En bref, une autre forme de souffrance. Mais bon, moi, je ne fais que citer mon chef, hein, les anglo-saxons, je n'ai pas beaucoup pratiqué. A part l'anglo-américaine qui a fait le premier contact pour ma boite actuelle, mais qui a surtout fait de la logistique(et vérifié que je savais parler en Anglais au téléphone assez bien pour leurs besoins). C'est peu, pour faire un échantillonnage, deux coups de fil purement pratiques de 15 minutes chacun. Pour des raisons(je subodore parce-que j'étais du même coin qu'elle, une connerie dans ce genre), la RH coté Français a décidé que je convenait, et qu'elle ne s'opposerait pas à mon entrée.
Tiens, ça me rappelle un entretien en Allemand, ça. D'ailleurs, j'étais trop bon(ben oui, quand on a bossé en Allemagne, on est tout de suite plus balèze en Allemand...), le gars s'est senti menacé, et m'a fait écarter. Tant mieux, je n'étais pas fait pour l'industrie automobile. Parfois, l'injustice a du bon.
Pour la jeune RH aux dents longues, certainement. Pour lui, pour son équipe, pour le DSI, et pour nous qui avions désespérément besoin de ses services, c'était plutôt une douleur profonde dans le fondement, sans aucune compensation orgasmique.
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