Non, la batterie amovible, telle que présentée généralement, se fait sans outils, en 30 seconde : on enlève le clapet en le glissant, on déclipse la batterie très facilement et sans application, on remet la batterie très facilement et sans application et en remet le clapet les doigts dans le nez.
Et ça, c'est utile si tu changes souvent de batterie. Comme par exemple un photographe de marriage qui change 3 fois de batterie dans la soirée.
Concrètement, on a pas besoin de ça sur téléphone.
Ce que je dis, c'est qu'on doit avoir des téléphones qui se démontent facilement avec outils (genre des médiator etc.) et dont les clips fixateurs ne s'autodétruisent pas au premier démontage. et dont la batterie n'est pas soudée : elle peut être fixé à la carte mère par une vis ou deux, et le contact electrique se fait en général avec une nappe.
Changer la batterie se fait en 10 min, mais tout le monde peut le faire.
Soit, alors comment qualifies-tu ce genre de batterie ?
Que je sache, avec ou sans outil, elle reste amovible, non ?
Même si c'est plus long à réaliser que sur certains équipements.
Inamovible convient très bien pour la batterie soudée ou dans un boîtier scellé.
Les autres, étant accessibles & échangeables, sont par définition amovibles (= « Qui peut être déplacé, éloigné, retiré. » [TLFI]).
Maintenant, si tu tiens vraiment à faire une différence entre les modèles, ça va être un poil compliqué, puisque la langue française n'a pas vraiment de mot à cet usage, à ma connaissance. À part, une expression du style « très facilement remplaçable »...
Bref, ça s'appelle faire des choses pas convenables à des diptères, en particulier de l'espèce musca domestica. Aussi je suggère d'interrompre cette discussion lexicologique, totalement hors sujet ici.
On est d'accord. C'est exactement ce que je dit. Une batterie dans un boitier scellé est une batterie inamovible. Même si elle n'est pas soudée.
On est encore d'accord, c'est pourquoi je propose des termes pour ça. à ceci prés que ce n'est pas la batterie "trés facilement remplaçable" à qui il manque un terme, puisque celui-ci est juste "amovible". Il manque un terme pour les batteries non soudées dans un boitier scellé.Maintenant, si tu tiens vraiment à faire une différence entre les modèles, ça va être un poil compliqué, puisque la langue française n'a pas vraiment de mot à cet usage, à ma connaissance. À part, une expression du style « très facilement remplaçable »...
Je ne cautionne pas la zoophilie, mais si c'est ton truc et que les mouches sont consententes, je ne juge pasBref, ça s'appelle faire des choses pas convenables à des diptères, en particulier de l'espèce musca domestica. Aussi je suggère d'interrompre cette discussion lexicologique, totalement hors sujet ici.![]()
La suite d’applications Google va coûter aux équipementiers européens jusqu’à 40 $ par smartphone
Pour qu’Android puisse rester libre et open source
Le feuilleton se poursuit autour de Google et de son système d’exploitation pour plateformes mobiles (Android) après que la Commission européenne lui a infligé une amende de 4,3 milliards de dollars pour abus de position dominante. Plus tôt dans la semaine, la firme de Mountain View a annoncé qu’elle se conformerait en éclatant son pack d’applications. Désormais, les équipementiers pourront préinstaller Youtube, Docs, Gmail, Google PlayStore, etc. sans « s'encombrer » du navigateur (Google Chrome) et du célèbre moteur de recherche du géant de la Tech.
Il y a seulement que la firme de Mountain View s’appuyait sur les revenus publicitaires générés par ce tandem de services (Google Search et le navigateur) et ses autres applications pour financer le développement d’Android. Du coup, les équipementiers européens désireux de préinstaller les applications Google (en faisant fi du navigateur et du moteur de recherche) devront consentir à se plier à un accord de licence payant. D’après le géant de la recherche en ligne, la mesure est salvatrice : Android pourra rester libre et ouvert.
Grâce à une publication de The Verge, on a des détails sur les chiffres. D’après l’éditeur en ligne qui cite des documents confidentiels, Google va facturer aux équipementiers européens (qui feront le choix de cette liberté qui leur est offerte) une somme fonction du pays et de la densité de pixels du dispositif Android.
« Les pays de l'UE sont divisés en trois catégories, les frais les plus élevés étant appliqués pour le Royaume-Uni, la Suède, l’Allemagne, la Norvège et les Pays-Bas. Dans ces pays, un appareil ayant une densité de pixels supérieure à 500 ppi devrait payer des frais de 40 $ pour obtenir une licence de la suite d'applications de Google, selon les documents de tarification. Les appareils de 400 à 500 ppi paieraient des frais de 20 $, tandis que les appareils de moins de 400 ppi ne paieraient que 10 $. Dans certains pays, pour les téléphones bas de gamme, les frais peuvent être aussi bas que 2,50 $ par dispositif », indique The Verge.
En sus, les nouveaux accords de licence précisent que les équipementiers qui feront le choix de ne pas préinstaller Chrome (et le placer sur l’écran d’accueil) peuvent dire adieu aux revenus générés par la recherche. La firme de Mountain View s’était jusqu’ici appuyée sur cet incitatif pour amener les équipementiers à accorder un traitement de faveur à ses applications.
Le moteur de recherche et le navigateur font désormais l’objet d’un accord de licence distinct. D’après The Verge, ce dernier est de nature à casser les coûts pour les entreprises qui vont décider de préinstaller Google Chrome et Google Search, mais pas de détails chiffrés à ce sujet. D’après la publication de The Verge, ces nouvelles règles entrent en application dès le 1er février 2019.
En tant que consommateurs, les Européens se retrouvent à la croisée des chemins. Il faudra choisir entre céder sa vie privée pour obtenir des services de la firme de Mountain View ou payer pour en conserver d’importants pans. À chacun de se diriger vers l’OEM dont les choix colleront avec ses convenances.
Source : The Verge
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
De quel bord êtes-vous ? De ceux qui accepteront de céder leur vie privée pour bénéficier des services de Google ou de ceux qui payeront pour en conserver d’importants pans ?
Quel commentaire faites-vous de la décision de facturer les OEM pour maintenir Android libre et ouvert ?
Voir aussi :
Google refuse un contrat de 10 milliards de dollars sur le cloud avec le Pentagone, évoquant des conflits avec ses valeurs
Google se résout à fermer la version grand public de Google+, après une faille de sécurité qui pourrait avoir affecté 500 000 comptes
Après Edge, c'est au tour de Firefox d'annoncer le support du format d'image WebP de Google, qui promet un Web plus rapide
Les versions 70 à 73 de Google Chrome ne prendront pas les certificats HTTPS Symantec en charge : des milliers de sites mis à mal
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En fait, il n'y pas de choix. Quelque soit l'option choisie, ta vie privée tu peux t'asseoir dessus avec tes deux fesses.
La bonne blague ! Google, devenu incontournable va devenir payant pour se conformer aux lois européennes ma bonne dame. On va encore leur filer en plus des milliards net d'impôt (évidemment) et tout ça grâce à nos hommes politiques. Il faut ABSOLUMENT que nos handicapés cérébraux de dirigeants politiques se mettent d'accord pour arriver à imposer ces mastodontes comme il se doit.
Que dès qu'un concurrent sérieux à android apparaîtra cette taxe disparaîtra.Qu’en pensez-vous ?
Que cette taxe va peut-être inciter certains fabricants qui travaillent déjà sur leur propre système de les sortir pour être plus concurrentiel.
Payer en attendant qu'une alternative à android sorte (ce que j'attend avec impatience depuis un bon moment)De quel bord êtes-vous ? De ceux qui accepteront de céder leur vie privée pour bénéficier des services de Google ou de ceux qui payeront pour en conserver d’importants pans ?
Que google entend bien profiter encore un moment de sa position dominante pour faire sa loi.Quel commentaire faites-vous de la décision de facturer les OEM pour maintenir Android libre et ouvert ?
Il y avait une très bonne alternative, Microsoft Windows 10 Mobile, mais les développeurs (indés et proprios comme SnapChat), ayant foi en leur pensée unique sonnante et trébuchante, ont préféré saborder cette alternative en ne développant pas d'application… C'est avant tout les développeurs que je blâme, pas Google car ce dernier ne fait que jouer avec les règles du système, c'est malheureux mais ça s'appelle du business !
Le problème a toujours été le pognon !
Si c'est facturé, ce n'est pas offert ! ;-)Google va facturer aux équipementiers européens (qui feront le choix de cette liberté qui leur est offerte)
Votre question de choix est mal rédigée.
Même si tous les services de Google sont pré-installés, je peux les désactiver si je veux.
Même si les services de Google ne sont pas pré-installés, je peux les installer si je veux.
L'utilisateur a le choix, sortez-vous les doigts du c** on n'est pas dans le monde Apple, on a encore la main sur nos terminaux à ce que je sache.
bk417 : Tu peux (au moins sur les anciennes versions d'Android) ne pas utiliser une application préinstallée, mais tu ne peux pas la désactiver, encore moins la désinstaller !
Exemples : Chrome, Maps, Actualités, Movie Studio, PlayFilms, Play Musique, &c.
Et ça, ça encombre un SSD.
J'ai pourtant essayé. Même sur ma dernière tablette achetée cette année, je me coltine toujours les applications préinstallées. Car ce sont celles qui ne proposent pas l'option désinstallation quand on les sélectionne.
Ou alors, il faudra m'expliquer comment faire.
"En sus, les nouveaux accords de licence précisent que les équipementiers qui feront le choix de ne pas préinstaller Chrome (et le placer sur l’écran d’accueil) peuvent dire adieu aux revenus générés par la recherche. La firme de Mountain View s’était jusqu’ici appuyée sur cet incitatif pour amener les équipementiers à accorder un traitement de faveur à ses applications.
".
Si ça c'est pas un abus, je ne vois pas ce que cela peut-être.
Google va demander aux utilisateurs d’Android en Europe quel navigateur et moteur de recherche ils veulent
Comme applis sur leurs mobiles
La nouvelle est tombée il y a peu par le biais de Kent Walker – responsable de l’équipe juridique mondiale de Google. Quelques extraits de la communication …
Envoyé par Google
L’annonce de Google se fait dans un contexte antérieur à l’amende de 4,3 milliards infligée par la Commission européenne pour abus de position dominante avec son système d’exploitation pour appareils mobiles – Android. L’UE a ouvert une procédure d’examen formelle contre le géant de la recherche en ligne après le dépôt, en mars 2013, d’une plainte par FairSearch – un lobby soutenu par des entreprises qui estiment être désavantagées par la domination de Google sur le marché des moteurs de recherche.
La Commission devait porter une attention particulière sur les services de recherche générale sur Internet, les systèmes d’exploitation mobiles intelligents sous licence, mais aussi les boutiques d'applications en ligne pour le système d'exploitation mobile Android. Dans sa conclusion préliminaire livrée en avril 2016, la Commission soulignait que Google viole les règles de concurrence de l’UE en abusant de sa position dominante par l’imposition de restrictions aux fabricants d'appareils Android et aux opérateurs de réseaux mobiles.
À l’issue de son enquête, Bruxelles est arrivé à la conclusion que les fabricants qui souhaitaient préinstaller Google Play Store sur leurs appareils étaient forcés par Google à préinstaller également Google Search et d'en faire leur moteur de recherche par défaut sur ces appareils. Par ailleurs, ceux qui souhaitaient préinstaller Google Play Store ou Google Search devaient également préinstaller le navigateur Chrome de la firme de Mountain View. C’est ainsi que Google a procédé pour que son moteur de recherche et son navigateur soient préinstallés sur la grande majorité des appareils vendus dans l’espace économique européen (EEE).
En Russie, Google est, depuis avril 2017, rendu à l’ouverture d’Android aux autres moteurs de recherche et applications préinstallées proposées par des concurrents. La manœuvre fait suite à l’ouverture, en février 2015, d’une enquête antitrust suite au dépôt d’une plainte par Yandex – le plus important et le plus utilisé des moteurs de recherches sur le réseau web russophone.
Source : Google
Et vous ?
Quel commentaire faites-vous de cette annonce de Google ?
Quelles propositions en termes de navigateurs et moteurs de recherche aimeriez-vous voir Google faire ?
Voir aussi :
Google use de sa position dominante pour faire pression sur ses concurrents selon un rapport de la FTC rédigé en 2013
Antitrust : Bruxelles sur le point d'infliger une lourde amende à Google pour abus de position dominante avec Android
4,3 milliards d'euros ! C'est l'amende infligée à Google par la Commission européenne pour abus de position dominante avec Android
La suite d'applications Google va coûter aux équipementiers européens jusqu'à 40 $ par smartphone pour qu'Android puisse rester libre et open source
Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités
Ce système de "demande" à l'utilisateur finale est biaisé dés le départ.
Il suffit de mettre "Chrome" en haut de liste avec une formule "nous vous conseillons bla bla bla ... ". Les moutons iront forcement sur cette sur "Chrome" , Firefix sera en bas de liste.
Très juste, mesure très symbolique de Google qui n’influera pas le choix de l'utilisateur au final. Dans tous les logos, il y en a qui sont vraiment inconnu du publique, donc qui ont peu de chance d'être choisi, et il faudra "comme par hasard" scroller pour voir FireFox ou Edge apparaître.Ce système de "demande" à l'utilisateur finale est biaisé dés le départ.
Il suffit de mettre "Chrome" en haut de liste avec une formule "nous vous conseillons bla bla bla ... ". Les moutons iront forcement sur cette sur "Chrome" , Firefix sera en bas de liste.
Par contre, je ne comprends toujours pas pourquoi Google se prend cette amende alors qu'Apple installe de base Safari et Windows, Edge. ça doit être simple pourtant de mettre en place, au niveau législatif, un process de choix de browser commun à tous les systèmes d'exploitation.
Google permettra aux utilisateurs d'Android en Europe de choisir leur moteur de recherche par défaut
Et augmentera ses profits par la même occasion
En réponse à une amende de 5 milliards de dollars qui lui a été infligée par la Commission européenne pour abus de position dominante avec son système d’exploitation pour appareils mobiles Android, Google a prévenu en mars dernier qu’elle va demander aux utilisateurs d’Android en Europe quel moteur de recherche ils veulent utiliser par défaut sur leurs mobiles. La société a également présenté aux utilisateurs d’Android une option permettant de télécharger des applications de recherche et de navigateur supplémentaires dans Google Play.
La firme de Mountain View a récemment fourni davantage de précisions concernant la stratégie qu’elle compte adopter pour se conformer à la justice européenne. Google a prévu d’introduire à partir de l’année prochaine une nouvelle option afin de permettre aux utilisateurs européens de plateformes Android de choisir plus librement leur moteur de recherche par défaut. À compter de l’an prochain, Android affichera un écran de sélection permettant de définir le moteur de recherche par défaut (Google, Yahoo, Qwant, Bing, Yandex ou autre), lors de la phase de configuration de l’appareil.
À ce propos, Google a déclaré : « L’année prochaine, nous proposerons aux utilisateurs d’Android un nouveau moyen de sélectionner un moteur de recherche pour alimenter un champ de recherche sur leur écran d’accueil et par défaut dans Chrome (si installé). Les fournisseurs de recherche peuvent demander à faire partie du nouvel écran de sélection qui apparaitra lorsque quelqu’un configurera un nouveau smartphone ou tablette Android en Europe ».
L’entreprise indique aussi que « les fournisseurs de recherche éligibles devront remplir un formulaire de candidature et pourront enchérir pour une inclusion basée sur une enchère ». Qu’est-ce que cela signifie concrètement ?
À priori, quatre options (incluant le moteur de recherche de Google et trois alternatives déterminées au terme d’une sélection payante) devraient être proposées dans un ordre aléatoire aux utilisateurs. Les alternatives éligibles devront participer à des enchères par pays et faire une offre par pays en précisant le montant qu’elles consentent à verser à la firme de Mountain View pendant la période de grâce - de janvier à décembre 2020 pour la première phase - chaque fois qu’un client utilisera leur moteur de recherche sur Android à la place Google. Le moteur de recherche défini durant cette étape obligatoire avant la poursuite du premier démarrage d’un dispositif tournant sous Android sera utilisé par défaut dans le champ de recherche d’Android et dans Chrome (si l’application est installée).
Google a prévu une offre minimale par pays pour figurer dans la short-liste et expliqué que les trois offres les plus élevées atteignant ou dépassant le seuil d’enchère minimal pour un pays donné apparaitront dans l’écran sélection de ce pays. L’entreprise assure qu’en cas d’égalité des voix, elle « attribuera les créneaux horaires de manière aléatoire entre les soumissionnaires liés ». Et si moins de trois fournisseurs de recherche éligibles atteignent ou dépassent le seuil d’enchères, elle « remplira les emplacements restants de manière aléatoire à partir du pool de fournisseurs de recherche éligibles. Le groupe de fournisseurs éligibles comprendra ceux qui ont demandé à participer à l’écran de choix, mais n’ont pas soumis d’offre ».
Les moteurs de recherche retenus seront connus le 31 octobre. Après la première vague d’enchères, toutes les séries suivantes auront lieu une fois par an. Ce système permettra à la firme de Mountain View d’empocher un joli bonus « en offrant plus de visibilité à ses concurrents et en donnant le choix aux utilisateurs ».
Source : Android, Google
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Voir aussi
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