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Business Intelligence : Comprendre le principe


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    Par défaut Business Intelligence : Comprendre le principe
    Business Intelligence est un principe qui occupe une place de plus en plus importante, ne serait-ce que pour quantifier les performances de l’entreprise au moyen de données préalablement collectées. La Business Intelligence ou informatique décisionnel, quel que soit l’appellation que l’on décide finalement de lui donner, est devenue une stratégie décisionnelle et opérationnelle dont l’entreprise moderne ne peut plus se passer. Tour d’horizon pour tenter de comprendre la Business intelligence, ses fondements et ses outils d’application.

    L’actualité de la Business Intelligence vous sera fournie à la page dédiée sur le site Développez
    [H2]Définition[/H2]

    La Business Intelligence (BI) représente le regroupement de moyens permettant aux chefs d’entreprise d’apporter les meilleures solutions à leur problématique de croissance, de retour sur investissement ou alors d’ordre décisionnel en général. Du fait que la Business Intelligence ne peut être fonctionnelle sans l’usage d’applications informatisées de gestion des données d’activité, la BI est aussi appelée du nom de l’Informatique décisionnelle. Ceci laissant comprendre que c’est bel et bien à partir du traitement des données globales et/ou sectorielles récoltées par la firme que les décisions seront prises par les cadres et les dirigeants, selon leur section fonctionnelle (Administration, Audit, Ressources Humaines, Finance, Marketing, etc.).

    L'intéret de la Business Intelligence (BI) en image ou "Pourquoi utiliser la BI?"


    [H2]Principe de base de la Business Intelligence[/H2]

    L’axe central de la BI est représenté par les données en tant que tel et par la gestion optimale de celles-ci. En effet, dans le cycle de vie d’une société à but lucratif, de nombreuses informations quantitatives sont collectées et agrégées via des sources diverses. Avec l’essor actuel des tics, les sites internet d’entreprise et autres services en intranet ou internet peuvent permettre aux décideurs d’avoir les chiffres liés à leur performance. Parmi les ressources pouvant aider à collecter efficacement les données, on compte également les moyens classiques et toujours actifs que sont les données saisies en interne sur classeurs de feuilles de calcul (Excel), ou même les bases de données informatique de type Oracle et SQL.

    Une fois la première question du regroupement des données résolue, il ne reste plus pour l’entreprise qu’à trouver le meilleur système de traitement pour les structurer, pour effectuer des tris judicieux et pour classer toutes les données soigneusement recueillies. Cette archivage des données peut également être vu comme une sorte d’entreposage, d’où le nom de « Data Warehouse » (entrepôt de données) que l’on donne à certains des outils chargés de conserver ces même données de façon intelligente et ordonnée.

    Après que le contenant du système d’information de toute l’activité productive et organisationnelle ait été ainsi disposé dans les entrepôts de données, l’exploration quantitative peut alors commencer. En d’autres termes les personnes concernées par la prise de décision au sein de l’organisation, peuvent alors recevoir tour à tour les chiffres collectés, ceci afin d’en tirer des conclusions propres à renseigner sur la croissance de l’entreprise. C’est au cours de cette étape qu’il est possible de procéder à un datamining efficace, pour ne pas dire à la mise en exergue de nouvelles possibilités de gestion et de futures décisions stratégiques bien plus performantes.

    C’est également de cette mise en forme informationnelle que les acteurs décisionnels tirent aussi les statistiques, les diagrammes d’études, ainsi que les rapports synthétiques ou détaillés qu’ils exploitent et présentent au moment des bilans d’activité.

    [H2]Le système d’information décisionnelle (SID) et outils de fonctionnement[/H2]

    Pour que l’on puisse parler d’un système d’information décisionnelle, c’est-à-dire d’un système de Business Intelligence, il faut tout d’abord que les données obtenues puissent être transformées en information concrète, apte à aider à la décision. En effet, si des données restent brutes et sans traitement, c’est qu’il n’y a en fait aucun système qui puisse prendre en charge un tel travail d’exploitation informatique. Le système d’information décisionnelle (ayant donc des fins décisionnelles) doit ainsi prendre naissance avec le stockage des données et se clore à la diffusion de ces mêmes données, et encore à leur utilisation effective par les utilisateurs, décideurs de l’organisation de l’entreprise.

    [H3]La chaîne décisionnelle[/H3]

    On compte généralement 4 phases, ou fonctions, pour définir la chaîne décisionnelle constituant un SID fiable :
    1. La collecte
    2. Le stockage
    3. La distribution
    4. L'exploitation


    A chaque étape de cette chaîne de décision, il est des outils appropriés qui sont utilisés dans le cadre de la Business Intelligence.

    [H3]Les différents outils du SID[/H3]

    Durant la fonction de collecte des données provenant habituellement des états économiques, financiers ou commerciaux de la firme, c’est un ensemble d’outils du nom d’ ETL qui est sollicité. ETL signifie par ailleurs et en anglais Extract-Transform-Load (Extraire-Transformer-Charger). Ces outils de collecte ont pour rôle d’accueillir les résultats chiffrés provenant de l’activité de la société, et de mettre ensuite en ordre l’information qui, elle, a souvent un caractère hétérogène et des unités de mesure distinctes. Certaines données sont ainsi nettoyées de leurs superflu à travers les instruments ETL, elles sont consolidées, puis enfin stockées dans des entrepôts de données qui leur servent alors de bases définitives.

    Le stockage de l’information se fera soit dans les Data Warehouse (grands entrepôts) soit dans les Datamart (entrepôts spécialisés). La différence entre ces deux bases tient au fait que les premières ou Data Warehouse concernent les données rangées tel quel, de façon brut et non ordonnée ; tandis que les Datamart comportent une classification par thème et par centre d’intérêt pour chaque utilisateur. Ainsi, ce sont les contenus dans le premier et grand entrepôt de stockage qui sont transmis dans le second au gré des besoins de chaque branche de l’activité d’exploitation. Par exemple, il ne sera fournit à la section marketing que les données du Datamart concernant les ventes et les dépenses de promotion, et non pas les données liées aux dépenses financières de production ou d’achat de matières et de machines.

    Afin de procéder à la distribution de l’information auprès des acteurs majeurs de l’entreprise, il existe des portails informationnels dont le plus médiatisé, et sans doute aussi le plus performant à l’heure du numérique, est le réseau social d’entreprise. Ce type de service qui se retrouve généralement en intranet, et où chaque utilisateur du centre décisionnel à un accès sécurisé (identifiant et mot de passe), peut très bien être assimilé à un grand et large bureau virtuel. Les membres du corps décisionnel seront ainsi à même de consulter toutes les sources d’information, de les personnaliser, de les classer et même de communiquer entre eux suivant les objectifs d’analyse qu’ils se seront fixés. C’est le lieu également de parler du tableau de bord, qui est la forme la mieux avancée pour rendre les données traités très accessibles aux utilisateurs.

    La fonction qui consiste enfin à exploiter les données peut légitimement être assimilée à une fonction d’analyse et de fouille approfondie des données pour, comme on dit, tenter de les faire parler. Parmi les instruments d’exploitation en Business Intelligence qui montrent que les informations doivent finalement servir à quelque chose, on peut mettre en avant le Reporting, qui n’est rien d’autre que la communication des données sous la forme de rapports.

    Avant les rapports d’activité, on aurait également pu indiquer les instruments dit Olap (Online Analytical Process) qui servent essentiellement aux analyses croisées (comme l’usage de tableaux croisés dynamiques) et multidimensionnelles : c’est-à-dire aux études de fonds liant des variables apparemment non corrélées de l’activité de l’entreprise (niveau de production, ROI, budget commercial, taux de ventes, etc.).

    Le Datamining a aussi toute sa place dans cette phase d’exploitation des données, tout en étant l’instrument idéal pour trouver des explications logiques à l’évolution actuelle des entreprises. Le Datamining peut aussi être utile pour la recherche de corrélation, et par suite de nouveaux modes d’actions pouvant accroître la productivité de l’activité génératrice de revenu.

    Pour détailler davantage les termes et les usages de la Business Intelligence, référez-vous aux explications encyclopédiques sur Wikipédia: www.fr.wikipedia.org/wiki/Informatique_décisionnelle
    [H2]La Business Intelligence: bien au-delà de l’outil informatique[/H2]

    La Business Intelligence n’est pas seulement une affaire de système informatique, mais aussi et surtout de communication entre les décideurs et les travailleurs d’une entreprise. La critique première que l’on pouvait faire de l’informatique décisionnelle est qu’elle centrait essentiellement ses conclusions (décisions) sur les résultats chiffrés, sans pour autant trop faire intervenir des valeurs qualitatives comme celles liées à la ressource humaine ou aux relations clients.

    A présent, du fait de l’expansion de ce que l’on nomme communément la Business Intelligence 2.0, la communication entre les membres de la société productive ou de service s’est nettement améliorée. On regarde encore aux résultats quantitatives, mais également aux occurrences et aux contraintes diverses : de temps, de capacité, d’accessibilité, de compréhension ou même de proximité au sein de l’entreprise, comme en externe.
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