Discussion :

[Mat.M]

Quelques vues de l'esprit voilà la journée ordinaire d'un informaticien

Appelons le Jean Paul ( car tous les informaticiens s'appellent Jean-Paul)


07:00 réveil dans l'obscurité de la chambre à coucher que seule la lumière du radio-réveil parvient à illuminer faiblement.

"France Info il est sept heures cinq c'est la météo avec Joël Collado
...Quelques brumes matinales ci et là sur la Champagne-Ardennes,l'île de France et le Berry se dissiperont pour laisser place à un soleil très généreux et printanier.
Quant aux températures elles seront généralement douces et agréables sur toute la France..

07:33 le café et quelques tartines sont rapidement avalés, direction la douche

08h15 : Jean-Paul attend son bus.Dehors il pleut à verse et il fait vraiment frais pour un début de mois de Juin; une petite laine c'est pas de trop.


08:30 arrivée sur le quai du métro ; le quai est bondé.
Le métro arrive,il faut jouer des coudes pour pouvoir monter.

Quelques minutes plus tard, grand moment de musique ferroviaire : trois virtuoses originaires sans doute d'Europe Centrale jouent de l'accordéon en passant de rame en rame.
Puis ils passent parmi les voyageurs: "ou-ne eu-rou s'il vous pli,ticket ristorante s'il vous pli".

09:10 arrivée à bon port devant son lieu de travail.
Il entre dans l'open-space il y a déjà du monde.

09:15 discussion devant la machine à café :

"Hé tu connais la différence entre un bon et un mauvais programmeur ? Le bon programmeur c'est celui qui compile."

Puis brusquement les buveurs de café rejoignent leur poste de travail,le directeur de projet arrive.

09:20 c'est le début du support technique : "Oui menu démarrer...puis fermez la fenêtre."
Au bout du fil l'interlocutrice est silencieuse ; trois minutes après Jean-Paul se fait insistant "Allo vous m'entendez ?"
"Oui je suis là !"
"Avez-vous procédé comme je vous ai dit"
"Oui je me suis levée et je suis allé fermer la fenêtre du bureau"

10:50 appel téléphonique personnel "Salut Jean-Paul qu'est ce que tu deviens ????"
"eh ben je travaille dans une société informatique je suis expert consultant en solutions e-bussiness,BI,AMOA, certifié ERP consulting. Parfois je programme en Basiqueuu"

12:00 Il pleut des cordes dehors il fait à peine une dizaine de degrés,il faut remettre la petite laine.
Panini 4 fromages rapidement expédié ( c'est menu express promo sur canette, panini et dessert...)
Il y a un centre commercial à proximité, il va voir le "matos" informatique dans un magasin de hi-tech.

Retour sur le lieu de travail, il y a une petite salle à côté de la machine à café.
Jean-Paul fait un petit somme.

"vaste ciel bleu, la mer disparait sur l'horizon.

En route sur un voilier à quelques nautiques de l'atoll d'Aldabra pour jeter l'ancre et mouiller pour quelques jours.

Un banc de carangues passe sous la proue du bateau.
Plus loin c'est une raie manta qui disparait majestueusement dans les eaux transparentes de l'Océan Indien.
Au fil du temps pour atteindre Mahé la capitale."

15:00 le directeur de projet vient le voir "dis tu sais pas où est passé le compte-rendu AGILE du projet ?
-je crois qu'il est aux archives je vais descendre le chercher ça va me faire bouger.

15:05 il quitte le brouhaha de l'open-space, descend des escaliers et ouvre une porte donnant sur un très long couloir.
Celui-ci est dans l'obscurité totale il cherche l'interrupteur en vain.

silence total.

Il continue dans le noir,il faut bien marcher dix minutes pour atteindre la porte à l'autre bout du couloir.
Tout en marchant,frayeur soudaine, il entend comme une respiration derrière lui.
"Quel idiot se dit-il" c'est sa propre respiration.

Juste avant d'atteindre l'autre porte il trébuche sur quelque chose,quelque chose de lourd étalé à même le sol.
Mais dans l'obscurité on ne peut pas voir ce que c'est.
C'est le cadavre en décomposition d'un collègue, il est mort subitement devant son écran après avoir passé 3 jours et 2 nuits devant son écran d'ordinateur à jouer à World of Warcraft.
Et à travailler un peu aussi.
Personne dans l'open-space n'a jamais réussi à le retrouver.

15:20 Jean-Paul est de retour devant son écran d'ordinateur.

15:45 discussion de nouveau devant la machine à café.
Ah non.Pas devant la machine à café car il faut être fou pour boire un café dans l'après-midi, ça empêche de dormir le soir.

17:55 c'est l'heure d'attraper le métro.Encore une fois le quai est bondé.


19:55 après le repas, moment de détente devant la télévision: à l'écran, le présentateur est très empathique et enjoué, il est accompagné de chroniqueurs,tout cela dans la bonne humeur.
Cela parle de poste de télévision qu'il ne faut pas toucher

20:30 il zappe sur une autre chaine,conte de fée , un prince et une princesse c'est Sissi impératrice.

22:00 il est temps d'aller se coucher après une journée de travail.

22:05 il tombe dans un sommeil profond.

Demain c'est une autre journée qui recommence.

22:10 Au-dessus des Mers du Sud passe une étoile filante.

[Glutinus]

J'ai trouvé ça excellent, je me suis permis de te pasticher avec deux autres "histoires" sur d'autres profils. Le premier, Jean-Kevin :

8h25 : l'iPhone de Jean-Kévin sonne pour la troisième fois. Jean-kévin s'étant couché à 3h du matin force d'avoir jouer à "Angel Heroes of Hellion", ce tout nouveau MMM-PORPG. Il ne l'entend pas, absorbé dans son rêve où il brandit une épée enflammée pour l'enfoncer dans le crâne d'une créature démoniaque.

9h : Jean-Kévin émerge de son rêve. Il se gratte sous le caleçon puis regarde l'heure. "Et m****, je dois être sur le point de partir"

9h10 : Jean Kévin passe rapidement sous la douche puis enfile son jean pas trop sale d'hier, un caleçon repassé par sa soeur - il vit avec elle - et un t-shirt noir qui arbore un mystérieux "127.0.0.1 sweet 127.0.0.1". Encore une blague incompréhensible de ces fameux "guiques".

9h15 : Jean-Kévin sort en trombe de chez lui, dit "Au revoir" à sa soeur qui est déjà partie et s'engouffre dans le RER quelques minutes plus tard. Il sort son téléphone : plus de batterie, il ne peut jouer sur son téléphone ou regarder les dernières news PC. Heureusement traine dans son sac le tome 3 de la saga des "Chroniques du sorcier de Xzalhazzam : le Glaive Maudit". Mais la fatigue cumulée de la semaine et le manque d'intérêt pour la lecture de Jean-Kévin l'empêche de lire plus de 3 minutes. Il finit par regarder par la fenêtre en somnolant à moitié.

10h35 : après avoir fait un détour pour acheter un paquet de cookies car il n'a pas eu le temps de déjeuner, Jean-Kevin prétend à son chef que son RER a été bloqué à Gare du Sud pour cause d'incident électrique ayant provoqué une agression voyageur du chauffeur. Le chef soupire et accepte comme tous les jours cette excuse. Il garde ça sous le coude pour ne pas augmenter Jean-Kévin en octobre. Il revient à son tour sur sa partie de solitaire et augmente le son de radio à l'approche des Grosses Têtes.

11h10 : le téléphone sonne à vide depuis une demi-heure. Jean-Kévin est en vadrouille pour dire bonjour aux trois étages de la boite ; quand quelqu'un lui dit qu'il a un problème de vitesse sur internet ou que son bouton Word est cassé et qu'il y a une lampe de poche sur une pop-up qui vient de s'ouvrir, il propose "d'ouvrir un ticket". Personne ne comprend pourquoi Jean-Kévin n'intervient pas immédiatement au lieu de demander de la paperasse administrative alors qu'il doit certainement rebrancher un câble qui est à moitié enfoncé dans la salle tout en bas où la clim est à fond.

11h40 : Jean-Kévin intervient enfin sur le poste d'Antoine. Celui-ci a une fenêtre blanche qui s'ouvre quand il lance l'application de compta. Il a bien sûr rebooté son poste à deux reprises. Il pense que c'est la faute à Excel, car le bug est survenu juste après avoir ouvert un classeur, et invite Jean-Kévin à ouvrir l'application. Jean-Kévin s'entête à refuser de l'écouter, ce qui provoque la colère intérieure d'Antoine. Finalement Jean-Kévin débuggue la compta, il explique que c'était dû à la "corruption d'une clé de registre qui a modifié un paramètre du panneau de configuration". Antoine reprend sa place sans mot dire ni remercier Jean-Kévin pour son intervention. Pour sûr que c'était Excel, mais Jean-Kévin ne veut pas l'admettre.

12h30 : Jean-Kévin ne mange ni à la cafet, ni au restaurant aveyronnais en bas de la tour. Comment peut-il se faire voir auprès des grands pontes ? Lui et son équipe déguste un MacDo dans leur bureau tout en faisant une partie de "Model of soldiers 2", un jeu où on fait équipe et on doit tuer les membres de l'autre équipe à coup de fusils d'assaut. Les passants clignent des yeux devant tant de violence, et en comprennent pas la moitié des mots qui sont dits. Et puis en plus, ça pue le MacDo, et ils doivent avoir les doigts gras.

14h : Jean-Kévin intervient sur le poste de Marina, l'assistante de l'équipe juridique qui ne peut plus écrire les E, ce qui est gênant, effectivement. Il change son clavier et la réprimande gentiment de ne pas boire de coca-cola au-dessus du clavier, les gouttes tombent entre les touches et ça colle. Marina acquiesce et promet solonnellement ; elle part au distributeur avec quatre-vingt centimes 15 minutes plus tard et revient avec une canette qu'elle sirote tout en tapant un courrier.

15h : Jean-Kévin est en réunion dans la grande salle en compagnie de son chef. Ils utilisent la grosse salle de réunion car ils sont en contact avec la Roumanie. Du coup beaucoup grincent les dents car ça ne sert à rien d'utiliser cette grosse salle qui a une contenance de douze personnes. Ils font certainement la comédie !

16h : Jean-Kévin passe pour apporter son nouveau mot de passe oublié pour la troisième fois à Angie, la CDD-de-l'hiver du service Marketing & Communication. Il tente maladroitement deux blagues lourdes, Angie sourit timidement et sa collègue titulaire rudoie Jean-Kévin pour qu'il retourne dans son antre. Décidemment, ces jeunes guiques sont déconnectés, ils ne savent même plus séduire correctement... il devrait s'acheter une chemise blanche et des chaussures de ville.

16h45 : Gerald, le voisin d'Antoine, arrête Jean-Kévin alors que celui-là passe en poussant un diable avec deux écrans et une caisse de câblage. Jean-Kévin proteste en disant qu'il n'a pas le temps et qu'il doit aller en salle de réunion New York mais Gerald insiste pour lui montrer quelque chose. Dans l'application de compta, il ne peut calculer la FVAT liminique du swap-spot-change car les inputs de marge en fonds à 80% ne sont pas enregistrés quand il appuie sur OK. Jean-Kévin dit que c'est pas son rôle et propose de contacter Jean-Marc, de l'équipe projet.
Gerald peste une fois Jean-Kévin parti et dit à Antoine "je comprends pas, ces IT ils foutent rien, ils ont vraiment la belle vie... c'est pas compliqué ce que je leur raconte !"

17h30 : Jean-Kévin prend son sac-à-dos et s'en va. Il va aller voir le dernier Survengers et ne veut pas être en retard au ciné, si jamais il y a encore une merde sur le RER. Il passe devant toute l'équipe. William, le collègue d'Antoine et Gerald, tonne un "les 35h, c'est sur une quinzaine ?"
- Y foutent vraiment que dalle, ces informaticiens, rétorque Gerald, avant de retourner sur Amazon en attendant que leur chef parte en réunion hebdomadaire qui dure jusqu'à 20h pour s'éclipser en cachette.

[Glutinus]

Et le deuxième, Jean-Marc :

7h15 : le réveil de Jean-Marc sonne. Il paresse pendant encore quelques minutes avant de se diriger vers la salle de bain.

8h : Jean-Marc est sur le départ, il a pris son petit déjeuner, mis un pantalon de costume, une chemise blanche de chez Celui et une paire de chaussures de villes qui méritent un coup de cirage. Il vérifie qu'il n'a rien oublié dans son sac de spote

8h55 : Jean-Marc arrive sur l'open-space des opérations et se fait arrêter par Antoine.
"C'est inadmissible, j'arrive pas à me connecter à la compta, ça fait une heure que j'essaie"
Un petit coup d'oeil furtif, et Jean-Marc voit sur Outlook qu'Antoine n'a pas encore lu les dernirs mails de la veille, donc il est peut-être arrivé un petit bout de temps, mais n'a pas réellement commencé à travailler.
"J'ai pas le temps, j'ai réunion", ment effrontément Jean-Marc en rajoutant dans sa tête "avec la machine à café".
Et tu peux regarder ça aussi ? Mon téléphone ne fonctionne, je ne peux même pas vous joindre.
"Tu es allé voir à l'infra ?"
"Y a personne, ils répondent pas. De toute manière, je comprends pas, tu es IT, tu sers à ça ?"
Jean-Marc n'essaie même pas d'expliquer la différence entre les deux.

9h15 : Alors que Jean-Marc replonge dans le code de son application qu'il doit livrer en recette ce vendredi, il se voit affecter une anomalie. Il ouvre le message. Dans le titre "Urgent, ça ne marche pas". Dans le corps du message "Sinopsis ne fonctionne pas". Il respire profondément et appelle Martine, du service RH.
- Bonjour, Jean-Marc, Synopsis [avec un y, mais Martine ne sait pas l'écrire normalement] ne fonctionne pas.
- Très bien, peux-tu me dire ce que tu essaies de faire ? L'application ne démarre pas ? Ou alors tu essaies de rentrer une valeur dans un écran particulier ?
- Je sais pas, ça fonctionne pas.
- Oui, mais tu as ouvert l'application ? Pardon, tu as double-cliqué sur l'icône déjà ?
- Tu peux pas venir, commence à gémir Martine ?
Jean-Marc se déplace à son poste. Il revient dix minutes plus tard, après avoir dit à Martine que, la prochaine fois, elle devrait faire uns screenshot de l'écran pour dire où elle est bloquée, et mieux renseigner son message, ce à quoi elle a grommelé "oui oui". Il rigole avec son collègue Luc, car Martine a une nouvelle fois essayé de rentrer le nom d'un collègue dans le champ "Matricule", qu'un message en rouge (spécialement développé pour elle) indique "Êtes-vous sûr(e) de renseigner un matricule et pas un nom ?" et qu'elle a persisté à vouloir rentrer un nom (qui plus est, était mal orthographié). Martine a haussé des épaues en disant "c'est compliqué l'informatique".

10h : Jean-Marc part en réunion surprise pour le projet Genius. Il a protesté qu'il ne sera pas de grande utilité, Charles, le chef de projet a insisté pour qu'il vienne.

11h : alors que la réunion devait durer une heure, Jean-Marc revient à son poste dépité. Il n'a rien dit de toute la réunion. Puis vers 10h50, Charles a demandé à Jean-Marc son avis. Jean-Marc, ne comprenant rien au sujet, a botté en touche et refusé de répondre ce à quoi Charles s'est énervé de n'avoir de réponse claire de son "expert". Alors qu'il revient à son poste, une nouvelle pop-up de réunion s'ouvre "briefing de la réunion de cette après-midi". Jean-Marc est sidéré, hésite à dire qu'il n'a pas à y aller, puis finalement s'y rend.

12h : suite à urgence de production, Jean-Marc ne peut aller à la piscine. Il se dispute au téléphone avec la production située à Bengalore qui, encore une fois, a chargé le mauvais fichier et provoqué un plantage. Son contact demande dorénavant une nouvelle fiche qui prend bien trente minutes à remplir alors que la clôture de la matinée est dans 45 minutes. Pendant que Charles s'exerce à remplir au plus vite sans comprendre le formulaire, Jean-Marc s'escrime à vouloir faire passer le traitement, en vain. Une fois le formulaire rempli, Jean-Marc envoie le fichier.

12h40 : son contact à Bengalore a encore réussi l'exploir de non seulement se tromper d'application, mais en plus de charger un fichier qui n'est pas celui qui a été envoyé. Charles se tape la tête contre le bureau. Jean-Marc fait un aller-retour à Brioche Dorée chercher des sandwiches, et croise les grands chefs à l'aveyronnais en bas qui se siffle une bonne bouteille.

15h : tout est en ordre. Jean-Marc va chercher un café et revient à son poste pour développer. Nouvelle pop-up de réunion "réunion bihebdomadaire". Il se lève et va en salle de réunion.

16h : Jean-Marc reste pensivement dans la réunion après s'être fait sermonner parce que son sujet n'avance pas. Au moment de partir, il croise Guy, un des directeurs, qui lui demande deux écrans supplémentaires pour la salle de réunion. Jean-Marc explique qu'il devrait plutôt contacter l'infra. Guy répond qu'il ne sait comment faire, et après tout Jean-Marc est IT, non ? Jean-Marc saisit le téléphone et tape les lettres I, N, F, R puis A devant Guy qui ne dit rien et demande deux écrans.

17h : Jean-Marc est harponné par Gerald, qui dit qu'il ne trouve personne pour répondre à sa question : il ne peut calculer la FVAT liminique du swap-spot-change car les inputs de marge en fonds à 80% ne sont pas enregistrés quand il appuie sur OK. Jean-Marc propose qu'il envoie un mail à Cecilia, l'analyste qui a repris l'application depuis le départ de Christine, qui va traduire ces mots qu'il ne comprend pas en langage technique.

17h30 : Jean-Marc reçoit un mail de Cecilia "Merci de corriger Je ne peut calculé la FVAT liminique du swap-spot-change car les inputs de marge en fonds a 80% ne sont pas enregistré quand j'apuie sur OK merci urgent Gerald". Cecilia n'a même pas pris la peine de corriger les fautes ou la police. Il se lève et va au bout de l'open-space.
- Cecilia, j'ai besoin de que tu m'expliques l'ano de Gerald, je suis technique moi, tu sais c'est à quel niveau ?
- Heu, j'ai pas le temps, mais c'est urgent, tu peux traiter ça quand ?
- Quand tu m'auras expliqué ce qu'il veut dire. C'est dans la table SWAPS ? ou de la table SPOT où on doit filtrer sur la colonne IOP ?
- Je sais pas, je suis pas technique moi !

18h30 : il n'y a plus personne sur l'open-space. Jean-Marc hésite entre profiter pour commencer à développer, mais il se sent fatigué. "Demain est un autre jour"

[Mat.M]

merci Glutinus pour cette contribution j'apprécie également

[lulu_MAHC]

Merci a vous pour ces partages, j'ai vraiment bien ri !
Vous n'en n'auriez pas d'autres dans le meme genre ? ou bien un site internet les regroupant ?

[Glutinus]

Une des mes plus grosses references, c'est le ploooooc, le petit lexique officieux du consultant.

Après c'est orienté purement consultant en informatique, mais les saynètes sont très drôles.

C'est dommage, ça a duré qu'un an ou deux.

Y a aussi commitstrip, ça ressemble plus à de l'anecdotique ou du bref.

[lulu_MAHC]

Une des mes plus grosses references, c'est le ploooooc, le petit lexique officieux du consultant.

Après c'est orienté purement consultant en informatique, mais les saynètes sont très drôles.

C'est dommage, ça a duré qu'un an ou deux.

Y a aussi commitstrip, ça ressemble plus à de l'anecdotique ou du bref.

Merci bien ! bonne journee a toi

[Mat.M]

Vous n'en n'auriez pas d'autres dans le meme genre ?

j'ai d'autres idées de "journées" en tête mais d'hommes politiques, célébrités...