Il faut surtout ne pas lui dire "si tu te plantes, c'est que tu est nul, donc personne ne voudra plus jamais de toi". Parceque bon, les gens que je connais qui sont passés par des start-ups et qui n'ont pas fait fortune, se font systématiquement tailler là-dessus en entretien(même si parfois ils arrivent à compenser quand même).
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
ok mais je n'ai pas voulu écrire cela.
Ce que j'ai voulu signifier ( certainement que cela a été mal rédigé) c'est qu'il faut faire attention où on va, faire preuve de réalisme et de pragmatisme
Contrairement au discours ambiant qui sublime les entrepreneurs de Start-Up,l'air de dire que tout ce qui vient de la Silicon Valley c'est génial...
moi j'écris qu'il faut juste du gros bon sens , faire attention où on va parce que si tu montes une start-up mais que tu n'as pas de rentrées d'argent eh bien tu risques d'y laisser ta chemise;c'est de la bête économie d'entreprise or le discours ambiant tend à totalement occulter cela
Pour finir je m'échine à écrire ( comme je l'ai écris maintes fois dans le forum programmation jeux vidéos) c'est que être bon ou être mauvais en hi-tech/informatique ça ne veut absolument plus rien dire maintenant....
si tu est nul tu peux toujours t'améliorer en faisant preuve de motivation
Remember le slogan politique d'Obama "Yes We Can" en trois mots ça veut tout dire
or en France on est encore totalement bloqué là-dessus,la mentalité française c'est l'Académisme,le prix de l'excellence,la sélection par les diplômes...
Je ne sais pas honnêtement pour l'international
Toutes ces facilités et les éventuelles subventions ou participations apportées par les collectivités et les institutions sont une forme de financement en soi.
Ensuite l'entreprise doit rencontrer un marché, faire du développement.
Je ne sais pas quelle est la réalité de la connexion des acteurs publics avec cette logique de marché. Je pense qu'ils en sont très éloignés.
Ca devient gênant quand de l'argent public devient investi à perte, sous forme de prêt non remboursable en cas d'échec, ou sous d'autres formes
Tu peux faire des recherches sur "réussite Oséo Anvar" avec l'ami google, tu y liras des choses sympathiques.
Je pense que les "business angels " qui risquent leur propre fric sont certainement plus lucides sur qui/quoi investir.
Tandis que ceux du secteur public ont rarement une culture d'entreprise mais plutôt un parcours de fonctionnaire ou bien de copinage/parrainage/pistonnage et se contente de distribuer l'argent du contribuable, de la collectivité. Ils n'ont aucun enjeu personnel, aucun risque, et leur implication au risque de l'argent public investi est nul.
A noter que mon poste à sa création devait être financé par l'ANVAR Bourgogne. Ils ont finalement refusé ce financement, je n'étais pas BAC +5 (licence de psycho, ce qui ne devait rien arranger) et ils ne tenaient pas compte de mon expérience professionnelle, de mon parcours ou de la qualification du poste que j'occupais.
Sauf que 11 ans après je suis bel et bien toujours en poste, que l'entreprise s'est développée sur mes seules compétences, qu'elle existe toujours et qu'elle est rentable.
Émotion
Infantilisation
Culpabilisation
Christophe Alévèque - 18 Mars 2021
qu'est-ce que c'est que ce gouvernement qui oublie de défendre la langue francaise et privilégie l'anglais dès lors qu'il faut lancer de nouveaux projets et labels....avec l'autre brasseur de vent à la marinière, Pellerin a aussi fait la promotion de l'a "silver Economy", des MOOCS, du FUN...entre autre; jamais on aura vu un gouvernement piétiner autant la culture francaise et notre identité...honte à eux !...est-ce que cela viendrait du fait qu'ils ont fait l'ENA, science po ou l'ESSEC où l'enseignement est essentiellement en anglais ?....ce n'est pas en allant dans le sens du monde anglo-saxon que nous irons mieux et que la croissance repartira, bien au contraire car à chaque fois que l'on valorise l'anglais au détriment du francais on leur donne des débouchés supplémentaires car l'économie c'est une grosse part de culture, mais bon on doit pas apprendre cela à l'ENA (?).
Après on pourra toujours parler de la "touche francaise", mais celle-ci n'existera plus dans quelques générations car elle est intimement liée à la culture et à la langue principaux vecteurs de l'imaginaire francais.....difficile à comprendre pour des gouvernants anglophiles adulant le modèle libéral anglo-saxon.
Axelle Lemaire annonce le French Tech Visa qui ambitionne d'attirer entrepreneurs,
talents mais également investisseurs dans l'Hexagone
Le Demo Day est un programme de 12 mois, avec un soutien financier pouvant atteindre 25 000 euros qui a su attirer 22 entreprises, dont 18 ont continué leur activité dans l'Hexagone. À l’occasion du Demo Day des start-ups internationales du French Tech Ticket dont l’objectif est d’attirer des entrepreneurs étrangers en France, Axelle Lemaire a annoncé la création du « French Tech Visa ». Ce dernier va faire partie intégrante du « passeport talent » qui a été lancé en automne 2016. Pour rappel, cette carte de séjour disposant d’une procédure simplifiée d’une durée maximale de 4 ans, renouvelables et avec accueil possible du conjoint, a pour objectif de rendre plus lisible le droit au séjour des talents que la France veut accueillir en plus grand nombre. Elle concerne 10 catégories qui correspondent aux réalités économiques actuelles :
- les jeunes diplômés qualifiés salariés ou salariés d’une jeune entreprise innovante ;
- les travailleurs hautement qualifiés (carte bleue européenne) ;
- les salariés en mission ;
- les chercheurs ;
- les créateurs d’entreprise ;
- les porteurs d’un projet économique innovant ;
- les investisseurs économiques ;
- les mandataires sociaux ;
- les artistes interprètes ;
- les étrangers ayant une renommée nationale ou internationale (domaine scientifique, littéraire, artistique, intellectuel, éducatif ou sportif).
« Dans ce contexte tendu en matière d’immigration, en matière de sécurité, il y a une nécessité politique à affirmer un message pas facile à faire entendre : la France veut attirer des créateurs. Nous avons lancé le French Tech Ticket, nous avons lancé en octobre dernier le passeport talent, et bien aujourd’hui les deux programmes vont se marier en quelque sorte », a déclaré la ministre. Elle explique que le French Tech Ticket va entrer dans un programme plus large qui s’appelle le French Tech Visas qui va concerner également les artistes, les designers, les architectes, des salariés d’entreprises privées qui veulent venir en France avec un projet créatif et qui sont considérés comme talentueux dans leur domaine.
La ministre n’a pas manqué de souligner le caractère flexible du nombre de places disponibles : « c’est plus de 100 personnes que nous pourrions accueillir avec le French Tech Visa, mais ce pourrait être 1000, ce pourrait être 2000. En fait le nombre n’est pas décidé à l’avance » a-t-elle expliqué, promettant un « accès premium à notre pays » si les talents venaient à opter pour aller en France.
Axelle Lemaire a rappelé que la French Tech est une politique d’accompagnement étant donné que l’outil est décentralisé et qu’il s’agit plus d’une manière de dire aux entrepreneurs « vous avez les clés de la maison, dites-nous ce dont vous avez besoin ».Elle a rappelé que la première promotion (2014 - 2015) disposait de 48 startups, la seconde disposait de 66 et les candidatures de la promo 2016 - 2017 continue d’être déposées. Pour souligner l’impact de la French Tech, elle a rappelé que « depuis cette promotion (2015 - 2016), 1123 emplois nets ont été créés. Parmi ces entreprises, 5 d’entre elles ont levé chacune plus de 15 millions d’euros et en moyenne chacune de ces entreprises a connu une croissance du chiffre d’affaires de 186 % ».
Parlant de la French Tech, le président François Hollande n’a pas manqué de donner quelques statistiques : « l’année dernière, nous avions fixé le nombre de places à 50 et nous avons reçu 1400 candidats, un véritable concours. Et cette année, nous avons voulu aller plus loin et avons multiplié par 4 le nombre de visas et de bourses. Il y a donc 200 lauréats qui ont été retenus pour 2700 candidats issus de 90 pays, notamment d’Inde, des États-Unis, du Brésil, de Russie, du Royaume-Uni ». Le chef de l’État a assuré que la French Tech est un signe d'ouverture sur le monde, une manifestation d’une France ouverte qui considère que le monde peut lui apporter beaucoup comme elle peut également contribuer à l’avenir du monde.
site dédié French Tech Visa
Source : Vidéo des allocutions
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