C'est une pratique qui vient de l'UE, ça doit être le système des travailleurs détachés.
Avec la libre circulation des personnes tu peux exploiter des étrangers en faisant des économies sur les charges.
C'est en partie grâce à ça que l'Allemagne est une grosse puissance au niveau de l'exportation.
Il faut voir aussi qu'en Croatie, Lituanie, Lettonie, Estonie les salaires sont parfois moins élevé qu'en Chine.
Du coup l'Allemagne profite de la proximité de ces pays pour produire pour moins cher.
Un salarié sur six dans l'UE est un travailleur pauvre
L'Allemagne n'est pas le seul pays à exploiter des pauvres :
“Le Covid-19 m’a révélé l’autre visage de Singapour”
Cet article c'est n'importe quoi par contre (on devrait virer les clandestins, mais comme ils brûlent leur papiers on ne sait pas d'où ils viennent) :Nous nous trompions, naturellement. En fait, le virus se transmettait d’un corps à l’autre dans les dortoirs exigus où quelque 200 000 travailleurs étrangers sous-payés passent leurs nuits, font leur toilette et prennent leurs repas. La menace n’avait pas disparu, elle rongeait insidieusement la ville, depuis ses marges.
Crise sanitaire : la double peine des précaires
Il faudrait avoir une logique "les français d'abord", c'est ce qu'on appelle un cercle vertueux.« Les travailleuses et travailleurs sans papiers sont en première ligne, comme les autres travailleurs précaires. Vulnérables parce qu'ils sont dépourvus d'autorisation de travail, ils sont, bien souvent, démunis des tenues et matériel nécessaires, pour les protéger et préserver leur santé. Ils risquent d'être expulsés de notre territoire, alors qu'ils participent avec les autres salariés à le faire vivre. Ils font partie intégrante de ce salariat qui permet la continuité des activités indispensables à notre vie à tous : le ramassage et le tri des déchets, la sécurité, la manutention, la mise en rayon dans les supermarchés, le nettoyage, l'aide à la personne, l'agriculture, etc. », souligne notre organisation.
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