Discussion :

[arknos]

Bonjour,
(Je ne sais pas si mon sujet est à sa place, merci de le déplacer au mieux si besoin.)

Le projet est un projet personel pour le moment et je vous invite à participer.
J'ai un problème je que souhaite étudier avec vous.

J'écris deux petits programmes dans l'objectif de parvenir à un petit modèle d'intelligence artificielle qui fonctionnerais en binomme Ada, Prolog grâce au traitement d'un univers du discours dans un langage proche d'un langage naturel.

D'un côté, avec Ada, je traite déjà le langage naturel d'une certaine façon pour dialoguer avec un réseau de neurones artificiel.
De l'autre, j'étudie Prolog pour concévoir une machine rationnelle pour émettre un univers de discours et traiter "un discours particulier".

Mon probllème et que je dois partager des information de type "texte" en fullduplex permanent entre les deux programmes.

Je viens chercher les meilleurs idées pour le faire.

Voici les miennes :

- communication par fichiers ;
- communication par sockets.

Dans les deux cas, si vous pouviez m'indiquer où pourrais-je trouver des information sur les sujets ?

Quelle(s) serai(en)t la ou les meilleurs façon de procéder ?

S'il vous plait ?

Merci.

[arknos]

Bonjour.
Architecture :
- un client (Prolog) faisant appel à un serveur (Ada ou Prolog).
- un client (Ada ou Prolog) faisant appel à un serveur (Prolog).
- le serveur prolog -> faisant appel à un serveur Ada via client Prolog.
- le cleint prolog -> répondant à l'utilisateur via Prolog.

J'ai trouvé comment communiquer dans le système Ada/Prolog par socket.
Je pense que je vais resté sur cette méthode pour la future première version.

Merci pour votre patience. Et bon week end.

[arknos]

Bonjour,

Je parviens à transmettre des phrase de minimum 10 caractère maximum 99, les avertis saurons peut-être me dire comment passer un entier de Prolog à Ada par socket...

Voici un exemple de requête du programme intermédiaire anpe-0.4.4c.




En ligne 1 : ma requêtes.
En ligne 2 : d'abort j'écris "no, " parce que c'est une phrase interrogativement reconnue.
En suite la réponse du réseau en réseau.
En ligne 3 : j'écrit "but :" parce que des fait ont étés enregistrés auparavant et match le requête courante.
En ligne 4, 5, 6 : les faits matchant justement la requête courante.
En ligne 7 et 9 : line new.
En ligne 8 : le client demande dans une forme interrogative de confirmer l'enregistrement du fait courant.
En ligne 10 : d'ou le prompt yes/no? |:
En ligne 11 : je reprend la main.


Merci pour votre aide concernant le passage d'un entier Prolog -> Ada.

Vous pouvez suivre ce projet dans la section Mon programme du forum.

En réalité l'architecture sensiblement différente de celle prévue.

A part ça, je cherche l'architecture suivante, soit le Serveur Ada étant le Client Ada du serveur Prolog.
Ici c'est Prolog qui va fournir un service au service Ada pour allimenter au mieux (logiquement parlant) la base de connaissance côté Ada et ainsi les client côté Prolog (utilisateur).

Comme ceci, les utilisateur distant "partagerons" peut-être logiquement un langage commun.

Good luck !

[Matthieu76]

un petit modèle d'intelligence artificielle qui fonctionnerais en binomme Ada, Prolog

Je serais toi j’éviterais le langage Ada, quasiment personne ne programme en Ada, utilise plutôt le Python se sera beaucoup plus simple pour toi je pense et tu aura moins de mal à trouver de l'aide et comme ça tu pourras utiliser TensorFlow pour tes réseaux de neurones.

Et je serais toi j'éviterais aussi le prolog, j'en ai fait en cours et personnellement je trouve cela vraiment pas terrible.

En ligne 2 : d'abort j'écris "no, " parce que c'est une phrase interrogativement reconnue.

Pourquoi "non" et pas "oui" ou "peut-être" ou n'importe quoi d'autre ? Répondre non à tous les questions n'est pas une solution viable.

En ligne 3 : j'écrit "but :" parce que des fait ont étés enregistrés auparavant et match le requête courante.

Pourquoi ?

En faite, je ne vois pas à quoi sert le prolog dans ton projet. Et aussi pourquoi tu ne fais pas une communication prolog-prolog et ensuite utilise un réseaux de neurones pour passer du prolog à l'anglais et un second réseaux de neurones pour passer d'une question en prolog à une réponse en prolog.
Comme ça tu aurais quelque chose du genre :

question en anglais => réseaux de neurones 1 => question en prolog => réseaux de neurones 2 => réponse en prolog => réseaux de neurones 1 => réponse en anglais

[arknos]

Bonjour Matthieu,

Pour répondre à vos questions, dans un premier temps je réponds no parce que c'est une phrase interrogative dans le cas contraire c'est yes, et dans le dernier c'est i dont know.

Enfin la fonction principale du réseau de neurones n'est pas de traduire ou d'interpréter, le réseaux de neurone à vocation à modéliser l'I.A. sur un exemple effectif de discours dans un langage proche d'un langage naturel. C'est un réseau qui apprends continuellement, et potentiellement réfléchie seul.

Edit Enfin REM_NN_Wrapper est ce qu'il est et moi je l'utiise de façon à ce que, ... ou presque.

[Matthieu76]

c'est une phrase interrogative dans le cas contraire c'est yes, et dans le dernier c'est i dont know.

À la question "What is your name ?" ni "no" ni "yes" ne sont une bonne réponse.

le réseaux de neurone à vocation à modéliser l'I.A. sur un exemple effectif de discours dans un langage proche d'un langage naturel. C'est un réseau qui apprends continuellement, et potentiellement réfléchie seul.

Et bien bon courage car ça ne va pas être facile. Tu vas galérer longtemps avant d'avoir un résultat potable.

[arknos]

D'abord je doit dire que mon prototype est plus que "potable", C'est un logiciel artisanal donc pour une utilisation artisanale, qui ne demande qu'à être enrichie de connaissance et qui déjà peu ne pas être idiot qu'il en à l'air.
Sauf que pour le moment j'ai du bricoler pour communiquer entre Prolog et Ada par sockets. Ainsi que pour placer le bon signe en fin de phrase (interrogative ou affirmative) ; Et je débute avec Prolog.

[arknos]

Le programme réponds "yes" or "no" or "i dont know" selon la réponse du réseau et non pas la requête de l'utilisateur.
En suite la réponse est complétée par les info sur les faits enregistré avec Prolog.

Dans la version beta 0.5.3 dispo sur arknos.net, en suite le programme relance.