Il ne l'avait pas encore, c'était la condition de l'intervention russe en Syrie. Et le pouvoir syrien n'a accepté ces exigences que pied au mur devant la menace d'anéantissement du régime et des alaouites par la percée du front Al-Nosra. Un accès permanent aux mers chaudes, donc le potentiel pour devenir une puissance navale.
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