Il est constaté que ce sont les développeurs indépendants qui partagent le plus. Pourtant, au moment où on économise sur les budgets, la solidarité pourrait exister entre les PME.

Avant le Produit Intérieur Brut n’incluait pas les services. C’est l’inclusion des services dans le PIB qui a créé la bulle des Startups du web. Pourtant les Startups du web sont dépendantes des richesses réellement produites.

Les services devraient pourtant permettre de mieux produire. Notre économie fonctionne vers l’utile comme cela. La plus grande richesse ce sont les industries. On doit les protéger. Les industries créent des emplois qualifiés. Elles nécessitent et créent l’éducation qui développe alors l’élève. On voit en ce moment des services qui se créent avec des emplois peu qualifiés. Ces services embauchent souvent des sur-diplômés.

Actuellement des lobbies se mettent en placent autour des métiers nécessitant d’individualiser les citoyens pour se développer. Ces métiers font en général du trafic. En effet, selon l’économie physique, le commerce consiste à vendre directement, en passant par le minimum d’intermédiaires. Cela enrichit l’individu.

Le trafic consiste à augmenter les prix en faisant pression sur la production, d’après l’économiste Henry Charles Carey. Cela contracte l’économie. On se sert alors de l’humain. Les métiers qui individualisent l’individu prennent alors de plus en plus d’importance. Cela finit par l’implosion de l’économie, car ces métiers font pression sur la production.

Les citoyens et donc les entreprises se doivent d’empêcher ces trafics en défendant le bien commun. Cela est la fois bon pour le développement et donc pour l’éthique. On ne cherche pas le gain à court terme, mais la capacité a élaborer la société, grâce au bien commun que sont par exemple le domaine public et les licences libres.

Dans le bien commun, il y a aussi le savoir ainsi que ce qui sert à l’économie de travail, comme les services et industries publiques. Les industries et services publiques intégreront les métiers faisant pression sur le développement d’un pays. On cherche ainsi à utiliser son intelligence pour mieux produire de la richesse tangible. Retrouver le sens du bien commun permet à la fois de développer un pays afin de trouver le bonheur pour devenir ingénieux en cherchant sur nos limites.

On peut ainsi partager un savoir-faire pour créer une fondation. Il est alors nécessaire que des entreprises se mettent d’accord pour faire évoluer le savoir-faire. Une inter-dépendance entre des entreprises concurrentes peut alors se créer. Cela permet, en période de contraction de l’économie ou en plein développement, d’économiser sur le travail afin de produire de la richesse réelle.

La solidarité existe réellement quand un pays se développe. Dans ce cadre on ne parle plus de licences libres, mais réellement du domaine public. Le domaine public n’existe réellement que dans les pays qui se développent, comme en Russie ou dans les pays asiatiques. En effet quand le commerce existe réellement, la population s’enrichit réellement. Il n’y a pas besoin de protéger des acquis. On est dans la profusion, la diversité et l’association. La science fait alors de grands bonds en avant. La créativité est favorisée.

C’est l’association et l’économie de travail qui permettent le développement. Notre économie consiste à associer des éléments entre eux. Cela nécessite que nous associons entre nous et en nous. Le domaine public et les licences libres permettent d’accroître l’association et l’économie de travail.

http://www.agoravox.fr/actualites/so...ndation-152179
http://liberlog.fr/Migrer-avec-ou-vers-un-outil-RAD
Vidéos sur le bien commun