L'imagination des politiques ne connaît aucune limite pour créer de nouvelles perceptions.
Si on taxait les dites IA, on comblerait rapidement le déficit français, vu le nid d'intelligences artificielles qui pullulent à l'assemblé nationale et à Bruxelles.
Au lieu de partir sur un débat métaphysique sur la pseudo intelligence, taxer la puissance de calcul, processeur, système etc... en incluant aussi l'utilisation du cloud, n'est-il pas plus aisé?
Restreindre drastiquement le champ d'application des dépenses cotisationales, faire de la bonne gestion : n'utiliser les cotisations que pour payer ce qui a trait aux cotisations, aurait évité le problème
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