Discussion :

[Chauve souris]

Arf mais oui suis-je bête, faut que tout le monde construise son PC soi-même, c'est tellement simple!

Sarcasme mal venu car il est devenu très simple d'installer une carte mère moderne dans un boîtier car, on ne "construit" rien on assemble et pour se faire il suffit d'un bête tournevis cruciforme Philips nº 1 (le constructeur de mon boîtier, Sentey, de très bonne qualité mais je crois qu'il n'est pas distribué en France, le fournit avec les vis pour la CM) et rien d'autre.
1. il faut juste visser les supports de la carte aux bons endroits pour pouvoir fixer celle-ci avec ses petites vis ad hoc.
2. connecter les fils du boîtier aux endroits prévus. C'est à la fois écrit sur les connecteurs des dits fils et sur le plan de la carte mère. Faut juste avoir de bons yeux ou des bonnes lunettes.
3. Mettre le processeur en place. On ouvre le socket, on repère les détrompeurs, on pose le processeur, on referme. Pour le ventirad du processeur il suffit de le mettre en place et de brancher son alim sur la prise CPU Fan. Pas sorcier il me semble
4. Ceux qui ne feront que de la bureautique pourront se contenter de la carte graphique intégrée que l'on trouve sur la plupart des cartes mères modernes. Et ils pourront même lire des blu-ray avec. Les joueurs y placeront une carte spéciale jeux sur l'emplacement ad hoc ce qui n'a rien de sorcier non plus à faire.
5. Les connecteurs SATAniques : ils sont numérotés, généralement de 1 à 6. Il est conseillé de mettre son disque système en 1 et le lecteur/graveur DVD en 6. Connexions sans difficultés
6. La configuration de la bête se fera via le BIOS UEFI, généralement avec une option français. Pas grand chose à y faire, d'ailleurs. Principalement demander, dans l'ordre chargement, s'il y a quelque chose de "boutable" sur le lecteur de DVD sinon d'aller voir sur le premier disque.

Qu'aurais-tu dit à l'époque héroïque où il fallait y installer plein de cartes et configurer la CM avec des jumpers ?

Et puis si M. Michu est perdu il peut demander de réaliser cela par son assembleur préféré lequel lui demandera pas grand chose pour lui configurer un PC sur mesure. Et le Windows, s'il en veut un (eh oui, c'est une option facultative) sera une version OEM. Et il n'est pas interdit d'y mettre un Linux (mais ça sera plus compliqué à configurer que de mettre une CM dans un boîtier, AMHA)

Oui c'est bien pour ça que j'utilise Linux, qui implémente ça nativement (pas de logiciel spécifique) depuis au moins quinze ans.

Ces dernières années, je ne sais pas mais il y a une dizaine d'années ce qu'on trouvait comme "bureaux virtuels" était très mal foutu et inutilisable dans la pratique. Je ne les ai plus en mémoire mais sur un Ubuntu j'avais encore préféré m'en passer.

Sous linux aussi on peut démarrer des applis 32 bits sur un système 64. Le seul problème étant qu'il faut avoir certaines librairies en double. Sous Windows en effet on ne se "préoccupe" pas d'avoir la même librairie en 150 exemplaires parce que la v2.7 n'est pas compatible avec la v2.6, c'est une autre façon de voir les choses...

Cumuler des versions différentes présentent rarement de l'intérêt, s'il y a une nouvelle version elle te proposera de mettre à jour l'ancienne mais tu peux refuser cette MAJ. Mais il y a quelques exceptions pour des raisons différentes : tu peux cumuler en côte à côte des versions de Visual Studio et de MS-SQL Server. Les librairies, outre celles spécifiques à l'appli qui seront remplacées, si besoin, par la MAJ de la version nouvelle, sont les Framework qui sont cumulatifs, donc il faut les avoir tous, et les "redistributables" qui sont les librairies spécifiques aux Visual Studio qui ont servi à compiler l'appli et ils ne sont à avoir que si le programme le demande. Généralement ils sont inclus dans l'installateur.

[Squisqui]

Sarcasme mal venu car il est devenu très simple d'installer une carte mère moderne dans un boîtier car, blablabla

Pour quelqu'un qui traite les linuxiens d'élitistes, tu es plutôt mal placé.
Monter sa machine, c'est beaucoup plus que sortir son cruciforme. Il faut savoir quoi mettre dans sa tour. Sans renseignement suffisant, c'est un coup à se retrouver avec un GPU bas de gamme rebadgé depuis 3ans bridé par sa gigantesque VRAM de 4Go relié à un bus minable de 64bits.
Les assemblages de PC à coup de fer à souder n'existent plus, mais l'ignorance est toujours là. Est-ce vraiment une tare de n'avoir jamais ouvert une tour ?

Sous Windows en effet on ne se "préoccupe" pas d'avoir la même librairie en 150 exemplaires parce que la v2.7 n'est pas compatible avec la v2.6, c'est une autre façon de voir les choses...

Non. Sous Windows par défaut, il n'y a aucune gestion des dépendances, si t'as 12 logiciels utilisant une même bibliothèque, alors la bibliothèque sera installé 12 fois dans les 12 répertoires des 12 logiciels.
Exception faite des pilotes et parfois des redistribuables MSVC qui viennent se perdre dans %WinDir% quand l'installateur est bien fait.
C'est ce qui fait qu'on est rarement confronté à des conflits, car chacun fait sa tambouille dans son coin en échange d'une perte plus ou moins conséquente d'espace disque et d'une occupation en RAM plus importante (les bibliothèques sont chargés n fois pour n logiciels utilisateur lancés).

[RyzenOC]

C'est ce qui fait qu'on est rarement confronté à des conflits, car chacun fait sa tambouille dans son coin en échange d'une perte plus ou moins conséquente d'espace disque et d'une occupation en RAM plus importante (les bibliothèques sont chargés n fois pour n logiciels utilisateur lancés).

Et je préfère largement ce système.
Pour l'augmentation de la ram, sa reste très substantiel, chez moi Windows 10 consomme autant que Ubuntu, à 100 mo prés.
Pour l'espace disque, les disques mécanique atteigne les 1To (enfin 900Go en vrai...) sans problème et pas cher, et meme sur mon pc j'ai un ssd de seulement 128Go, j'arrive bien à caser Windows, mes documents et quelques soft.

Ce petit désagrément compense largement tous mes problèmes que j'ai rencontrer sous linux liées aux dépendances mais aussi aux bugs de apt, j'ai même une fois du réinstaller complètement apt.
Sous windows 10 étrangement pareil, le windows store et lui aussi pas mal buggé, du coup comme je préfère mes .exe qui prenne de la place mais ne plante jamais.

Je n'aime pas surtout l'arborescence Linux, j'aime bien séparer comme je veut mes logiciels. Linux me force à tous foutre dans /usr.
Sous windows j'ai une partition pour mes jeux, une autre pour mes logciels et une autre pour le système.

[chrtophe]

Linux me force à tous foutre dans /usr.

Tout comme Windows qui force à mettre dans program files.

C'est le comportement par défaut. La différence étant qu'un installeur Windows donnera en général la possibilité de changer le dossier par défaut. apt ne donnera pas le choix.

Si le but est de mettre le système sous C, les applis sur D par exemple, Linux gère ça très bien en permettant de placer /usr sur une partition disque différent, mais c'est pas à la portée de Mme Michu je l'accorde.

Les deux ont leurs avantages et inconvénients.

[Squisqui]

Pour l'augmentation de la ram, sa reste très substantiel, chez moi Windows 10 consomme autant que Ubuntu, à 100 mo prés.

Si ça me permet de swapper plus tard (ou pas du tout) dans mes activités alors la moindre économie est à prendre.
Bon, le prix de la RAM est particulièrement bas en ce moment. Il n'y a pas si longtemps, il fallait balancer 80€ pour espérer 8Go.
Et sans programme lancé, tu ne risques pas de voir de différences notables.

Pour l'espace disque, les disques mécanique atteigne les 1To (enfin 900Go en vrai...) sans problème et pas cher, et meme sur mon pc j'ai un ssd de seulement 128Go, j'arrive bien à caser Windows, mes documents et quelques soft.

Windows affiche les octets avec le mauvais préfixe. On t'a vendu 1To, Windows t'affiche lamentablement 931Go au lieu de 1000Go ou... 931Gio. Après, bien évidemment les constructeurs ne font pas exactement 1To.

Ce petit désagrément compense largement tous mes problèmes que j'ai rencontrer sous linux liées aux dépendances mais aussi aux bugs de apt, j'ai même une fois du réinstaller complètement apt.

Ça sent les mélanges. Qu'est-ce que t'as foutu ?

Sous windows 10 étrangement pareil, le windows store et lui aussi pas mal buggé, du coup comme je préfère mes .exe qui prenne de la place mais ne plante jamais.

C'est une plate-forme jeune. Le problème est qu'elle est tellement peu utilisé qu'on en est encore à la phase d'essuyage de plâtre.

Je n'aime pas surtout l'arborescence Linux, j'aime bien séparer comme je veut mes logiciels. Linux me force à tous foutre dans /usr.

Des mecs ont créé une arborescence cohérente rien que pour toi. T'en veux pas ? Okay, installe tes paquets à la main où tu veux. Toutes les informations nécessaires sont contenues dans les paquets. Si tu veux, tu peux même créer ton propre dépôt avec ton propre déploiement configuré. Il faut juste avoir beaucoup de temps à perdre sur cette broutille. Il n'y a vraiment que des utilisateurs Windows pseudo-avancé pour vouloir s'occuper de l'emplacement de fichier dans une arborescence.

Si le but est de mettre le système sous C, les applis sur D par exemple, Linux gère ça très bien en permettant de placer /usr sur une partition disque différent, mais c'est pas à la portée de Mme Michu je l'accorde.

La commande mklink peut répondre à ton besoin.

[Chauve souris]

Pour quelqu'un qui traite les linuxiens d'élitistes, tu es plutôt mal placé.
Monter sa machine, c'est beaucoup plus que sortir son cruciforme. Il faut savoir quoi mettre dans sa tour. Sans renseignement suffisant, c'est un coup à se retrouver avec un GPU bas de gamme rebadgé depuis 3ans bridé par sa gigantesque VRAM de 4Go relié à un bus minable de 64bits.
Les assemblages de PC à coup de fer à souder n'existent plus, mais l'ignorance est toujours là. Est-ce vraiment une tare de n'avoir jamais ouvert une tour ?

Faudrait me citer complètement et non falsifier mes propos en les tronquant. J'ai dit qu'il était techniquement facile de monter les composants d'un PC. Je n'ai pas dit que le savoir, concernant les dits composants était facile, lui. Par exemple et bien qu'assemblant des PC depuis 1986 je suis toujours un peu paumé dans le bon choix des barrettes de RAM quand j'assemble une nouvelle config. Donc on demande à son assembleur préféré ce qu'il y a lieu d'avoir pour ce qu'on désire faire. Après, au choix, on assemble le tout avec ses petites mains ou on demande à l'homme de l'art de le faire.

OUI ! C'est une tare de ne jamais avoir ouvert une tour (même pas besoin d'un tournevis il y a des boutons moletés qui se desserrent à la main) car il faut, de temps en temps, nettoyer la poussière qui s'accumule sur les ventilateurs et les lamelles du ventirad. Avec une bombe spéciale pour cet usage ou un compresseur.

Tout comme Windows qui force à mettre dans program files.

C'est le comportement par défaut. La différence étant qu'un installeur Windows donnera en général la possibilité de changer le dossier par défaut. apt ne donnera pas le choix.

Si le but est de mettre le système sous C, les applis sur D par exemple, Linux gère ça très bien en permettant de placer /usr sur une partition disque différent, mais c'est pas à la portée de Mme Michu je l'accorde.

Les deux ont leurs avantages et inconvénients.

La "philosophie" de Microsoft est à ch**r ! C'est vraiment tout dans un tas et ça ne s'améliore pas avec les versions de Windows ! Pour la répartition des partitions je suis 100 % unixien. J'essaie, pourtant, de laisser le système sur C:, de mettre les "Program files" sur D:, les data sur E:, les jeux sur F: et je garde, de linuxienne façon une petite partition pour le fichier d'échange. Mais Windows n'en fait qu'à sa tête ! Avec des singularités : Par exemple si vous avez installé SQL Server 2016 avant Visual Studio 2015 ce dernier sera installé sur C: Impossible de le mettre sur D: Par contre si vous l'installez avant SQL Server vous pouvez choisir de le mettre sur D: Mais ceci étant Windows ne s'empêchera pas de mettre des trucs et des machins des deux logiciels précédent sur C:

Je me souviens d'avoir installé, il y a déjà un petit bout de temps un Linux (lequel ?) il y avait un installateur très clair concernant le choix des partitions. Ce n'était pas tyrannique pour autant on pouvait réduire ou augmenter le nombre des partitions, chacune étant réservée à un usage propre. L'installateur de Windows est moche et rudimentaire en comparaison.

Je pense que Mme Michu ne met pas tout son linge en vrac dans son armoire, de microsoftienne façon. Elle à son casier à chemises, son tiroir à mouchoirs, sa penderie à vestes, etc. Je pense qu'elle peut comprendre que système, programmes, données participent au même principe de rangement.

[Jipété]

La "philosophie" de Microsoft est à ch**r ! C'est vraiment tout dans un tas et ça ne s'améliore pas avec les versions de Windows ! Pour la répartition des partitions je suis 100 % unixien. J'essaie, pourtant, de laisser le système sur C:, de mettre les "Program files" sur D:, les data sur E:, les jeux sur F: et je garde, de linuxienne façon une petite partition pour le fichier d'échange. Mais Windows n'en fait qu'à sa tête !

T'avais qu'à rester sous 2000
Je n'ai jamais été ennuyé avec le même genre d'architecture que toi, jamais jamais jamais !
Mais à l'époque la base de registre n'était pas encore l'immonde foutoir que c'est devenu

[Jipété]

Marché des PC : Linux franchit la barre des 2 % d’après Net Applications

et ça ne risque pas de progresser, si ça continue comme ce que je viens de vivre ce matin, au contraire, même.

Je travaille sur un document LibreOffice avec du texte tout bête et des tableaux tout bêtes aussi.

Sauf qu'à l'impression, la bordure supérieure du tableau sur la page paire du document n'est pas imprimée.
Oui, vous avez bien lu.
Pour le montrer, faudrait que je scanne une sortie papier, mais il se trouve qu'en passant par l'aperçu avant impression d'un lecteur pdf, le défaut est affiché, donc regardez ma copie d'écran, c'est pareil :
à gauche l'aperçu avant impression et tel qu'il sort du printer, à droite le fichier dans le reader ou dans LibreOffice ou dans l'aperçu avant impression de LibreOffice (s4l0p3r13 de LibreOffice qui m'a fait d'autres blagues, comme ne pas imprimer une espace bien visible [avec le "point"], d'où le passable obligé par l'export pdf )


J'ai tourné ça dans tous les sens sans trouver de solution jusqu'à ce que je me résigne à passer la ligne vide entre la ligne en gras et le tableau, de 11 points à 12 (malgré le foutage en l'air de ma mise en page) : là, l'aperçu avant impression étant bon, vite vite j'imprime mais patatras, le défaut sur le papier est toujours présent

Tout ça va se finir dans un CopyCenter quelconque et, franchement, aujourd'hui j'en ai ras la casquette de cette informatique de pieds nickelés

Impossible de faire un boulot sérieux avec cette daube...

[RyzenOC]

Sauf qu'à l'impression, la bordure supérieure du tableau sur la page paire du document n'est pas imprimée.
Oui, vous avez bien lu.

Ces petits bugs arrivent malheureusement souvent, que se soit avec des soft gratuit ou proprio.
Le seul solution dans ce genre de cas, c'est d'installer un autre soft et voir si le problème persiste ou pas.

Dans ton cas installe une autre suite bureautique, comme MS Office ou autre chose et imprime ton document.

[LittleWhite]

L'autre solution, dans le monde du libre, c'est de renseigner un ticket détaillé (car vous avez plutôt bien situé le souci), qui entrainera création d'un test de non régression (car l'équipe de LibreOffice bosse sur les test automatisés), qui entrainera une correction rapidement en place, sans débourser de sous en plus et une meilleure satisfaction nous tous.

Après, c'est sur, vous pouvez (comme cela arrive trop souvent) laisser tel quel.

[Chauve souris]

et ça ne risque pas de progresser, si ça continue comme ce que je viens de vivre ce matin, au contraire, même.
/.../
Impossible de faire un boulot sérieux avec cette daube...

S'ke j'disais ! Autant Linux lui-même est devenu un système abouti même si on peut chipoter sur les divers "bureaux" autant bon nombre de logiciels dits "libres" sont bugués. Mais c'est une hérésie de proférer une telle chose dans le monde Linux, de même que je suis apostat de critiquer vertement Windows 10 dans le mode Microsoft et j'ai même aggravé mon cas en osant dire que les isos d'installation de MS-SQL Server 2016 et de Visual Studio 2015 étaient mal fichus. Du coup je suis étonné d'avoir encore 1700 points (déjà que j'en ai perdu 700 d'un coup...)

[PBernard18]

Ben oui, je n'en revenais pas ! Comme quoi tout peut changer rapidement.

Chez un grand constructeur américain qui a été l'un des pionniers de la vente par correspondance, on trouve des portables haut de gamme livrés avec UBUNTU 14.1. Des machines équipés des technologies récentes qui comparées à celles dotées de "Windows 10 Famille" affichent une prix inférieur de l'ordre de -170€.
Bien évidemment la comparaison reste un peu compliquée entre les deux configurations mais à quelques détails prés, on est sur le même produit. Les différences portent essentiellement sur l'abonnement 1 an McAffee pour la version Windows, une carte graphique intel iris pour Windows contre une carte graphique intel HD pour Ubuntu, 2x2 cartes sans fil pour windows et carte 2x2 intel sans fil pour Ubuntu.

Intéressant ! dommage qu'on ne retrouve pas la même démarche sur les portables bas ou milieu de gamme.

[Chauve souris]

Voilà qui va dans le sens de la diversité souhaitable. Surtout quand on se retrouve avec le monopole de Windows 10. Ceci dit pourquoi les fabricants de portables ne font pas comme les fabricants de cartes mères ? A savoir fournir un DVD de pilotes pour tous les systèmes (avec la possibilité d'aller pêcher les plus récents sur leur site). Le vendeur pourra alors proposer un Windows OEM et une série de Linux (car il est vrai qu'installer un système si on n'a pas le DVD est problématique). Comme ça il y en aurait pour tous les goûts.

[foetus]

Ben oui, je n'en revenais pas ! Comme quoi tout peut changer rapidement.

C'est le cas depuis 2007-2008 (il me semble) , depuis le moment où l'utilisateur peut se faire rembourser Windows lors d'un achat d'un ordinateur à sa demande

[PBernard18]

Oui mais j'ai rarement vu sauf me semble t'il au tout début, un grand constructeur proposer un produit de substitution. C'est le petit détail qui fait toute la différence.

[Chauve souris]

Hé oui ! Comment fera l'utilisateur s'il n'a aucun pilote de disponible sur le site du constructeur ? Ce fut le cas de feu mon peu regretté HP Pavillon nanti d'un Vista des familles mais où il était impossible d'y mettre un XP Pro.

[PBernard18]

Aujourd'hui le problème ne se pose pas. Celui qui acquière ce type de matériel n'est pas né de la dernière pluie. Il connait UBUNTU et il le maîtrise sinon il achète pas et puis il sait qu'il pourra toujours installer une version windows en cas de regret sauf si le DRM (Digital Rights Management) a été activé sur la machine pour interdire l'installation d'un autre OS. A vérifier évidemment avant l'achat.

[Jipété]

L'autre solution, dans le monde du libre, c'est de renseigner un ticket détaillé (car vous avez plutôt bien situé le souci), qui entrainera création d'un test de non régression (car l'équipe de LibreOffice bosse sur les test automatisés)

Oui mais auparavant on me demandera de mettre à jour mon LO (je ne suis pas à la dernière version, loin de là), et mon Debian, et que sais-je encore, avec tous ces risques de tout casser, ce qui me fait un peu trembler et réfléchir à deux fois...

qui entrainera une correction rapidement en place, sans débourser de sous en plus et une meilleure satisfaction nous tous.

Après, c'est sur, vous pouvez (comme cela arrive trop souvent) laisser tel quel.

Ben je suis repassé à l'ennemi (que je connais bien pour l'avoir longtemps pratiqué) : installation ultra-rapide d'une machine virtuelle XP en en clonant une, installation dessus en une poignée de secondes (jamais vu ça !) de PDFCreator (une vieille version), Word2000 (et Publisher2000, tant qu'à y être), relance de LO et enregistrement du document de ce matin au format Word97/2000/XP/2003, et comme il n'avait rien de spécial, l'ouverture de ce nouveau document s'est parfaitement bien passée dans Word, et j'ai pu voir avec mes yeux où était le défaut puisque Word avait l'amabilité de me l'afficher : LO m'affichait toutes les bordures du tableau, Word m'en montrait certaines en grisé
Je suis ai dit "bordures / toutes" et hop !

Et bon, si les développeurs de LO ne se sont jamais rendus compte que si dans les options c'était "aucune bordure" qui était choisie mais que les bordures s'affichaient quand même (d'où mon pataugeage de ce matin), c'est grave moi j'dis...
Ceci étant dit, ça n'explique pas pourquoi certaines espaces n'ont pas été respectées, parce que j'ai bien vu dans Word le petit rond indiquant "espace insécable". D'autres ayant été correctement imprimés, on va dire que je n'ai plus confiance et que je vais retourner à mes premières amours pour tout ce qui concerne la PAO, Word et Publisher.

Mais pas de panique, ces très bons outils tournent dans une machine virtuelle qui tourne sous... Linux

EDIT : j'allais oublier : en début d'aprème, suis allé récupérer mes impressions au copycenter du coin, avec encore des bordures absentes, mais pas les mêmes que ce matin... Bye bye LO

[chrtophe]

Oui mais auparavant on me demandera de mettre à jour mon LO

ben oui, car ton prob est peut-être résolu avec la dernière version.

et mon Debian, et que sais-je encore, avec tous ces risques de tout casser, ce qui me fait un peu trembler et réfléchir à deux fois...

Compréhensible, risque quand même faible (mais je peux pas dire risque 0).

Si t'es en VM tu peux faire un snapshot ou un clone lié.

Après word 2000 est très bien pour la plupart des docs qu'on doit faire.

[Squisqui]

Aujourd’hui le problème ne se pose pas. Celui qui acquière ce type de matériel n’est pas né de la dernière pluie. Il connait UBUNTU et il le maîtrise sinon il achète pas et puis il sait qu’il pourra toujours installer une version windows en cas de regret sauf si le DRM (Digital Rights Management) a été activé sur la machine pour interdire l'installation d'un autre OS. A vérifier évidemment avant l'achat.

Pas d’inquiétude à se faire. Le secure boot au niveau de l’UEFI est avant tout conçu pour empêcher l’installation d’OS non-Microsoft.

C’est le cas depuis 2007-2008 (il me semble) , depuis le moment où l'utilisateur peut se faire rembourser Windows lors d'un achat d'un ordinateur à sa demande

À 25€ la licence OEM, on se demande pas du tout comment Microsoft maintien son monopole. M’enfin, c’est toujours bon à prendre. Ce ne sera pas 25€ généreusement offert à Microsoft.

S'ke j'disais ! blablabla

Sérieusement, des bugs, il y en a partout.

Hé oui ! Comment fera l'utilisateur s'il n'a aucun pilote de disponible sur le site du constructeur ? Ce fut le cas de feu mon peu regretté HP Pavillon nanti d'un Vista des familles mais où il était impossible d'y mettre un XP Pro.

Une distribution GNU/Linux devrait faire l’affaire ! (désolé, je taquine )

Oui mais auparavant on me demandera de mettre à jour mon LO (je ne suis pas à la dernière version, loin de là), et mon Debian, et que sais-je encore, avec tous ces risques de tout casser, ce qui me fait un peu trembler et réfléchir à deux fois…

Perso', les bordures se comportent correctement (LibreOffice Writer 4.3.3.2 pré-installé sur Debian stable).
La demande de mise à jour depuis une version qui n’est plus du tout supporté risque d’être inévitable en effet. LibreOffice 5 apporte une grosse refonte sur le rendu des éléments (plus rapide, moins de CPU/RAM). Le même bug n'existe peut-être plus.
La mise à jours devrait bien se passer, les backports proposent la dernière version de LibreOffice. Les risques s’annoncent extrêmement faibles… Mais au pire, tu peux te sécuriser avec un petit back up. Ça aurait sans doute pris moins de temps que de sortir l’artillerie lourde.