Des fois je me demande si les fanboys de l'europe sont des crétins ou s'ils font juste semblant...
Tu ne peux évidemment pas quitter l'OMC sans avoir quitté l'euro.
Des fois je me demande si les fanboys de l'europe sont des crétins ou s'ils font juste semblant...
Tu ne peux évidemment pas quitter l'OMC sans avoir quitté l'euro.
Pq?
Moi je me demande surtout quand tu auras des arguments plutôt que des insultes...
Ah et si les "nationalistes" venaient avec de vrais explications peut-être qu'on devrait moins jouer au con...
en parlant de natioanliste, j'ai entendu une belle citation :
"Le patriotisme, c'est aimer son pays. Le nationalisme, c'est détester celui des autres."
Sauf que même le PLS n'a pas parlé de quitter l'OMC il me semble, donc si c'est effectivement l'OMC qui "impose" des droits de douanes faibles, au final, sortir de l'euro ne changera pas grand chose...
(Oui d'ailleurs, vu que l'OMC nous impose pleins de trucs, pourquoi le PLS ne veut pas en sortir aussi ?)
Quand les anti-ue arrêteront de se contredire en permanence, les autres arrêteront peut-être de poser des questions connes
Mais sinon, même question que Benoit pour ma culture personnelle, pourquoi ne peut-on pas quitter l'OMC sans quitter l'euro ? Il y a pourtant de nombreux pays membres qui ne font pas partis de la zone euro, non ?
rofl faut revoir les relations sur les ensembles
euro inclue dans OMC ne veut pas dire OMC => euro hein...
????
Sinon juste comme ça :
Mayotte fait partie de la France, donc partie de l'UE et de la zone euro (et sa monnaie officielle est l'euro), mais ne fait pas partie de l'OMC...
Idem pour Saint-Pierre-et-Miquelon.
Donc oui, on peut ne pas être dans l'OMC, tout en étant dans l'euro.
Saloperie de fan boyz pro-UE !
Tu m'etonne, une partie de la france ne ferait pas partie de l'OMC ?
Pour moi mayotte, c'est un statut de departement avec les compétences d'une région en plus. Mais ils sont autant dépendant de nos traités que les autres departements.
Et je pense que oui, on peut quitter l'omc, mais ca se fera pas sans conséquence de la part des autres états.
Et je pense que l'Euro impose d'être adhérent à l'OMC.
Donc, tu peux quitter l'euro sans quaitter l'OMC, mais pas le contraire.
Bah ça a bien le statut que tu veux, mais non Mayotte ne fait pas parti de l'OMC, suffit d'aller lire la liste des pays membres...
Non-membres:
États souverains
Les pays suivants ne sont ni candidats, ni observateurs :
Corée du Nord
Érythrée
Kiribati
Îles Marshall
Micronésie
Nauru
Palaos
Somalie
Soudan du Sud
Timor oriental
Turkménistan
Tuvalu
Monaco : La principauté de Monaco fait partie intégrante du territoire douanier de l'Union européenne.
Saint-Marin : La République de Saint-Marin et l'Union européenne ont ratifié un Accord de coopération et d'union douanière le 28 mars 2002. Cet accord concerne les produits relevant des chapitres 1 à 97 du tarif douanier commun, à l'exception des produits visés par le traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l'acier.
Dépendances exclues de l'adhésion
Les entités suivantes sont rattachées à des pays et exclues de l'adhésion :
Pays-Bas : Aruba
Danemark : Groenland, Îles Féroé
France : Mayotte, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna, Saint-Pierre-et-Miquelon
Espagne : Ceuta, Melilla
États-Unis : Îles Vierges des États-Unis, Guam, Îles Mariannes du Nord, Samoa américaines
Royaume-Uni : Gibraltar, Jersey, Guernesey, Île de Man ainsi que l'intégralité des îles et archipels d'outre-mer
Nouvelle-Zélande : Îles Cook, Tokelau, Niue
Australie : Île Christmas, Îles Cocos
États non-reconnus internationalement
Les entités suivantes sont contestées et n'ont pas soumis leur candidature :
Abkhazie
Chypre du Nord
Haut-Karabagh
Kosovo
Ossétie du Sud
Palestine
République arabe sahraouie démocratique
Somaliland
Transnistrie
On peut tromper mille fois mille personnes mais on ne peut pas tromper mille fois mille personnes. Émile Gravier - 1994
Je pense que c'est ça le point d'achoppement fondamental...
Au lieu de vouloir aller trop vite, il aurait mieux fallu consolider ce qu'il y a avait à 12, en arriver à une vraie EU politique : tout d'abord coopération pleine et entière de tous les services "régaliens" inter-dépendants : police, douanes, justice, armée, monnaie, et sociaux liés à l'économie. De là, faire (ce qui aurait été plus simple car niveaux équivalents) l'EU politique au sens de la structure (la vraie fédération, avec partis transnationaux et, pour exprimer positivement, regroupement au sein de ministères fédéraux des services évoqués plus haut, système réel d'élection et de gouvernement)...
Ensuite seulement on aurait pu procéder à l'élargissement, car il y aurait eu des règles et des modifications déjà fondamentales (les points ci-dessus pourraient être vus comme "abandon de la souveraineté")..
Il ne faut pas croire que c'est un "accident". Ceux qui font l'Europe ne veulent pas d'une Europe politique. Le dumping social, l'inégalité fiscale... tout ça n'est pas un problème pour eux. Pour beaucoup de monde c'est un avantage d'avoir de la main d'oeuvre bon marché ou un paradis fiscal au sein d'une zone de libre-échange.Envoyé par souviron34
Oui mais ce serait aller vers le fédéralisme, et ça non plus ils n'en veulent pas. Tu vois nos politiques construire un truc qui va faire qu'ils auront moins de pouvoir en France ?Envoyé par souviron34
Brexit : quelles conséquences sur le secteur de l’IT ?
Cas de la confidentialité et les échanges de données, la réglementation des technologies et l’emploi
Après avoir longuement nourri le projet, les Britanniques ont finalement voté pour la sortie de l’Union européenne, un choix qui a été décrié par les entreprises de la technologie basées au Royaume-Uni. Il faut en effet noter qu’un sondage réalisé par Tech London Advocates a révélé que près de 90 % de ces entreprises étaient contre Brexit. Tech London Advocates est une coalition de leaders, experts et investisseurs du secteur de la technologie qui forment le groupe indépendant du secteur privé le plus influent de Londres. Les firmes internationales ayant des bureaux au Royaume-Uni - telles que Microsoft – ont également fait campagne contre ce mouvement. Quelles pourraient donc être les répercussions de Brexit sur le secteur de la technologie au Royaume-Uni et à l’étranger ?
Il faut de prime abord s’attendre à ce que la sortie du Royaume-Uni laisse une incertitude sur l’évolution des règlements au sein de l’Union européenne. Dans le secteur de la technologie, il s’agit notamment des accords sur les échanges transfrontaliers des données, la réglementation des technologies au sein de l’UE, mais également les questions telles que la surveillance et la confidentialité.
Étant plutôt souple vis-à-vis de la confidentialité des données, le Royaume-Uni fait partie des pays qui ont appelé à ne pas durcir la réglementation des technologies au sein de l’UE. Si la France et l’Allemagne ont quant à elles décidé de lancer des répressions contre les entreprises de technologie américaines comme Google pour leurs transgressions, leurs positions seraient encore plus fortes en l’absence du Royaume-Uni. Cela pourrait donc annoncer une réglementation plus durcie contre les entreprises de technologie. Mais cette réglementation durcie sera-t-elle bénéfique pour l’industrie de l’IT ? Là s’ouvre encore un autre débat.
Un autre point, mais qui serait surtout préjudiciable au Royaume-Uni s’il quitte l’Union européenne, serait sans doute les échanges transfrontaliers des données. De Safe Habor au Privacy Shield, les États-Unis et l’UE essaient surtout de trouver un terrain d’entente sur le traitement des informations personnelles des Européens détenues par des sociétés américaines. En sortant de l’Union, le Royaume-Uni sera dans le même bateau que les États-Unis. En effet, si les entreprises britanniques veulent traiter les données personnelles des employés et des clients sur le continent européen, le pays aura besoin de trouver un accord avec l’UE. Cela pourrait créer des barrières aux échanges de données entre le Royaume-Uni et l’Union européenne.
Il faut également noter que si le Royaume-Uni quitte l’Europe, ses programmes de surveillance de masse rendront plus difficile de trouver un accord sur les échanges de données avec l’Union européenne. On peut aussi se demander ce qu’il en sera des flux de données entre le Royaume-Uni et les États-Unis.
De manière générale, on assistera donc à une réglementation fragmentée qui ne serait probablement pas favorable au développement des entreprises de technologie au Royaume-Uni. Des conséquences désastreuses peuvent toutefois être évitées si le pays s’aligne sur les règlements de l’Union européenne. Ce qui ne peut pas être affirmé avec certitude. Le commissaire de l’information, le gardien de la vie privée du Royaume-Uni a en effet annoncé qu’avec la sortie du pays, les réformes de l’UE sur la vie privée ne s’appliquent pas directement au Royaume-Uni.
Côté emplois IT, les entreprises britanniques de la technologie et les entreprises technologiques étrangères avec des bureaux au Royaume-Uni émettent une inquiétude selon laquelle Brexit va fondamentalement nuire à la capacité de l'industrie de la technologie de recruter des travailleurs hautement qualifiés. Une bonne partie de ces derniers venant des autres pays de l’Europe. Sans l'approbation de l'UE pour laisser les travailleurs se déplacer librement entre les pays, les entreprises britanniques craignent une pénurie de travailleurs qualifiés. Il faudrait donc signer un accord pour résoudre ce problème.
Brexit pourrait encore rendre plus difficile pour les startups britanniques de trouver des financements. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles l’industrie britannique de la technologie a exprimé son désaccord avec ce mouvement. Le mois dernier, Microsoft a d’ailleurs averti que Brexit allait décourager les investissements au Royaume-Uni.
Le Royaume-Uni aura probablement jusqu’en 2018 pour quitter officiellement l’Union européenne, le temps de définir avec l’UE les termes de sa sortie. Cela nous laisse donc deux ans pour mieux être situés sur les impacts de Brexit.
Sources : Fortune, The Washington Post
Et vous ?
Que pensez-vous de Brexit et de son impact sur le secteur de la technologie ?
Le Royaume-Uni pourra-t-il aller jusqu'au bout de sa décision ?
Voir aussi :
Le bitcoin s'envole après le Brexit, la monnaie virtuelle prend de la valeur alors que les Britanniques décident de quitter l'Union européenne
Ce qui ne sera pas bien compliqué, ce genre d'accords existaient bien avant l'UE !...recruter des travailleurs hautement qualifiés. Une bonne partie de ces derniers venant des autres pays de l’Europe. Sans l'approbation de l'UE pour laisser les travailleurs se déplacer librement entre les pays, les entreprises britanniques craignent une pénurie de travailleurs qualifiés. Il faudrait donc signer un accord pour résoudre ce problème.
Que pensez-vous de Brexit et de son impact sur le secteur de la technologie ?
C'est une tres bonne chose cette sortie, il faudrait que tous les autres pays y compris la france le fassent.
Ca va doper le secteur IT sans aucun doute, le protectionisme a toujours fait remonter les entreprise nationales.
Le Royaume-Uni pourra-t-il aller jusqu'au bout de sa décision ?
Il faut espérer.
http://www.jdubuzz.com/2016/06/29/br...ndres-pornhub/
C'est lié de loin à la conversation, mais ça m'a beaucoup fait rigoler (c'est SFW, vous pouvez y aller).
C'est pour cela que je ne suis pas trop partisan des mesures de protectionnisme "grossière" mais plutôt de mesures ciblées, ou carrément d'un dévaluation.
Dans tous les cas, vous comprendrez aisément que ces mesures ne peuvent être mise en application au sein d'une union économique ET monétaire.
Tes collègues ne peuvent pas demander une dérogation, voir la nationalité britannique ?
Osef du nombre d'habitants, je te montre qu'une partie de la France, qui fait donc partie de l'UE et de la zone euro, n'appartient pas à l'OMC.
A la base, l'affirmation c'est qu'on ne pouvait pas quitter l'OMC sans quitter l'euro, donc à moins que vous produisiez le texte de loi en question, je ne sais pas si on ne peut pas quitter l'OMC sans quitter l'euro, mais il y a tout de même ces exemples qui montrent qu'on peut ne pas être dans l'OMC tout en étant dans la zone euro.
Donc si on peut ne pas être dans un, tout en étant dans l'autre, pourquoi faudrait-il donc absolument et systématiquement quitter le 2ème si on veut quitter le premier ?
Bref, si tu es certain de tes affirmations, merci de produire un lien vers la loi en question, car pour l'instant, je n'ai rien trouvé à ce sujet.
Edit :
@pmithrandir: dans les conditions d'adhésions à l'UE, il n'est fait nul part mention de l'OMC.
http://www.touteleurope.eu/les-polit...r-adherer.html
Donc officiellement en tous cas, ce n'est pas obligatoire, après bien sûr que cela peut, peut-être influencer l'acception des autres pays de façons plus officieuse, mais on ne peut pas le savoir.
J'ai toujours pensé que le protectionnisme et le libre-échangisme devraient être non pas des idéologies sectaires mais des outils à utiliser au cas par cas, à bon escient, après études d'impact. Même chose pour le libéralisme et le socialisme. Le marché et l’État sont complémentaires.
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