Discussion :

[callofduty]

Bonjour, je dispose d'une séquence d'images d'un capteur ordonnées suivant un axe de temps de 30 jours. Ma question est la suivante, afin de répandre aux exigences de la compression (psnr, taux de compression), qu'elle type de compression dois je affecter intra-compression ou inter-compression? Est-ce-que je peux appliquer un compresseur de video, puisque la video n'est qu'une succession d'images suivant un intervalle de temps. Merci

[moldavi]

Bonjour.

Le cahier des charges n'est pas assez précis.

Bonjour, je dispose d'une séquence d'images d'un capteur ordonnées suivant un axe de temps de 30 jours.

Quel format d'image ? Combien d'images en trente jours ? Et quelle taille en Mo/Go ? C'est important pour calculer le taux de compression.

Ma question est la suivante, afin de répandre aux exigences de la compression (psnr, taux de compression),

Ok, mais quelle valeur de psnr, et quel taux de compression par rapport à l'image originale. On peut compresser à mort et avoir des images pourries, et inversement. De ces valeurs peut dépendre le choix de l'encodage.

qu'elle type de compression dois je affecter intra-compression ou inter-compression?

Là ça commence à parler de compression vidéo. Au début ça parle d'image.

Est-ce-que je peux appliquer un compresseur de video, puisque la video n'est qu'une succession d'images suivant un intervalle de temps. Merci

Oui on peut. Mais avec deux bémols, dirai-je :

1-la compression vidéo a de l'intérêt lorsque les images successives ont de nombreux pixels correspondants. Si les images qui se succèdent sont complètement différentes, peu d'intérêt.

2-Ensuite le cahier des charges précise-t-il le format final à fournir (images ou vidéo) ?

Parce que si c'est une vidéo, analyser les données d'un capteur à raison de 30 images par secondes, ça va être chaud...

[callofduty]

Bonsoir, je vous remercie tout d'abord pour l'importance que vous avez donné à propos de mon sujet. Pour être bien précis, je dispose d'une pile de données à 30 niveaux. Chaque niveau correspond à une matrice d'une journée de taille importante soit 4090x2070, contenant des valeurs d'intensité qui ont un rapport avec la distribution des aérosols dans l'atmosphère.Pendant 30 jours, un stock de 500MO sur le disque dure.Je sais que les paramètres qualitatives dépendent essentiellement du choix du codeur (transformation, quantification et codage). Mon objectif c'est de développer une stratégie de compression robuste afin de répondre aux exigences des utilisateurs.

[moldavi]

Bonjour.

Je veux bien vous aider? mais nous ne connaissont pas les exigences des utilisateurs et le format des images en entrée.

Donc je vais répondre avec ma boule de cristal : il faut faire une compression JPEG.

[callofduty]

Bonjour, je m'explique. Le capteur fournit une séquence de 30 fichiers texte contenant des données codées en double. Par la suite, j'ai affecté ces données dans un tableau de cellule. Laissant les exigences à part, puisque cela dépend du développer et utilisateur. J'aurais pu appliquer directement une compression 3D par exemple SPIHT3D, contrairement au JPEG qui repose sur une architecture de compression par bloc, et par conséquent apparition des effets de blocs (patchs, ou artefact), mais là je devrais proposer ma propre méthode. Ma question est la suivante: Sur quelle critère je vais me baser pour fixer le choix entre une compression intra-images et inter-images. Merci

[moldavi]

Re.

Le choix est simple (lire mon premier message). Si les images qui se succèdent ont beaucoup de pixels en commun, la compression "inter" a de réels avantages. En plus de la compression "intra" (pour les images "keys" par exemple).

Mais bon, comme dans de nombreux projets informatiques, rien ne vaut l'expérimentation. Il faut tester différents modes de compression, et voir lequel est le mieux adapté.

J'ai des difficultés à répondre, parce que je ne comprends pas très bien les tenants et les aboutissants.

[callofduty]

Bonsoir, j'ai compris ce que vous voulez me dire et c'est ce que j'ai pensé d'ailleurs, je dois vérifier l'auto-similarité ou auto-correlation entre les images. Je pense que la distribution quotidienne des aérosols n'est pas identique jour après l'autre. Autre chose aussi, c'est que les aérosols ne peuvent pas atteindre une hauteur de 15km à 30 km. A mon avis, je dois découper l'image en deux région homogène et non homogène afin d'appliquer une compression inter et intra respectivement.