Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
Ce n'est pas comparable. Il doit gérer une urgence sanitaire sévère. Crois-tu sincèrement qu'il compte sur ce confinement pour éteindre le mouvement des gilets jaunes, le mouvement contre le projet des retraites et tout ce qui est contre ses réformes ?
Je te l'accorde, Macron est plutôt mauvais mais il n'est pas stupide. Et puis dans sa situation, vu la tôle que son parti s'est ramassé au 1er tour des municipales, il sait très bien que tout le bordel précédant les mesures sanitaires n'est que partie remise.
- PDO++ : Une nouvelle façon d'utiliser PDO. Billet de blog || Code source
- PhpEcho : Un moteur de rendu en une seule classe ! Nouvelle version (release 2.3.2) publiée le 18/04/2020 : Billet de blog || Code source
Dommage je les lis
Ma copine qui est en Belgique, directrice adjointe d'une école d'hôtellerie semble porter tous les symptômes depuis hier. Et je ne risque pas de pouvoir la rejoindre, au demeurant ce serait justement idiot de le faire.
Oui je peste contre ces déploiements de forces de l'ordre dans la foulée d'une décision qui aurait pu être prise avant et portée avec un peu plus de pédagogie que cette peur de la force coercitive, du baton.
Pour le reste tu te trompes, et c'est peut-être à toi de prendre du repos.
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Christophe Alévèque - 18 Mars 2021
Perso je pense que sa mollesse de ces derniers jours est le signe qu'il a compris qu'on est dans quelque chose de différent. Son inflexibilité vis à vis des gilets jaunes et lors de l'affaire Benala ont disparu. Je pense qu'il a compris que le jeu politique n'avait plus cours, on est en urgence vitale.
Et du coup c'est là qu'il aurait fallu être beaucoup plus inflexible vis à vis des mesures à prendre. J'attends de lui un tour de vis sévère et un confinement généralisé pendant la durée nécessaire pour ralentir le plus possible l'épidémie. Une fois que ma femme va être allé au contact des infectés COVID-19 je ne la verrai plus, les gosses non plus, jusqu'au terme de cette histoire. Ça va prendre des mois vu les durées d'incubation (7 à 14 jours) et de guérison (20 jours). Même les morts sont contagieux des heures après leur décès. Plus il y aura de contaminés, plus il y aura de cas graves, et plus il y aura de charge sur le système de santé et plus ça sera long.
Ça fait 15 jours que c'est le cas en Lombardie, le nombre de morts actuel indique que les digues ont lâché, leur système de santé s'effondre sous nos yeux.Envoyé par pmithrandir
Ce que tu appelles l'essentialisme dans les hôpitaux a déjà cours dans l'est de la France où le système est au bord de la rupture. Ceci dit les urgentistes sont habitués à le pratiquer sur des accidents graves au quotidien. Le problème c'est quand tu demandes à des personnels qui sont habitués à pratiquer une médecine non-urgente et non-vitale de prendre ces décisions là c'est chaud.
Pour le reste effectivement l'interconnexion des métiers et des business entre eux rend très difficile l'application de cette idée de travail essentiel. Plus notre société est complexe, plus elle est fragile et donc moins elle est résiliente. J'ai vu une vidéo de C. Gave l'autre soir qui expliquait ça très bien, nos sociétés sont très bien optimisées pour produire du rendement économique mais sont en conséquence d'autant plus fragiles.
C'est un sacré bordel je n'aimerais pas être à la place de Macron parce que il va y avoir des dégâts et que ce soit juste ou non on le tiendra comptable du résultat final.
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"Toute personne croyant qu'une croissance exponentielle peut durer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste."
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"Les richesses naturelles sont inépuisables, car, sans cela, nous ne les obtiendrions pas gratuitement. Ne pouvant être ni multipliées ni épuisées, elles ne sont pas l’objet des sciences économiques."
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"/home/earth is 102% full ... please delete anyone you can."
Inconnu
On pourra au moins le tenir comptable de sa surdité envers les appels au secours répétés depuis plusieurs années désormais de l'ensemble de l’hôpital public, des urgences partout en France, des EHPAD, etc.
Quand un truc comme ça arrive par dessus, c'est là où on se rend compte que son mépris du peuple et de ses demandes légitimes, de ses calculs à la petite semaine sur comment privatiser la médecine et nos sécurités sociales peuvent juste amplifier la catastrophe que tout le monde semble annoncer.
L’hôpital public était déjà en pénurie bien avant cela.
Juste pour info, mon épouse, puisque nous sommes encore mariés, travaille comme infirmière dans une EHPAD et voit les gens tomber en arrêt maladie les uns après les autres, dans un établissement en sous-effectif permanent. Les gens viennent enrhumés au boulot, sauf que est-ce bien seulement un rhume ? La bonne nouvelle: aucun masque disponible et aucune possibilité d'en réapprovisionner. Message de l'ARS : "Débrouillez-vous entre EHPADs..."
Les personnels hospitaliers gèrent la pénurie depuis des années
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Christophe Alévèque - 18 Mars 2021
Agnès Buzyn a donné une interview au monde ou à moitié elle balance sur les mensonges du gouvernement, à moitié elle se dédoine. C'est étrange, bine souvent de mauvaise fois, mais explosif...
https://www.lemonde.fr/politique/art...95_823448.html
J'ai chopé le texte entier sur Reddit:
https://www.reddit.com/r/france/comm...une_mascarade/« On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade » : les regrets d’Agnès Buzyn
Catastrophée par la crise sanitaire, l’ex-ministre de la santé revient pour « Le Monde » sur sa campagne à Paris et son départ du gouvernement en pleine crise du coronavirus.
Par Ariane Chemin - Publié aujourd’hui à 11h34, mis à jour à 13h12
« Je me demande ce que je vais faire de ma vie. » Agnès Buzyn est enfin rentrée chez elle, lundi 16 mars, en milieu d’après-midi. Elle vient de « fermer la porte du QG » de sa campagne parisienne et a posé son sac, seule, « effondrée », dit-elle. Elle pleure, et ses larmes n’ont rien à voir avec celles « d’émotion » et de « déchirement » essuyées entre deux sourires lors de la passation de pouvoir au ministère de la santé, il y a un mois. Ce sont des larmes lourdes, de fatigue, d’épuisement, mais aussi de remords. Elle se livre sans fard et l’aveu est terrible. « Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. » A mots à peine cachés, l’ex-ministre de la santé reconnaît ce qui la déchire : fallait-il abandonner son poste en pleine tempête, alors qu’elle devinait le drame à venir ?
Agnès Buzyn n’est arrivée qu’en troisième position à Paris et sans attendre les directives de La République en marche (LRM) ou l’annonce du report du second tour, a annoncé ce lundi qu’« en raison de la situation sanitaire et dans les hôpitaux », elle se retirait du jeu. « C’est ma part de liberté, de citoyenne et de médecin. » L’avait-elle donc perdu, ce libre arbitre, durant son aventure électorale ? Ses propos le laissent deviner. « Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. » Le mot dit tout. A-t-on jamais gagné une élection en affichant pareille dualité ?
Tragédie intime
En politique aussi, l’inconscient parle. Dimanche 15 mars, Agnès Buzyn est allée voter dans le 5e arrondissement, près de chez elle. Essayer de voter, plutôt. La tête de liste de LRM avait d’abord oublié sa carte d’identité chez elle, dans un autre sac. Le temps que son équipe s’active, elle a fait le pied de grue devant le bureau de vote. Au moment de glisser son bulletin, impossible de débloquer la pompe du flacon de gel hydroalcoolique… Mauvais karma, mauvais signal.
Le soir, elle a été distancée par la maire socialiste sortante, Anne Hidalgo, et par Rachida Dati. Benjamin Griveaux aurait-il fait mieux ? « Sûrement pas, tranche-t-elle. Quand je suis arrivée, il était à 13 %. » Par tempérament, Agnès Buzyn n’est pas du genre à jouer les supplétifs. Si elle s’est présentée, c’est avec la conviction qu’elle pouvait bousculer le jeu. C’était son moment, pensait-elle. Ou son calvaire, vues les circonstances. Aujourd’hui, c’est toute cette séquence qui lui revient, jusqu’à faire de sa confession l’expression d’une tragédie intime.
Tout commence le 14 février. A l’époque, l’OMS ne parle pas encore de pandémie, les épidémiologistes comparent la mortalité du virus à celle de la grippe. Seule la province chinoise de Hubei est confinée. Invitée sur France Inter, ce matin-là, Agnès Buzyn fait le point sur ses dossiers et la situation sanitaire. Elle n’a pas encore vu la vidéo intime de Benjamin Griveaux, qui tourne depuis peu sur les réseaux sociaux. Toujours pas candidate dans un arrondissement de la capitale ?, lui demande-t-on à l’antenne. Ce même Griveaux ne lui avait proposé qu’« une troisième position, dans le 15e », précise-t-elle aujourd’hui. Pas forcément de son niveau. Elle n’entre pas dans ces détails et répète : « Je ne pourrai pas être candidate. J’avais déjà un agenda très chargé, j’ai beaucoup de réformes dans le ministère et s’est rajouté un surcroît de travail inattendu malheureusement, qui est cette crise du coronavirus. » L’affaire semble tranchée.
« Paris est un beau mandat. J’ai appelé moi-même le président pour lui dire que j’y allais »
Que se passe-t-il entre ce vendredi matin et le samedi soir suivant, qui la voit s’avancer sur le devant de la scène parisienne, alors que Griveaux jette l’éponge ? A l’entendre, elle devine déjà ce qui se profile. « Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein. » Dès lors, pourquoi tout lâcher pour remplacer Griveaux ? « Ni Emmanuel Macron ni Edouard Philippe ne m’ont mis la pression. Mais je recevais des milliers de textos me disant : “Il n’y a que toi…” Je me suis dit que je n’allais pas laisser La République en marche dans la difficulté… Paris est un beau mandat. J’ai appelé moi-même le président pour lui dire que j’y allais. »
Un bref moment de bonheur
Lucide sur la crise sanitaire et pourtant décidée à s’engager : nous sommes là au cœur du mystère Buzyn. La politique, cette hématologue réputée, entrée au gouvernement en 2017, en rêvait. « Depuis toujours, dit-elle. C’était aussi l’ADN de la famille Veil », celui de Simone, son ex-belle-mère, qu’elle admire. Elle avait déjà manqué de sauter le pas lors du précédent quinquennat, quand François Hollande avait songé à la nommer ministre, sans finalement donner suite. Auparavant, François Fillon l’avait, lui aussi, remarquée, alors qu’elle présidait l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, et lui avait proposé de devenir sa suppléante à Paris, aux législatives de 2012. Par conviction de gauche – peut-être aussi parce que c’était un début trop modeste –, elle avait refusé.
Agnès Buzyn se dit que ce défi parisien est une aubaine. La capitale, sa ville natale, semble lui tendre les bras. Elle le croit d’autant plus volontiers qu’au gouvernement, ses marges se sont rétrécies. Le corps hospitalier la voue aux gémonies, la réforme des retraites est un loupé, la future loi sur la dépendance n’aura pas les crédits exigés… Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ? Agnès Buzyn n’aime pas perdre et une nouvelle carrière, politique celle-là, s’ouvre à elle. Olivier Véran, un ex-socialiste de 39 ans, neurologue et député, paraît taillé pour lui succéder.
L’entrée en campagne est un bref moment de bonheur. La Macronie parisienne, sonnée par l’affaire Griveaux, se reprend à rêver. La candidate a les coudées franches. Elle enterre les projets-phares de son prédécesseur et pousse la promesse qui fait sa marque : l’aide aux personnes âgées à domicile. Bienveillance, proximité, mais aussi sécurité et propreté. Qu’apporte-t-elle de plus ? Son passé précisément, soit un sérieux, une compétence, une légitimité.
Pendant quelques jours, elle croit à sa bonne étoile. Les sondages frémissent. On l’engueulait toujours, et désormais on l’aborde gentiment. « J’aime les gens, dit-elle, et quoi qu’on en dise, dans un ministère, il y a une distance qui se crée. » La candidate s’enhardit et commet la faute de critiquer le manque de préparation de la Mairie de Paris face à l’épidémie, alors qu’elle l’a félicitée un peu plus tôt – et par écrit – de sa mobilisation. A moins que ces critiques ne trahissent un sentiment de culpabilité personnel ? Le satané virus envahit tout et, à la télévision, c’est Olivier Véran qui prend la lumière. Précis, rassurant, il est jugé excellent. La révélation n’est plus là où on l’imaginait…
Commence alors le chemin de croix. Sur le terrain, dans les débats, Agnès Buzyn montre un vrai savoir-faire mais elle stagne dans les sondages. Comment rassembler largement au second tour, comme promis, si elle arrive derrière Hidalgo et Dati ? « Je ne suis pas une politicienne mais une professionnelle de l’intérêt général », affirme le message audio qu’elle laisse sur 500 000 téléphones. La crise sanitaire la ramène sans cesse à son passé de ministre. Les réseaux sociaux reprennent ainsi cette petite phrase, lâchée le 24 janvier : « Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible. »
« Bien sûr, je n’aurais pas dû prononcer ces mots. Mais avant de partir du ministère, j’avais tout préparé, malgré une inertie… » Les quelques reproches qu’elle s’adresse se mêlent au désir de convaincre qu’elle n’a pas failli. « Je n’ai plus de boulot », glisse-t-elle, avant de se reprendre : « Je dis toujours : “Ministre un jour, médecin toujours”. L’hôpital va avoir besoin de moi. Il va y avoir des milliers de morts. »
Un article reprend le contenu du monde : https://www.huffingtonpost.fr/entry/...b6eab7793c93b3
EDIT: Réactions politiques : https://www.lefigaro.fr/politique/co...buzyn-20200317
https://www.publicsenat.fr/article/p...dire-ca-181404
Sur le sujet des mesures policières prises afin de forcer le confinement des français : si certains débattent entre le côté "rigueur nécessaire" (je le pense plutôt) et "état policier", malheureusement quand on écoute le préfet Lallement on tombe inexorablement dans la seconde case : https://twitter.com/davidperrotin/st...02495943659521
Ce gars est effrayant. Il est en trains de nous dire "Vous inquiétez pas j'ai l'habitude, si faut casser des gueules on le fera de bon coeur".Vous me connaissez, je vais faire comprendre assez vite les consignes
Toi aussi tu ramènes tout à sa petite personne et c'est normal puisque c'est lui-même qui ramène tout à sa petite personne.
Le problème c'est qu'étant donné ses précédents faits d'armes, avec entre autre la théorie du ruissellement, sa destruction des services publics, sa surdité aux grèves des urgences et ses violences policières répétées et revendiquées pour faire aboutir des réformes anti-sociales, il n'a aucune crédibilité, quelque soit les circonstances. Et tout le monde se doute bien qu'il va manoeuvrer pour tirer parti de cette crise d'une manière ou d'une autre, d'où une réticence sur tout ce qu'il dit et tout ce qu'il dira.
Je suis d'accord avec toi pour dire qu'il faut faire intervenir les forces de l'ordre en cas de non respect des mesures de confinement, mais là encore quand ça vient de Macron, de Castaner ou encore de Lallement, ça fait tâche et on a envie de faire le contraire car ils n'ont plus de crédibilité.
On a déjà beaucoup de doutes sur les préparatifs et les mesures préventives au tout début de l'épidémie, et les précédents discours rassurants du gouvernement n'ont pas aidé la population à une prise de conscience rapide de la situation. Ce qui d'ailleurs rejoint les premières déclarations d'Agnès Buzyn. Je dis les premières car il y a eu plus tard des rectificatifs sans doute à la demande de Matignon, mais là bizarrement on ne cite nommément plus personne.
Je dis qu'il est stupide et con de croire que ses manoeuvres de personnalisation du pouvoir sont les plus appropriées et on l'a d'ailleurs constaté aux dernières élections. En plus de son programme, les français ne supportent pas la dictature et l'autoritarisme d'un petit chef. C'est maintenant criminel d'utiliser encore aujourd'hui cette stratégie alors qu'on aurait besoin d'une union nationale qui rassemble tous les pouvoirs, tous les responsables de tous bords, et toutes les compétences.
Le confinement est effectivement une bonne chose mais te faire engueuler par les forces de l'ordre parce que tu vas faire tes courses … J'aimerais bien ne pas avoir à sortir de chez moi, mais le frigo se remplit pas tout seul (en plus en télétravail ça fait encore plus de repas à la maison) et les magasins ont été pris d'assaut que les courses sont plus rapprochées qu'habituellement ! Pareil, une femme qui se fait engueuler parce que son activité physique c'est la marche alors que le jogger à côté est dans "son bon droit" c'est étrange … Il va falloir qu'ils affinent un peu tout ça et surtout gérer les courses (horaires par foyer, rationnement ?) sinon les gens en sont à se transmettre le virus en se battant pour un paquet de pâtes (après certains se battent bien pour du Nutella faut pas s'étonner).
Je ne comprend pas le problème, il suffit de t'imprimer le justificatif avant d'y aller. On doit en arriver là car les gens ne respectent pas le confinement malheureusement. Et ça reste light comme mesure (faire respecter le confinement en jouant sur la flemme des gens à remplir un papier), on verra si cela suffit ou non.
Apparemment pour ceux qui n'ont ni imprimante ni feuille + stylo, il y a moyen de modifier le PDF et de l'afficher sur son smartphone.
Coronavirus. Ces attestations qui vous permettent de vous déplacer durant le confinement
Avant de sortir il faut préparer son attestation de déplacement, comme ça si on se fait arrêter il suffit de la montrer et c'est bon.Une version numérique présentée sur son smartphone est également valable.
Le document PDF mis en ligne par le ministère est modifiable directement sur le logiciel Acrobat Reader, disponible gratuitement sur Windows, MacOS iOS et Android. Pour la signature, rendez-vous dans la colonne de droite « Remplir et signer », puis « Ajouter une signature ». Vous pourrez en tracer une avec votre souris, ou insérer une image. Pour la seconde option, prenez en photo votre signature réalisée sur papier libre et utilisez cette image dans votre document.
Keith Flint 1969 - 2019
Un de mes collègues a indiqué qu'un formulaire spécifique aux smartphones existe ici, avec signature "tactile" : https://picta.fr/covid/
On remplit, on clique sur générer et ça y est !
Bon télétravail à tous.
Le dessin illustre très bien la situation et son évolution ces derniers jours
En filigrane, le sentiment de mépris, et la flicaille comme courroie de transmission. Genre nous sommes les adultes, vous êtres des ignares puérils, voici le père fouettard, on va vous éduquer (voir le préfet Lallement hier).
J'espère que vous aurez tous un peu de mémoire dans quelques semaines, il va être grand temps de faire le ménage à tous les niveaux : politique et sociétal.
En attendant, si vous savez pas quoi faire de vos oreilles, vous pouvez écouter ces messieurs, ensuite vous vous demanderez pourquoi on a pas de masques dans les services hospitaliers :
On notera la qualité de guignol du premier interlocuteur
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Christophe Alévèque - 18 Mars 2021
On dit souvent pour que des choses complexe la France est la championne du monde en terme de surqualité ... inutile.
Pour des choses simples en France , c'est le désordre, désorganisation, le grand n'importe quoi, cela court azimut ... entre autre la production du masque de protection
Le bon sens, le rationnel, les choses simples, se sont perdues en France :/
Plot twist : les formulaires sur smartphones ne sont plus autorisés.
Il avait été dit hier que le formulaire distribué pouvait être remplit sur son smartphone et présenté tel quel. Rétropédalage aujourd'hui : https://www.bfmtv.com/tech/confineme...s-1877104.html
Reste le formulaire à imprimer et remplir, ou la déclaration écrite sur papier libre.
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