Déjà que l'espace est saturé de satellite et de débris spaciaux, cela ne va pas arranger la situation...
Déjà que l'espace est saturé de satellite et de débris spaciaux, cela ne va pas arranger la situation...
Un petit lien avec une interview courte d'un astronome qui décrit les dangers de ces satellites...
C'est chiant ces pauses à chaque phrases.
Une chose que je n'ai pas compris, c'est que cela fait des années qu'on a des satellites et des avions dans le ciel. Pourquoi est-ce que les satellites de starlink sont plus visibles, entraînent une pollution visuelle plus importante ?
Pour les messages publicitaires, je l'avais prédit.![]()
Il y a plusieurs paramètres à prendre en compte : la magnitude (qui dépend des matériaux, de la distance), la trajectoire, et surtout le nombre.
Tous les satellites ne "brillent" pas tous autant. Je n'ai pas de données sous la main mais les témoignages que j'ai lu donne une magnitude plutôt élevée, due à la distance assez faible et aux matériaux (Musk a dit qu'ils bossaient sur un revêtement réduisant le réfléchissement du soleil mais cela reste à voir). Mais la donnée essentiel dans ce cas là est le nombre : on parle de 12000 satellites en opération en même temps, alors que le nombre de satellite totale actuellement n'est "que" d'un peu plus de 2000. Une multiplication par 6 du nombre de satellite dans le ciel ça ne peux que bien embêter les astronomes, amateurs ou non. Les astronomes utilisent depuis longtemps des algorithmes afin de retirer les passages de satellites lors des très longues expositions, indispensable pour observer des éléments lointains. Il n'y a rien de nouveau en soit, mais une aggravation très forte du problème.
SpaceX Starlink a maintenant son propre système autonome avec un numéro ASN (Autonomous System Number)
et est présent au Seattle Internet Exchange
Chaque jour qui passe, SpaceX avance un peu plus dans sa mission qui est de transmettre aux consommateurs du monde entier une connexion Internet haut débit qui n'est pas onéreuse. Avec une constellation aussi massive en orbite, SpaceX espère pouvoir fournir une couverture Internet mondiale depuis l'espace. Une fois qu'un nombre suffisant de satellites aura été lancé, la société prévoit de vendre des terminaux d'utilisateurs aux clients qui leur permettront de se connecter au réseau de satellites. Pour l'instant, il est prévu d'étendre une couverture partielle au Canada et au nord des États-Unis dans le courant de l'année, la couverture mondiale pouvant être disponible en 2021.
SpaceX Starlink a maintenant son propre système autonome, un ensemble de réseaux informatiques IP intégrés à Internet et dont la politique de routage interne est cohérente, avec un numéro ASN (Autonomous System Number). L'entreprise est donc officiellement considérée comme un fournisseur d'accès à Internet et présent au Seattle Internet Exchange, un point d'échange Internet à Seattle. Hier, la fusée Falcon 9 de SpaceX a décollé avec succès et a déployé 60 autres satellites en orbite. La fusée a également atterri sur le drone de la compagnie dans l'Atlantique après le lancement, marquant la cinquième fois que cette fusée particulière a été récupérée après une mission.
SpaceX a donc lancé environ 480 satellites Starlink en orbite. Cela ne représente qu'une petite fraction des 12 000 satellites Starlink que la société est autorisée à lancer. L'objectif de ce projet massif est de fournir une couverture Internet mondiale depuis l'espace. Les satellites sont conçus pour acheminer la connectivité à large bande jusqu'à la Terre, les clients exploitant le système via des terminaux d'utilisateurs personnels. Ce lancement comprend un satellite légèrement différent du reste. Falcon 9 a une visière – ou un pare-soleil – qu'il a déployé dans l'espace. La visière est conçue pour bloquer la lumière du soleil, l'empêchant de se refléter sur les parties les plus brillantes du satellite, notamment leurs antennes. De cette façon, le satellite apparaît moins brillant dans le ciel.
Ce parasol est la dernière tentative de SpaceX pour atténuer la luminosité de ses satellites, qui apparaissent particulièrement brillants dans le ciel au lever et au coucher du soleil sur Terre. Le mois dernier, Elon Musk, PDG de SpaceX, a déclaré que la société n'a besoin que de 400 satellites pour fournir une « capacité opérationnelle initiale », puis de 800 satellites pour passer à une « capacité opérationnelle significative ». Cela signifie donc que SpaceX a le nombre minimum de satellites que Musk dit nécessaire pour faire démarrer Starlink.
La société a réussi à obtenir en mars dernier une licence gouvernementale, la Commission fédérale des communications (FCC) autorisant SpaceX à commencer à déployer jusqu'à un million d'antennes terrestres dont la société aura besoin pour connecter les utilisateurs à son offre de service Internet depuis l’espace, a rapporté CNBC en citant des documents fédéraux. Une version bêta publique pourrait commencer plus tard cette année pour certains utilisateurs dans le nord des États-Unis, vers le 14e lancement. Hier, c'était le 7e lancement des satellites v1.
SpaceX espère faire plus de deux lancements par mois, mais n'a pas encore atteint ce rythme. Les récepteurs au sol sont des antennes matricielles plates qui n'ont pas besoin d'être pointées avec précision comme c'est le cas des antennes paraboliques. Les antennes utilisateur sont susceptibles d'être assez chères au début (plusieurs milliers de dollars). La réduction des coûts des antennes utilisateur est le plus grand obstacle auquel Starlink doit actuellement faire face. Personne ne sait encore combien SpaceX facturera pour l'antenne ou le service.
Rappelons que le but principal de Musk, PDG de SpaceX, est de mettre des satellites en orbite afin de créer un vaste « Internet spatial » dont l’objectif serait d’accélérer la vitesse du trafic sur le Web, en plus de fournir une connexion à moindre coût aux 4,3 milliards de personnes jugées encore dépourvues, selon les statistiques d’une étude des Nations-Unies. Il espère même que son système sera utilisé un jour pour connecter à Internet des personnes vivant sur Mars, selon ses ambitions affichées en 2015.
Sources : PeeringDB, vidéo
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Les offres internet par satellite d'Amazon, SpaceX, OneWeb et d'autres entreprises pourraient faire économiser des milliards de dollars aux consommateurs dans le monde
La FCC émet des réserves sur la capacité du projet Starlink de SpaceX à fournir un service internet à faible latence,
l’entreprise pourrait ne pas pouvoir postuler pour un financement fédéral
Starlink est un projet d'accès à internet par satellite proposé par le constructeur aérospatial américain SpaceX reposant sur le déploiement d'une constellation de plusieurs milliers de satellites de télécommunications positionnés sur une orbite terrestre basse. Starlink a pour mission de transmettre aux consommateurs du monde entier une connexion internet haut débit qui n'est pas onéreuse.
La Federal Communications Commission (FCC) a déclaré avoir de « sérieux doutes » que SpaceX sera en mesure de fournir un service internet avec une latence inférieure à 100 millisecondes. Cette remise en question coïncide avec une vente aux enchères visant à distribuer 16 milliards de dollars de fonds fédéraux pour soutenir l’accès à internet en milieu rural. Si les informations de la FCC se confirment, SpaceX pourrait être désavantagée lors de cette vente aux enchères et surtout ne tiendrait pas sa promesse envers les futurs utilisateurs.
Dans un rapport sur la vente aux enchères de phase I pour le fonds d'opportunité numérique rurale (RDOF - rural digital opportunity fund), la FCC a admis que Starlink et d'autres fournisseurs LEO (low-Earth orbit, orbite terrestre basse) ont des avantages par rapport aux satellites géostationnaires qui fonctionnent à des altitudes beaucoup plus élevées. Cependant, la Commission est sceptique sur le fait que la latence puisse être déterminée uniquement par l'altitude orbitale, affirmant qu'elle peut également être affectée par des facteurs tels que « le traitement, l'acheminement et le transport du trafic vers sa destination » :
« Nous autoriserons cependant les candidats proposant d'utiliser un réseau à satellite à orbite terrestre basse à postuler pour offrir des services à faible latence basés sur les avantages intrinsèques des satellites à orbite terrestre basse qui peuvent fournir des services à latence plus faible que les satellites géostationnaires et à orbite terrestre moyenne. Les satellites en orbite terrestre basse ne sont pas soumis aux mêmes limitations de latence de propagation que les satellites en orbite supérieure. Nous ne connaissons toutefois aucun réseau en orbite terrestre basse capable de fournir aux consommateurs résidentiels un service à large bande susceptible de répondre aux exigences de latence aller-retour de 100 ms de la Commission. En l’absence d’un tel exemple de performance dans le monde réel, le personnel de la Commission n’a pas pu conclure pour l’instant qu’un demandeur dans cette catégorie est raisonnablement capable de répondre aux exigences de faible latence de la Commission. Nous doutons donc sérieusement que tout réseau en orbite terrestre basse sera en mesure de répondre aux exigences des candidatures pour les appels d'offres dans le niveau de faible latence.
« Les fournisseurs de services qui ont l'intention d'utiliser des satellites en orbite terrestre basse affirment que la latence de leur technologie est "dictée par les lois de la physique" en raison de l'altitude de l'orbite du satellite. Nous restons sceptiques quant au fait que l’altitude de l’orbite d’un satellite est le SEUL facteur déterminant de la capacité d’un demandeur de satellite à satisfaire aux exigences de performances de faible latence de la Commission. Comme l'ont expliqué les commentateurs, la latence subie par les clients d'une technologie spécifique n'est pas simplement une question de physique d'un lien dans la transmission. Le retard de propagation dans un réseau de satellites ne tient pas uniquement compte de la latence dans d'autres parties du réseau telles que le traitement, le routage et le transport du trafic vers sa destination ».
SpaceX a fait valoir que les doutes de la FCC ne sont pas fondés et que Starlink « franchira facilement le seuil de 100 millisecondes fixé par la Commission pour les services à faible latence, même en incluant son ‘temps de traitement’ dans les pires scénarios irréalistes ». En fait, avec des altitudes de 539 à 570 kilomètres (contre 3492 kilomètres pour les systèmes géostationnaires), SpaceX vise une latence inférieure à 20 millisecondes qui s’alignerait avec l’internet par câble. C’est d’ailleurs ce qu’a rappelé Elon Musk sur twitter.
Cela pourrait s'avérer, mais SpaceX est dans une situation délicate. La FCC a écrit qu'elle avait « de sérieux doutes que tout réseau en orbite terrestre basse serait en mesure de répondre aux exigences des candidatures abrégées pour les appels d'offres dans le niveau à faible latence ». En d'autres termes, SpaceX a peut-être raison sur ses allégations de latence, mais sans un réseau fonctionnel, il ne sera pas en mesure de le prouver à temps pour se qualifier pour le financement maximal.
Cela ne signifierait pas que SpaceX serait complètement écarté. Il peut toujours prétendre à un financement en dehors du niveau de faible latence, mais cela pourrait réduire les sommes qu'il serait éligible à recevoir.
SpaceX compte actuellement 480 satellites, mais aucun service grand public pour le moment, et il a exactement un mois pour soumettre une demande pour participer aux enchères. La société prévoit de déployer des services dans le nord des États-Unis et au Canada cette année, mais il serait probablement trop tard.
En mars, Elon Musk avait déjà fait valoir que Starlink proposerait une assez bonne expérience « car la latence sera très faible » avant d’ajouter : « Nous visons une latence inférieure à 20 millisecondes afin que chacun puisse jouer à un jeu vidéo fluide à un niveau compétitif, comme s’il s’agissait d’un seuil pour la latence ». D’après ce dernier, « la quantité de bande passante disponible sera suffisante pour permettre une utilisation typique d’internet, au moins dans les zones rurales », ce qui implique de pouvoir regarder des films en HD ou de jouer à des jeux vidéo dématérialisés probablement en HD aussi sans se soucier de la connexion.
Actuellement, plusieurs autres entreprises sont à différentes phases de planification et de lancement de leur constellation de satellites positionnés en basse altitude, notamment OneWeb, Telesat, Space Norway, Facebook et Amazon. Soulignant que « le monde semble avoir un appétit insatiable pour la bande passante » en ce moment, Elon Musk a précisé que sa société est prête à lancer les satellites d’autres entreprises technologiques dans l’espace même si ces dernières sont en concurrence avec Starlink.
Sources : Elon Musk, FCC
Et vous ?
Que pensez-vous des réserves de la FCC ? Du timing de leur communication ?
Que pensez-vous des propos d’Elon Musk et des ambitions qu’il affiche pour Starlink ?
Pensez-vous qu’une latence maximale de 20 ms soit un objectif réalisable pour le service que souhaite proposer SpaceX via son réseau de satellites en orbite basse ?
Les entreprises de télécoms n’auraient-elles du souci à se faire, si SpaceX parvenait à concrétiser son projet Starlink ?
L'orbite la plus basse est à 325 km, la vitesse de la lumière dans le vide 299 792 458 m/s donc pour faire l'aller retour il faut 2.2 ms cela juste pour le transfère du sol vers l'espace et de l'espace vers le sol.
L'orbite la plus haute est à 1 325 km, donc pour faire l'aller retour il faut 8.8 ms.
En suite il faut ajouter les distances a parcourir entre les satellites qui sera forcement plus grande qu'au sol (à vol d'oiseau) et plus on prend de l'altitude pire c'est. Est ce que cette distance au sol est réellement plus petite ? (vu qu'on a des backbone qui font faire des détours).
Est ce qu'il va avoir beaucoup de rebond entre les satellites pour arriver à destination qui vont faire perdre du temps (comme pour les routeurs).
Il y aura surement du chiffrement (sinon il suffit de regarder le laser pour voir ce qui passe), comment cela va affecté le temps de réponse.
En résumé il reste que 11,2 ms pour faire tout le reste (vu que au pire 8,8 ms sont pris pour faire l'aller retour), est ce que c'est possible ? Arf surement. Est ce que cela sera avec sécurité max ? J'en doute mais peut être.
Après il faut qu'il trouve les bonnes fréquences et le bon émetteurs/récepteurs pour ne pas trop avoir de perte de paquet à cause des perturbations de l'atmosphère (nuage, orage ...), mais de ce côté je pense qu'on peut leur faire confiance.
Les opérateurs par câbles sont complémentaire je pense. Si on veut faire de la communication ultra sécurisé, il suffit que faire un mix de communication sur les deux canal et on est bien (y'a juste au niveau de l’émission ou de la réception qu'on est toujours autant vulnérable)
« le monde semble avoir un appétit insatiable pour la bande passante » raaaa il est où le bouton pour mettre fin à ce projet infernal, le monde a pas besoin de plus de bande passante pour le momenton dirait un black friday perpétuel, tout le monde a soit disant besoin d'un écran 8K à 50% et on nous spam pour nous faire croire que ça va être la joie après.
Elon Musk est un visionnaire pour la technologie, mais tout ce qui a trait à l'humain bof. Il réfléchit pas à ses projets pour donner l'accès à internet dans des zones non couvertes, ou autre projet humanitaire, c'est juste pour montrer qu'il pèseSes entreprises peuvent éventuellement faire de la com' là-dessus, mais il veut juste la suprématie technologique, boursière etc.
Si Elon Musk avait un intérêt pour l'environnement, il serait réellement génial. Mais il pense pas vraiment à l'humanité dans ses projets pour la planète.
La FCC approuve le routeur WiFi de Starlink pour le réseau Internet de SpaceX
Le routeur supportera les normes WiFi 802.11b, 8.2.11a/g, 802.11n et 802.11ac et fonctionnera sur 2,4 GHz et 5 GHz
SpaceX a atteint cette semaine un autre point essentiel de l’aventure Starlink consistant à fournir Internet depuis l’espace. En effet, la FCC vient d’approuver l'exploitation du “routeur Starlink” pour le réseau Internet de SpaceX. Le routeur de SpaceX pour le projet Starlink supportera 2.4 GHz & 5 GHz et sera fabriqué à Taiwan. Le routeur Starlink supporte également les entrées multiples et les sorties multiples (MIMO). Tôt cette année, la société a assuré à la FCC que son réseau Internet sera opérationnel pour les clients aux États-Unis d'ici la fin de cette année.
SpaceX est en train de construire son réseau Internet à large bande Starlink qui offrira un service dans le monde entier afin de financer ses futures missions vers la lune et Mars. L'entreprise aérospatiale a déployé des satellites Starlink en orbite terrestre basse. À ce jour, 540 satellites au total sont en service dans l'espace, sur les 12 000 que SpaceX prévoit de déployer. Le prochain déploiement de 57 satellites est prévu pour ce mois-ci [date à venir]. Les responsables de la société ont déclaré que 800 satellites offriront une couverture Internet “modérée”.
Par contre, 60 satellites Starlink peuvent fournir un service à 40 000 clients en diffusant simultanément des vidéos haute définition. « Avec des performances qui dépassent celles d’Internet par satellite traditionnel et un réseau mondial sans limites d'infrastructure au sol, Starlink fournira l'Internet haut débit à des endroits où l'accès n'est pas fiable, coûteux ou totalement indisponible », lit-on sur le site Web de la société. À cette fin, Starlink vient de franchir une nouvelle étape cruciale qui témoigne du fait que SpaceX entend vraiment lancer son produit cette année.
La FCC a approuvé la demande de SpaceX pour les routeurs sans fil de Starlink. L’organisme de réglementation a publié sur son site plusieurs documents, dont l’un d’entre eux contient une photographie de l'aspect du fond de l'appareil. Cette photo montre un appareil triangulaire qui semble être un routeur de connexion Wi-Fi, et qui pourrait servir de lien entre le terminal extérieur et les appareils du client. Des détails exacts n'ont pas encore été publiés par SpaceX sur le fonctionnement du routeur Starlink ni sur son fonctionnement éventuel aux côtés du terminal.
Selon les documents de la FCC, l'appareil sera capable de recevoir et de transmettre des signaux des terminaux Starlink et des satellites. Aussi, il porte une étiquette indiquant qu'il est “Made in Taiwan”, notamment par une société nommée “Wistron NeWeb Corp”. Cette société est une usine de fabrication qui fournit des services de haute qualité pour les produits de communication. Wistron est l'un des nombreux fabricants sous contrat qui opèrent sur l'île et fournissent des installations d'assemblage et autres à des géants technologiques américains renommés tels qu'Apple Inc.
Entre autres spécifications, le routeur aura une hauteur 72,5 mm et une largeur de 38,5 mm. Ces détails relatifs à l'apparence physique du routeur ne semblent pas être limités par la confidentialité. Cela dit, le dépôt donne aussi un aperçu des plans de SpaceX pour commercialiser les routeurs auprès des consommateurs. Il a déposé deux demandes de confidentialité auprès de la FCC dans le cadre de la demande d'autorisation du routeur. La demande à court terme demande à la FCC de garder confidentielles les photos internes, externes et de configuration de test du routeur.
Cette demande de l’entreprise concerne aussi le manuel d'utilisation et cela jusqu'à 180 jours après l'autorisation afin d'éviter les fuites et le préjudice concurrentiel pour SpaceX. Cela signifie que l’entreprise devrait commencer à commercialiser ses routeurs dans les six mois suivant ce dépôt, faute de quoi elle devra demander à la Commission de prolonger le délai de cette confidentialité. Ce délai est conforme aux estimations sur la disponibilité du service Starlink pour le grand public faites au début de cette année par SpaceX. L’entreprise devrait donc respecter les délais.
Enfin, le document a également révélé les spécifications techniques de l'unité d'essai technique (ETU) que SpaceX a soumis aux tests de la FCC. Elles montrent que le routeur sera capable de supporter les Wi-Fi 802.11b, 8.2.11a/g, 802.11n et 802.11ac. Le routeur fonctionnera sur les spectres de fréquence de 2,4 GHz et 5 GHz et sur deux antennes à circuit imprimé. La transmission simultanée des fréquences sans interférence sera possible sur le routeur et l'appareil sera également capable d'une puissance de sortie maximale de 990 mW lorsqu'il fonctionnera dans la bande 2,4 GHz.
Le routeur prend aussi en charge les entrées multiples et les sorties multiples (MIMO), les tests de la FCC étant effectués à l'aide d'ordinateurs portables Dell. Ce dépôt de la demande représente une étape importante pour Starlink, et la FCC prévoit de révéler publiquement les photographies et le manuel d'utilisation du routeur Starlink au cours de la deuxième semaine de janvier 2021.
Source : Documents de la FCC
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SpaceX Starlink a maintenant son propre système autonome avec un numéro ASN (Autonomous System Number), et est présent au Seattle Internet Exchange
Correction, il ne pense pas il réfléchit et malheureusement tu n'as pas assez réfléchi.
Son point de vue n'est pas du tout celui-là il veut sauver une partie de l'humanité et la meilleure de préférence.
C'est juste des maths tout le monde ne peut pas être sauvé.
Sa base sur Mars sera comme une arche de Noé. Tu devrais regarder la série "Salvation" ça te donnera une très bonne idée de la chose et de son style.
En ce qui concerne la planète franchement rien à cirer, la planète survivra toujours et l'écosystème rebootera facilement alors que les espèces animales à sa surface perriront.
On vient justement de le voir avec le covid que 2 mois d'immobilisation humaine : et la nature reprend ses droits !
Alors s'inquiéter pour une boule de 4.5 milliards d'années ce n'est pas très cohérent.
SpaceX demande à la FCC d'autoriser 5 fois plus de terminaux Internet pour les satellites Starlink,
près 700 000 personnes seraient déjà intéressées par le service Internet par satellite Starlink, selon SpaceX
SpaceX a déposé ce vendredi 31 juillet 2020, une demande auprès de la Commission fédérale des communications des États-Unis sollicitant l'augmentation du nombre de terminaux utilisateurs autorisés jusqu'ici, de 1 million à 5 millions. Ces terminaux utilisateurs sont les points d'accès à partir desquels les consommateurs se connecteront au réseau Internet par satellite. SpaceX à travers le projet nommé Starlink, compte concrètement construire un réseau interconnecté d'environ 12 000 petits satellites en orbite base et non géostationnaire, afin de diffuser l'internet à haut débit partout dans le monde. À ce jour, SpaceX a lancé plus de 500 satellites Starlink, mais devra construire un vaste système de stations terrestres et de terminaux utilisateurs accessibles s'il veut connecter directement les consommateurs à son réseau.
Cette demande intervient environ un mois et demi après que SpaceX ait mis à jour son site web du projet Starlink afin de permettre aux clients potentiels de « recevoir des mises à jour sur les nouvelles et services disponibles de Starlink dans leurs régions ». En effet, le service Internet par satellite Starlink en cours a déjà connu une « demande extraordinaire » de la part de clients potentiels, avec « près de 700 000 personnes » à travers les États-Unis, indiquant qu'elles sont intéressées par l'offre de service à venir de la société.
SpaceX commence cet été un bêta test privé du service Starlink, qui sera « suivi d'un bêta test public ». La société d'Elon Musk a déclaré à la FCC (Commission fédérale des communications) que Starlink commencera à offrir un service commercial dans le nord des États-Unis et le sud du Canada « avant la fin de cette année, puis s'étendra rapidement vers une couverture quasi mondiale en 2021 ». Musk a vanté la vitesse de Starlink comme rivalisant avec les services existants, déclarant en mars que le réseau aura une « latence inférieure à 20 millisecondes, afin que quelqu'un puisse jouer à un jeu vidéo avec un temps de réponse faible, et à un niveau compétitif ».
Le réseau satellitaire à mettre en œuvre est une entreprise ambitieuse et comme l'a déjà dit le président de SpaceX, Gwynne Shotwell, « la construction du réseau Starlink coûtera à la société environ 10 milliards de dollars ou plus ». C'est l'une des raisons pour laquelle, la société a régulièrement levé des fonds auprès des investisseurs privés au cours des dernières années, permettant ainsi la valorisation récente de la société SpaceX à hauteur de 44 milliards de dollars.
SpaceX a déclaré aux investisseurs que le secteur de l'Internet par satellite Starlink vise un marché total de 1 000 milliards de dollars. Morgan Stanley a récemment déclaré que si Starlink réussit tel que prévu, la valeur de SpaceX pourrait atteindre les 175 milliards de dollars.
Sources : FCC
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Seriez-vous intéressé par le service Internet qu'offrira SpaceX ?
Pensez-vous qu'il serait possible pour SpaceX de fournir son service Internet sur l'étendue du globe d'ici 2021 ?
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Les 60 premiers satellites de Starlink, le projet d'Elon Musk pour fournir Internet depuis l'espace, sont lancés en orbite, après deux tentatives
La latence et la bande passante de Starlink seront suffisantes pour permettre un usage typique d'Internet, incluant le Cloud gaming et le visionnage de films en HD, d'après Elon Musk
SpaceX accélère sa production et fabrique 120 satellites Internet Starlink par mois,
Un rythme sans précédent dans l'industrie spatiale
SpaceX augmente la production de ses petits satellites (smallsats) Starlink pour l'Internet haut débit et produit actuellement 120 satellites par mois, selon une présentation faite à la Commission fédérale américaine des communications (FCC) le mois dernier. Selon les analystes cités par CNBC, ce rythme de fabrication est sans précédent dans l'industrie spatiale. SpaceX, la société d’Elon Musk, a finalisé 10 lancements de ses satellites, complétant leur nombre à près 600 en orbite. La société a aussi demandé l’augmentation du nombre de ses terminaux.
Starlink est l'ambitieux plan de la société SpaceX qui vise à construire un réseau interconnecté d'environ 12 000 petits satellites, pour transmettre l'Internet à haut débit depuis l'orbite vers n'importe quel endroit du monde. En octobre dernier, la société a demandé l'autorisation de l'Union internationale des télécommunications pour l’exploitation de 30 000 satellites supplémentaires, complétant la plus grande mégaconstellation de satellites que le monde ait jamais vue à 42 000 petits satellites Starlink. Le réseau mondial, qui va apporter l’Internet aux zones les plus défavorisées, devrait être opérationnel d'ici 2025.
Depuis le 24 mai 2019, date à laquelle la société a lancé ses 60 premiers smallsats, SpaceX a placé 595 smallsats Starlink en orbite basse au cours de 10 missions réussies. La dernière mission a eu lieu le 7 août. Un véhicule de lancement SpaceX Falcon 9 B5 a mis 57 petites sondes Starlink en orbite basse à 550 km d'altitude. Le fondateur et PDG de SpaceX, Elon Musk, a déclaré que SpaceX a besoin de 400 à 800 satellites Starlink en orbite pour commencer à déployer une couverture minimale. À mesure que cet objectif se rapproche, SpaceX s'intéresse à l'arrivée d'un programme bêta, qui aidera la société à tester le service en vue d'une éventuelle consommation mondiale.
Le mois dernier, SpaceX a confirmé l'augmentation de la production de ses satellites à la Commission fédérale américaine des communications, déclarant qu'il « construit actuellement 120 satellites par mois ». La société de Musk a aussi dit dans sa présentation qu’elle a « investi plus de 70 millions de dollars dans le développement et la production de milliers de terminaux d'utilisateurs par mois ». Elle affirme également avoir « investi des centaines de millions de dollars dans Starlink à ce jour », d’après la présentation de SpaceX.
Selon CNBC, il est difficile de mettre en contexte ce que signifie le rythme de production des satellites de SpaceX, étant donné la différence de taille et de complexité des engins spatiaux construits par d'autres entreprises. Mais le fondateur de Quilty Analytics, Chris Quilty, a déclaré à CNBC que la fabrication de Starlink se fait à une vitesse jamais vue auparavant dans le secteur des satellites. La société de recherche et d'investissement de Quilty se concentre sur le secteur des communications par satellite.
SpaceX fabrique les satellites Starlink 20 fois plus vite que les satellites NEXT d'Iridium
« Pour mettre les choses en perspective, Iridium, qui détenait auparavant le record de la plus grande constellation de satellites commerciaux, fabriquait des satellites au rythme d'environ six satellites par mois au plus fort de la production », a déclaré Quilty.
CNBC rapporte que les satellites NEXT d'Iridium ont une masse près de trois fois supérieure à celle d'un satellite Starlink, soit environ 670 kilogrammes contre 260 kilogrammes selon les estimations. Mais, même en tenant compte du fait que chaque Starlink est plus petit qu'un satellite Iridium, SpaceX construit son vaisseau spatial 20 fois plus vite. Quilty a notamment souligné que les satellites Iridium ont été construits par le conglomérat aérospatial européen Thales Alenia Space.
En comparaison avec la startup concurrente OneWeb – un projet de constellation d'environ 600 satellites de télécommunications circulant également sur une orbite basse pour fournir aux particuliers un accès à Internet à haut débit –, elle construisait des satellites à un rythme d'environ 30 par mois avant de faire faillite, a rapporté CNBC. Quilty a également souligné le fait que la chaîne de production de OneWeb a été conçue et construite en collaboration avec Airbus, un autre géant européen de l'aérospatiale. Quilty conclut que cela fait de Starlink la seule des trois à posséder des satellites construits uniquement par une entreprise américaine, ainsi que la plus productive.
« L'ingéniosité américaine l'emporte une fois de plus », a déclaré Quilty.
En juillet, SpaceX a déposé une demande auprès de la Commission fédérale des communications des États-Unis sollicitant l'augmentation du nombre de terminaux utilisateurs autorisés jusqu'ici, de 1 million à 5 millions. En effet, depuis que SpaceX a mis à jour le site Web du projet Starlink afin de permettre aux clients potentiels de « recevoir des mises à jour sur les nouvelles et services disponibles de Starlink dans leurs régions », la société constate déjà une « demande extraordinaire » de la part des personnes intéressées par le service Internet. « Près de 700 000 personnes » à travers les États-Unis ont déclaré être intéressées par le service, ce qui a poussé SpaceX à demander à la FCC d’autoriser une augmentation du nombre de terminaux.
La recherche de solutions contre la pollution lumineuse se poursuit
Avec la mission de janvier, SpaceX a lancé un satellite appelé DarkSat avec un "traitement expérimental d'obscurcissement", qui vise à réduire la luminosité de la mégaconstellation de satellites, dont les scientifiques craignent qu'elles n'interfèrent avec les observations astronomiques. La société continue de chercher des solutions pour résoudre ce problème. C’est ainsi que les satellites Starlink de la dernière mission sont un peu différents de ceux qui ont été lancés précédemment. Selon Space.com, un site Web sur l'espace et l'astronomie, ils sont, tous les 57, équipés d'une visière spéciale qui permet de réduire leur luminosité apparente.
Le pare-soleil, comme l'appelle SpaceX, est une visière déployable conçue pour empêcher la lumière du soleil de se refléter sur les parties les plus brillantes des satellites, comme les antennes. La société - ainsi que les astronomes et les défenseurs du ciel étoilé du monde entier - espère réduire la luminosité globale de la flotte Starlink. Cela leur permettra d'apparaître aussi sombres que possible dans le ciel nocturne, minimisant ainsi leur impact sur les observations du ciel nocturne.
CNBC rapporte qu’il semble que le principal goulot d'étranglement du service de Starlink actuellement réside dans la rapidité avec laquelle SpaceX peut lancer les satellites, selon la société d'analyse industrielle Bryce Space and Technology. La société a lancé des missions Starlink environ une fois par mois avec sa flotte de 60 satellites dans son véhicule Falcon 9.
« Avec 60 satellites par Falcon 9, SpaceX est également amené à mettre en service son lanceur Starlink dès que possible, car la société affirme que chacun d'eux pourra transporter 400 satellites Starlink à la fois », a déclaré à CNBC Phil Smith, analyste principal de l'espace chez Bryce Space.
Selon un commentateur, il serait judicieux d’attendre que les tests bêta soient achevés avant d’augmenter la production des satellites Starlink. « Il ne sert à rien d'accélérer la fabrication de ces satellites tant que leur test bêta n'est pas terminé. Ce serait vraiment horrible s'ils déployaient 12 000 satellites pour découvrir qu'il y a un problème matériel majeur ». Et vous, qu’en pensez-vous ?
Source : CNBC
Et vous ?
Que pensez-vous de ce rythme de fabrication des satellites Starlink ?
Quel commentaire faites-vous du pare-soleil de SpaceX pour rendre les satellites moins lumineux ?
Voir aussi :
SpaceX demande à la FCC d'autoriser 5 fois plus de terminaux Internet pour les satellites Starlink, près 700 000 personnes seraient déjà intéressées par le service Internet par satellite Starlink
SpaceX Starlink a maintenant son propre système autonome avec un numéro ASN (Autonomous System Number), et est présent au Seattle Internet Exchange
SpaceX d'Elon Musk demande l'autorisation pour le lancement de 30 000 satellites Starlink supplémentaires, mais ses motivations ne seraient pas assez claires
SpaceX teste un satellite noir pour réduire la menace de la "mégaconstellation" pour l'astronomie, pendant que les astronomes se penchent sur le problème
J'aime bien SpaceX mais j'espère qu'ils ont prévu aussi une procédure de récupération lorsque les satellites sont HS ... car les laisser en orbite comme les générations précédentes ce n'est plus permis ...
Quelle idiotie ce starlink. Musk est un fou megaloman. As-t-on besoin d'internet en plein milieu de la brousse ou de l'amazonie ou aux pôles ou desert ou pleine mer, etc ... ? Non !
A priori, il n'y a pas grand chose a prévoir. A ces altitudes les satellites finissent par retomber tout seuls dans l'atmosphère après quelques années. Ceci dit quant ils arrivent en fin de vie, habituellement, le carburant restant est utilisé pour les désorbiter immédiatement.
Je suppose que tu habites dans une zone bien desservie pour dire ça. Je peux te garantir que quand on habite dans une zone mal desservie, l’intérêt est évident.
Starlink ou pas, il y aura toujours des entreprises pour envoyer des milliers de satellites pour offrir un accès à internet.
Amazon obtient le feu vert des autorités américaines pour son projet Kuiper rival de SpaceX, et va investir 10 milliards de dollars dans l'internet satellitaire
Tout le monde aimerait avoir une connexion internet très haut débit via la fibre optique, malheureusement c'est impossible.
Avoir accès à internet quand on le souhaite c'est cool, mais ça pourrait aussi être utilisé pour nous traquer en permanence si la surveillance de masse continue de se développer. (peut-être que dans le futur chaque citoyen devra se faire implanter une puce qui sera connecté à internet)
On en avait déjà discuté mais Starlink n'apportera rien de plus au traçage que ce qui est déjà possible. Les opérateur fixes, ou mieux mobile, ont déjà beaucoup plus d'informations sur beaucoup plus de monde que Starlink n'en aura jamais.
De plus Starlink n'est pas un opérateur mobile qui peut suivre tes déplacement. Ils nécessitera l'installation d'une antenne assez grosse pour que tu ne te la traine pas sur toi. Il remplacera juste une connexion fibre aux endroits ou ça n'est pas possible de l'amener, ce qui répond a un vrai besoin, mais seulement pour une minorité de la population, c'est pas un super plan pour de l'espionnage de masse.
Cet après midi j'ai eu besoin de faire rebond entre le serveur de repos de ma boite, mon poste, puis un serveur nouvellement approvisionné chez un client (le tout au travers de différents VPN).
Le but était de transférer les 11 Go nécessaires à l'installation d'Informatica.
J'aurais vraiment apprécié un débit montant qui soit correct. Tandis que ma municipalité promettant "la fibre" n'assume pas ces engagements.
Je suis, c'est factuel, bloqué aujourd'hui sur du 5.26 Mbps en dl / 0.74 Mbps up avec une latence de 32 ms.
Il m'est impossible de travailler et d'honorer mes SLA dans des conditions pareilles.
Alors que nous sommes 79 200 hab ou 120 397 habitants incluant tout ces merdiers de regroupements de communes.
Alors OUI Musk a tout compris et nous sommes de nombreux clients potentiels de Starlink ou autres solutions, étant donné l'inertie des pouvoirs public.
Je n'ai pas choisi ce métier pour être bridé et frustré par les autorités.
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