Le ministre de l'Intérieur a «dénoncé le cynisme, la bordélisation, souhaitée par une partie de l'extrême gauche et par l'ultragauche».
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L'occasion pour Gérald Darmanin de condamner fermement ces agissements : les forces de l'ordre «ont été la cible d'attaques inacceptables.» «On jette de l'acide, on envoie des cocktails Molotov, on jette des pavés», persifle le premier flic de France. Façon d'attaquer les violences commises, selon lui, par l'extrême-gauche, notamment dans la manifestation parisienne.
«Si la plupart des gens ont manifesté pacifiquement, à commencer par les carrés syndicaux qui ont été protégés par la police,
je veux constater la présence de 1500 casseurs, des black blocs, qui étaient visiblement là pour casser du flic et casser des bâtiments publics», gronde le ministre de l'Intérieur. Qui hausse le ton : «Je veux leur dire que nous sommes extrêmement déterminés, que la violence ne passera pas, que nombre d'entre eux ont été interpellés et que les images de vidéoprotection nous permettront de les confondre.»
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