la qualité ok.
difficulté d'accès oO google <nom du film> download ou téléchargement tu va vite trouver ton bonheur bien plus vite que de trouver une salle ou le film passe et d'y aller.
pour le coté illégal bien qu'il tienne toujours il s'estompe de plus en plus "c'est pas bien mais bon tous le monde le fait alors ...."
mais comme je le disais il y a toujours l'effet social du cinéma qui reste et restera toujours.
la ou le téléchargement/VoD fait mal c'est au vente de dvd/br.
on est d'accord il faut qu'elle sorte rapidement après le film en salle. Par contre ils peuvent jouer sur la qualité si ils pensent que c'est cela qui joue, genre qualité pas top les 2-3 première semaine.
un peu comme le téléchargement illégal ou tu a des screener et autre truc pas terrible au debut.
après voila des solutions sa se trouve. Le problème reste qu'ils doivent se bouger au lieu de pleurer sur le lait renverser
A quoi bon protéger le bourrage de crâne ?
Et si cette technologie mérite d'être défendue, pourquoi n'en irait-il pas de même pour la suivante, autrement plus démocratique ?Encore une fois, à l'époque ou le théâtre était roi, la majorité de la population française n'y allait pas (bah oui). En ce sens, la technologie a amené la culture dans les masses.
C'est bien ces cycles que je remets en question. Ils sont le fruit d'une succession de protections artificielles des anciennes technologies contre les nouvelles. Empilées à ce rythme, dans un siècle, il faudra attendre des décennies pour profiter des dernières œuvres sur les nouvelles technologies ; on handicape l'innovant pour protéger l'obsolète !Ben non, la tu compares deux support utilisant une technologie différente mais ayant une place identique dans le cycle de vie d'un film de nos jours (i.e. Cinéma - DVD/VHS/BR - Chaînes payantes - Chaînes publiques).
Là, les syndicats des producteurs ont peur (à tort ou à raison) que la VOD (logiquement en point 2 du cycle, mais pas forcément) ne se substitue au cinéma (en point 1).
Je suis largement satisfait que l'imprimerie ne paye pas de taxe pour protéger les copistes ; si des salles de cinéma devaient fermer, ce serait par la volonté du plus grand nombre, tel est le sens de l'Histoire. Ce qui est cependant certain, c'est que grâce à Internet, on a jamais regardé tant de films !
Tu as besoin de lunettes
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Et tu payes une taxe quand tu achètes un livre, en plus de la TVA.. (comprise dans le prix HT)
"Un homme sage ne croit que la moitié de ce qu’il lit. Plus sage encore, il sait laquelle".
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Je ne réponds pas aux MP techniques
Ce n'est pas une question d'innovation. Le passage du vinyle au CD (et, avant cela, le microsillon) n'a pas été combattu par les ayant droits, les maisons d'éditions ne s'opposent pas au e-book. Le problème, c'est que le modéle économique proposé pour la VOD part du principe qu'elle doit être très bon marché (par rapport au cinéma) et introduit une floppée d'intermédiaires supplémentaires. Du coup, il apparait comme nettement moins avantageux pour les ayant droits. (Et l'idée que cela augmentera la consommation, et rendra rentable le modèle low cost, se heurte au fait que l'on parle de produits grand public, et qu'on commence à avoir l'habitude, depuis les débuts de l'Internet, des promesses non tenues de ce "nouvel ordre économique".)
Si demain on te propose de diviser par trois ton salaire pour prendre en compte l'"innovation" que constitue la possibilité de sous traiter ton boulot à un indien payé moins que toi, tu ne vas pas aimer, même (surtout?) si on te jure que tu travailleras davantage en échange. Les ayant droits, c'est pareil... (et note que la réponse habituelle "oui mais ils gagnent bien assez comme cela" s'applique parfairement à ton salaire si on se place du point de vue d'un salarié indien ou chinois).
Les majors ne sont pas des copistes, mais des éditeurs, c'est très différent. La taxe pour les copistes, ce serait une redevance au profit des société taiwanaises qui produisent le support physique que sont les DVD.
L'imprimerie a eu le succès qu'on sait parce qu'elle a permis de "rentabiliser" un plus grand nombre d'auteurs (en réduisant les couts de production des livres, tout en augmentant les revenus des éditeurs). Si les livres avaient été gratuits, ou presque gratuits, ou si son financement s'était fait sur le dos des éditeurs, je doute qu'elle aurait survécu.
C'est pareil pour le cinéma, si des salles de cinéma ferment, comme les "modèles alternatifs" en savent pas financer la création (la TV y arrive, mais l'internet y semble hostile), on n'aura jamais autant regardé de vieux films... Et en musique, je suis prêt à parier que, contrairement au discours naïf, les artistes qui ont le moins a craindre des modèles internet sont les plus grand publics (ce sont les seuls qui gagnent dans un modèle "au clic").
Peut être, au fond, que l'internet est en train de démontrer que le concept de "culture de masse" ne tient pas la route, et de nous ramener, après la brève parenthèse du vingtième siècle, à une vision classique de la culture, c'est à dire quelque chose d'élitiste et coûteux.
Il restera bien entendu des "produits culturels" à destination du grand public (c'est à dire toi et moi), Lady Gaga, Harry Potter, Hunger Games...
Francois
Dernière modification par Invité ; 01/04/2012 à 18h20.
Les salles de cinéma n'ont pas l'air de pâtir du numérique ; ne soyons pas si inquiets. Quand bien même en souffriraient-elles, ce serait au profit de la VoD qui est censée redistribuer plus aux ayants droits, entre autres parce qu'il y a moins d'intermédiaires.
Il faut aussi prendre en compte le marché que représente les "pirates", qui ne restera certainement que potentiel à 8 euros la location.
Ceci dit, je ne vois pas en quoi l'offre et la demande seraient moins aptes à déterminer les prix que l'état ou je ne sais quel corporation d'ayants droits. Si le marché devait rétrécir après libéralisation, les seules conclusions que l'on pourrait en tirer seraient qu'une bulle s'est dégonflée. Bulle qui aurait tout de même finit par éclater, avec ou sans chronologie des médias ou prix encadrés. L'industrie prend plus de risque aujourd'hui qu'en s'adaptant dès maintenant aux nouvelles technologies ! Hollywood l'a bien compris, les USA se sont largement engagés sur la SVoD. L'avenir tranchera rapidement... malheureusement pour nous.
Le marché est déjà régulé par l'offre et la demande. Si aujourd'hui les ayant droits font augmenter les prix du cinéma, ou les droits TV, les diffusions, et donc les audiences vont baisser.
La question, ce n'est pas de savoir si la loi de l'offre et de la demande s'applique (elle le fera toujours, imparfaitement), mais qui choisit le modèle économiqu et fixe les prix. Le point de vue des ayant droits, c'est qu'ils vendent leur production, et ne veulent pas devenir sous traitants des FAI ou autres qui deviendront les opérateurs du système. Et ils ont raison, parce qu'en général, un sous traitant, c'est quelqu'un qu'on tond.
Au fond, ca ressemble pas mal au démarrage de la catch-up TV. Les chaines, d'abord en retard, on très vite repris la main.
Je suis un peu surpris pas ce mot de "bulle". La production cinématographique est très subventionnée (par les quotas de production de la TV, les aides directes, les aides sociales au régime des intermittents...), et pour quelques superproductions qui gagnent des sommes énormes, il y a toute une industrie qui est à l'équilibre. Peut on parler de bulle, alors? Parlerais tu de "bulle des salaires en France" parce que les salaires des patrons du CAC40 sont ridiculement élevés?
Francois
La SVoD doit attendre 3 ans pour diffuser, comment alors mesurer la demande quand le consommateur subit de telles contraintes ?
Aussi, l’exclusivité d'exploitation d'une œuvre que confère actuellement les droits d'auteur réduit la concurrence entre distributeurs : les plus gros (riches) disposent mécaniquement des meilleurs catalogues, quand bien même le service de distribution serait déplorable.
Mais heureusement, les salles de cinéma, principales sources de revenus de l'industrie, se portent bien, malgré "le piratage" et la croissance de la VoD. La bulle dont je parlait n'est donc qu'hypothétique.
Aussi, le simple fait que l'on consomme tant implique une demande énorme de productions récentes ; dans ces conditions, le marché ne peut se dégonfler que par manque d'adaptations ou autres mauvaises décisions.
Les ayants droits ne pourraient pas devenir sous-traitants des FAI ou autre s'ils fixaient le prix (ou le montant des royalties) sans pour autant accorder l'exclusivité d'exploitation à qui que ce soit. Les distributeurs doivent être en concurrence sur la seule distribution, nul besoin d’exclusivité pour cela.
La chronologie des médias empêche la concurrence entre médias, aux détriment des plus innovants. Si les ayants droits gagnaient effectivement moins une fois celle-ci abolie, qu'ils adaptent les prix en conséquence !
Et si cela ne marchait pas, c'est que le consommateur en a décidé ainsi, tel fut le funeste destin du théâtre, des tournois de chevaliers, etc..
Culture ou non, celui qui paye a toujours le dernier mot.
La question sur ce point n'est pas, je crois l'exclusivité.. Un ayant-droit n'a pas en sa possession ce qui est utilisé : les ayants-droits de Brassens n'ont pas les masters, ni ceux de Mauriac les originaux..
Il n'y a donc que deux actions possibles : soit surveiller toutes les productions et de demander à re-négocier un contrat au cas par cas, soit de se fier à un système global, ce qui est le cas aujourd'hui.
Ce que vous soulevez comme "problème" et "raison" comme étant les ayant-droits n'est donc ni un problème ni une raison, tant qu'on garde un système global.. Et le "décentraliser" sera la mort de la notion même d'ayant-droit. Et même de droits d'auteurs, car (comme expliqué plus haut pour la musqiue) aucun créateur ne peut suivre - sans parler de contacter et négocier un contrat- au cas par cas avec tous les utilsateurs du style distributeurs..
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en fin de compte... peut-etre que la fin du monde prevue par les mayas sera vrai... mais pas au sens ou on l'attendait
on va peut-etre tous virutellement / numeriquement mourir
La forme des pyramides prouve que l'Homme a toujours tendance a en faire de moins en moins.
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