Ridicule !
Les brillants esprit de Hadopi n'ont-ils jamais entendus parler de VNC ?
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Ridicule !
Les brillants esprit de Hadopi n'ont-ils jamais entendus parler de VNC ?
Je comprends pas le rapport avec VNC ? Si c'est pour la prise à distance, va bien falloir le rapatrier le fichier téléchargé de plusieurs Go
Je ne connaissais pas cette particularité chez Free et d'ailleurs, j'ai du mal à la comprendre d'un point de vue réseau. Ta Freebox, elle a quand même une adresse IP, tu l'appelles "privée d'un sous-réseau" mais elle reste publique quand même. Tes voisins ne sont pas pour autant sur le même réseau privée, imagine les dégâts !
Je doute que Free ne soit pas capable de retrouver l'équipement connecté. Enfin à moins qu'il me manque une case dans ton explication...
Par contre, chez Orange et SFR, on t'attribue une ip dynamique, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas te retrouver quand elle change (chaque redémarrage de box). Les fournisseurs te retrouvent facilement puisqu'ils savent à qui (l'équipement) a été adressé l'IP à l'instant T. Les logs sont obligatoires à partir du moment où l'on fournit une connexion pour une durée de x année(s) (cf hotspot, etc... ça change pas mal avec le terrorisme).
Quand la Hadopi flashe ton IP, elle se retourne vers le fournisseur d'accès pour te retrouver.
Du coup, je ne vois pas à quel moment on peut t'attribuer un téléchargement que tu n'as pas commis ? Attention, j'exclus de fait les piratages de wifi, usurpation, etc...
Ou alors je n'ai rien compris à ton message mais en le lisant, on peut penser que tu expliques qu'une personne A qui a pour IP 1.1.1.1. Elle télécharge illégalement et se fait prendre. Elle redémarre sa box, son IP passe en 2.2.2.2. Et là, la personne B à 1500km en France qui se voit attribué la 1.1.1.1 et PAF, c'est elle qu'on accuse...
Donc si c'est ça que tu expliques, non clairement, ce n'est possible, je veux bien croire qu'il soit débile mais pas pour ça... Tu imagines les enquêtes de Police ? Bah ils oublieraient vite fait l'informatique pour s'aider si ça se passait comme ça.... Non les logs sont là pour ça, on recherche à l'instant T du "délit"... Si c'était le cas, on serait déjà tous en ip fixe !!
Et si on parle juste de "restreinte", ils ont d'autres moyens que l'IP (adresse MAC par exemple).
Cf plus haut, non ce n'est pas possible, sauf cas d'usurpations, piratage, etc...
Par contre pour cette partie, je pense que tu as raison,l'adresse IP ne doit pas réellement être une preuve(voir post suivant). D'ailleurs, on ne sait pas qui accuser dans le foyer ! Du coup, on se retourne exclusivement contre le propriétaire. Comme Jipété l'a dit, c'est un tour de passe/passe cette loi, on te reproche la non sécurisation de ta ligne... comme ça, ça concerne ton pirate voisin et ton fils mal éduqué
Dernière modification par Invité ; 17/03/2017 à 15h18.
Si on pouvait être certains de ce point ce serait chouette, du coup Hadopi possède 0 vrais infos, les gens n'ont qu'à répondre à Hadopi "vous devez faire erreur puisque je n'ai jamais partagé de fichier illégalement sur internet".
Le truc con ce serait de répondre à Hadopi "mon fils à du télécharger un film" et là c'est l'aveux...
Keith Flint 1969 - 2019
Non je modifie un peu mon propos, je n'édite pas au-dessus... C'est quand même une preuve. En gros, c'est TA box qui a téléchargé illégalement... Mais ensuite, comme tu dis, sans balancer ton fils ou te balancer, ils ne peuvent pas savoir qui est vraiment derrière. Du coup, on accuse le propriétaire pour défaut de sécurisation.
Pour le coup du pirate, je pense que tu peux tenter de le prouver si c'est le cas... Et si tu trouves le coupable, il prendra rien pour le fichier mais il prendra cher pour piratage !
Dernière modification par Invité ; 17/03/2017 à 15h49.
Ahah, on va payer avec nos impôts pour pouvoir payer quand on se fait gauler. C'est merveilleux.
Absolument.Notre gouvernement n'a pas à se soumettre à l'industrie, dans plein de pays les gouvernements ne font rien pour lutter contre les copies illégales de films, séries et musique.
Je ne crois pas qu'au Pays-Bas on te fasse chier si t'as uTorrent qui tourne 24h/24, 7j/7 à partager des séries et des films sans passer par un VPN ou une Seedbox...
L'état n'a pas à se mêler de ça...
Et l'État n'a surtout pas à y injecter d'argent public.
Que ces Messieurs les Ayant-Droits se regroupent (c'est déjà fait il me semble) pour négocier avec les FAI, et payer pour un service qui ne concerne qu'eux.
L'État a d'autres chats à fouetter, à commencer par se trouver un représentant digne de confiance…
Où est le problème ?
On télécharge sur le serveur à distance, cela devient un fichier privé sur le serveur. Ensuite on copie le fichier du serveur distant sur son installation locale. Pendant les temps de téléchargement, on fait autre chose.
Remarque, je dis ça simplement pour montrer le ridicule de la position Hadopi. En fait, comme je n'aime pas la musique que l'on peut télécharger et que je ne suis pas vraiment fan de cinéma, je ne télécharge jamais rien, à part des logiciels libres, ce qui est parfaitement légal.
Au fait, où penses-tu que je sois physiquement maintenant ?
Cette aberration existe encore ?! Enterrez vite cette immondice qui nous rappel une fois de plus qu'on est gouverné par des personnes qui décident sans rien connaître d'autres que l'appât du gain.
L'adresse IP est une preuve. Techniquement on peut l'usurper facilement. D'où le non-sens, informatiquement parlant, de cette énième asservissement de masse.
Malgré cela, pour lutter contre le capitalisme il faudrait déjà commencer par ne plus avoir besoin de consommer à outrance les productions outre-atlantique au lieu de chercher à les consommer toujours plus vite.
Trop d'affirmations pour si peu de véritésDeuxième point, à propos de l'adresse IP:
Peu de personnes ont une adresse IP publique fixe, et celle ci est généralement obtenue sur demande de l'utilisateur. Dans ce cas, on peut évidemment penser que ledit utilisateur ne cherchera pas à télécharger illégalement de façon "massive", vu que s'il a les compétences pour demander et justifier le besoin d'une IP statique, il y a de fortes chances qu'il soit aussi au courant des informations légales concernant ces téléchargements.
Pour le reste des personnes, l'IP publique dynamique ne permet rien car elle sera régulièrement changée. Et le comble dans tout ça, c'est que des utilisateurs n'ayant rien fait et se voyant attribué cette IP bloquée pourront se retrouver avec un accès restreint ainsi qu'un avertissement pour quelque chose dont ils ne seront pas coupables, ni même complices.
Le dernier problème concerne bien entendu des réseaux comme Free, où la majorité des "freebox" ont pour IP publique une IP privée d'un sous-réseau, ayant 1 seule IP publique mais rassemblant plusieurs utilisateurs, plusieurs foyers, généralement inconscients de ce "montage", et ayant donc aussi des chances de se voir l'accès restreint sans "raison apparente".
Les modems/routeurs de chez Free et Bouygues sont depuis longtemps en adresse IP publique fixe, pour les autres je ne m'avancerai pas trop mais ça ne doit pas être différent.
Le principe du routeur (quasiment tout les modems de tout les FAI) est de faire communiquer deux réseaux entre eux, ici le WAN qui la partie extérieure avec l'adresse IP publique (l'adresse du modem vu depuis l'Internet), et le LAN (réseau local), chaque poste du réseau local se voit attribué une adresse IP par le serveur DHCP du routeur qui possède lui aussi une adresse IP (l'adresse de la passerelle, souvent 192.168.0.0 ou 196.168.0.1). J'espère que c'est plus clair.
Les adresses IP d'un réseau ne sont pas directement exploitable depuis un autre réseau (sinon le LAN et le routeur n'auraient plus lieu d'être).
Quoi qu'il en soit, une adresse IP publique est attribuée par ton fournisseur alors forcement elle est horodatée et au nom du client. Lors d'une enquête le FAI doit fournir les logs et il est tenu de les conserver un certains temps, comme n'importe quel service faisant appel à un serveur (proxy, VPN, node TOR, etc.) . Bon du coup ici c'est carrément le FAI qui est mandaté pour l'enquête et à nos frais, le pouvoir de l'argent n'a visiblement aucune limite.
Pour le cas du VPN, le fichier téléchargé est chiffré durant son rapatriement sur la machine de l'utilisateur distant donc effectivement on ne sait pas clairement ce qui transite du VPN à l'utilisateur (à moins de saisir la machine faisant office de VPN pour analyse, ce que n'est pas en mesure de faire un FAI), cependant le poids du fichier peut être plus ou moins révélateur, mais ce n'est pas une preuve tangible.
C'est le principe d'une police d'état, ici le problème est que ça ne devrait pas être au frais du contribuable (contrairement à la police).Ahah, on va payer avec nos impôts pour pouvoir payer quand on se fait gauler. C'est merveilleux.
Ouais d'ailleurs normalement dans la convention : 192.168.0.0 devrait être l'adresse réseau, et la passerelle devrait être à 192.168.0.254. (mais bon c'est peut être plus facile pour les gens de se rappeler d'une adresse du genre 192.168.1.1 que de 192.168.1.254).
Si l'adresse IP peut être usurpé facilement, ça ne devrait pas être une preuve.
Moi je pense que tout ceux qui ont eu des procès ou des amendes, c'est parce qu'ils ont reconnu avoir partagé des fichiers illégalement.
Keith Flint 1969 - 2019
L'adresse 192.168.x.x est forcément dans le domaine privé, donc invisible du WEB. Après, si j'ai bien compris, c'est une question de dégroupage. Free, SFR et autres sont dégroupés donc : adresse IP fixe fournie par fournisseur d'accès. Avec Orange, c'est soit l'un, soit l'autre, mais dans tous les cas, c'est aussi le fournisseur d'accès qui gère cette adresse.
Vu par moi, comme par HADOPI (probablement), il est impossible de savoir a qui correspond l'adresse xxx.xxx.xxx.xxx. Mais, le fournisseur le sait parfaitement, c'est précisément pour ça que HADOPI a besoin de la coopération des fournisseurs d'accès internet pour contacter les contrevenants.
Pierre GIRARD
Hadopi : une internaute est condamnée à 200 euros d'amende pour avoir téléchargé cinq films,
et décide de prendre un abonnement Netflix pour prouver sa bonne foi
Pour lutter contre le piratage, Hadopi a mis sur pied un système de « riposte graduée » dans laquelle la première étape consiste à envoyer des avertissements, mais qui peut également déboucher sur une action devant les tribunaux. Fin 2016, selon le rapport publié par l’autorité en début janvier 2017, la Hadopi avait permis la condamnation de 72 pirates pour des faits de téléchargement illégal en sept ans d'existence.
À ce tableau de chasse vient désormais s’ajouter un nouveau cas. En effet, une internaute de 23 ans résidant à Saint-Saëns, en Normandie, vient d’être condamnée à 200 € d’amende avec sursis par le tribunal correctionnel de Dieppe en vertu de l’article L335-4 du code de la propriété intellectuelle pour « reproduction ou diffusion non autorisée de programmes, vidéogrammes ou phonogrammes », un délit dont les plafonds atteignent trois ans de prison et 300 000 euros d’amende.
Concrètement, dans cette affaire, il lui était reproché d’avoir téléchargé cinq films « récents » entre le 5 juin 2014 et le 17 juillet 2015 « pour les regarder en famille ». Des faits qu’elle a reconnus devant les gendarmes, selon le tribunal, mais en expliquant qu’elle ne savait pas que c’était du téléchargement (en peer-to-peer, la Hadopi n’étant pas en mesure d’agir au niveau du téléchargement direct) : « je ne savais pas que c’était un téléchargement. Pour moi, c’était du streaming ».
La juge n’a pas semblé convaincue : « il y a pourtant eu de nombreuses campagnes de publicité sur le téléchargement illégal ». La juge a voulu savoir comment elle a réussi à obtenir ces films. « Je ne me souviens pas qui m’a installé le logiciel », a répondu la jeune Brayonne.
Rappelons au passage que, dans le cadre de la Hadopi, ce n’est pas le fait de copier ou de partager des œuvres en ligne qui est sanctionné, mais le fait pour l’abonné de ne pas avoir empêché que son accès à Internet soit utilisé pour pirater, que cela soit fait par lui, par un membre de sa famille, ou même par un tiers qui aurait piraté son accès.
Justine aurait pu éviter la correctionnelle. Dans les réponses graduées, Hadopi envoie des courriels et lettres recommandées aux contrevenants. « Vous avez reçu des courriers électroniques », souligne la magistrate. Ce à quoi elle a répondu : « je ne vais plus sur cette adresse. Ces mails n’ont jamais été ouverts ».
Pour ce qui concerne les recommandés, la jeune femme a assuré ne pas les avoir reçus. Justine, qui vit chez ses parents, invoque une erreur dans l’adresse. Mais son explication peine aussi à convaincre le procureur, persuadé que la jeune fille a bien reçu les avis de passage, comme semble l’attester la Poste.
« L’élément intentionnel est là. La mauvaise foi de Madame est démontrée », selon la partie civile. Me Najma Ouchène, pour la défense, soutient le contraire : « vous avez tous les éléments de bonne foi. S’il y a eu des campagnes de publicité, c’est parce qu’il y a des confusions dans l’esprit du public. Les gens ne font pas la différence entre ce qui est licite et illicite. Nous n’avons pas affaire à une personne qui s’adonne à un téléchargement massif. Elle avait simplement l’impression d’accéder à un site gratuit. Ses parents aussi. Personne ne l’a mise en garde ». Pour prouver la sincérité de sa démarche, elle annonce : « aujourd’hui, elle a pris un abonnement sur Netflix », un site de streaming légal, et payant !
Néanmoins, tous ces éléments ont convaincu la justice de condamner l'internaute à 200 euros d'amende avec sursis (soit 40 euros par film téléchargé) ; elle devra en outre payer 800 euros de dommages et intérêts et de frais de justice aux parties civiles et 127 euros de procédure.
Source : Paris-Normandie
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C'était ça l'erreur ^^
C'est du gâchis de ressources de faire travailler la gendarmerie et le tribunal, pour une personne qui a téléchargé 5 films...
Il y a peut être plus grave comme délies...
Pour faire des économies on devrait fermer Hadopi, parce que ça n'apporte rien aux Français...
Keith Flint 1969 - 2019
Je suis bien d'accord sur ce point, mais je préférerais que Hadopi continue, mais soit financée à 100% par les vrais bénéficiaires ... à savoir les grands groupes de cinéma et autres éditeurs de vidéo et de musique. J'accepterais, à la limite que le contribuable mette la main à la poche uniquement si tout l'argent allait vers les artistes, les auteurs, les comédiens, les doubleurs (dans le cas des versions françaises) etc...
Tant que les principaux bénéficiaires sont les éditeurs/producteurs, si Hadopi doit exister, il ne doit en aucun cas être financé par l'argent public. C'est un vol manifeste au seul profit de quelques grands groupes.
Pierre GIRARD
Si des preuves sont apportées et sont incontestables, ils n'auraient peut-être pas étés condamnés à seulement 200€ avec sursis si ils avaient tout nié. Ne connaissant pas le dossier (et toi non plus) ton affirmation me semble sujette à caution. Quelqu'un qui avoue ses tords à le plus souvent la clémence du jury. Celui qui nie et pour lequel on apporte des preuves à charge convaincantes risque de se retrouver avec le maximum possible.
Mais bon, si tu tiens tant que ça à jouer avec la loi : Vas-y ! Toi-même (évidemment), pas par personne interposée.
Pierre GIRARD
En fait je sais pas ce qu'il ce passe après le 3ième avertissements :
- premier email d'avertissement
- second email d'avertissement
- lettre recommandée
Après si la 4ième fois c'est une convocation au tribunal (ou un truc du genre), ok faut tout avouer.
Ce que je voulais dire c'est qu'il ne faut pas avouer prématurément (genre tu reçois le 1er email d'avertissement et tu les contacts pour dire "effectivement j'ai bien téléchargé le film **** le 01/04/2017 à 16:52).
J'ai quand même un peu le sentiment qu'une adresse IP c'est léger comme preuve.
Il faudrait demander à un avocat spécialisé, mais ça ne m'étonnerait pas qu'on puisse éviter d'être condamné juste parce qu'une adresse IP ce n'est pas suffisant.
J'aimerais bien voir le jugement de quelqu'un qui ne reconnait pas les faits.
Imaginez une maison avec plusieurs personnes qui ont un ordinateur connecté, si personne avoue avoir téléchargé ce serait dégueulasse que ça tombe sur la personne qui paie l'abonnement...
Ou si t'as voisine te demande ta clé wifi et qu'elle télécharge des films récents, ça fait chier si ça te retombe dessus...
Et comment ça ce passe les adresse IP avec les hotspots Free Wifi ?
Parce qu'on peu partager sa connexion avec les autres utilisateurs de freebox.
Si un gars est connecté sur ta box via free wifi est-ce qu'il a l'adresse IP de ta box ?
Keith Flint 1969 - 2019
La preuve, c'est le fournisseur d'accès qui la donne, quel qu'il soit, vu qu'il sait obligatoirement qui se connecte à quoi et pourquoi faire.
C'est pareil pour les mails, µSoft a mis la justice américaine en échec du simple fait qu'ils ont refusés de donner des renseignements contenus sur un serveur en Irlande. Mais si le serveur avait été aux US ou que les américains ne s'y étaient pas pris comme des manches en agissant sournoisement, ils auraient eu tous les renseignements qu'ils voulaient.
Pierre GIRARD
Comme c'est rappelé dans l'article :
Rappelons au passage que, dans le cadre de la Hadopi, ce n’est pas le fait de copier ou de partager des œuvres en ligne qui est sanctionné, mais le fait pour l’abonné de ne pas avoir empêché que son accès à Internet soit utilisé pour pirater, que cela soit fait par lui, par un membre de sa famille, ou même par un tiers qui aurait piraté son accès.
Le fait est de l'Hadopi est une aberration constitutionnelle vus qu'elle condamne le propriétaire de la ligne et pas l'auteur du délit, si ta ligne est piratée(ce qui fut le cas pour mes parents par la voisine) tu te fait accusé du délit et possiblement condamné. C'est la seule loi(que je connaisse) ou la victime d'un délit(le piratage de la ligne) est condamné et pas l'auteur
Rien, je n'ai plus rien de pertinent à ajouter
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