Bonjour wafiwafi œil-de-lynx,
Votre remarque est tout à fait pertinente, car une coquille s’est glissée dans ce que j’ai écrit. En effet, il faut lire :
« Du point de vue du Modèle Relationnel de Données (MRD), votre professeur a raison à 100% de mettre en oeuvre une table associative. Selon ce modèle, NULL est en effet interdit ; Or, la mise en œuvre d’une clé étrangère pour traduire une cardinalité 0,1 ne pourra jamais empêcher la présence de NULL dans la table ENTITE_1. »
Pour éviter que d’autres se posent des questions à leur tour, je remplace ce paragraphe par le suivant dans le message en cause :
« Du point de vue du Modèle Relationnel de Données (MRD), votre professeur a raison à 100% de mettre en oeuvre une table associative. Selon ce modèle, NULL est en effet interdit. Passons maintenant au modèle SQL (qui autorise NULL) : si l’on se passait de la table ASSOCIATION, alors on devrait prévoir une clé étrangère (donc un attribut E2_IDENTIFIANT_2) lors de la définition de la table ENTITE_1, afin d’établir le lien avec la table ENTITE_2. Dans ces conditions, pour être en accord avec cardinalité 0,1 du MCD, on serait malheureusement obligé d’autoriser la présence de NULL pour l’attribut E2_IDENTIFIANT_2 de la table ENTITE_1. Je vous recommande de suivre votre professeur. »
Je suis désolé pour les questions que vous avez pu vous poser suite à cette fâcheuse coquille...
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