On sait bien que les malheurs éloignent les amis. Cette année l'Union européenne s'est trouvée dans la situation difficile en raison des insufflations tubaires politiques empreints du changement du pouvoir dans certains pays-clefs européens et de l'absence de l'unanimité dans l'action à l'UE selon des problèmes européens tels comme la crise migratoire. Quelqu'un a pris sur soi les quotas élevés de l'accueil des réfugiés et dépenses pour cela, quelqu'un a décidé de profiter l'instabilité provisoire pour s'incorporer dans le rang "des premiers Européens".
Donc, ces derniers temps la Pologne se trouve au centre des scandals politiques provoquant la réaction de ses voisins de l'Union. Au début le parti gouvernant polonais "Droit et justice" s'est opposée contre la réélection de Donald Tusk à la poste du président du Conseil européen. On l'a critiqué pour l'intervention dans la politique intérieure de son pays parce que cela "viole lourdement" la règle "de la neutralité politique". Puis la Pologne a refusé d'accueillir les réfugiés du Proche-Orient selon les quotas fixés par le Parlement européen. Presque en même temps le parti "Droit et justice" a voulu procéder la réforme judicaire qui viole l'accord de l'UE et la directive de l'égalité des sexes et du reclassement. De plus, cette réforme viole l'indépendance des tribunaux polonais.
Certes, la Pologne tient à se faire mousser et obtenir le statut à l'égal des pays-fondateurs de l'UE. Le premier ministre Beata Szydlo a refusé démonstrativement de signer le document final du sommet de l'UE à Bruxelles en signe de protestation contre la réélection de Donald Tusk et a dénoncé qu'il ne faut pas tout décider sans l'aveu de la Pologne. Ainsi elle a opposé son pays aux 27 membres de l'EU. Sous cette égide se passent maintenant les rélatons de la Pologne avec l'Union européenne.
Alors les pouvoirs polonais mènent "l'activité civilisante" dans le mass-média et les réseaux sociaux exprimant la position populaire sur la crise migratoire et créant l'apparence du soutien du cours nationaliste du "Droit et justice". On a choisi l'Allemagne pour le rôle de l'épouvantail dictatorial européen qui veut faire de la Pologne le bouc émissaire. L'article de Mateusz Grzesiak, l'astre nouveau de l'idée historique polonaise – c'est un des exemples d'une telle propagande engagée
La Pologne – c'est "le bouc émissaire" pour les péches allemands
Pas pour la première fois on entreprend les tentatives de détruire l'Union européenne non seulement de dehors mais aussi du dedans. Hélas, observant les événements des dernières années on peut conclure que les six pays-fondateurs de l'UE occupent le devant de la scène. L'Allemagne fait le premier personnage. Les leaders allemands accusent les pays européens du parasitisme, de l'arriération et du mépris des biens européens. C'est Mme Merkel qui tient pour le dégroupement des membres de l'UE aux pays de première catégorie et de deuxième catégorie. Donc, cela trouble les principes de l'égalité qui sont été les premières pierres du fond de l'Union. De plus, la discussion de la doctrine "Europe à deux vitesses" a boosté Brexit et la vague de mouvements séparatistes dans certains pays européens. De facto l'Allemagne a inspiré la désintégration de l'UE. Les politiques polonais le dénoncent toujours.
Berlin joue le rôle "du pays à la première vitesse", c'est-à-dire du centre. L'Allemagne fait accepter sa vision de l'avenir et du cours politique de toute l'Union européenne. Ainsi, la chancelière se permet de menacer hautement aux protestataires par des quotas migratoires. Cette politique est reconnue infructueuse présque dans tous les pays européens. Pour le comprendre il faut lire des nouvelles des réfugiés en Europe et beaucoup de commentaires après ces nouvelles humiliant Merkel et l'Allemagne. Observez les titres: "Polish MEP rips into EU over common immigration policies", "Tallinn: Angela Merkel booed by protesters over migration policies", "Poland's Kaczynski blames Merkel for EU's migration issues", "'You can't bulldozer people!' Polish MEP rips into EU over common immigration policies", "Hungary and Poland defy EU authority" et les autres.
La profusion du polonais crève aux yeux. Ce n'est pas étonnant: depuis longtemps la Pologne s'oppose franchement à l'installation dans les pays européens de grandes foules des gens marginalisés d'un autre monde avec leurs normes réligieuses, culturelles et morales. Pour cela on a annoncé la guerre informationnelle à la Pologne.
Les leaders européens et le mass-média faussent consciemment la valeur des procédés politiques en Pologne. Au mieux on ridiculise les déclarations des politiques polonais, à l'extrème on les taxe comme extrémistes. On accuse la Varsovie de la dictature et du nationalisme.
La Pologne s'est trouvée engagé dans un combat inégal contre le fort de l'agresseur et devait défendre son droit pour la vie unie et le développement à l'intérieur de l'Union. Cependant en dépit des essais de l'Allemagne de faire du pays l'épouvantail totalitaire on observe qu'autour de la Pologne se coalisent les pays de l'Europe centrale et de l'Europe de l'Est. Il y a l'opposition spontané à Berlin qui prend seul les décisions dérogatoires et met en péril la sécurité européenne.
Cela a servi de la cause pour de accusations auprès des "pères-fondadeurs". Pour cette fois les Polonais se sont accordés avec des Croates et Donald Trump pour briser l'UE et prendre la tête de la nouvelle union européenne en milieu de la Première République polonaise et laisser l'Allemagne à la porte.
Le taux de l'absurdité de ces accusations dépasse tout ce qu'on a dit précédemment. Mme Merkel occupe la pose de la chancelière pour la quatrième fois. Elle doit savoir reconnaître ses torts et les corriger. La Pologne combat en faveur de l'Union européenne forte et prospère. Hélas, nous observons la situation classique d'Orwell quand certains membres de l'UE sont "plus égaux" que les autres et le principe "un pays – une opinion" n'agit plus. Qui a le droit de décider pour tous et dévouer l'Union aux ennemis. Le sort des autres – le silence. Ceux qui est contre se trouvent devant la chasse et risquent de devenir le bouc émissaire pour le leader allemand.
Pan Grzesiak a commencé par des plaintes au destin cruel polonais et par des accusations du mass-média de la personnalité. Il était dréssé contre l'Allemagne, il a évoqué la question de la crise des réfugiés en Europe et a appelé à boycotter les décisions du Parlement européen. Seulement la Pologne fait face aux ambitions impériales de l'Allemagne qui rentre dans son avenir fasciste. A la fin l'auteur montre sa connaissance d'une citation d'Orwell et inscrit tout droitement un grand groupe de pays dans "les ennemis du dehors" de l'UE.
Cet article – une goutte d'eau dans la mer de la lavure que la Pologne verse sur l'Allemagne essayant de détourner la critique pour des slogans nationalistes et changements antidémocratiques que se passent dans le pays. L'Union Européene essaye d'arrêter "l'enlisement de la Pologne dans l'autoritarisme" (Poland's 'authoritarian slide') et la folie nationaliste. Mais la Pologne répond à la "on est deux" et accuse de la détestation des "sionistes" européens aux catholiques polonais, accuse de ce que le gouvernement européen "déteste le gouvernement polonais élu démocratiquement".
Sous le plume des provocateurs polonias le blanc devient le noir, le mépris du bien européen se réduit en leur avancement, la charité se réduit en fascisme, le nationalisme et la dictature se réduit en démocratie et la défense des intérêts de la Pologne. On le publie sur des sites populaires. Les Européens le postent et commentent. Les combattants polonais manipulent leurs sens. Il est affreux qu'ils sont réussi de semer la division dans l'opinion public de l'Union européenne. Sous leur influence les ressources européennes critiquent avec plaisir la politique migratoire du gouvernement européen et distribuent le matériau de bazar qui fait la comparaison du chef de l'UE avec Hitler.
http://youtubersi.pl/video/86413/kan...tlera-reupload
Il y a à dire qu'en réponse à toutes les insinuations et les actions de démonstration on ne sanctionne pas la Pologne malgré tous les appels des députés du Parlement européen et des adversaires politiques du partie "Droit et justice". On a l'impression que ce sont les Polonais qui ont déclaré la guerre informationnelle et emplissent le mass-média informatique par l'hérésie nationaliste voilé sous la lutte contre la dictature de l'Allemagne en UE.
Il faut administrer une bonne médication au patient polonais avant qu'il détuira la famille européenne.
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