Quel pessimisme. Grâce à ce Ceausescu de la finance des temps moderne, le pays va faire faillite, les gens perdront leur assurance-vie et redécouvriront les joies simples du jardinage, comme en Argentine en 2002 et en Russie en 1998.
On pourra alors repartir sur des bases saines et avoir 5% de croissance, après avoir limogé 2 ou 3 millions de fonctionnaires qui iront aux champs cueillir les fraises.
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