Discussion :

[Gilles Louïse]

Y a-t-il une limite à la longueur des textes proposés à la taverne ?

J’envisage d’y poster un texte assez long sur Hamlet (j’en avais déjà parlé).

Je n’ai pas trop envie de chercher des forums spécialisés et certains forums ont limite en nombre de caractères.

Je ne crois pas que ce soit très dérangeant de poster un long texte car celui qui ne veut pas le lire ne le lit pas. Mais, comme la longueur est ici inhabituelle (250 ou 300 lignes), je pose toujours la question.

Si le risque de troll est exponentiel par rapport à la longueur du texte, il faut renoncer. Ou alors, accepter le risque et supprimer la série si ça tourne au délire.

J’aurais pu écrire à un modérateur mais je ne sais pas à qui m’adresser spécialement.

À bientôt
Gilles

[davcha]

65000 caractères max par message sur vbulletin, normalement. Et dvp.net, c'est du vbulletin, si je ne m'abuse.

[Eric Sigoillot]

Si le texte est long, rien n'empêche de le placer dans un fichier texte qui sera placé en pièce jointe, tout en profitant du corps du message pour effectuer un commentaire et inciter à la lecture.

Il serait même préférable de faire comme ceci...

[Gilles Louïse]

Si le texte est long, rien n'empêche de le placer dans un fichier texte qui sera placé en pièce jointe, tout en profitant du corps du message pour effectuer un commentaire et inciter à la lecture.

Il serait même préférable de faire comme ceci...

Mon texte sur Hamlet est à peu près prêt, il fait environ 38 000 (trente huit mille) caractères, je ne crois pas que nos bonnes bases de données soient à ça près, d’autant qu’il sera tôt ou tard délesté.

J’avoue avoir une légère préférence de le mettre en ligne en utilisant la petite fenêtre du sous-forum « Lecture » sachant que sa taille, si j’ai bien compris, est inférieure au maximum possible. La raison en est que la présentation me plaît assez. D’un autre côté, je ne veux contrarier personne, si vous préférez un fichier joint, je le convertirai en pdf.

J’ai écrit ce texte parce que, par ma franchise sur des problèmes de société, j’ai manifestement heurté des âmes sensibles et me suis mis à dos, pendant un certain temps, la quasi-totalité de la communauté. Or, j’ai constaté qu’il existait des internautes qui suspendaient en quelque sorte leur jugement, voire lisaient, comme on dit, entre les lignes.

Le mot « sympathique » est le mot qui m’a fait le plus rire car quand on reproche à quelqu’un de n’être pas sympathique, cela signifie souvent : « Pourquoi dites-vous la vérité ? Soyez sympathique, servez-nous un mensonge agréable ! ».

J’ai donc choisi une œuvre majeure qui traite, entre autres, du problème de l’honnêteté, à savoir Hamlet. Cette tragédie est considérée comme la plus problématique non seulement de tout Shakespeare mais aussi de tout le répertoire dramaturgique.

Je ne donne évidemment pas la solution, je propose simplement un certain nombre de jalons logiques. Il se pourrait très bien que la pièce n’ait aucun sens, même si c’est assez peu probable, et que Shakespeare ait rassemblé des éléments totalement arbitraires pour dérouter le public et les commentateurs. La question n’est donc pas de savoir quel est le sens de la pièce, car elle peut très bien n’en avoir aucun, mais quel pourrait être le sens de la pièce si elle en avait un.

À bientôt
Gilles