« L’humour est une forme d'esprit railleuse qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité »
Les antifas grévistes sont les meilleurs alliés du grand capital.
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- Pour l'immigration incontrôlée et la suppression des frontières
<==> libre-circulation des capitaux, des marchandises et des hommes, favorisant le dumping social et les déstabilisations ethniques.
.- Contre les tendances politiques nationalistes et protectionnistes, assimilées au "fascisme"
<==> soutien sans faille de la démocratie de marché (l'opinion collective est commandée par les médias privés, ie par les puissances d'argent), ainsi que du système politique actuel : parlementaires inutiles et omnipotence de l'UE sur les États.
.- Contre la sélection par le mérite, pour l'universalité de l'enseignement supérieur sans critères de compétences
<==> favorise l'indifférenciation des jeunes adultes, et par conséquent, une sélection à l'entrée de la vie active d'une férocité implacable et inégalée, dépassant le cadre du mérite académique (c'est-à-dire égalitaire), pour inclure des paramètres inégalitaires : le réseau (lié au milieu social, à la géographie) aussi appelé "piston", les "soft skills" (c'est-à-dire le caractère profond d'une personne, immuable et fixé, lié à la chance), l'ouverture d'esprit, là encore lié à l'éducation familiale, donc au milieu social (un fils à papa de 22 ans aura plus de chances d'avoir visité n pays, de parler 3 langues et de montrer une ouverture d'esprit plus développée).
Être contre la sélection dans le supérieur, c'est s'accorder avec l'idéologie libérale, en deux temps : indifférenciation des individus (suppression des barrières de genre, de race, de culture...), et réification marchande des individus ainsi séparés (chaque individu est réduit à une minorité active, qui va revendiquer ses propres privilèges de minorité (je suis noir, je suis gros, je suis gay...) pour survivre dans un environnement ultra-concurrentiel).
En gros, être contre la sélection dans le supérieur, c'est être de facto pour une concurrence exacerbée entre les gens ordinaires : c'est donc de droite.
Il ne serait pas surprenant de découvrir le Medef ou Terra Nova parmi les soutiens financiers et logistiques de ces trublions d'extrême-gauche...
Sans parler du rôle de "fabrique à chômeurs" de l'université dans ce cas : des gens munis de diplômes sans valeurs, incapables de rien faire de concret de leur dix doigts, sont de parfaits consommateurs citadins qui sont incapables de survivre sans le maintien du système marchand en place : c'est pas eux qui feront la révolution.
Vos "connards de 5 ans d'âge mental" sont des BHL en puissance. Vous voyez ce qu'est BHL, je vous fais pas un dessin...
Quant à l'aspect purement matériel - pour ne pas dire matérialiste - de ces manifestations, il ne faut pas trop se formaliser là-dessus car c'est la marque de fabrique des trotskystes, aussi appelés idiots utiles du Grand Capital et pieds nickelés du libéralisme-libertaire.
Un peu de grain à moudre pour votre caboche bien creuse :
Affligeant...
Bizarrement, je n'en entends que peu parler sur Arté. Par contre si, Montpellier, j'en ai entendu parlé par contre .
Ce que je ne comprends pas est le fait que la police ne puisse intervenir. Ils auraient dû être viré dès les premières heures, et si les étudiants résistent... ben ils en assument les conséquences... au bout d'un moment faut arrêter les conneries.
Toujours une minorité qui viennent emmerder leur monde, emmerder ceux qui veulent travailler, en crachant à la gueule de la démocratie. Voir l'argent du contribuable jeté de la sorte pour des petits cons irrespectueux de la chance qu'ils ont. Cela va être super-agréable pour les prochains étudiants, de profiter de tels locaux... Tout comme c'est super-agréable de voir l'argent du contribuable jeté de la sorte aux fenêtre... quand on sait en plus qu'on manque de moyens de l'éducation supérieur... génial.
Les lois sont mal foutues, c'est comme quand une maison se fait squatter la justice est hyper lente, ça prend des mois et des mois pour faire quelque chose.
C'est pour ça que les gens du village ou de la cité se réunissent pour virer les squatteurs eux même.
Montpellier : des étudiants expulsés de la fac de droit par un commando cagoulé et armé
Philippe Pétel, doyen de la fac de droit de Montpellier, démissionne après les violences dans l'université
C'est parce qu'ils acceptent tout le monde. (tu ferais pas une licence, un master, un doctorat avant d'entrer dans le monde du RSA ?)
Les antifas qui dégradent sont contre productif, ils ne rendent pas service aux étudiants.
À cause des antifas les étudiants passent pour des casseurs...
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Edit : Il y a du nouveau :
À Montpellier, après le départ en vacances des bloqueurs, la police vient constater les dégâts
«Intervention policière pour débloquer l’université Paul Valéry. 50 flics pour... 0 étudiant-e-s», a réagi le syndicat Solidaires Etudiants 34 sur les réseaux sociaux: «Le comité de mobilisation avait pourtant prévenu qu’il n’y aurait personne», poursuit-il, voyant dans cette action «ridicule», «l’incompétence de la direction». «Il ne s’agit pas d’une opération de police dans le but d’en déloger les occupants. La préfecture sait très bien qu’ils ont quitté les lieux depuis vendredi, indique justement Patrick Gilli, président de l’université. Cette opération a pour but de voir l’étendue des dégâts à la fac notamment suite au saccage des serveurs informatiques».
Keith Flint 1969 - 2019
C'est à cause d'un principe médiéval et obsolète, confirmé à de maintes reprises jusque dans les lois les plus récentes, que l'on appelle la franchise universitaire. Selon ce principe, le maintien de l'ordre dans son université incombe au président de l'université, et lui seul. De ce fait, lui seul peut faire appel aux forces de l'ordre.
De retour, plus sportif mais toujours aussi moche.
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Pro: Programmation en C/C++ (embarqué ou non)
Loisir: Programmation en C++11/14/17 avec la STL ou Qt 5
Selon l'article que tu cites c'est le président de l'université qui peut autoriser les forces de l'ordre à rentrer sur le site. Cela ne change pas l'étonnement de Neckara (que je partage totalement), pourquoi ne pas demander aux force de l'ordre d'intervenir directement? Loin de moi l'idée d’empêcher toute forme de manifestation, mais les élèves savent qu'en bloquant une université ils risquent d'être délogés par la force.
Je me rappelle des blocus aux Lycée, le lycée se retrouvait bloqué le matin peu avant l'ouverture des portes, et en général à midi les CRS avait fait évacué tout le monde (parfois avec une violence totalement non justifiée mais c'est un autre débat, je me rappelle d'une élève se prenant un gros coup de pied de CRS dans le dos). Au final les élèves ne perdaient en général qu'une demi journée de cours, les manifestants s'étaient fait entendre, point final.
Les forces de l'ordre n'étant pas sous l'autorité du président d'université, sa demande ne signifie pas automatiquement l'évacutation. Regarde Tolbiac, le président d'université a chouiné dans les médias pendant des semaines avant que la prefecture de police n'intervienne. Après, le président peux aussi juger que l'intervention des forces de l'ordre dégradera la situation, si les bloqueurs ne fond pas trop de merde; après tout tu souligne toi-même que les CRS ont souvent la main (très) lourde, c'est comme pour une perquisition chez un quidam, les CRS peuvent tout casser. Voir le président d'université peut aussi être contre la reforme incriminée et laisser faire volontairement les étudiants.
Mais quand le recours aux forces de l'ordre est demandé, vu la caractère politique de la situation, en général la police préfère attendre que la mobilisation s'essoufle, voir (comme a Montpellier) que les bloqueurs partent d'eux-même (des grêvistes qui partent en vacances, "lol") comme ça ils peuvent faire une intervention modèle devant les médias, sans blessés de part ou d'autres, et la faute pour tous les dégâts sera sur les étudiants plutot que sur la police, donc l'opinion sera plus favorable au gouvernement. Regarde Tolbiac, c'est un cas d'école, la préfecture de police a attendu le moment propice pour intervenir. La police peut intervenir au plus fort de la mobilisation, mais les CRS qui tabassent des étudiants qui resistent passivement voir pas du tout et les locaux saccagés par la police, ça sera beaucoup moins bien reçu par l'opinion.
D'ailleurs parmi ceux qui ne comprennent pas la passivité des forces de l'ordres, je parie que beaucoup se plaindraient que les CRS sont infoutus de faire les choses proprement s'ils y allaient comme des bourrins.
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