L’ex-vice-président du tribunal judiciaire de Dijon, Olivier Bailly, avait été jugé en son absence, le 18 février, pour « instigation, non suivie d’effet, à commettre des violences sexuelles » sur sa fille, alors âgée de 12 ans.
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La Cour s’est alignée sur les réquisitions du parquet, qui avait poursuivi le magistrat de 56 ans pour « avoir, entre octobre 2019 à juin 2020,
proposé à des internautes de forcer sa fille à avoir des rapports sexuels » avec eux, de lui infliger « des agressions sexuelles », et pour « corruption de mineure ».
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