Discussion :

[chal1803]

Bonjour à tous.
Je me pose une question au sujet de l'identification relative.
J'ai bien compris, enfin je pense, que cela pouvait avoir certains avantages.
Je reprend un exemple connu: des maisons appartiennent à un lotissement.
On a deux entités reliées par une association "Appartenir" et on pourrait donc identifier les maisons par l'ID lotissement
+ un no séquentiel pour chaque maison

Dans ce cas, MAI_ID redémarre à 1 à chaque nouveau lotissement.
J'ai souvent lu que, dans ce cas, on définit un lien entre maison et lotissement "plus fort", et que la suppression d'un lotissement
entrainera la suppression des maisons construites dessus.C'est ce terme "lien plus fort" qui me gêne.
En effet, si on définit simplement une cardinalité 1,1 au lieu de (1,1)R (Relatif) et que le MAI_ID est un simple ID autoincrémenté,
la contrainte d'intégrité entre maison et lotissement sera de toute façon garantie, la cardinalité 1,1 impliquant la FK LOT_ID, devant
être NOT NULL, dans la table maison.
Ce genre de "lien fort" est souvent illustré par des associations de type composé-composant :
immeuble/appartement, commande/ligne de commande, etc.
Mais je ne vois pas en quoi l'identifiant relatif garantirait un lien "plus fort", je parle en termes de contraintes d'intégrité
vérifiées par le SGBD. Dans l'exemple que je donne, je trouve que les 2 solutions se valent.
Merci d'avance.

[escartefigue]

Bonjour,

Vous avez tout à fait raison, que vous utilisiez une identification relative ou non, la contrainte de type REFERENCE fera exactement le même lien entre maison et lotissement.
Le DDL devrait contenir quelque chose comme suit

Code :

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1
2
3
4
5
ALTER TABLE MAISON
     ADD CONSTRAINT ma_contrainte_FK1
            FOREIGN KEY (id_lotissement)            
            REFERENCES LOTISSEMENT(id_lotissement)
            ON DELETE SET NULL

En d'autres termes, weak entity ne veut pas dire weak integrity