J'imagine que l'argument est rhétorique étant donné l'historique de la discussion, mais le niveau de français pose un vrai souci.
Moi ça m'en pose deux :
1 - Me retrouver face à des jeunes gens BAC+5 (et +) - voir à des collègues un peu plus expérimentés - qui font des fautes qu'on est plus censés faire après le brevet des collèges et qui prétendent faire partie d'une certaine élite (ingénieurs...). Sur le fond ça ne passe pas.
2 - Mettons que pour une de ces personnes, on ne jette pas le cv, il est recruté. Je suis dans une PME donc à un moment avec la prise de responsabilités le ou la collègue devra probablement communiquer avec le client (client final, prestataire, prospect commercial...). Ça sera quoi l'impact de son mauvais français sur l'image de l'entreprise ?
Est-ce qu'avec du recul, on peut être un bon informaticien et être une sur-burne en français ? J'imagine malheureusement...
Le problème c'est qu'il y a une surreprésentation de nuls à niveau BAC+5 qui se présentent aux portes des entreprises, toutes formations confondues/tout type d'entreprises confondues. Il y a peut-être des entreprises privilégiées qui récupèrent le gros de l'excellence (Google, IBM...), même si dans ma PME on voit passer un bon profil par an (donc c'est pas non plus rare).
Ah bon, le clavier Canadien ça déforme les mots, les accords et les conjugaisons ? =D
Tu te rend compte qu'annoncer «alors moi je suis nul en français mais c'est parce que je ne m'implique pas» pour ensuite te vanter de ton élitisme c'est quand même ultra-foireux ? =D
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