Si je suis bien d'accord sur les divergences qui existent entre les critères des offres et le travail réel demandé, je réitère mes affirmations sur l'inadéquation des évaluations des intelligences et compétences des candidats aux diplômes.
De nombreuses études ont montrés que les situations (à la très grandes majorités) "fictives" d'examens ne montrent que la capacité d'un diplômé à mettre en application les acquis dans des situations "scolaires" loin des situations d'exercice de la profession concernée. Rare sont les examens
Même si aujourd'hui, les évaluations par contrôle continu" ont été une avancée pour améliorer les évaluations, elles ne sont que le reflet d'une appréciation basé sur le ressenti temporel et non sur une mise en exercice concret.
Pour tout dire, je pense que si les diplômes étaient obtenus au cours d'une année d'activité en situation réel d'emploi sur un cas réel d'activité où le résultat porterait sur la concrétisation du résultat de l'exercice (et je ne dis pas la réalisation car on peut aboutir sur un projet à une non-réalisation pourtant le travail est complet, parfait et plus que satisfaisant) c'est à dire à la soutenance du travail devant les clients, les employeurs et les enseignants et formateurs réunis.
“Ne suis pas les idées des autres, mais plutôt apprends à écouter la voix qui est en toi.“ – Dogen Zenji
Ou comme je dis parfois (c'est moins bien évidemment, je ne suis pas un "penseur"
) : peu importe le chemin que tu prends, le but c'est qu'il soit le tien et qu'il t'amène vers ton objectif......
Tout ça pour dire que mettre un 10/10 à quelqu'un qui a su reproduire le cours, n'a pas vraiment tout le mérite qu'il reçoit.
Partager