Je ne sais pas ce que veux dire ces sous-entendu assez nauséeux à mon gout comme : un univers composé d'hommes...
Et ?
Je ne sais pas ce que veux dire ces sous-entendu assez nauséeux à mon gout comme : un univers composé d'hommes...
Et ?
voilà comment tout s'aggravait en un quart d'heure...
finalement c'est un peu le coeur du problème, "ce que moi je dis" VS "comment l'autre peut-il interpréter mes propos ?", entre les deux on trouve l'humilité, la capacité à une certaine empathie, les dimensions de l'ego, la susceptibilité, le manque de retenue, la fierté mal placée etc. etc. autant de belles qualités humaines qui catalysent vers le conflit
si le langage est source de malentendus, il est également l'un des vecteurs du respect envers autrui (voire le principal dans le cas des discussions par écran interposé), pas le respect que l'on gagne, mais celui qui est censé être dû à tout un chacun au nom de la cohabitation sociale et de la civilité, à ce titre faire attention de ne pas heurter sans ménagement ses interlocuteurs est me semble-t-il la moindre des politesses, et loin d'être des ronds de jambe inutiles
évidemment personne n'est parfait et entre les bégueules et les énervés il faut partir du principe que les écarts sont possibles, mais il est tout de même bien plus fréquent de lire des torrents de mauvaise foi ou de fierté ma placée pour avoir le dernier mot que d'observer les compétences visant à désamorcer les situations conflictuelles, à "laisser courir" ou à faire amende honorable...
...et c'est très masculin; l'homme a souvent tendance à vouloir modifier son environnement pour qu'il lui convienne, là où la femme a plus tendance à composer avec, peut-être que le secret est là finalement... pour plagier le célèbre poète contemporain Pirelli : sans maitrise, la testostérone n'est rien.
en tous cas concernant Linus T. et la lkml, ses coups de gueules et le ton qu'il emploie sont devenus légendaires au fil du temps et on ne peut clairement pas parler de simples écarts, c'est devenu presque une marque de fabrique voire une étiquette qui risque de coller longtemps
Franchement ce genre de comportement de m'étonne pas du tout de la part de la communauté linux.
Je n'aime décidément pas ta logique. Pour reprendre une phrase dit et répétée partout "On te dit de sauter d'un pont, tu le fais ?". En l'occurrence ce serait plutôt "On te dit de pousser quelqu'un du pont, tu le fais ?". Non, clairement, si la boîte qui t'embauche te donner de "maltraiter" ceux qui travaillent "sous tes ordres", c'est qu'il y a un souci. La performance ne vient pas du tout comme ça, ça n'aurait aucun sens. Les gens qui vont au boulot en traînant des pieds ne sont jamais performants.
Bref, je trouve ton post vraiment très inquiétant et espère ne jamais tomber sur un supérieur qui suivrait cette logique.
point Godwin en vue !!!Maintenant je vais te rassurer : ce n'est pas moi qui décide comment je fais.
Quand j'accepte un poste et qu'on me dit "ici, on fait comme ça" pas de problème, j'obéis.
Quand j'accepte un poste et qu'on me dit "ici, on fait comme ci" pas de problème, j'obéis aussi.
Que je trouve ça opportun ou pas, je le garderai pour la prochaine discussion d'amélioration des processes, et aussi en attendant de voir ce que ça donnait et ce que ça donne. D'ici là j'estime que si j'ai accepté un poste à responsabilité, ce n'est pas pour ma gloire personnelle mais pour remplir mon rôle.
C'est ici que je vois un problème de motivation. J'ai trop vu ce pattern en France. Les gens ont le souci de bien faire quand ils se sentent bien à leur poste. C'est généralement un problème financier, sur les conditions d'emploi ou sur les relations interpersonnelles (reconnaissance de travail accomplit p.ex.).L'alternative étant de ne travailler qu'avec des gens si soucieux de bien faire qu'ils prennent eux-même l'initiative de s'en donner les moyens.
As-tu déjà fait un tour dans la section emploi de DVP? Il y a plein d'histoires de mecs qui font 50-60h/s pour 37k, avec un chef qui ne t'aide pas à changer de projet quand tu en as marre (qui fait même de la rétention quand tu veux partir) et qui en plus te met une pression de malade.
Les gens se démotivent et le boulot devient alimentaire.
Je met en contexte, j'ai pas vraiment envie de jouer à celui qui pisse le plus loin.Tes vingt ingés me font rire, ta supposée expérience aussi.
Justement, tu me rassures pas. Quand tu prends un poste à responsabilités c'est pour remplir un objectif. Si c'est pour jouer au petit chefaillon en appliquant des méthodes imposées, non merci. Si c'est pour mener un projet à terme, je prend et je répondrais de mes méthodes.Maintenant je vais te rassurer : ce n'est pas moi qui décide comment je fais.
Quand j'accepte un poste et qu'on me dit "ici, on fait comme ça" pas de problème, j'obéis.
Quand j'accepte un poste et qu'on me dit "ici, on fait comme ci" pas de problème, j'obéis aussi.
Ce genre de management est tout simplement un abus d'autorité. C'est possible en France parce que malgré la sois disant pénurie, il n'y a pas vraiment de boulot.Il faut parler comme ça était le mot d'ordre.
Si j'agis comme ça au Canada ou aux USA:
1 - Je perdrais rapidement mes employés parce qu'ils n'ont qu'à mettre leur profil LinkedIn à jour pour que le travail vienne à eux
2 - La réputation de la boite chuter et à moyen terme on ne trouvera plus personne
3 - Je me fais virer parce que je rempli pas les objectifs et qu'ici "on fait pas comme ça"
A chaque fois que, dans ma carrière, on m'a ordonné de faire quelque chose et avec agressivité, c'était par manque d'argumentation pour et gueuler et usant de son autorité était juste une façon de ne pas avoir à répondre à une éventuelle demande du pourquoi de la chose. Cette agressivité masquait donc systématiquement un manque de compétence et/ou d'assurance. Et moins une demande est comprise, moins elle est bien faite.
Qu'il puisse arriver, dans une discussion passionnée, que des mots dépassent la pensée et que des insultes soient proférées, cela est compréhensible et tout à fait pardonnable dans la mesure où cela n’est pas une habitude et que des excuses soient présentées une fois que la tension est redescendue.
Lorsque des insultes et un langage agressif ou humiliant sont utilisés à dessein et de manière systématique, cela devient une atteinte à la dignité humaine et cela rien ne peut l'excuser; ni l'obéissance passive ni la volonté, sans doute louable, d'obtenir une qualité aussi élevée que possible. En aucun cas la fin ne devrait justifier les moyens.
J'avais vu sur YouTube un tranquille touriste antarctique se faire courser par un pingouin de Humboldt. Ca devait être un windowien.
C'est ce que j'ai pu observer dès le départ quand j'ai voulu voir de plus près cette bidouille Linux (terme qui n'a rien de péjoratif chez moi, j'aime bien la bidouille même si ce n'est pas très ordonné). Je me souviens qu'à l'époque j'avais récupéré une distribution Slackware. J'avais réservé une partition douillette sur un de mes disques durs. Mais impossible de faire quoi que ce soit le fdisk linuxien ne voulait voir que la première partition du premier disk. Je m'en suis allé demander sur un forum Usenet linuxien ce qui se passait alors que Linux était censé s'installer en bonne cohabitation avec Windows pourvu qu'on lui donne/fasse ses partitions. Là je me suis fait rabrouer dès le départ "Ce n'était pas fait pour les débutants en informatique" (mais que savaient-ils de ma pratique, à l'époque j'avais 10 ans de PC comme assembleur), "Tu verras ça en faculté" (jamais foutu les pieds dans une fac pour de l'informatique) et l'argument final : "C'est pas fait pour les neuneux windowsiens, retourne à ton clicquodrome". Ca je ne me le suis pas fait dire deux fois.
Et c'est dans un forum Usenet Windows où la solidarité et l'amabilité des intervenants n'a rien à voir avec le forum linuxien que j'ai eu la bonne réponse : le fdisk en question était notoirement bugué.
Je dois dire que dans le monde Ubuntu l'ambiance est quand même meilleure. Ceci dit Linux, avec sa pétaudière de distributions, ne me branche pas. Et puis j'aime bien jouer à des bons jeux (comme Skyrim, dont je ne me lasse pas malgré ses bugs), je ne me contente pas de faire des choses dites sérieuses. En tout cas ne pas demander à un linuxien intégriste "Mais qu'est-ce qu'on peut faire avec Linux qu'on ne peut pas faire avec Windows ?" car, à défaut d'une réponse, il vous fera tout un prêche sur le "libre". ("Liberté ! Que de bogues on commet en ton nom", Danton, légèrement modifié)
Tiens, je sens que je vais me faire une brochette de pouces rouges
[lol?]
Microsoft l'aurait contacté pour un projet encore secret mais dont le nom de code est "Sarah #"
Elle a tout à fait raison.
Bien faire comprendre à ces connards qu'il y a du respect à avoir avec quiconque
Ce n'est pas la première fois que j'entends des sérieux reproches. Qu'ils restent entre-eux, humainement se sont des atrophiés relationnels qui ne devraient pas quitter leur PC (y compris Linus T.)
Et ne pas confondre OpenSource - GNU/Linux et Linux noyau serait un plus.
Transposons ce message pour linux face à ses concurrents (qui sont des sociétés commerciales donc il y'a de la pression pour les résultats de production) :Quand j'ai tenu ce rôle, on m'avait fait comprendre que ce n'est pas une question d'orgueil ni de ce que j'estime qu'il faudrait faire. Il faut parler comme ça était le mot d'ordre. Sous-entendu ça marche bien, et pas le reste.
Windows + Apple :
Sociétés commerciales vivant sur ses clients pour payer ses équipes.
Payant (sauf le dernier windows 10 si une licence plus ancienne a été achetée)
RAS niveau humain qui sorte des pratiques des sociétés
PDM OS Desktop
90+% des parts de marché pour windows
7 % des parts de marché pour Apple
Linux :
Société open source vivant sur sa communauté pour vivre ( pas de communauté = produit mort)
Gratuit
Scandale (oui c'est bien le mot) sur des propos homophobes + sexiste + pression verbale
PDM OS Desktop
- de 2% des parts de marché
Question
Est-ce que tu trouve que ca fonctionne bien comme méthode ?
C'est d'un manque de transparence flagrant.
Ce qui serait honnête, ce serait de dire "un membre sur plus de 10000 (DIX MILLE) contributeurs".
Voir ici : http://royal.pingdom.com/2012/04/16/...pment-numbers/
Ce qui serait encore plus honnête serait d'avoir un sondage de combien sur les 10000 (DIX MILLE) contributeurs sont satisfaits d'une gestion carrée et qui n'accepte pas le boulot de merde.
C'est un non-sens : si elle sont sexistes ou homophobes, elles sont grossières. Si elles sont "subtiles" c'est qu'on devrait être assez intelligent les prendre au second degré... à moins que la traduction de l'article / ou son interprétation soit mauvaise ?
"Crier" ? Aucun exemple concret derrière. Aucune citation. Aucun mail. Bref j'ai l'impression de me sentir en face d'un média qui essaie de me manipuler, comme quand on regarde la télévision.
Je suis presque sûr que c'est quelqu'un qui, à un moment, a fait du mauvais travail, et c'est monté en épingle, et elle en profite pour ressortir tout ce que les autres disent du genre "ton boulot est pourri". Ce qui est sûrement vrai. Mais bon à la fin peut être qu'ils en ont marre de prendre des formes ?
Ca commence à me taper sur les nerfs ce genre d'article qui rant que pour du rant pur (en français = qui aime essayer de cracher gratuitement et inutilement sur quelque chose).
Personne ne te contredira dessus, il est nécessaire d'avoir un environnement carré avec des objectifs et une production de qualité.Ce qui serait encore plus honnête serait d'avoir un sondage de combien sur les 10000 (DIX MILLE) contributeurs sont satisfaits d'une gestion carrée et qui n'accepte pas le boulot de merde.
Ca commence à me taper sur les nerfs ce genre d'article qui rant que pour du rant pur (en français = qui aime essayer de cracher gratuitement et inutilement sur quelque chose).
Cependant si tu utilise ces méthodes dans une société normale tu as 90 % de chance de te taper (et ta boite) un procès pour harcèlement, violences morales et discriminations si ce n'est pas plus.
Et tu sera surement d'accord pour dire que si il y'a une gestion de projet carrée et qui n'accepte pas le boulot de merde, il faut que les rapports humains le soit aussi (et pas un no-mans land comme c'est le cas actuellement).
Description du monde du travail qui n'est pas propre à l'informatique et aux informaticiens.
Tous les jours il y a dans notre société des gens qui claquent la porte usés par des relations conflictuelles.
Il faut noter que dans les relations conflictuelles ils y a les petits chefs et ceux qui ne supportent pas la hiérarchie, difficile de trancher a priori.
Aucune société de consulting en gestion des relations humaines en entreprises ne cautionnerait la facon de faire mise en cause dans cet article. C'est lose-lose . Croire que c'est efficace : est aveugle, la preuve on y perd de précieux collaborateurs.
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