Vu sur la page Business Software Alliance de Wiképédia :
La méthode de calcul employée est contestée puisque, notamment, elle ne tient compte ni de l'utilisation de logiciels libres, ni de la réutilisation des licences logicielles, ni des spécificités de certains pays (par exemple, les États-Unis et la France sont assimilés ensemble car l'étude statistique, qui a lieu dans douze pays, n'est pas menée en France). La méthode d'extrapolation des données aux pays non participants et l'hypothèse qu'un produit vendu illégalement remplacerait un produit vendu légalement (la différence de prix, la satisfaction du client, le fait que le client sache ou non qu'il s'agit d'un produit illégal peuvent influencer ce rapport) est contesté par le GAO, entre autres.
Le site web de la BSA déclare sur sa première page que « Le fait de copier ou de redistribuer tout logiciel protégé par des droits d'auteur constitue un acte de piratage (...) », jetant ainsi le doute sur la légalité des logiciels libres et de leur diffusion.
La BSA utilise des bots de recherche pour retrouver des fichiers couverts par la propriété intellectuelle, ce qui est parfois sujet à des erreurs ; ainsi, l'université de Münster s'est vu accusée de violation de droits parce qu'elle distribuait une version de OpenOffice.org.
Pour information, le logiciel libre est protégé par des droits d'auteur et le copier ou le redistribuer n'est pas un acte de piratage.
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