Et ce n'est pas la privatisation en soi qui est le pire si ça restait français. Mais tout est vendu (aéroports, clubs de football) aux pétrodollars qui ne savent pas quoi faire de leur fric. On comprend donc que l'État français, avec ses médias, fassent la chasse aux "islamophobes" (dans la novlangue c'est une psychopathologie de s'opposer à la religion des seigneurs) via ses merdias, tous aux mains des grands patrons du CAC 40.
Même mon moussaillon de 15 ans que j'avais emmené promener aux Baléares sur mon voilier en 1996 et qui était très fort en anglais considérait que la France c'était foutu et qu'il faudrait aller ailleurs plutôt que de rester dans le Titanic.
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