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    Par défaut Le système d'immigration des États-Unis est un cauchemar qui oblige les entreprises à délocaliser les emplois
    USA : le visa H-1B détourné par les entreprises de sous-traitance IT offshore
    pour embaucher des travailleurs étrangers qu'elles pourront payer moins

    Le Visa H-1B est un visa de travail temporaire créé dans le but de permettre aux entreprises américaines d’embaucher des employés venant de pays étrangers, et ce, en raison de leurs qualifications ou de leurs compétences particulières. Pour obtenir cette autorisation de séjour, vous devrez toutefois justifier d’un emploi aux USA, c'est-à-dire avoir signé un contrat de travail avec une entreprise dans le pays. Vous devez en effet à tout prix être parrainé par un employeur afin de faire une demande.

    Ce visa offre des avantages nombreux et indéniables, raison pour laquelle il est particulièrement plébiscité et enregistre un nombre élevé de candidatures chaque année. Afin donc de protéger les travailleurs américains, mais également de préserver la stabilité économique américaine, le nombre de visas H-1B octroyés est limité chaque année. C’est surtout pour éviter que certaines entreprises en profitent pour transférer des emplois américains à des étrangers, qu’ils pourraient payer beaucoup moins cher, en vue de minimiser leurs charges.

    En avril dernier, Donald Trump s’est attaqué à ce visa de travail. Le président américain a en effet signé une ordonnance intitulée « Buy American, Hire American » dans le cadre de sa volonté de resserrer les règles d'immigration. Trois mois plus tard, il y a quelques jours, le Service de Citoyenneté et Immigration des États-Unis (USCIS) a divulgué le nombre de visas H-1B délivrés au cours des deux dernières années par employeur. Auparavant, les données n'étaient disponibles que comme estimations pour les entreprises qui demandent des informations ou par demande en vertu du Freedom of Information Act.

    Les données mises en ligne par le Service de Citoyenneté pour la première fois confirment que les soupçons relatifs aux entreprises ayant recours à ce type de visa sont bien vrais : un petit nombre d'entreprises de sous-traitance informatique obtiennent un nombre disproportionné de visas H-1B pour payer des salaires en dessous de la moyenne à leurs travailleurs.

    Près de 4000 entreprises ont présenté des demandes de visa H-1B au cours de l'exercice fiscal 2016. Les 20 premières, à elles seules, ont parrainé 37 % de tous les visas délivrés et ce sont les entreprises de sous-traitance informatique qui forment le top 5.


    Si elles dominent largement le programme H-1B, les plus grandes entreprises de sous-traitance informatique ont en moyenne payé des salaires beaucoup plus bas à leurs travailleurs ; des salaires en dessous de la moyenne pour les travailleurs H-1B.


    Il faut rappeler que le principe de H-1B est d’octroyer des visas de travail à des personnes hautement qualifiées dont le profil serait difficile à trouver aux États-Unis, donc en général ayant fait des études très avancées dans leur domaine. Mais les données publiées montrent que plus de 98 % des demandes de visa H-1B approuvées au cours de l'année fiscale 2016 ont été décernées à des travailleurs ayant un bachelor ou un master. Pour la plupart des entreprises de sous-traitance informatique, la majorité des titulaires de visa H-1B ne possédaient qu'un bachelor ; ce qui indique du coup qu’il ne s’agissait probablement pas de personnes ayant des profils rares qu'il serait difficile de trouver aux États-Unis.

    Détournement de l’objectif du visa H-1B par les entreprises de sous-traitance IT offshore

    La plupart des employeurs aux États-Unis utilisent le programme H-1B avec modération, demandant un seul visa par an. Ils visent notamment un travailleur particulier pour une raison quelconque, comme une compétence spécialisée. Mais pour la plupart de ceux qui sont dans le top 10 des entreprises qui ont recours au programme H-1B, il s’agit du moyen par excellence de pourvoir à leurs offres d'emploi aux États-Unis. Cette situation a été notamment décriée l’an dernier par l’Economic Policy Institute (EPI), une association américaine à but non lucratif.

    Dans des documents de la Securities and Exchange Commission, Cognizant Technology (numéro un dans le classement de 2016) décrit par exemple ses pratiques de ressources humaines comme suit : « La plupart de nos employés sont situés en Inde et la grande majorité de nos professionnels techniques aux États-Unis et en Europe sont des ressortissants indiens qui sont capables de travailler aux États-Unis et en Europe uniquement parce qu'ils possèdent des visas et des permis de travail valables. »

    D’après l’EPI, si les entreprises de sous-traitance offshore en informatique dominent le programme H-1B, c’est surtout parce que c’est « extraordinairement rentable de remplacer des travailleurs américains par des travailleurs H-1B. Grâce au cadre juridique et réglementaire du visa H-1B, les travailleurs H-1B peuvent légalement être payés beaucoup moins que leurs homologues américains. Dans la réalité, parfois, les travailleurs H-1B sont 40 % moins payés que les Américains et, en plus, il est peu probable que les travailleurs H-1B se plaignent des salaires et des conditions de travail inférieurs aux normes puisque le visa de travail est contrôlé par l'employeur. » D’après l’association, « cela rend les travailleurs H-1B vulnérables, s'ils parlent, leur contrat est résilié. Cela signifie qu'ils devront partir immédiatement des États-Unis ou se retrouver sans-papiers. »

    Comme l’expliquait également, le ministre indien du Commerce en 2007, le H-1B « est devenu le visa de sous-traitance. » L'objectif des entreprises est de transférer la plus grande partie possible du travail et des tâches informatiques aux travailleurs offshore dans des pays à faible coût, comme l'Inde. Le programme H-1B va ensuite jouer un rôle essentiel dans le transfert de ces contrats vers les États-Unis. Les entreprises pourront en effet facilement parrainer une demande de visa H-1B pour ces travailleurs étant donné qu’ils sont déjà liés par un contrat.

    Faut-il également craindre que le French Tech Visa soit détourné à de telles fins obscures par les entreprises françaises ?

    Comme les États-Unis, la France a récemment lancé son French Tech Visa. Il s’agit d’un visa renouvelable qui aura pour but d’attirer les talents et les porteurs de projets étrangers capables de renforcer l’écosystème de la tech française. Cette procédure avait été annoncée sous le mandat de François Hollande, mais c’est finalement après l’arrivée du nouveau président qu’elle verra le jour.

    Pour décrocher la French Tech Visa, il faudra faire partie de l’une des trois catégories suivantes : fondateurs de start-ups, salariés ou investisseurs. C’est plutôt la deuxième catégorie (les salariés) qui nous intéresse ici. Un peu comme le visa H-1B, l’objectif est d’assurer l’afflux de travailleurs qualifiés pour soutenir la croissance de l’écosystème de la tech en France. Ainsi, les salariés doivent être titulaires d’un master et avoir un contrat de travail d’au moins trois mois au sein d’une entreprise française partenaire. Doit-on donc craindre que le French Tech Visa soit détourné par les entreprises IT comme le visa H-1B ? Quelles seront donc les conséquences sachant que le chômage parmi les développeurs et informaticiens ne fait que gagner du terrain année après année ?

    Sources : Quartz, EPI, USCIS

    Et vous ?

    Qu’en pensez-vous ?
    Faut-il également craindre que le French Tech Visa soit détourné à de telles fins obscures par les entreprises françaises ?

    Voir aussi :

    Le président français annonce le lancement du French Tech Visa et un fonds de 10 milliards pour faire de la France une nation startup
    USA : l'administration Trump prévoit de ne plus rendre éligibles les développeurs informatiques au programme de visa H-1B
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  2. #2
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    Autant je suis d'accord qu'il doit y avoir des abus (money is money comme ils disent), autant je trouve que dire qu'un master/bachelor n'est pas quelqu'un d'important est méconnaître le domaine.

    On peut très bien avoir quelqu'un qui n'a aucun diplôme mais qui travaille depuis 25ans sur un logiciel ou une technologie totalement de niche.
    De ce fait cela fait très certainement de lui un expert du domaine, et une ressource très rare !

    « Toujours se souvenir que la majorité des ennuis viennent de l'espace occupé entre la chaise et l'écran de l'ordinateur. »
    « Le watchdog aboie, les tests passent »

  3. #3
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    Citation Envoyé par transgohan Voir le message
    Autant je suis d'accord qu'il doit y avoir des abus (money is money comme ils disent), autant je trouve que dire qu'un master/bachelor n'est pas quelqu'un d'important est méconnaître le domaine.

    On peut très bien avoir quelqu'un qui n'a aucun diplôme mais qui travaille depuis 25ans sur un logiciel ou une technologie totalement de niche.
    De ce fait cela fait très certainement de lui un expert du domaine, et une ressource très rare !
    Tout a fait d'accord cela va sans dire qu'il y a de telles perles mais on va souligner par exemples les 21 459 Via du premier sa fait beaucoup de niche ......

    Par contre techniquement sa donne rason à Trump ? (Suis pas anti trump de base mais avec toute la merde qu'il c'est pris je me suis dis qu'il devait y avoir une raison quand mémé)
    Pour ne pas passer pour un boulet :
    http://coursz.com/difference-entre-r...-et-gddr4.html

  4. #4
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    Citation Envoyé par arond Voir le message
    Par contre techniquement sa donne rason à Trump ?
    J'ai fait le trajet en train banlieux ->SanFrancisco, la proportion de personnes percuent comme etrangère est juste phénoménale. A mon avis c'est pas pour le fun qu'ils se tapent le trajet, c'est juste qu'ils n'ont pas les moyens de vivre dans SF...
    J'en déduis qu'ils sont moins payés que les locaux, meme si vu d'ici ce sont de gros salaires.
    Je précise qu'il s'agit de personnes en costumes et certains sont sur leurs ordis en train de developper ou de repondre à une pile de mail, donc pas des ouvriers.
    Mais y a pas besoin d'aller aussi loin : frontière France/Suisse.

  5. #5
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    Par défaut USA : l'administration Trump veut refondre le processus d'obtention du visa H-1B
    Les USA veulent refondre le processus d'obtention du visa H-1B
    pour prioriser les titulaires d'un diplôme supérieur des universités US

    Le Visa H-1B est un visa de travail temporaire créé dans le but de permettre aux entreprises américaines d’embaucher des employés venant de pays étrangers, et ce, en raison de leurs qualifications ou de leurs compétences particulières. Offrant des avantages nombreux et indéniables, ce type de visa est particulièrement plébiscité et enregistre un nombre élevé de candidatures chaque année. Nombreuses sont les entreprises qui y ont recours et pour diverses raisons. En avril 2017, L'administration de Trump avait diffusé de manière silencieuse de nouveaux conseils stratégiques qui rendraient plus difficile pour les entreprises d'utiliser le programme de visa H-1B pour amener des développeurs informatiques étrangers aux États-Unis.

    Le programme de visa H-1B permet aux entreprises aux États-Unis d'employer temporairement des travailleurs étrangers dans des professions spécialisées telles que la science et les technologies de l'information. Dans un Policy Memorandum publié par les Services de citoyenneté et d'immigration des États-Unis (USCIC), il apparaissait que la façon dont l'agence devra traiter les demandes de visa pour les postes de développement informatique est susceptible de changer, ajoutant de la complexité aux entreprises qui veulent débaucher ces types de profil à l’extérieur. Une stratégie qui vient s'harmoniser avec l'objectif de l'administration de réserver les visas temporaires aux professionnels hautement qualifiés (et mieux rémunérés) tout en encourageant les entreprises à se tourner vers le local pour les autres emplois.

    Nom : h-1b-visa9-100698034-large.jpg
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    D’ailleurs, rappelons que durant sa campagne, Donald Trump avait promis de s’attaquer aux entreprises qui favorisent l’emploi des étrangers face aux Américains. Les entreprises qui demandent des visas H-1B pour les postes de développeurs informatiques vont devoir présenter des preuves supplémentaires montrant que les emplois sont complexes ou spécialisés et nécessitent des diplômes professionnels. Les salaires échelonnés attachés à ces demandes de visa seront également plus examinés en détail. Le changement semblait cibler les entreprises de sous-traitance, qui utilisent généralement des travailleurs informatiques à faible niveau et peu payés.

    Les autorités en matière d'immigration de l'administration du président Donald Trump sont sur le point d'adopter de grands changements dans le processus de demande de visa H-1B permettant aux entreprises américaines de faire venir des travailleurs internationaux dans le pays. Vendredi dernier, les services de citoyenneté et d'immigration des États-Unis et le Département de la Sécurité intérieure ont publié une proposition de règle qui constitue le premier pas vers la révision du visa H-1B. La nouvelle règle donnerait la priorité aux travailleurs titulaires d'un diplôme supérieur des universités américaines et modifierait également le processus de candidature des entreprises lorsqu'elles souhaitent obtenir des visas H-1B pour des talents étrangers. Au lieu de remplir une pétition pour le nouvel employé, les entreprises s'inscrivent gratuitement en ligne pour participer à ce qui a été décrit comme la « loterie H-1B ».

    Le droit de l'immigration limite le nombre de visas H-1B ordinaires pouvant être accordés chaque année à 65 000. 20 000 visas supplémentaires peuvent être attribués aux travailleurs titulaires d'une maîtrise ou d'un doctorat. Dans le nouveau système, l'USCIS examinerait toutes les candidatures, y compris celles concernant des travailleurs titulaires d'un diplôme supérieur, au cours d'une période d'enregistrement précédant le dépôt des pétitions proprement dites. Selon la règle proposée, cette modification du processus d'examen « augmenterait probablement le nombre de bénéficiaires titulaires d'une maîtrise ou d'un diplôme supérieur d'un établissement d'enseignement supérieur américain qui seraient sélectionnés pour un traitement ultérieur dans le cadre des attributions H-1B ».

    Depuis le début de sa présidence, Trump a souvent critiqué la manière dont les visas H-1B sont attribués. Rappelons qu'au début de cette année, l'office américain d'immigration avait annoncé un changement dans le processus d'acquisition du visa H-1B. L’autorité américaine a effectué une mise à jour de la politique régissant l’obtention de ce visa. Cette mise à jour s'est appuyée sur un décret présidentiel (Buy American and Hire American) de l'administration Trump qui a pour objectif spécifique de protéger les intérêts des travailleurs américains. La directive, en vigueur depuis le 22 février 2018, expliquait que, pour obtenir un visa H-1B impliquant un site de travail, le pétitionnaire doit démontrer par une prépondérance de preuves, que le bénéficiaire sera employé dans une profession spécialisée et que l'employeur maintiendra une relation employeur-employé avec le bénéficiaire pour la durée de la période de validité demandée.

    Avant d’obtenir un visa de ce type, l’autorité devrait également vérifier les dates et lieux exacts du travail de la personne. Alors qu'une requête H-1B peut être approuvée pour une durée maximale de trois ans renouvelable une fois, USCIS, à sa discrétion, s’autorise à limiter la période d'approbation à la durée pendant laquelle le bénéficiaire sera placé dans un travail non spéculatif et au cours de laquelle le pétitionnaire va maintenir la relation employeur-employé requise. Tous ces changement pourraient être dû au fait que le visa H-1B soit détourné par les entreprises de sous-traitance IT offshore pour embaucher des travailleurs étrangers qu'elles pourront payer moins.

    En 2017 par exemple, le Service de Citoyenneté et Immigration des États-Unis avait divulgué le nombre de visas H-1B délivrés en 2015 et 2016 par employeur. Auparavant, les données n'étaient disponibles que comme estimations pour les entreprises qui demandent des informations ou par demande en vertu du Freedom of Information Act. Les données mises en ligne par le Service de Citoyenneté pour la première fois confirmaitent que les soupçons relatifs aux entreprises ayant recours à ce type de visa sont bien vrais : un petit nombre d'entreprises de sous-traitance informatique obtiennent un nombre disproportionné de visas H-1B pour payer des salaires en dessous de la moyenne à leurs travailleurs. Près de 4000 entreprises avaient présenté des demandes de visa H-1B au cours de l'exercice fiscal 2016. Les 20 premières, à elles seules, avaitent parrainé 37 % de tous les visas délivrés et ce sont les entreprises de sous-traitance informatique qui forment le top 5.

    Source : USCIC

    Et vous ?

    Qu'en pensez-vous ?

    Voir aussi

    L'office américain d'immigration annonce un changement dans le processus d'acquisition du visa H-1B, quelles retombées sur le secteur technologique ?

    USA : le président Trump signe un décret pour réformer le programme de visa H-1B et encourager les entreprises à recruter des citoyens américains

    USA : l'administration Trump prévoit de ne plus rendre éligibles les développeurs informatiques au programme de visa H-1B

    USA : le visa H-1B détourné par les entreprises de sous-traitance IT offshore pour embaucher des travailleurs étrangers qu'elles pourront payer moins
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  6. #6
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    Citation Envoyé par transgohan Voir le message
    Autant je suis d'accord qu'il doit y avoir des abus (money is money comme ils disent), autant je trouve que dire qu'un master/bachelor n'est pas quelqu'un d'important est méconnaître le domaine.

    Ce n'est pas ce qui est dit dans l'article. Mais qu'un master/bachelor, n'était pas forcément un profil "rare" pas qu'ils n'étaient pas compétents.


    Maintenant oui, un expert sans diplôme sur une niche très spécialisée, cela peut être rare, mais à ce moment là, si il est si balèze, et si rare, pourquoi se retrouve-t-il moins payés que ses collègues américains ? L'exemple que tu cites peut exister, mais il y a tout de même plus de chance que cela soit ce cas là qui soit minoritaire et non pas les cas d'abus.

  7. #7
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    Évidemment, le Donald ne s'est pas attaqué au cœur du problème : la crise de la dette étudiante des états-unis. Quand on sait l'endettement qu'un étudiant américain doit prendre pour finir ses études, pas étonnant que nombres d'entre eux les sautent ou les raccourcissent ou n'ont pas le temps d'étudier car ils travaillent en parallèle. Alors oui les passionnés auto-formés plus fort des diplômés, ça existe, mais il faut pas se moquer du monde, c'est pas suffisant pour combler la demande avec en maintenant cette qualité. Pas surprenant qu'il faut piocher à l'étranger pour la trouver la qualité…

    Enfin bon qui s'attendait à une solution à ce niveau de la part du gars qui a crée Trump University ?

  8. #8
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    Par défaut USA : Le programme de visa H-1B favorisera désormais les titulaires de doctorat et de master
    USA : le programme de visa H-1B favorisera désormais les titulaires de doctorat et de master
    pour attirer plus de personnes qualifiées

    Les États-Unis attirent de plus en plus de professionnels et avec l'annonce des gros salaires dans la tech, on observe dans ce pays une ruée des étudiants vers les filières IT. Ce pays offre chaque année des milliers de visas dans le cadre de ses différents programmes. L'un des visas offerts est le visa H-1B, il s'agit d'un visa qui permet aux employeurs américains d’employer temporairement des travailleurs étrangers dans des professions spécialisées. Au fil des années, ce visa a été détourné par les entreprises de sous-traitance IT offshore pour embaucher des travailleurs étrangers qu'elles pourront payer moins.

    En décembre dernier, les États-Unis ont voulu refondre le processus d'obtention du visa H-1B pour prioriser les titulaires d'un diplôme supérieur des universités américaines. Mais le 30 janvier dernier, le département de la sécurité intérieure a annoncé une modification dans le processus d'obtention de ce visa et cette fois-ci, pour favoriser les titulaires de doctorat et de master. Avec ce changement, le gouvernement américain veut accorder plus de chances aux ressortissants étrangers hautement qualifiés.

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    Cette modification prendra effet au cours de cette année et devrait certainement encourager ceux qui avaient abandonné les études à s'y remettre au plus vite. D'ailleurs Lisa Spiegel, avocate chez Duane Morris à San Francisco, le fait bien comprendre dans ses propos : « Le changement réduit la probabilité que les titulaires d'une licence gagnent à la loterie générale. Je pense que beaucoup de gens vont retourner à l’école. »

    Certaines personnes voient en ce changement un moyen d'amélioration du système d'immigration qui poussera désormais les entreprises à faire bon usage des visas H-1B en employant que les étrangers les plus qualifiés, car ces derniers auront désormais plus de chances d'obtenir ce visa. Le ministère a déclaré que ce changement de règles entraînerait une augmentation estimée à 16 % du nombre de titulaires de visas H-1B possédant un diplôme supérieur, soit environ 5300 travailleurs. Une analyse gouvernementale montre que ce changement nuira aux sociétés de recrutement IT qui sont celles qui soumettent le plus de candidats à ce programme.

    Plusieurs voix se sont levées pour saluer cette modification. Certains comme Rennie Sawade, porte-parole de Microsoft, se sont exprimés pour dire combien il est avantageux pour le pays que les personnes qui obtiennent un visa H-1B soient réellement qualifiées. Il s'agit là donc d'une opportunité pour les diplômés étrangers qui désireront évoluer aux côtés des grosses entreprises américaines.

    Source : San Francisco Chronicle

    Et vous ?

    Qu'en pensez-vous ?
    Seriez-vous tenté par une opportunité aux USA ?

    Voir aussi :

    À cause des gros salaires annoncés dans la tech, les étudiants se ruent vers les filières IT aux USA, vers la saturation du marché de l'emploi IT ?
    Les USA veulent refondre le processus d'obtention du visa H-1B pour prioriser les titulaires d'un diplôme supérieur des universités US
    USA : le visa H-1B détourné par les entreprises de sous-traitance IT offshore pour embaucher des travailleurs étrangers qu'elles pourront payer moins
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  9. #9
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    Par défaut Master américain ou équivalents également ?
    J'ai lu la source en bas de l'article et je ne suis pas sûr que ce soit une bonne nouvelle pour nos ingénieurs français. Le "master cap" en question inclut-il les master étrangers ou uniquement américains ?

  10. #10
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    Par défaut Le système d'immigration des États-Unis est un cauchemar qui oblige les entreprises à délocaliser les emplois
    « Le système d'immigration des États-Unis est un cauchemar qui oblige les entreprises technologiques à délocaliser leurs emplois à l'étranger »
    selon un rapport

    Le système d'immigration des États-Unis est qualifié de "défectueux" et accusé d'être à l'origine des emplois sous-payés dans l'industrie de la technologie. La difficulté d'attirer des talents étrangers, par le biais des visas tels que le système H-1B, aurait conduit les entreprises technologiques à délocaliser leurs emplois vers des pays comme l'Inde, le Canada et le Royaume-Uni. Dans le même temps, ce problème aurait rendu les emplois instables et les travailleurs facilement remplaçables, car d'autres seraient prêts à accepter des salaires plus faibles. En outre, les experts signalent que cet état de choses a été aggravé par la croissance du travail à distance.

    Le visa H-1B est un visa de travail temporaire permettant aux entreprises basées aux États-Unis d’embaucher des employés venant de l'étranger, et ce, en raison de leurs qualifications ou de leurs compétences particulières. Ce type de visa est particulièrement plébiscité et enregistre un nombre élevé de candidatures chaque année. Nombreuses sont les sociétés qui y ont recours et pour diverses raisons. Le secteur américain des technologies dépend fortement des visas de travail, notamment du fameux H-1B, pour attirer les talents dont il a besoin pour pourvoir des postes dans des domaines spécialisés et compétitifs comme l'ingénierie et l'informatique.

    Les leaders du secteur - dont Mark Zuckerberg, PDG de Meta, et Satya Nadella, PDG de Microsoft - plaident depuis de nombreuses années en faveur d'une réforme du système H-1B afin de permettre à un plus grand nombre de ces talents de travailler aux États-Unis. Il y a bien eu certaines modifications autour du système H-1B ces dernières années, mais les experts dénoncent de nouvelles restrictions. Par exemple, en avril 2017, des réformes introduites par l'administration Trump ont rendu plus difficile l'utilisation du programme de visa H-1B par les entreprises américaines pour amener des développeurs informatiques étrangers aux États-Unis.

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    L'objectif de l'administration consistait à réserver les visas temporaires aux professionnels hautement qualifiés, notamment les titulaires de doctorat et de master. Mais un rapport publié cette semaine par Business Insider affirme que le système d'immigration américain est défectueux. Le processus ardu et la disponibilité limitée des visas d'immigration seraient des obstacles auxquels les entreprises et les travailleurs nés à l'étranger sont constamment confrontés. Dans le même temps, le rapport affirme également que les difficultés rencontrées pour faire venir des immigrants aux États-Unis poussent les entreprises à les embaucher dans d'autres pays.

    Cognizant, qui recrute des talents étrangers pour les entreprises technologiques aux États-Unis, a déclaré dans un récent dossier réglementaire qu'elle s'inquiétait des obstacles à l'immigration qui l'empêchent de placer des travailleurs chez ses clients : « nous pourrions ne pas être en mesure d'utiliser efficacement nos employés si une réglementation accrue, des changements de politique et des charges administratives liées à l'immigration, aux visas de travail ou au placement sur le lieu de travail des clients nous empêchent de déployer nos employés en temps voulu, voire de les déployer tout court, pour répondre aux besoins de nos clients ».

    Selon certaines sources, malgré les craintes croissantes d'incertitude économique, la demande de visas H-1B de l'industrie technologique est restée forte tout au long de l'année 2022. Selon les services américains de citoyenneté et d'immigration (USCIS), les employés ont soumis 483 000 enregistrements H-1B pour l'exercice 2023, ce qui représente une augmentation de 57 % par rapport à l'exercice 2022. Quelque 127 600 candidatures auraient été sélectionnées. Le rapport d'Insider affirme que cela encourage les entreprises à ouvrir des succursales à l'étranger et y recruter des personnes qui, autrement, seraient venues travailler aux États-Unis.

    « Nous voyons des sociétés qui, historiquement, étaient totalement nationales, sans aucune présence à l'étranger, et très liées à une présence physique, commencer à explorer des opportunités », a déclaré Joel Eisenreich, directeur de la division fiscale de Deloitte. Pour ceux qui défendent les mesures prises par l'administration Trump en 2017, le visa H-1B est utilisé abusivement pour embaucher de la main-d'œuvre spécialisée à moindre coût. Mais selon le rapport d'Insider, les limitations n'ont pas amélioré les choses, mais au contraire les ont aggravées. Google, Amazon et Apple s'étaient fortement opposés aux restrictions sur les visas H-1B.

    Selon le rapport, alors que la limitation du nombre de visas H-1B a réduit les capacités entreprises technologiques américaines à recruter des talents étrangers et à les faire venir aux États-Unis, l'avènement du travail à distance leur a ouvert d'autres opportunités. Les entreprises américaines peuvent désormais embaucher n'importe qui, n'importe où, et économiser sur l'espace de bureau. « Chaque fois qu'un travail peut être effectué à partir d'un ordinateur, c'est ce que nous voyons », a déclaré à Insider Job Van Der Voort, fondateur de Remote, une startup de conseil en recrutement qui aide les entreprises à embaucher des travailleurs à l'étranger.

    Lorsqu'il a créé sa société, il pensait qu'il s'agirait principalement de programmeurs, mais il s'est rendu compte que tous les rôles sont concernés, des cadres de niveau C aux assistants de direction, en passant par les programmeurs et les spécialistes du marketing. Des recherches menées par Envoy Global apportent d'autres preuves de la croissance de cette tendance. Dans une enquête menée auprès de 500 professionnels des ressources humaines spécialisés dans l'immigration d'entreprise, 81 % d'entre eux ont déclaré avoir dû transférer un employé étranger dans un bureau à l'étranger en raison de problèmes liés à l'obtention d'un visa américain.

    Par ailleurs, 86 % des personnes interrogées ont déclaré que leur entreprise recrutait en dehors des États-Unis pour des postes initialement prévus aux États-Unis, en raison de l'incertitude liée aux visas. De nombreux autres rapports font état d'emplois transférés en Inde ou dans des pays d'Amérique du Sud ou d'Amérique centrale. « Au fur et à mesure que les gens se sentent à l'aise avec le travail à distance et que d'autres pays, pour des raisons démographiques et économiques, deviennent plus réceptifs à l'immigration de personnes hautement qualifiées, les États-Unis ne sont plus le seul port d'escale », a déclaré Dick Burke, PDG d'Envoy Global.

    Selon le rapport, les problèmes d'obtention de visa et la réduction des coûts expliquent en grande partie l'augmentation des embauches à l'étranger par les entreprises américaines. La réduction des coûts joue également un rôle, car les entreprises technologiques, grandes et petites, cherchent à se replier sur elles-mêmes lorsque les signes de la demande s'affaiblissent. Plus précisément, le rapport affirme que la délocalisation d'emplois vers des pays où les salaires sont moins élevés n'est pas une nouveauté pour les entreprises américaines, mais elle a connu une recrudescence dans le secteur technologique au cours des derniers mois.

    Par exemple, la société technologique TaskUS, basée au Texas, a licencié 200 personnes en raison du ralentissement de l'économie et de l'inflation, tout en annonçant qu'elle chercherait à se développer à l'étranger. Certains acteurs majeurs comme Google Cloud Platform auraient également commencé à délocaliser certains emplois de support client au Mexique. Mais selon les experts, les salaires versés aux travailleurs ne représentent qu'une partie de l'équation des coûts. Les États-Unis auraient prévu d'augmenter cette année les frais exigés des entreprises qui souhaitent parrainer un visa, jusqu'à 600 dollars par demandeur.

    Selon le rapport, il s'agirait de la première augmentation de ce type depuis 2016, mais elle rendra encore plus difficile et plus coûteux pour les entreprises d'obtenir les talents dont elles ont besoin. En fin de compte, comme les États-Unis continuent d'avoir des lois plus restrictives sur l'immigration et que le travail à distance continue d'être popularisé, les entreprises continueront de délocaliser les emplois et d'embaucher dans les pays étrangers. « La principale conséquence pour les entreprises est que, si elles veulent être compétitives, elles doivent élargir leur horizon pour envisager des recrutements internationaux », a déclaré Burke.

    Mais le phénomène a également suscité son lot de controverses. Certains experts ont mis en garde contre le fait que le travail à distance empêche les jeunes employés de progresser dans leur carrière. En outre, le travail à distance rend les travailleurs plus remplaçables. Lorsque, pour changer d'emploi, il suffit de se connecter à un nouvel ordinateur portable fourni par l'entreprise et que les patrons ont des employés qu'ils ne rencontreront peut-être jamais en personne, il y a une inquiétude sous-jacente concernant le fait que le travail à distance rende les emplois encore plus faciles à remplacer par d'autres personnes prêtes à travailler pour un salaire plus faible.

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Que pensez-vous des restrictions sur les visas permettant l'immigration des talents technologiques vers les États-Unis ?
    Selon vous, ces restrictions constituent-elles une bonne ou mauvaise politique ?
    Selon vous, quels impacts ces restrictions pourraient-elles avoir sur le secteur des technologies aux États-Unis ?
    Les États-Unis pourraient-ils prendre dans l'innovation technologique au profit des pays comme la Chine et l'Inde ?

    Voir aussi

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