphabétiquement, la franco-phonie est sensiblement, déjà, divergente de la souveraineté anglo- saxonne.
Je n'écrirai pas phonétiquement ici, ni n'utiliserait de gesticulations autres que celle qui me permette de computer des textes latino- français.
Je souhaite poser une base de discution sur le langage franco- phone avec une petite discordance concrète entre le verbiage et le dialogue.
L'expression "nationnalité" relative au centré langage parisien m'a récemment heurté lors du dépos de dossier de demande de carte nationnale. En effet, le préposé à la réception des demande motivé par un questionnement gouvernemental et, ou personnel, voir dénué de sens, m'a demandé quelle est ma nationnalité.
D'abort la question été au singulier.
En suite, j'ai répondu, français ; A quoi il insista pour me faire choisir en dépis du bon sens : française.
Cependant, j'avais, me semble t- il déjà répondu à la question permettant de signifier la nature de mon genre : M : masculin ; mâle ; (h/H)omme aurait convenu consensuellement, mais effectivement, c'est mâle ou femelle ? (m'embrouillez pas avec le reste s'il vous plait ici).
Donc ma nationnalité : français.
D'un autre côté, je n'ai aucune idé du sens que pourrait prendre cette invitation aux dialogue que nous pourrions entretenir objectivement ici.
J'ai cependant remarqué que beaucoup de locution(s) habituelle(s) ont étées dérivées à l'écrit. Sont- elles les fautes des scribes moyennageux, des montagnar ou des otoctone cloitré dans une bi- coque d'un navire hypothétique cherchant à rejoindre la terre 6000 ans (voir plus) avant notre aire et, ou sa superficie ?
Personnellement, moi je sèche.
Merci pour votre répartie, votre réthorique, entendement, préhension, ainsi que votre cohérence relative à mon espace expressionel d'un univers que finalement je mets en question.
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