En temps que développeur ce qui compte à la réussite d'un projet ce n'est pas le pognon que ça a rapporté au directeur ni le nombre d'actionnaire de la boite.
Pour qu'un projet réussisse dans la tête d'un développeur, il lui faut un environnement de travail impeccable et calme (téléphone des clients dans le bureau bani). Il faut que tout les développeurs de l'équipe travail car c'est amusant et non pas "car c'est une étape obligatoire pour devenir chef de projet". Et bien sur une bonne capacité de communication.
Du point de vue du chef de projet c'est le triangle du Cout/Delai/Qualité (choisissez en 2).
Il faut qu'il entretienne le fun des développeurs, (via des formations et des passages de certifications qui sont très motivantes), et qu'il sache parler à la fois au client et aux développeurs.
En effet ce point est très important, si le chef de projet est considéré comme l'interface entre le client et le développeur, si il n'est pas capable de parler techniquement aux développeur, autant faire parler le développeur directement avec le client... vous avez déjà vu un adaptateur qui ne peut pas se brancher à la fois au périphérique à ladapté et à la cible ?
Après tout ce qu'il manque au développeur pour parler au client c'est une connaissance métier, et je veux bien parier sur le fait que tout développeur étant heureux d'en apprendre plus sur le métier de son utilisateur final, aura aussi les qualité de communication requises.
Les cotés organisationnel pour moi ne contribut qu'a 20% à la réussite du projet (le coté sociologique serait 80%).
Je n'ai aucune donnée objectives sur cette affirmation, je constate juste que ceux qui travaillent sans avoir l'impression de travailler font des choses de meilleurs qualité, et n'ont pas besoin d'être suivi pour savoir si ils font bien leur boulot. Et donc le chef de projet devrait mettre ses diagramme de coté 5 minutes pour améliorer la vie de ses développeurs.
Voila mes best practices pour qu'un projet soit mené a bien.
Pour moi la réussite numéro 1 d'un projet n'est pas tant technologique ou organisationnel que sociologique.
c'est la thèse défendu dans Peopleware de Tom DeMarco.
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