Je vais voter pour le même qu'au premier tour, avec la même sensation de douleur intense dans le fondement.
Mais je n'oublie pas qu'il y a une différence profonde entre une démocratie, même pourrie comme la notre, et une dictature. Une différence de degré dans la souffrance. Je ne souhaite pas voir ma fille grandir en dictature. Donc, faute de grive, on mange des merles. Faute de merles, on mange des patates. Faute de patates, on mange des rutabagas. Macron est un rutabaga.
Partager