Discussion :

[NETPARIS]

Les Français en amour comme au travail ont la réputation d’être infidèles. Les motifs premiers de l'infidélité serait en premier temps : le salaire, puis vient la proximité et pour finir les horaires. Pour le monde du travail dans le domaine l'informatique me semble différent. Quelles seraient donc vos raisons de changer d'entreprise (HORS FIN DE CONTRAT) ?

Selon un sondage des Editions Tissot réalisé par OpinionWay, 51 % des salariés seraient prêts à changer d’entreprise. Ce qui les pousserait à être infidèles à leur entreprise ? Une augmentation de leur rémunération pour 53 % des personnes interrogées. Mais à l’inverse qu’est-ce qui leur donne envie d’être fidèle à leur entreprise ? 39 % répondent la proximité de leur domicile…

La fidélité à l’entreprise : 51 % des Français pensent changer d’entreprise

35 % y pensent et 16 % souhaiteraient vraiment changer d’entreprise. Le salarié en contrat à durée indéterminée a la possibilité d’être à l’initiative de la rupture en remettant sa démission. Sa volonté de rompre doit être claire et non équivoque. Claquer la porte après un incident en disant je ne reviendrai plus ou simplement ne plus revenir travailler ne suffit pas pour considérer que le salarié a démissionné.

Pour l'article:
http://www2.editions-tissot.fr/page_...a-lentreprise/

[gangsoleil]

Bonjour,

Donc en gros, pour un plus gros salaire ou pour une plus grande proximité du lieu de travail avec le domicile, les salariés seraient prêts à quitter leur employeur ? Ouh les vilains !

Bah oui, si on me propose un poste identique mais mieux payé et/ou plus pret de chez moi, c'est certain que j'y réfléchis ; et je ne vois pas en quoi le fait d'être informaticien changerait quelque chose à ça.

[Jean-Philippe André]

Et moi qui travaille de chez moi

[NETPARIS]

La passion du métier, mais effectivement entre un vendeur de légume et informaticien il doit pas avoir de différence. J 'aurais pensée que le projet, ou la structure (SSII, client final) pouvez être une source de changement autre que la proximité du domicile (une opportunité à l'étranger par exemple) ou le salaire (bien que se soit des moteurs important) . Tout le monde se trompe, conversation clause alors!


La chance de travailler à la maison !

[Jean-Philippe André]

La chance n'est pas vraiment une chose universelle

Le fait de travailler a distance fait que l'on peut offrir des services a plusieurs clients, mais qu'on ne s'attaque plus aux memes cibles professionnelles que des postes dits en presentiel.

[NETPARIS]

Ne vous inquiétez pas, j'avais bien compris le titre freelance, c'était juste pour vous répondre avec courtoisie, c'est le rêve de bien nombre de personne. Personnellement j'ai la possibilité au télétravail mais je préfère le bureau.

[nnovic]

Courtoisie ? J'ai trouvé votre intervention plutôt méprisante... On retrouve derrière vos mots le discours typique de RH qui veut vendre du rêve aux naïfs.
La triste réalité est pourtant là: on travaille pour vivre, et pas l'inverse. Si le job est sympa, c'est un gros plus, mais c'est pas indispensable.

[NETPARIS]

Courtoisie ? J'ai trouvé votre intervention plutôt méprisante... On retrouve derrière vos mots le discours typique de RH qui veut vendre du rêve aux naïfs.
La triste réalité est pourtant là: on travaille pour vivre, et pas l'inverse. Si le job est sympa, c'est un gros plus, mais c'est pas indispensable.

Ah bon, je ne voulais pas être méprisante, ni chercher à l'être (juste à me défendre j'avoue). Justement j'ai trouvais l'inverse. Pour le discours typique du RH qui veux vendre du rêve... ne pas généraliser surtout si vous on avait l'occasion de se rencontrer (si vous êtes sur paris je vous invite à boire un café pour me faire pardonner). Si j'ai mis cette discussion, c'était pour connaitre les désirs, et envies de chacun et se qui vous motive vraiment.

[eulbobo]

Aimeriez-vous changer d'entreprise?

J'aurai tendance à dire que ça dépend de ce qui serait proposé ailleurs. Mais pour l'instant je suis bien où je suis. Donc sans plus de précisions, ben "non"

[NETPARIS]

J'aurai tendance à dire que ça dépend de ce qui serait proposé ailleurs. Mais pour l'instant je suis bien où je suis. Donc sans plus de précisions, ben "non"

Le projet serait donc la source

[eulbobo]

Le projet serait donc la source

D'un autre côté, le changement sans motivation, ou le changement pour le changement, c'est possible dans deux cas :
- tu peux te permettre d'aller voir ailleurs parce que tu as envie (ce qui dénote une faible fidélité de la personne, et donc pas quelqu'un qu'on aurait envie de recruter. Qui a envie de recruter quelqu'un qui risque de partir à n'importe quel moment juste parce qu'il a eu envie de changer d'air?)
- le poste occupé est tellement nocif qu'il n'est plus acceptable dans ses conditions actuelles (auquel cas il faudrait peut-être commencer par se rapproche de la médecine du travail)

Donc oui, le projet est la source, ce qui ne veut pas dire que j'attends qu'il me tombe tout cuit dans le bec (je regarde toujours l'existence d'opportunités).
Et tout changement porte aussi sa part de risques : on sait ce qu'on a, donc on sait ce qu'on perdra en changeant d'employeur, mais on n'est jamais sûr de ce qu'on va gagner.


PS : dans le "panel" interrogé, on n'a aucune information quant à l'age et au domaine d'activité des gens interrogés, donc de base, on ne peut pas en tirer beaucoup de conclusions précises...

[gangsoleil]

Si j'ai mis cette discussion, c'était pour connaitre les désirs, et envies de chacun et se qui vous motive vraiment.

Ne pas travailler, mais maintenir mon niveau de vie actuel, voir l'augmenter puisque j'aurai (beaucoup) plus de temps pour dépenser de l'argent qu'actuellement.

Maintenant que la partie illusoire est passée, revenons à nos moutons : il y a de très nombreux paramètres qui rentrent en compte dans le choix d'un poste, et chacun les mets dans un ordre différent pour plusieurs raisons : le besoin d'argent pour payer un loyer ne veut pas dire qu'on est prêt à accepter n'importe quoi, mais a néanmoins un rôle majeur dans l'acceptation de certains facteurs comme l'intérêt du poste, la distance acceptable ou bien le salaire.

On trouve, a minima, les critères suivants :

• Intérêt du poste
• Distance domicile / lieu de travail
• Salaire

• Environnement
• Type d'entreprise
• Domaine de l'entreprise
• Ambiance / entente avec les collègues

J'ai volontairement séparer les 3 premiers des autres car ce sont les critères qui sont le plus souvent mis en avant -- encore une fois dans un ordre propre à chacun.

Maintenant, je ne vois pas ce qui vous fait penser que le monde de l'informatique est différent ?

[NETPARIS]

D'un autre côté, le changement sans motivation, ou le changement pour le changement, c'est possible dans deux cas :
- tu peux te permettre d'aller voir ailleurs parce que tu as envie (ce qui dénote une faible fidélité de la personne, et donc pas quelqu'un qu'on aurait envie de recruter. Qui a envie de recruter quelqu'un qui risque de partir à n'importe quel moment juste parce qu'il a eu envie de changer d'air?)
- le poste occupé est tellement nocif qu'il n'est plus acceptable dans ses conditions actuelles (auquel cas il faudrait peut-être commencer par se rapproche de la médecine du travail)

Donc oui, le projet est la source, ce qui ne veut pas dire que j'attends qu'il me tombe tout cuit dans le bec (je regarde toujours l'existence d'opportunités).
Et tout changement porte aussi sa part de risques : on sait ce qu'on a, donc on sait ce qu'on perdra en changeant d'employeur, mais on n'est jamais sûr de ce qu'on va gagner.

Je suis tout à fait d'accord avec vous, la fidélité est un point essentiel mais elle se crée grâce à un environnement saint, où le personnel n'ai pas considéré comme du bétail, comme j'ai pu constater avec certaines pratiques.

[NETPARIS]

Merci pour vos réponses.

[Jean-Philippe André]

Je suis tout à fait d'accord avec vous, la fidélité est un point essentiel mais elle se crée grâce à un environnement saint, où le personnel n'ai pas considéré comme du bétail, comme j'ai pu constater avec certaines pratiques.

l'entreprise est un demon

[Glutinus]

Je suis tout à fait d'accord avec vous, la fidélité est un point essentiel mais elle se crée grâce à un environnement saint, où le personnel n'ai pas considéré comme du bétail, comme j'ai pu constater avec certaines pratiques.

Quand cet environnement est malsain à 99% du temps, il ne faut pas s'étonner que la fidélité ne soit pas bilatérale. Tu le verras rapidement, et tu seras soumise à des cas des conscience.

La passion du métier, mais effectivement entre un vendeur de légume et informaticien il doit pas avoir de différence. J 'aurais pensée que le projet, ou la structure (SSII, client final) pouvez être une source de changement autre que la proximité du domicile (une opportunité à l'étranger par exemple) ou le salaire (bien que se soit des moteurs important) . Tout le monde se trompe, conversation clause alors!

Je ne connais pas le métier de vendeurs de légumes, mais je pense qu'il y a moins de désillusion entre ce que pensait un vendeur de légume pendant sa formation qu'un informaticien. Ce dernier fait souvent des projets dans ses études from scratch, pense qu'il bossera directement dans une grosse ou petite boite. Mais il a souvent à faire face à des SSII, et travaillera plutôt sur des projets pourris mais qu'il faut maintenir chez des clients, chez qui il devra montrer plutôt des talents de diplomates et de communicant que de réel technicien.

Si j'ai mis cette discussion, c'était pour connaitre les désirs, et envies de chacun et se qui vous motive vraiment.

Une superbe rouquine genre Rita Hayworth, 90-60-90, jeune riche intelligente et fortement amoureuse de mon intellect, avec un 150m² dans Paris et des maisons au bord de la mer, à la campagne, en forêt, en montagne et sur une île paradisiaque avec limousine et chauffeur.
Ha et si comme ça je pouvais n'avoir plus d'activité et apprendre le théâtre le lundi, la musique le mardi, la sculpture le mercredi et la peinture le jeudi, le tout avec des séances d'écriture et de sport quand je veux.
[/soupir rêveur]

[Jean-Philippe André]

Une superbe rouquine genre Rita Hayworth, 90-60-90, jeune riche intelligente et fortement amoureuse de mon intellect, avec un 150m² dans Paris et des maisons au bord de la mer, à la campagne, en forêt, en montagne et sur une île paradisiaque avec limousine et chauffeur.
Ha et si comme ça je pouvais n'avoir plus d'activité et apprendre le théâtre le lundi, la musique le mardi, la sculpture le mercredi et la peinture le jeudi, le tout avec des séances d'écriture et de sport quand je veux.

Sois pas jaloux, je l'ai meritee cette situation

[NETPARIS]

Une superbe rouquine genre Rita Hayworth, 90-60-90, jeune riche intelligente et fortement amoureuse de mon intellect, avec un 150m² dans Paris et des maisons au bord de la mer, à la campagne, en forêt, en montagne et sur une île paradisiaque avec limousine et chauffeur.
Ha et si comme ça je pouvais n'avoir plus d'activité et apprendre le théâtre le lundi, la musique le mardi, la sculpture le mercredi et la peinture le jeudi, le tout avec des séances d'écriture et de sport quand je veux.
[/soupir rêveur]

Je suis vraiment plier de rire. j'avoue que le programme est sympas!! Je remplacerai la super rouquine pour un super brun 1m95-2m un peu ténébreux genre manu bennett dans spartacus ... kizomba le lundi, tango le mardi, mince mon patron me regarde baver

[Invité]

La triste réalité est pourtant là: on travaille pour vivre, et pas l'inverse. Si le job est sympa, c'est un gros plus, mais c'est pas indispensable.

Ah, je retrouve un condensé de pessimisme de mon beau pays d'origine !!!
En Amérique du Nord, su tu te plains de ta job, on ne va surement pas de plaindre mais te dire d'en chercher une autre ou de faire des études ou des formations et on va même te fournir des contacts et des tuyaux.
Et si tu n'as pas une job sympa, c'est que tu le mérites. Point barre.
Tout est dans la vision...

[nnovic]

Ce n'est pas du pessimisme, c'est simplement que ma vie n'est pas centrée sur mon travail.
Je bosse pour subvenir à mes besoins, et ça me va très bien comme ça.