Tout est une question d'argent
Un mauvais choix pour un développeur passionné
Une bonne manière de couronner sa carrière de développeur
Je suis indifférent
C'est pas du tout le même métier. Ce n'est ni une mauvaise ni une bonne chose. Tout dépend de ses goûts personnels...
>> Plus tu montes en expérience moins ton salaire progresse. aujourd'hui un dev ne sera jamais payé plus de 60k et 60K c'est dans la finance.
Totalement vrai et applicable à la France de manière générale (vaste majorité des SSII surtout), par contre 60K me parait énorme je tablerai plus sur 40K en province et peut être 45K à Paris au grand max. Évidement des compétences de définition d'architecture font grimper la côte mais pas tant que ça surtout si ce n'est pas à plein temps.
Quant aux compétences de management c'est à 90% une affaire de tempérament et d'aptitude naturelle à aborder / gérer les autres après le reste c'est de l'acquis par expérience ou par les études. Donc il y a des développeurs qui sont des managers hors pair mais qui s'ignorent et des managers de longue date qui feraient mieux de changer de métier pour laisser les autres travailler.
Les perspectives d'évolution de carrière dans un secteur aussi évolutif que l'informatique s'imposent autant qu'elles se choisissent. Un développeur devient un senior après quelques années seulement de pratique professionnelle. La question de la continuité de son évolution professionnelle se pose aussi bien à lui qu'à son entreprise afin de maintenir un niveau de performance satisfaisant. Des interrogations naissent de cette préoccupation parmi lesquelles celle de savoir si une reconversion managériale est un bon choix pour un développeur ? Il n'y a souvent point de réponse pertinente sans une réflexion préalable sur les thèmes évoquées dans la question. Le management est historiquement un terme polysémique qui se décline aujourd'hui dans des appellations aussi diverses que management de la qualité, management des ressources humaines ou management de projets. Il se réfère à un ensemble de secteurs d'activité et de pratiques qui sont bien éloignés les uns des autres entraînant une difficulté à parler du management en général. Ainsi, dans le cas présent, sommes-nous contraints pour élaborer un élément de réponse de nous placer dans un contexte virtuel de développement logiciel avec un programmeur abstrait dont on ne connaît ni les aspirations ni les compétences....
Difficile d'être reconnu comme développeur senior-expert, pour pouvoir évoluer, certains acceptent un poste de manager sans avoir les qualités et deviennent des petits chefs ! Tirant l'équipe vers le bas pour respecter le budget et se faire bien voir de la direction... Je réfléchie à voler de mes propres ailes.
Tout à fait d'accord :
Je suis développeur quadra et je n'écris du code qu'à 10% de mon temps :
sans être manager dans notre équipe de 2, il y a le temps de débogage, de test, de communication, de spécs, de documentation, de formation...
sans compter les tâches découlant de mon autonomie (mes responsables ne sont pas informaticiens) : support, facturation, etc.
On peut donc évoluer de développeur vers Expert Technique ou en Lead Dev sans changer de camp pour le reporting, la gesion et un rôle de manager ?
La clé est bien évidemment la rémunération.
Quoi qu'en dise la passion d'un développeur, avec les années passant, on souhaite des augmentations
(famille, niveau de vie... ou tout simplement parce que si vous n'êtes pas augmenté vous n'êtes en général pas non plus respecté / écouté).
Dans la plupart des entreprises classiques, vous ne trouverez pas de CDI de dev avec un salaire récompensant vos années expertise.
Vous pouvez en revanche :
- passer à un titre qui mélange tech et management (Lead Dev, VP of Tech, CTO...)
- passer à un titre qui code mais qui en jette davantage et change de grille de salaires (Architecte, Lead Dev, resp. innovation...)
- monter ou rejoindre une entreprise qui sache valoriser l'expertise en argent (quitte à la trouver à l'étranger)
- devenir freelance et vendre une expertise rare au bon prix
Voici mon évolution et de là on comprendra pourquoi, en France, essayer de rester développeur et être reconnu, c'est très difficile :
- Problème : en France, quelqu'un qui est intelligent / et / ou / motivé ne sera jamais reconnu autrement qu'au niveau des diplômes.
- Solution : J'ai donc fait un DUT informatique pour avoir un minimum de bagages.
- Problème : en France, quelqu'un qui est intelligent / et / ou / motivé ne sera jamais reconnu autrement qu'au niveau des diplômes. Et un DUT c'est considéré comme un BAC+2, il doit faire les tâches stupides, ingrates, on lui pisse dessus en riant et en se prenant des marges colossales sur les ventes qu'on a réalisées, mais uniquement grâce à lui - ce qu'on ne reconnaîtra jamais. D'ailleurs, un BAC+2, c'est si "nul", qu'il ne sera jamais cadre. Merci la France.
- Solution : J'ai donc travaillé à temps plein et galéré pendant quatre ans au CNAM, deux à trois fois par semaine, de 17h30 à 22h00 (voire 23h00) pour avoir mon diplôme d'ingénieur reconnu d'Etat (j'insiste, je parle pas des écoles privées qui arrivent à vendre des diplômes RNCP qui ne sont pas reconnus d'état). Quelle galère quand j'y repense.
- Problème : en France, quand on prouve qu'on est (intelligent/motivé/compétent/geek donc pas sociable - cochez la ou les bonnes options) dans sa boîte, on se fait descendre pour n'importe quelle raison, jusqu'à, lassé de la mauvaise foi et de la mauvaise mentalité, on démissionne. Merci la France.
- Solution : après mon diplôme d'ingénieur, j'ai changé deux fois de boîte en deux ans.
- Problème : en France, quand on prouve qu'on est (intelligent/motivé/compétent/geek donc pas sociable - cochez la ou les bonnes options) en entrant dans une boîte, tout se passe bien... jusqu'à ce que les fainéants vous laissent de plus en plus de boulot, et que tous les problèmes vous retombent dessus... bah les bons managers se débrouillent pour essayer de faire comprendre que la source du problème, c'est vous. Je ne sais pas si ce n'est qu'en France... mais j'ai vécu ça dans deux boîtes.
- Solution : personne au-dessus de vous pour mentir et faire retomber des fautes sur vous, donc... devenir indépendant.
(Pour la note, on peut imaginer que le vrai problème au final c'est moi, mais j'ai toujours d'excellentes relations, plus de cinq ans après, avec tous les techniciens des boîtes par lesquelles je suis passé)
- Problème : en France, quand on essaie d'être indépendant, même si on est (intelligent/motivé/compétent/geek - cochez la ou les bonnes options), il y a deux problèmes : (1) les bons commerciaux qui vous concurrencent et arrivent à vendre mieux que vous (j'entends par là mentir sur plein de points afin de signer le contrat et après "bonne chance les petits technicos sur lesquels je pisse du haut de ma grandeur") (2) les gros qui ne peuvent pas vous faire confiance pour la simple raison que vous êtes seuls. Là je comprends le principe, mais comment faire autrement ? J'arrive à faire le travail de plusieurs personnes si le projet me motive - et je ne prends que des projets qui me motivent, mais cela ne suffit pas : si je me casse un bras, comment le travail sera-t-il fini dans les délais impartis ?
- Solution : je suis en train de la chercher en fait...
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En conclusion : en tant que vrai développeur passionné, je ne pourrai jamais correctement manager - au vu du relationnel trop important que cela implique. Un manager qui était développeur ne peut pas avoir été vraiment un développeur passionné, sinon il y serait resté. Conclusion qui s'impose d'elle même : si un développeur est bon, laissez le développeur et augmentez le de manière à ce qu'il n'aille pas voir ailleurs, et embauchez directement des managers. Pour moi un "technico-manager" c'est une personne qui a touché un peu à la technique, a compris en gros comment ça fonctionnait, mais "beurk, se casser la tête toute la journée sur des équations / ou sur du code, ça n'est pas pour moi". Donc pour reprendre le titre de la discussion, seuls les mauvais techniciens peuvent vraiment évoluer vers le poste de manager, et cela n'implique pas qu'ils seront mauvais managers, bien au contraire !
Ah. Moi je croyais qu'un lead developpeur c'est quelqu'un qui :
- avant le début d'un projet, conseillait fortement / donnait les outils techniques et choix à faire pour le projet
- pendant le projet, codait le coeur du projet / ou / les parties complexes
- après le projet, intervenait lorsque les techniciens étaient bloqués ou avaient besoin de conseils
...dans ces trois points, je ne vois pas de management... mais je me trompe peut-être sur la notion de technical lead developper?
.I..
Le hic dans ta définition est qu'une équipe de développement n'est pas constituée que d'une seule personne.
Au démarrage du projet, le lead développeur doit expliquer au reste de l'équipe la conception qu'il a défendu en avance de phase.
Pendant le projet, certes le lead développeur code en parti le cœur du projet mais assiste / accompagne / manage les autres membres de l'équipe pour qu'ils respectent la conception, choix techniques et normes mises en place.
Le lead développeur passe énormément de temps à former ses collègues mais aussi créer une cohésion / adhésion autour de la solution technique qu'il propose pour le projet.
Ce second point, c'est du management pur et dur (le premier point, c'est de la pédagogie et ça aussi, ça demande pas mal de qualité relationnel).
Tout est dans le terme "lead" qui implique de créer un leadership, être leader pour une équipe.
Être le moteur d'une équipe implique du management.
Il est naïf de croire que les gens obéissent uniquement à cause d'un "titre".
Si je ne me trompe pas, "leader" est un terme anglais qui veux dire 'chef' ou 'meneur'.
Donc, logiquement, si un chef ou un meneur n'est pas un manager, qui est donc un manager.
Après, le débat est peut-être que l'on donne parfois l'étiquette "technical leader" à un "expert technique" sans forcement lui confier la responsabilité de l'équipe qu'il mène.
J'ai déjà vu dans des entreprises où ils ne savent pas valoriser des personnes de 5 ou 10 ans d'ancienneté, un titre pompeux est donnée à un confirmé mais qui en grattant un peu reste bien vide de sens.
=> Ne confondons pas 'titre' et 'fonction'
=> Si on deviens manager (en titre ou en fonction) à 30 ans, on deviens quoi à 50 ans?
en ayant successivement passé les étapes CP puis DP, reste néanmoins qu'après la cinquantaine je me suis fait licencié, une pratique... pratique des SSII et sans doute ailleurs dans des grands comptes, partout où les DRH scrutent à la loupe leur pyramide des âges...
Puis retour au codage pur et dur grâce à l'auto-entrepartenariat, seule pratique... pratique de Pôle Emploi pour vous sortir des chiffres et des allocs...
Finalement tant mieux, me revoilà "presque" au top des technos ;-), mais si j'avais su je me serai plutôt orienté vers l'expertise quitte à gagner moins. Donc mon conseil, fuyez les postes de responsabilités notamment ceux qui vous obligent à vous éloigner de la technique !
Manager = gestionnaire. Le mot est aussi surchargé dans les deux langues, mais si on prend la notion de base, gérer c'est organiser des ressources (humaines, matérielles, financières) pour atteindre un objectif, souvent mener à bien un projet.
On peut être manager et avoir le leadership d'un bulot sous Lexomil (ça arrive souvent). La plupart des managers ont été officiellement nommés par la hiérarchie alors qu'un leader peut parfois émerger dans une équipe sans intervention extérieure (on parle de leadership naturel).
la question ne se pose même pas lorsqu'on évolue dans les entreprises françaises, SSII ou autres ..
par la force des choses on veut des collaborateurs qui prennent des responsabilités et encadrent des équipes.
Parce que la SSII peut vendre plus facilement une personne qui encadre un projet qu'une autre...
Chef de projet ça veut bien dire ce que ça veut dire ( je ne vais pas refaire tout un fil de discussion il y en a un déjà là-dessus)
Ceci dit il y a comme mentionné par des prédecesseurs des entreprises qui préfèrent des développeurs "seniors".
Je n'ai pas répondu au sondage: les réponses sont biaisées.
C'est étonnant ces réponses parce que tous les développeurs même passionnés se posent la question à un moment de leur carrière: quand on a plus de 10 ans d'expérience, on n'évolue plus en salaire ni surtout en reponsabilité. Et il y a une vérité un peu brutale du marché Français, on est soit développeur grouillot, soit manager ou consultant.
On se rend vite compte que les postes pourtant indispensable d'architecte et de lead technique ne sont pas reconnus comme des évolutions de carrières, on va plafonner à 60K grand max si on est un expert . (les managers aucune idée, mais 100K mes semble courant) Et on n'auras presque aucun poids sur les décision importante de projet, sauf si on a la grande chance d'être "pote" avec le directeur de projet.
Et j'ai des exemple de mec qui sont CP, DP et qui développent chez eux parce que ça leur plait, qui ne sont pas mauvais, mais qui ne seront jamais utilisés comme développeur expert (pas rentable)
Alors il manque une réponse: je suis passionné et j'aimerais être architecte, mais j'en ai marre d'être grouillot, alors je fait le CP - dirlo, mais ça n'est en aucun cas un "couronnement de carrière"
Tout ceci cordialement bien sur
deltree.
Concernant la passion il faut toutefois comprendre que celle-ci s'émousse avec les années devant la répétition des choses et que la vie en entreprise a rapidement tendance à éteindre ses flammes.
Dans la réalité tu te retrouves facilement un jour à écrire ta dix-millième requête CRUD, pour une appli/site lambda similaire à ce que tu as déjà fait cent fois, sans gros défi techniques à l'horizon que ce soit dans ta boîte ou celle de tes relations, dans un cadre où l'on attend de toi que tu fasses plus d'assurance-qualité et de bureaucratie, en étant acteur du collectif de l'équipe, en portant ta plus belle lingerie (tenue d'un blog, contributions github, look hipster, etc), ...
Et tout de suite le poste de manager ne semble plus si innatrayant.
Rares sont les postes qui permettent vraiment d'entretenir une passion.
Pour moi, cela est un mauvais choix pour un développeur passionné car quand je lis passionné j'entends par là quelqu'un qui est vraiment bon en technique et qu'il aime vraiment faire cela. Ainsi, si on le met, que ce soit pour des raisons d'évolutions de carrière ou simplement financières, dans un poste de management, il ne s’épanouira pas du tout. Si on ne s'épanouit pas dans son travail, cela se ressent et déteint sur la qualité de ce que l'on fait. Surtout que le management demande des capacités et connaissances bien différentes decelles d'un développeur passionné (expert).
Il faut faire ce que l'on aime et cela se sent dans nos tripes.
Pensez à mettre votre sujet et un petit au passage pour ceux qui vous ont aidé.
Passionné d'Automobile - http://www.encyclauto.com
Ça pourrait tout aussi bien être une évolution personnelle. Ça a peut-être déjà été dit, mais les gens changent, les passions aussi.
J'ai eu un patron qui après 20 ans de passion en développement a découvert le métier de chef d'entreprise (c-à-d manager/commercial/drh/rajoutez la mention qui manque), ça lui a plu alors il a changé définitivement. Pourquoi pas ?
Bref, «la passion» n'est ni le point bloquant ni l'élément déclencheur - je me réfère aux avis ci-dessus.
[|]
Tant que c'est une evolution souhaitee il n'y a aucun probleme.
Le probleme c'est surtout qu'en France, c'est (quasiment) la seule evolution possible. Devenir Lead ou senior developper n'est pas bien vu de tous. (En tous cas pas de nos mastodontes SSII/ESN/Inserer ici le prochain nom a utiliser pour se racheter de la credibilite)
Et les salaires le rappelllent bien..
Pensez à consulter la FAQ ou les cours et tutoriels de la section C++.
Un peu de programmation réseau ?
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Je rejoins certains (Luckyluke34, Marco46) sur le fait que ce qu'il décrit n'est pas que la fonction de "dev lead.". Ayant assuré cette fonction pendant un certains temps, "la plus grante partie du travail est de gérer des " compétences (y compris les siennes !). On est clairement un "mentor" mais il faut aussi savoir écouter, personne n'a la sience infuse.
La délégation est clairement l'un des points qui m'a le plus travaillé au début mais la possession du code est une maladie bien connu des développeurs. Et toute personne avec un peu d'expérience l'apprendra également. De toutes façons, on finit par "avoir mieux à faire".
Le budget, les finances, les augmentations, les délais, etc. sont l'appanage du chef de projet (voir directeur, commercial ou RH). Le "dev lead." négocient éventuellement les délais avec le chef de projet auprès du demandeur (MOA, utilisateur expert, etc.) en apportant justement son regard technique. Ensuite, il gère des priorités et des dépendances de tâches. Le planning est alors établi par le chef de projet qui a plus de regard sur la disponibilité des ressources (personne, locaux, machines, etc.). Encore une fois le "dev lead." ne fait qu'émettre un avis sur les besoins en ressource (compétences techniques ou fonctionnelles, capacité d'apprentissage, agencement, etc.). Mais il m'est déjà arrivé d'émettre des avis favorables/défavorables pour l'intégration de certaines personnes dans une équipe.
Parce que justement on n'est pas considéré comme faisant parti du management, on a relation différente avec nos "pairs". En tout cas, j'ai toujours eu cette vision de mes collègues (et non subordonnés !).
notre mauvais choix c'est celui qui ne nous convient pas. Alors que le mauvais choix c'est celui qui ne convient pas au commun. Ce sont deux choses distinctent. Dans le premier cas, ce n'est pas discutable et propre à chacun. Dans le second cas, c'est déjà mettre un pied dans le management (sacrifier certains pour le bien commun) et je pense qu'il n'y a pas de réponse juste à cette question.
Ceci étant si le management plaît à quelqu'un et qu'il est bon, pourquoi pas. En tout cas, ce ne devra jamais être une évolution automatique.
Je dirais comme les producteurs "agricoles" : en formant une coopérative. Ou comme le font beaucoup de compagnies : une "join venture". Le problème c'est les services commerciaux/comptables ont pris de l'avance sur cette transition et montent des "centrales d'achat" auprès desquelles il faut finalement se faire référencer. Néanmoins, je pense que prendre le modèle des autres (métiers "indépendants" ou des gros groupes) me semblent être une bonne piste car ils font face à des problèmes similaires.
Il ne fait pas que cela Sinon c'est juste un expert technique.
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