IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)
Navigation

Inscrivez-vous gratuitement
pour pouvoir participer, suivre les réponses en temps réel, voter pour les messages, poser vos propres questions et recevoir la newsletter

Affichage des résultats du sondage: Pensez-vous que l'addiction aux jeux vidéo devrait être considérée comme un trouble mental ?

Votants
69. Vous ne pouvez pas participer à ce sondage.
  • Oui

    28 40,58%
  • Non

    34 49,28%
  • Sans avis

    7 10,14%
Développement 2D, 3D et Jeux Discussion :

Les heures passées à jouer à des jeux vidéo ne semblent pas nuire à la santé mentale des joueurs


Sujet :

Développement 2D, 3D et Jeux

  1. #61
    Membre éprouvé Avatar de Alvaten
    Homme Profil pro
    Développeur Java / Grails
    Inscrit en
    Novembre 2006
    Messages
    324
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 34
    Localisation : Suisse

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur Java / Grails
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2006
    Messages : 324
    Points : 1 023
    Points
    1 023
    Par défaut
    Autant je trouve le débat "les jeux vidéos rendent violent / abrutissant" complètement débile, autant le problème de la dépendance me semble existant. Alors dépendance, addiction ou autre terme, on joue sur le mot, mais je connais deux trois personnes qui abusent clairement du jeu et pour qui c'est devenu "nocif". A une période, j'ai moi même beaucoup joué, et j'imagine très bien comment on peut devenir "accro" quand on est très jeune ou si on a des problèmes dans sa vie vu comme certains jeux sont immersif et permettent de nous sortir de la réalité.

    Même si oui clairement ca concerne une petite minorité, et si il y a plein d'autres problèmes existent, ca vaut la peine de faire attention, je pense notamment aux parents qui doivent jouer leur rôle sans devenir paranoïaque.

  2. #62
    Membre expérimenté Avatar de nchal
    Homme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Avril 2012
    Messages
    512
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 31
    Localisation : France, Haute Savoie (Rhône Alpes)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2012
    Messages : 512
    Points : 1 656
    Points
    1 656
    Par défaut
    A la question,
    Pensez-vous que l'addiction aux jeux vidéo devrait être considérée comme un trouble mental ?
    La réponse est clairement : OUI !

    On a tous une connaissance qui a ruiné sa vie (généralement sa scolarité) parce qu'il geekait trop.
    Cette personne a besoin de soin et d'être pris en charge à cause de son addiction qui a entraîné un trouble mental. En effet, il n'est pas normal de rater sa scolarité pour une activité quelconque (sport, e-sport, bouffe, ...)
    Si la réponse vous convient, un petit ça encourage.
    Avant tout nouveau post, pensez à : la FAQ, Google et la fonction Recherche
    Si vous devez poster, pensez à: Ecrire en français, la balise [CODE] (#) et surtout

  3. #63
    Membre émérite Avatar de onilink_
    Profil pro
    Inscrit en
    Juillet 2010
    Messages
    597
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Âge : 32
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Juillet 2010
    Messages : 597
    Points : 2 443
    Points
    2 443
    Par défaut
    Faut pas oublier qu'on parle de cas prédisposés la hein. Le jeu vidéo ne rend pas addict n'importe quelle personne qui va y jouer.
    Je comprend pas cette opposition. Le but c'est avant tout d'aider les gens qui sont dans le besoin, mais aussi de placer des définitions sur quelque chose que trop de personnes ne comprennent pas.

    On peut facilement faire l'analogie avec la dépression qui a été vu beaucoup trop longtemps par certains comme une "faiblesse", ou une exagération, et pas une maladie.
    On parle de personnes qui souffrent, avec des moyens pour les guérir qui sont efficaces et documentés. Alors c'est quoi le problème? Si c'est la peur que les médias utilisent ça pour en faire de la merde... ça s'applique à tout.
    Circuits intégrés mis à nu: https://twitter.com/TICS_Game

  4. #64
    Membre habitué
    Profil pro
    Travail non informatique
    Inscrit en
    Décembre 2010
    Messages
    102
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France, Val d'Oise (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Travail non informatique

    Informations forums :
    Inscription : Décembre 2010
    Messages : 102
    Points : 179
    Points
    179
    Par défaut J'arrête quand je veux !
    J'arrête quand je veux !
    Le marché de la dés-addiction est estimé à combien ?

  5. #65
    Membre extrêmement actif
    Avatar de Ryu2000
    Homme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Décembre 2008
    Messages
    9 600
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 36
    Localisation : France, Hérault (Languedoc Roussillon)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant

    Informations forums :
    Inscription : Décembre 2008
    Messages : 9 600
    Points : 18 513
    Points
    18 513
    Par défaut
    Citation Envoyé par nchal Voir le message
    On a tous une connaissance qui a ruiné sa vie (généralement sa scolarité) parce qu'il geekait trop.
    J'ai entendu parler d'un type comme ça.
    Personne ne s'occupait de son éducation, ses parents étaient nul.
    Sa mère disait un truc du genre "Il ne va pas à l'école parce que c'est trop facile pour lui" alors qu'en réalité il passait la nuit sur des écrans...

    Là le problème c'est l'éducation et les parents qui ont abandonné (ou jamais essayé).
    Mais d'un coté c'est vrai que les tablettes, les smartphones, les jeux vidéo peuvent empêcher les jeunes de faire quelque chose de plus constructif.
    Il faut bien doser le truc.

    Au moins quand tu joues au jeu vidéo t'es actif, alors que celui qui regarde Cyril Hanouna se fait juste abrutir en restant passif.

    Si on compare le nombre de personnes qui ont un problème avec le jeu vidéo avec le nombre de personnes qui ont essayé le jeu vidéo, on voit que c'est quasiment négligeable.
    Là ce qui a touché le plus de monde, c'est les jeux comme Candy Crush, il y a un système de récompense, et ça libère de la dopamine dans le cerveau, ça peut rendre dépendant certaines personnes c'est comme la cocaïne ou les jeux d'argents.
    This is what Candy Crush Saga does to your brain
    First off, it’s simple. The premise of Candy Crush is basic enough for a preschooler – just match three candies of the same colour. Initially, the game allows us to win and pass levels with ease, giving a strong sense of satisfaction. These accomplishments are experienced as mini rewards in our brains, releasing the neurochemical dopamine and tapping into the same neuro-circuitry involved in addiction, reinforcing our actions. Despite its reputation as a pleasure chemical, dopamine also plays a crucial role in learning, cementing our behaviours and training us to continue performing them.
    Keith Flint 1969 - 2019

  6. #66
    Chroniqueur Actualités

    Homme Profil pro
    Webmaster
    Inscrit en
    Janvier 2014
    Messages
    1 089
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Paris (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Webmaster
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Janvier 2014
    Messages : 1 089
    Points : 26 554
    Points
    26 554
    Par défaut France : le débat sur le trouble du jeu vidéo comme maladie s’invite au niveau des instances gouvernementales
    France : le débat sur le trouble du jeu vidéo comme maladie s’invite dans les instances gouvernementales,
    quel traitement préconiser aux personnes qui en souffrent réellement ?

    Depuis que l’Organisation mondiale de la Santé a classé le trouble du jeu vidéo comme une pathologie au même titre que l’addiction à certaines substances comme la cocaïne, l’amphétamine, l’héroïne ou encore la dépendance aux jeux d’argent, les opinions controversées ne manquent pas de se faire entendre sur la question.

    Les personnes soutenant la décision de l’OMS estiment qu’elle est fondée, car de nombreuses personnes affichent parfois des comportements plus qu’alarmants en s’adonnant aux jeux vidéo. Certaines personnes par exemple reconnaissent avoir commencé en tant que simples joueurs occasionnels pour se retrouver en train de passer plus d’un week-end à jouer aux jeux vidéo. Les seules pauses concédées lors de ces parties de jeux vidéo étaient uniquement pour aller se soulager et revenir reprendre la partie.

    D’autres personnes expliquent qu’elles ont commencé les parties de jeux vidéo en tant que hobby, mais cela a vite tourné en trouble obsessionnel. Lorsqu’elles se retrouvaient loin de leurs jeux vidéo, toutes leurs pensées étaient tournées vers les parties terminées ou à terminer au point où elles n’arrivaient plus à se concentrer sur le travail en cours d’exécution. Certaines personnes (les plus jeunes) ont vu leurs résultats scolaires se dégrader et d’autres (les plus âgés) ont parfois perdu leur emploi et ruiné leur vie de famille à cause de leur addiction à ces jeux.

    Nom : Trouble du jeu vidéo.jpeg
Affichages : 5568
Taille : 87,4 Ko

    Selon les critères définis par l’OMS, l’on considère qu’un joueur manifeste le trouble du jeu vidéo lorsque les signes suivants sont reconnus chez le joueur :

    • Le joueur n’arrive plus à faire l’équilibre dans ses activités à tel point que les sessions de jeu prennent le pas sur les autres activités ;
    • Le joueur n’arrive plus à se défaire du jeu en sorte que « même quand les conséquences négatives surviennent, le comportement continue ou s’intensifie » ;
    • Le trouble provoque une détresse accrue et une détérioration des fonctions que ça soit au niveau personnel, familial, social, éducationnel ou professionnel. Cela peut se traduire par exemple par troubles du sommeil, un déséquilibre émotionnel et une déficience des activités physiques.


    Toutefois, de nombreuses personnes y compris certains experts du monde du jeux vidéo ne soutiennent pas la décision de l’OMS qui a classé l’addiction aux jeux vidéo comme une pathologie. Pour cette catégorie de personnes, les études déjà réalisées sur le sujet ne sont pas encore suffisamment convaincantes pour considérer cette addiction comme une maladie. Ainsi, pour ces personnes, l’OMS se serait trop vite précipitée sans avoir de preuves suffisantes pour classer ce trouble comme une maladie.

    Du côté de la France, cette nouvelle décision n’a pas laissé non plus la classe politique sans réaction. Corinne Vignon, députée LREM de la 3e circonscription de la Haute-Garonne, en France, a récemment soulevé certaines préoccupations qu’elle a adressées à Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’État pour plus d’éclaircissements. Dans sa note, la députée reconnaît que « l’absence d’études statistiques ou d’études scientifiques poussées n’a pas empêché l’Organisation mondiale de la Santé d’intégrer, en ce mois de juin 2018, le gaming disorder ou “le trouble du jeu vidéo” dans la classification internationale des maladies ».

    Pour ceux qui auraient des doutes sur la classification de ce trouble comme une maladie, Vignon souligne qu’il « ne s’agit pas du simple recours au jeu vidéo comme un loisir. Le gaming disorder touche ceux qui ne s’arrêtent pas à quelques heures de jeux par semaine, ceux qui ne comptent pas le temps qu’ils passent face à leurs écrans, de jour comme de nuit, au point de développer un changement du comportement (trouble du sommeil, troubles alimentaires, répercussions sur les résultats scolaires, isolement, développement de l’anxiété ou de l’agressivité). Le trouble du jeu vidéo touche essentiellement un public jeune, en pleine croissance, au détriment de son épanouissement tant scolaire, que personnel ».

    Après avoir fait un tour d’horizon sur la question, la députée interpelle l’État sur le fait qu’actuellement les premières cliniques dédiées à la dépendance aux jeux vidéo sont en train d’ouvrir leurs portes dans le monde. Et pour ce qui concerne la France, elle souhaiterait « savoir quelles sont les intentions du Gouvernement en matière d’addiction aux écrans et aux jeux vidéo afin de prévenir et guérir ceux qui en souffrent ».

    Comme la parlementaire le fait remarquer, quelles sont les solutions que l’on peut conseiller aux personnes qui souffrent effectivement de ce trouble du jeu vidéo ? Ou pensez-vous que le mal n’existe pas et donc la question ne devrait pas être posée ?

    Source : Nos députés, OMS

    Et vous ?

    Selon vous, quelles solutions peut-on suggérer aux personnes atteintes de trouble du jeu vidéo ?

    Ou pensez-vous que le problème n’existe pas et donc le problème de solutions ne se pose pas ?

    Voir aussi

    Les loot box des jeux vidéo sont illégales et exposeraient les joueurs vulnérables à la dépendance, estime la justice belge
    Chine : il se coupe la main pour se libérer de son addiction à internet près de 24 millions de jeunes accros au Web dans le pays
    L’addiction à l’iPhone peut entraîner des troubles émotionnels, cognitifs et physiologiques, d’après les résultats d’une recherche
    Que pensez-vous de l’addiction des jeunes aux nouvelles technologies ? À 12 ans, elle empoisonne sa mère pour avoir confisqué son iPhone
    Game of War : un joueur dépense 1 million de dollars en achat in-app dans ce jeu de type MMO sur les 4,8 millions de dollars qu’il a détournés
    Marché mondial des jeux vidéo : le mobile va représenter plus de la moitié des revenus en 2018, soit plus que les jeux de consoles et PC combinés
    Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités

  7. #67
    Membre expérimenté
    Homme Profil pro
    Chargé de projet
    Inscrit en
    Novembre 2015
    Messages
    429
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Seine Saint Denis (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Chargé de projet
    Secteur : Industrie

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2015
    Messages : 429
    Points : 1 684
    Points
    1 684
    Par défaut
    Le point que je trouve dérangeant c'est leur manière de diagnostiquer une addiction au JV / Je vais donc prendre mon cas en exemple :

    "Le joueur n’arrive plus à faire l’équilibre dans ses activités à tel point que les sessions de jeu prennent le pas sur les autres activités ;"
    => le JV est mon hobby principale je passe donc largement les 3/4 de mon temps libre dessus.
    Le problème c'est que les parents/l'entourage vont voir le premier critère et vont découvrir que surprise leur gosse remplis cette case du coup ils vont négliger les autres critères exposé dans l'article.
    Ce sont ces deux critères (ci dessous) qui montrent un phénomène néfaste pas le temps passer sur une activité. (Sinon tout les sportifs pros ont une addiction a leur discipline).

    Les critères vraiment déterminants :
    " Le joueur n’arrive plus à se défaire du jeu en sorte que « même quand les conséquences négatives surviennent, le comportement continue ou s’intensifie » ;
    Le trouble provoque une détresse accrue et une détérioration des fonctions que ça soit au niveau personnel, familial, social, éducationnel ou professionnel. Cela peut se traduire par exemple par troubles du sommeil, un déséquilibre émotionnel et une déficience des activités physiques. "
    Pour ne pas passer pour un boulet :
    http://coursz.com/difference-entre-r...-et-gddr4.html

  8. #68
    Membre régulier Avatar de Zardas
    Homme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Juillet 2018
    Messages
    24
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Loire Atlantique (Pays de la Loire)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Juillet 2018
    Messages : 24
    Points : 101
    Points
    101
    Par défaut
    Les instances gouvernementales françaies qui parlent de jeu vidéo, sortez le pop-corn !

    Plus sérieusement, les critères semblent être assez restreinds pour ne concerner qu'une minorité de personne ayant vraiment une dépendance dangereuse pour leur santé (à condition bien sûr qu'il faille tous les valider). Ca ne rentre pas dans le simple cliché du g@mer (avec un @, c'est important ), donc c'est plutôt bien vu.

    Par contre, si quelqu'un a des infos sur comment ils comptent soigner ça, je suis preneur

  9. #69
    Membre extrêmement actif
    Profil pro
    Analyste cogniticien
    Inscrit en
    Novembre 2010
    Messages
    271
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France

    Informations professionnelles :
    Activité : Analyste cogniticien

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2010
    Messages : 271
    Points : 617
    Points
    617
    Par défaut
    Citation Envoyé par Olivier Famien Voir le message
    quel traitement préconiser aux personnes qui en souffrent réellement ?
    Quel traitement ??!??

    ILS DOIVENT ÊTRE SOIGNÉS PAR LE TRAVAIL TIENS !!!

    Qu'ils arrête de jouer comme des gamins prépubères et qu'ils aillent extraire du charbon dans les mines, au moins ils feront quelque chose de leur vie, et ça ne coûtera pas un sou à la sécu !

    Cela est tellement évident que je me demande pourquoi on paye des politiciens à gaspiller du temps à réfléchir à des problèmes aux solutions aussi évidentes !

  10. #70
    Expert éminent sénior
    Profil pro
    Inscrit en
    Décembre 2007
    Messages
    6 803
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France, Hérault (Languedoc Roussillon)

    Informations forums :
    Inscription : Décembre 2007
    Messages : 6 803
    Points : 32 058
    Points
    32 058
    Par défaut
    Citation Envoyé par Fleur en plastique Voir le message
    Quel traitement ??!??
    non, nous ne parlons pas de traitement de données, malgré le thème principal de ce forum.

    Citation Envoyé par Fleur en plastique Voir le message
    ILS DOIVENT ÊTRE SOIGNÉS PAR LE TRAVAIL TIENS !!!
    mmmh, oui, mais plus précisément? Parceque bon, en France métropolitaine, l'abolition de l'esclavage date quand même de 1315. Ca a été hélas plus tardif dans les colonies, mais c'est arrivé jusque là-bas. Donc on ne peut pas forcer les gens à travailler.

    Citation Envoyé par Fleur en plastique Voir le message
    Qu'ils arrête de jouer comme des gamins prépubères et qu'ils aillent extraire du charbon dans les mines, au moins ils feront quelque chose de leur vie, et ça ne coûtera pas un sou à la sécu !
    mmmh, dois-je rappeler le cout énorme de la silicose? dans le genre je ne coute pas cher à la sécu, tu repasseras...

    Citation Envoyé par Fleur en plastique Voir le message
    Cela est tellement évident que je me demande pourquoi on paye des politiciens à gaspiller du temps à réfléchir à des problèmes aux solutions aussi évidentes !
    Ben, pour justement se rendre compte que les solutions "évidentes" ne sont pas sans inconvénients majeurs(couts sociaux, financiers, illégalité.....)

    (j'aime bien tes interventions à l'emporte pièce, d'habitude, mais là, tu as quand même manqué cruellement de ta précision habituelle)
    Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
    1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
    2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
    3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
    4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
    Et le serment de non-allégiance :
    Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.

  11. #71
    Membre à l'essai
    Homme Profil pro
    Développeur informatique
    Inscrit en
    Septembre 2014
    Messages
    4
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Seine et Marne (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur informatique
    Secteur : Service public

    Informations forums :
    Inscription : Septembre 2014
    Messages : 4
    Points : 19
    Points
    19
    Par défaut
    Un peu comme arond, j'ai surtout du mal avec les critères :

    • Le joueur n’arrive plus à faire l’équilibre dans ses activités à tel point que les sessions de jeu prennent le pas sur les autres activités ;
      • Tant que ça ne prends pas le pas sur des activités nécessaires (pour la santé, l'hygiène ou pour payer ses factures) je ne vois pas où est le problème.
      • Un classement de valeurs des différentes activités de loisir est subjectif. Après je suis d'accord pour distinguer les activités qui font du tort à autrui du reste, mais on n'en est pas là dans ce critère.
    • Le joueur n’arrive plus à se défaire du jeu en sorte que « même quand les conséquences négatives surviennent, le comportement continue ou s’intensifie » ;
      • Là, je suis d'accord. Quand on joue au point de déclencher les symptômes décrits dans le point suivant, il faut être capable de s'en rendre compte et de lver le pied.
    • Le trouble provoque une détresse accrue et une détérioration des fonctions que ça soit au niveau personnel, familial, social, éducationnel ou professionnel. Cela peut se traduire par exemple par troubles du sommeil, un déséquilibre émotionnel et une déficience des activités physiques.
      • Quand on atteint ce stade, c'est déjà un état assez avancé.
      • Par contre attention à ne pas inverser le lien de causalité : parfois ces troubles sont les symptômes d'une addiction, mais ils peuvent aussi en être la cause. Exemple : prenons l'exemple d'un joueur qui n'a aucune vie sociale et professionnelle en dehors de son jeu de prédilection. Comment savoir s'il a perdu sa vie hors jeu à cause de son utilisation abusive de ce dernier, ou s'il a d'abord perdu son boulot et ses relations avant de se réfugier dans le jeu ? Les deux cas sont problématiques, mais ne se résolvent pas de la même façon.


    Pour finir, pourquoi les jeux vidéos et pas d'autres activités pouvant avoir les mêmes conséquences ? J'imagine que d'une part l'image des jeux vidéos auprès de certaines personnes influentes a joué un rôle. Mais peut aussi être justifié par la tendence des éditeurs depuis quelques temps à vouloir absolument rendre les joueurs dépendants pour optimiser l'efficacité de leurs modèles économiques par micro-transaction et/ou abonnement. (Mentalité qui rappelle d'autres industries lucratives.)



    Résumé : Je ne vois pas de problème à reconnaître cette addiction comme tel, tant que le diagnotic et les méthodes d'accompagnement prescrites sont appropriées.

  12. #72
    Membre régulier Avatar de Zardas
    Homme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Juillet 2018
    Messages
    24
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Loire Atlantique (Pays de la Loire)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Juillet 2018
    Messages : 24
    Points : 101
    Points
    101
    Par défaut
    Citation Envoyé par Fleur en plastique Voir le message
    Quel traitement ??!??

    ILS DOIVENT ÊTRE SOIGNÉS PAR LE TRAVAIL TIENS !!!
    J'avoue : Metro, boulot, dodo ça vend vraiment du rêve

    Ta vie doit être bien triste en tout cas : soit tu es sérieux et tu te prives de tout un pan de la culture à cause de ta vision étriquée du monde, soit tu troll et ça se passe de commentaires...

    Citation Envoyé par Daefaer Voir le message
    Je ne vois pas de problème à reconnaître cette addiction comme tel, tant que le diagnotic et les méthodes d'accompagnement prescrites sont appropriées.
    Oui, c'est également la remarque qu'ont fait nombres de medecins s'opposant à cette classification, ils savent qu'ils ne sont pas les mieux placés pour comprendre le jeu-vidéo et, donc, pour traiter les addictions qu'il engendre :

    « Et même la plupart des médecins seraient d’accord qu’ils ne comprennent pas le concept des jeux vidéo, car ils ne sont pas immergés dans ce monde ou cette expérience, » dit-il. Pour Anthony Bean, « le diagnostic CIM n’est pas informé de façon appropriée », puisque la plupart des médecins et tout le champ de santé mentale ne comprennent pas la population du gaming

  13. #73
    Membre extrêmement actif
    Avatar de Aurelien Plazzotta
    Homme Profil pro
    .
    Inscrit en
    Juillet 2006
    Messages
    312
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France

    Informations professionnelles :
    Activité : .

    Informations forums :
    Inscription : Juillet 2006
    Messages : 312
    Points : 934
    Points
    934
    Par défaut
    Citation Envoyé par arond Voir le message
    le JV est mon hobby principale je passe donc largement les 3/4 de mon temps libre dessus.
    Citation Envoyé par Daefaer Voir le message
    Tant que ça ne prends pas le pas sur des activités nécessaires (pour la santé, l'hygiène ou pour payer ses factures) je ne vois pas où est le problème.
    Comme de très nombreuses personnes (cyber)dépendantes, vous êtes vraisemblablement tous deux dans le déni; ce qui est le principal obstacle à une prise de conscience.
    A l'âge adulte, le premier consomme les trois-quarts de son temps disponible sans voir mal le mal et le second ne voit pas le problème non plus tant que l'on fait ses besoins naturels et que l'on prend une douche avant/pendant/après le jeu vidéo.
    Vous avouez vous-même à demi-mots avoir perdu le contrôle et rationnalisez en affirmant que tout va bien, ça me fait vraiment de la peine.
    Vos familles ignorent peut-être votre situation et ne peuvent pas réagir en conséquence mais vous avez besoin d'aide urgemment et pour longtemps.

    Citation Envoyé par Daefaer Voir le message
    • Le joueur n’arrive plus à se défaire du jeu en sorte que « même quand les conséquences négatives surviennent, le comportement continue ou s’intensifie » ;
      • Là, je suis d'accord. Quand on joue au point de déclencher les symptômes décrits dans le point suivant, il faut être capable de s'en rendre compte et de lver le pied.

    Tu mets le doigt sur la vérité mais tu refuses de l'adopter, d'où le déni. Il faut que tu en parles à quelqu'un!
    Je porte l'épée brisée, et sépare les vrais rois des tyrans. Qui suis-je ?

  14. #74
    Inactif  
    Homme Profil pro
    Analyste-Programmeur / Intégrateur ERP
    Inscrit en
    Mai 2013
    Messages
    2 511
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France

    Informations professionnelles :
    Activité : Analyste-Programmeur / Intégrateur ERP
    Secteur : Bâtiment

    Informations forums :
    Inscription : Mai 2013
    Messages : 2 511
    Points : 10 335
    Points
    10 335
    Par défaut
    Citation Envoyé par Aurelien Plazzotta Voir le message
    Vos familles ignorent peut-être votre situation et ne peuvent pas réagir en conséquence mais vous avez besoin d'aide urgemment et pour longtemps.
    o_O

    Donc quelqu'un qui passerait la majorité de son temps libre à coder par exemple, tu l'enverrai se faire soigner ? Pourtant ici, tout le monde appelle ça un "passionné" et n'y voit aucun problème.

    Idem avec quelqu'un qui passerait la plupart de son temps le nez dans des bouquins, il faut qu'il se fasse soigner aussi ? On me souffle dans l'oreillette que non, car la lecture est un hobby approuvé et bien considéré socialement.


    Tous les gens un peu "passionné" par un domaine quelconque y passe énormément de temps, voir souffrent des symptômes décrits ci-dessus, et cela ne gêne personne, pourquoi dans le cas des jeux vidéos, il faudrait les envoyer se faire "aider" ?

  15. #75
    Membre éclairé
    Homme Profil pro
    Ingénieur de recherche
    Inscrit en
    Janvier 2012
    Messages
    325
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France

    Informations professionnelles :
    Activité : Ingénieur de recherche
    Secteur : Agroalimentaire - Agriculture

    Informations forums :
    Inscription : Janvier 2012
    Messages : 325
    Points : 888
    Points
    888
    Par défaut
    Au vu des commentaires, j'ai l'impression que vous prenez le classement de l'addiction aux jeux vidéos comme pathologie comme une attaque contre les joueurs. C'est clairement traité comme ça par les média, qui on de toute façon l'habitude de n'importe quel prétexte pour s'en prendre aux jeux vidéos (fussillade aux USA etc.), mais je ne pense pas que ce soit le cas pour les médecins, qui sont les premiers concernés.

    Il y a plein de maladies mentales qui ne sont que des cas extrêmes de comportement normaux. Si vous vérifiez 3 fois que vous n'avez pas oublié vos clés sur la porte, vous n'êtes pas malade. Si vous perdez 2h tous les jours à tout vérifier avant de partir de chez vous, vous avez un TOC. Idem pour les gens qui ont des hauts et des bas vs les bipolaires, les gens timides vs les phobiques sociaux etc.

    Du coup pour les jeux vidéos c'est pareil. Si vous jouez beaucoup mais que ça ne vous pose pas de problèmes, personne (de médicalement qualifié) ne devrait vous considérer comme malade. Par contre si vous jouez tous les jours jusqu'à 3h du mat et que du coup vous n'arrivez pas à vous concentrer au boulot, ça vaudrait peut être le coup de consulter (je dis ça sans juger, j'étais dans ce cas il y a quelques années).

    Enfin bref, je pense que ça peut être une bonne chose de classer l'addiction aux jeux vidéos comme pathologie, surtout que c'est souvent liés à d'autres problèmes qui pourront être traités en même temps (dépression, anxiété sociale etc.).

    -

    Par contre quitte à définir une pathologie pour l'addiction aux jeux vidéos, pourquoi ne pas faire en sorte que ça englobe aussi les addiction à la TV, à YouTube, voir aux réseaux sociaux? En somme il faudrait plutôt parler d'addiction médiatique que d'addiction aux jeux vidéos.

    Personnellement je ne vois pas de différence fondamentale, au niveau pathologique, entre le mec qui passe 12h/jours à jouer et celui qui passe 12h/jour devant son émission de TV réalité ou ses vidéos de chat, ou 12h sur facebook.

  16. #76
    Membre extrêmement actif
    Avatar de Ryu2000
    Homme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Décembre 2008
    Messages
    9 600
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 36
    Localisation : France, Hérault (Languedoc Roussillon)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant

    Informations forums :
    Inscription : Décembre 2008
    Messages : 9 600
    Points : 18 513
    Points
    18 513
    Par défaut
    Citation Envoyé par Fleur en plastique Voir le message
    Qu'ils arrête de jouer comme des gamins prépubères et qu'ils aillent extraire du charbon dans les mines
    Ils le font déjà dans Minecraft

    Citation Envoyé par Zirak Voir le message
    Idem avec quelqu'un qui passerait la plupart de son temps le nez dans des bouquins, il faut qu'il se fasse soigner aussi ?
    Il parait que le papier peut être dangereux pour les yeux, il devrait lire un peu moins, là il met sa santé en danger.
    Pour vos yeux, le papier peut être plus nocif qu’un écran
    « Si vous lisez une belle revue avec du papier glacé et des reflets de lumière partout, vous fatiguerez plus vite que que devant un ordinateur bien utilisé. [...] Un écran c’est bien plus facile à moduler que du papier. Vous pouvez changer : sa luminosité ; son contraste ; sa colorimétrie ; son orientation ; sa disposition ; et même la taille des caractères. On utilise les ordinateurs pour éduquer les malvoyants c’est donc tout à fait absurde de penser qu’ils pourraient abîmer la vue. »
    Citation Envoyé par Theta Voir le message
    Là j'ai surtout l'impression que ça fait encore partie des gros préjugés / stigmatisation des joueurs dont on a l'habitude (genre à chaque fois qu'il y a une fusillade aux USA, la première chose que font les journalistes c'est de chercher à quel jeux le tireur jouait).
    En fait si vous regardez le documentaire Bowling For Columbine plusieurs pistes sont explorées :
    - Jeux Vidéo violent
    - Musiques
    - Films
    - Histoire et culture du pays
    - Accès aux armes
    etc.

    Ça fait hyper longtemps que je l'ai pas vu, mais en gros ce qui créer des serial killers aux USA, ce sont les médias
    Le journal TV fait peur et les serial killers font la une et sont un peu des stars.

    Il y a des pays avec un accès aux armes faciles, il y a des pays avec une histoire violente, il y a des pays où on regarde les mêmes films, on écoute la même musique, on joue aux même jeux qu'aux USA.
    Il n'y a qu'aux USA qu'il y a autant de tuer par balle, c'est la somme de différents facteurs + les médias.
    Vous avez déjà vu Nightcrawler ? (Night Call en Français)

    ===
    Dans le futur on reconnaîtra l’addiction au réseau sociaux et au smartphone.
    C'est un processus lent.
    Keith Flint 1969 - 2019

  17. #77
    Membre expérimenté
    Homme Profil pro
    Chargé de projet
    Inscrit en
    Novembre 2015
    Messages
    429
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Seine Saint Denis (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Chargé de projet
    Secteur : Industrie

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2015
    Messages : 429
    Points : 1 684
    Points
    1 684
    Par défaut
    Citation Envoyé par Aurelien Plazzotta Voir le message
    Comme de très nombreuses personnes (cyber)dépendantes, vous êtes vraisemblablement tous deux dans le déni; ce qui est le principal obstacle à une prise de conscience.
    A l'âge adulte, le premier consomme les trois-quarts de son temps disponible sans voir mal le mal et le second ne voit pas le problème non plus tant que l'on fait ses besoins naturels et que l'on prend une douche avant/pendant/après le jeu vidéo.
    Vous avouez vous-même à demi-mots avoir perdu le contrôle et rationnalisez en affirmant que tout va bien, ça me fait vraiment de la peine.
    Vos familles ignorent peut-être votre situation et ne peuvent pas réagir en conséquence mais vous avez besoin d'aide urgemment et pour longtemps.



    Tu mets le doigt sur la vérité mais tu refuses de l'adopter, d'où le déni. Il faut que tu en parles à quelqu'un!
    Vous avez vraiment de la chance que je ne sois pas quelqu'un qui s'emporte facilement vous êtes vous relus avant d'envoyer votre message ?

    Vous n'exposez aucun argument et n'apportez que des certitudes tout en envoyant des commentaire désobligeant pleins de jugement à mon égard Vous sentez vous fort parce que vous êtes sur internet ?
    Et si je passes les 3/4 de mon temps libre à coder sa pose toujours un problème ? Avant je passais ce temps à lire puis je suis passé au JV
    Pour ne pas passer pour un boulet :
    http://coursz.com/difference-entre-r...-et-gddr4.html

  18. #78
    Membre extrêmement actif
    Avatar de Aurelien Plazzotta
    Homme Profil pro
    .
    Inscrit en
    Juillet 2006
    Messages
    312
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France

    Informations professionnelles :
    Activité : .

    Informations forums :
    Inscription : Juillet 2006
    Messages : 312
    Points : 934
    Points
    934
    Par défaut
    Au temps pour moi si le vouvoiement est de mise. Le but est de vous juger ouvertement et défavorablement pour vous pousser à une réaction censée. Là, vous confirmez mes propos en faisant usage de rhétorique pour fuir le jugement et éviter de vous remettre en question. Voulez-vous passer 75% de votre existence dans les mondes virtuels?

    J'ai été cyberdépendant pendant 15 ans, j'estime être en mesure d'affirmer qu'il s'agit d'un fléau et si quelqu'un vous aide (ce ne fût pas mon cas, ce qui me coûta 15 années de ma jeunesse) vous pourrez peut-être vous débarasser de ces activités malsaines exercées à outrance.
    La provocation est volontaire, mais il s'agit toujours d'un débat, nullement d'un manque de respect.
    Je porte l'épée brisée, et sépare les vrais rois des tyrans. Qui suis-je ?

  19. #79
    Membre expérimenté
    Homme Profil pro
    Chargé de projet
    Inscrit en
    Novembre 2015
    Messages
    429
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Seine Saint Denis (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Chargé de projet
    Secteur : Industrie

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2015
    Messages : 429
    Points : 1 684
    Points
    1 684
    Par défaut
    Citation Envoyé par Aurelien Plazzotta Voir le message
    Au temps pour moi si le vouvoiement est de mise. Le but est de vous juger ouvertement et défavorablement pour vous pousser à une réaction censée. Là, vous confirmez mes propos en faisant usage de rhétorique pour fuir le jugement et éviter de vous remettre en question. Voulez-vous passer 75% de votre existence dans les mondes virtuels?

    J'ai été cyberdépendant pendant 15 ans, j'estime être en mesure d'affirmer qu'il s'agit d'un fléau et si quelqu'un vous aide (ce ne fût pas mon cas, ce qui me coûta 15 années de ma jeunesse) vous pourrez peut-être vous débarasser de ces activités malsaines exercées à outrance.
    La provocation est volontaire, mais il s'agit toujours d'un débat, nullement d'un manque de respect.
    N'ayant pas de preuve que vous avez été Cyberdépendant pendant ces 15 année vous comprendrez je ne me baserait pas dessus pour argumenter mais je le prend en compte quand je vous lis
    Une question rhétorique justement telle que "Voulez-vous passer 75% de votre existence dans les mondes virtuels ?" est un usage de rhétorique que vous décriez chez moi si vous voulez que je ne les utilises pas il faudrait faire de même.

    Et étant donné que ces 75% de temps impliquent également de passer ce temps avec les amis avec lesquels je suis allé manger samedi dernier j'aurais tendance à répondre oui à votre question.
    De plus, vous noterez que vous n'avez pas chercher la définition de temps libre avant de juger : es-ce le temps dès que je suis revenu du travail ou est ce le temps une fois que j'ai fait toutes les corvés et me suis occupé de mes études ? Cela change énormément la quantité de temps allouable au jeu.

    Je me permettrait en toute sympathie de vous conseiller de ne pas vous laisser aveugler par votre dépendance passé pour juger le comportement d'autrui .

    Et justement la réaction précédente que vous avez eu est la réaction que je redoute de la part des médecins qui eux ne sont pas informé sur le JV.
    Pour ne pas passer pour un boulet :
    http://coursz.com/difference-entre-r...-et-gddr4.html

  20. #80
    Inactif  
    Homme Profil pro
    Analyste-Programmeur / Intégrateur ERP
    Inscrit en
    Mai 2013
    Messages
    2 511
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France

    Informations professionnelles :
    Activité : Analyste-Programmeur / Intégrateur ERP
    Secteur : Bâtiment

    Informations forums :
    Inscription : Mai 2013
    Messages : 2 511
    Points : 10 335
    Points
    10 335
    Par défaut
    Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
    Il parait que le papier peut être dangereux pour les yeux, il devrait lire un peu moins, là il met sa santé en danger.
    Je parle de lire des livres, pas des magazines.



    Citation Envoyé par Aurelien Plazzotta Voir le message
    Au temps pour moi si le vouvoiement est de mise. Le but est de vous juger ouvertement et défavorablement pour vous pousser à une réaction censée. Là, vous confirmez mes propos en faisant usage de rhétorique pour fuir le jugement et éviter de vous remettre en question. Voulez-vous passer 75% de votre existence dans les mondes virtuels?

    J'ai été cyberdépendant pendant 15 ans, j'estime être en mesure d'affirmer qu'il s'agit d'un fléau et si quelqu'un vous aide (ce ne fût pas mon cas, ce qui me coûta 15 années de ma jeunesse) vous pourrez peut-être vous débarasser de ces activités malsaines exercées à outrance.
    La provocation est volontaire, mais il s'agit toujours d'un débat, nullement d'un manque de respect.

    Le fait que vous en ayez souffert, ne fait pourtant pas de vous un médecin, et vous n'êtes donc pas en mesure de diagnostiquer les autres, surtout à partir de 2 phrases sur un forum.


    Sinon, pas de réponse pas rapport à quelqu'un qui passerait la majorité de son temps libre sur autre chose que les jeux vidéos ?

    Soit on traite de la même façon ces comportements décrits, qui effectivement sont problématiques, et ce peu importe le hobby, soit on ne fait rien dans tous les cas, car il n'y a aucune raison que cela soit considéré comme une pathologie ou non suivant le hobby, tout ça car les gens n'y connaissent rien...

Discussions similaires

  1. Réponses: 16
    Dernier message: 18/08/2016, 16h42
  2. Le flash player est-il adapté aux jeux vidéo ?
    Par flasheur dans le forum Développement 2D, 3D et Jeux
    Réponses: 62
    Dernier message: 10/10/2011, 18h48
  3. Réponses: 1
    Dernier message: 06/04/2010, 11h33
  4. Réponses: 1
    Dernier message: 07/10/2009, 22h14
  5. Réponses: 0
    Dernier message: 07/10/2009, 19h41

Partager

Partager
  • Envoyer la discussion sur Viadeo
  • Envoyer la discussion sur Twitter
  • Envoyer la discussion sur Google
  • Envoyer la discussion sur Facebook
  • Envoyer la discussion sur Digg
  • Envoyer la discussion sur Delicious
  • Envoyer la discussion sur MySpace
  • Envoyer la discussion sur Yahoo